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Foi - Page 945

  • Méditons l'Évangile d'aujourd'hui

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    Jour liturgique : Temps ordinaire - 5e Semaine: Mercredi

    Texte de l'Évangile (Mc 7,14-23): Il appela de nouveau la foule et lui dit: «Écoutez-moi tous, et comprenez bien. Rien de ce qui est extérieur à l'homme et qui pénètre en lui ne peut le rendre impur. Mais ce qui sort de l'homme, voilà ce qui rend l'homme impur».

    Quand il eut quitté la foule pour rentrer à la maison, ses disciples l'interrogeaient sur cette parole énigmatique. Alors il leur dit: «Ainsi, vous aussi, vous êtes incapables de comprendre? Ne voyez-vous pas que tout ce qui entre dans l'homme, en venant du dehors, ne peut pas le rendre impur, parce que cela n'entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, pour être éliminé?». C'est ainsi que Jésus déclarait purs tous les aliments. Il leur dit encore: «Ce qui sort de l'homme, c'est cela qui le rend impur. Car c'est du dedans, du coeur de l'homme, que sortent les pensées perverses: inconduite, vols, meurtres, adultères, cupidités, méchancetés, fraude, débauche, envie, diffamation, orgueil et démesure. Tout ce mal vient du dedans, et rend l'homme impur».

     Commentaire: Abbé Norbert ESTARRIOL i Seseras (Lleida, Espagne)

    «Rien de ce qui est extérieur à l'homme et qui pénètre en lui ne peut le rendre impur» :

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  • Présentation du message de Benoît XVI pour le carême 2012

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    Cité du Vatican, (VIS). Le 7 février, près la Salle-de-Presse du Saint-Siège le Cardinal Robert Sarah, Président du Conseil Cor Unum, a présenté le message papal pour le carême (à découvrir ici), accompagné de Mgr.Giampietro Dal Toso, Secrétaire, et de Mgr.Segundo Tejeda Muñoz, Sous Secrétaire. Ce document, a dit le Cardinal, est destiné à attirer l'attention des fidèles sur le bien du prochain, sur la communion, l'attention, la compassion et le partage avec nos frères qui souffrent ou sont dans l'indigence. Puis il a souligné un aspect de la vie chrétienne mis en évidence dans le message: la correction fraternelle. « La charité nous enseigne que nous n'avons pas qu'une responsabilité matérielle envers l'autre, mais aussi morale et spirituelle... Il est évident qu'une certaine idéologie, en exaltant les droits individuels, risque de provoquer un isolement de la personne, voire sa solitude... quand l'appel à la communion est niée au nom de l'individualisme, c'est notre humanité qui en pâtit, trompée par le mirage d'un impossible bonheur autonome. Nous devons nous aider les uns les autres en sachant que nous sommes responsables les uns les autres... L'action de l'Eglise dans le monde doit également être conduite à la lumière de la correction sous le signe de la vérité et de la charité... On pense parfois  que c'est l'appétit de pouvoir ou la nostalgie qui justifieraient les préoccupations de l'Eglise, et son opposition franche à certaines manifestations de la culture ambiante, alors qu'elle ne veut que le bien de l'homme et du monde. Son action ne s'inspire ni de la condamnation ni de la récrimination, mais de la justice et de la miséricorde qui implique d'appeler les choses par leur nom. C'est pourtant ainsi qu'on découvre les racines du mal, qui attirent souvent l'homme contemporain. Il s'agit de la mission prophétique de l'Eglise ».

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  • Girolamo Miani de Emiliani : un saint qui n'a pas attendu le concile de Trente

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    caimotto0360.jpgSource : missel.free

    Ce saint italien que nous nommons Jérôme Emilien est appelé par ses compatriotes Girolamo Miani de Emiliani. Il fut, avant le concile de Trente, le vaillant organisateur d'une congrégation de clercs réguliers dont la première maison fut ouverte à Somasque, près de Bergame.

    Saint Jérôme Emilien, né d’une noble famille vénitienne, en 1481, embrassa d’abord la carrière des armes qui lui procura une jeunesse aventureuse, batailleuse et jouisseuse, jusqu’à ce que, défendant Castelnuovo (près de Trévise) contre les Impériaux, il fut pris et enchaîné. Rentré en lui-même, il se convertit et attribua sa délivrance à la Vierge qu’il vint remercier au sanctuaire de Trévise où il promit de se vouer à son service. Après avoir été podestat de Castelnuovo, il rentra à Venise pour éduquer ses neveux et se préparer au sacerdoce. Il fut ordonné prêtre (1518) et se donna tout entier aux œuvres charitables.

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  • BXL : une formation à la bioéthique à l'IET

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    Une info de catho.be

    un-corps-pour-la-vie.gifL’Institut d’études théologiques IET, la faculté de théologie des jésuites à Bruxelles, organise un cours du soir sous la direction du Père Alain Mattheeusws.  Ce cours aborde les enjeux et les défis posés par les nouvelles techniques bio-médicales: procréations médicalement assistées, diagnostic prénatal et préimplantatoire, congélation d’embryons, clonage et cellules souches. Des situations concrètes dont la complexité appelle d’être lues à la lumière de l’enseignement de l’Eglise. Les cours se donnent le jeudi soir de 20h30 à 21h30 du 16 février au 7 juin 2012. Calendrier ci-dessous.

    La maîtrise du vivant engage la responsabilité de tout homme vis-à-vis de l’univers, des autres et de Dieu. La est une éthique du vivant. Elle est au cœur des débats contemporains. Pour l’origine de l’homme comme à la fin de sa vie, elle est toujours un appel concret à agir bien dans les situations les plus complexes. La vie est un mystère plutôt qu’un problème. Elle appartient au Dieu créateur et sauveur. Il est possible de réfléchir théologiquement les questions de .

    Les énigmes de la vie ne renvoient-elles pas à un mystère qui dépasse l’homme ? Les questions complexes posées par la bioéthique ne nous poussent-elles pas à interroger la Parole de Dieu : parole de Vie pour toute vie ? Ces débats bioéthiques n’appartiennent pas seulement aux experts : ils concernent l’origine de la vie et sa transmission, le soin à apporter au corps et à la création, l’avenir de l’espèce humaine, la fin apparente de la vie sur terre, l’accompagnement des mourants, les gestes et les symboles qui accompagnent notre conception et notre mort. Dieu est présent à toutes ces questions et à tous les enjeux moraux de notre vie.

    Calendrier
    16 février : Le corps humain est « habité »

    23 février : Un langage de sagesse pour désigner l’ébauche embryonnaire
    1 mars : Les évolutions du statut juridique du corps humain (X. Dijon)
    8 mars : Quel berceau anthropologique pour l’être humain ? 
    Une fécondation hors du corps ?
    15 mars : Les évolutions du statut juridique de l’embryon humain (X. Dijon)
    22 mars : Diagnostic prénatal ? Et préimplantatoire ?
    29 mars : Le clone : qui est-il ? (J. de Longeaux)
    26 avril : Quel regard sur les embryons congelés. Congélation ? Réimplantation ? Adoption ?
    3 mai : Le corps embryonnaire : originalité de Dignitas personae
    10 mai : « J’ai un corps » ? « Je suis un corps ? ». Structure sponsal du corps
    24 mai : L’euthanasie ou le « corps oublié »
    31 mai : Dimensions spirituelles de l’approche de la mort
    7 juin : Une Bonne Nouvelle (Evangelium vitae) qui est « vie » et « mission »

    Plus d’infos

  • Pour s'y retrouver dans la pensée de Benoît XVI

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    Source : Didoc.be

    Le théologien Joseph Ratzinger, devenu le pape Benoît XVI, a écrit et continue de publier beaucoup.

    On ne peut pas tout lire. Emmanuel Cabello, docteur en théologie, nous a fait une sélection de quelques textes d’une importance particulière. Ils illustrent trois grandes lignes de pensée du pape.

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  • L'espace sacré dans le christianisme

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    Philippe_Maxence_Guide_des_ecoles_catholiques_pas_comme_les_autres.jpgPrésentation de ce livre sur le site de l'Homme Nouveau :

    La fin du vingtième siècle a été marquée par une contestation du sacré et une transformation de l’aménagement des églises. Si on assiste ces dernières années à un retour du sacré, une question subsiste : en quoi le sacré peut-il être chrétien ? Et comment envisager un espace sacré ?

    En puisant dans les ressources de la géographie confrontée aux religions et aux rites, Marc Levatois montre que le sacré chrétien est un sacré relatif, subordonné à la sainteté. Chemin vers Dieu, il ne renferme pas Dieu sur lui, à la manière des sanctuaires païens. Il est au service des personnes, seules appelées à la sainteté, dans l’Église, elle-même Corps du Christ. Cette conception fonde l'espace sacré dans le christianisme occidental, traditionnellement orienté et délimité. Enrichi par le symbolisme d'inspiration biblique et les rites de l’Église, il a une histoire complexe. Présent dès les premiers siècles de l’Église, il s'affirme au Moyen Age avant d'être remis en cause à partir de la Renaissance et surtout de la Réforme. Sa redécouverte ouvre de nouveaux champs de réflexion.

    Né en 1959, ancien élève de l’École normale supérieure, Marc Levatois est agrégé et docteur en géographie et enseigne en classes préparatoires littéraires. Il est l'auteur d'un premier livre remarqué, La messe à l'envers

    Pour le commander : hommenouveau.fr

  • Jésus-Christ, notre contemporain

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    Sandro Magister nous informe de cet évènement qui va se dérouler à Rome :

    Jésus notre contemporain

    C'est le titre de l'événement international qui va avoir lieu à Rome dans quelques jours. Un événement conçu par le cardinal Ruini en pleine harmonie avec la "priorité suprême" que Benoît XVI a fixée à son pontificat

    La veille du prochain consistoire, Benoît XVI réunira autour de lui tout le collège des cardinaux, y compris les nouveaux élus, pour une journée "de réflexion et prière".

    Cette rencontre qui aura lieu le 17 février aura pour thème : "L'annonce de l’Évangile aujourd’hui, entre 'missio ad gentes' et nouvelle évangélisation".

    Chacun sait que c’est également l'objectif primordial de l’actuel pontificat. Le pape Joseph Ratzinger l’a dit et répété à maintes reprises : "La priorité suprême et fondamentale de l’Église et du successeur de Pierre en ce temps est de conduire les hommes à Dieu".

    Mais à quel Dieu ? La réponse du pape à cette question est également connue :

    "Pas à un dieu quelconque, mais à ce Dieu qui a parlé sur le Sinaï ; à ce Dieu dont nous reconnaissons le visage dans l'amour poussé jusqu’au bout, en Jésus-Christ crucifié et ressuscité".

    Les phrases de Benoît XVI que l’on vient de citer sont tirées de la lettre qu’il avait adressée aux évêques du monde entier le 10 mars 2009.

    C’est justement en cette année 2009, du 10 au 12 décembre, que le comité pour le projet culturel de l’Église d’Italie, présidé par le cardinal Camillo Ruini, avait organisé à Rome un événement international ayant pour thème : "Dieu aujourd’hui. Avec lui ou sans lui, cela change tout" :

    > Toutes les raisons de Dieu. Une enquête

    Mais alors, quel Dieu, sinon celui qui s’est révélé en Jésus ? Ce premier événement devait nécessairement être suivi d’une deuxième partie.

    Ce sera chose faite dans quelques jours, du 9 au 11 février, c’est-à-dire une semaine avant le consistoire. Cette fois, le titre sera : "Jésus notre contemporain".

    Tout l'article est ici : chiesa.espresso.repubblica.it

  • Radio Vatican à la rencontre d'écrivains catholiques

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    Une nouvelle rubrique vient de s'ouvrir sur Radio Vatican; elle s'intitule :
    "À la rencontre d'écrivains catholiques"
    ›  Claude Paulot « mettre ses compétences scientifiques au service de sa foi »
    ›  Jean Sévilla « vocation chrétienne et vocation de plume sont indissociables »
    ›  Claire Daudin « exprimer un point de vue de croyante»
    › 

    Jean-Christian Petitfils, allier connaissances scientifiques et foi chrétienne

    (cliquer sur les liens pour y accéder).

  • Un antidote aux délires concernant le sacerdoce catholique

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    FIC42076HAB40.jpgNous avons fait écho sur ce blog aux divagations du père Fourez concernant la prêtrise. C'est le moment de lire ou de relire l'excellent livre de Monseigneur Rey qui y est consacré :

    Publié à l’occasion de l’Année Sacerdotale inaugurée par le pape Benoît XVI en juin 2009.
    Depuis des années, Mgr Dominique Rey porte et exhorte ses frères prêtres à approfondir le mystère et accroître la fidélité à la vocation sacerdotale. A la suite de Benoît XVI, il invite chaque catholique à prier pour les vocations sacerdotales et la sanctification du clergé.

    L’ouvrage est une évocation large des différents aspects de la vie du prêtre. De l’appel de Dieu jusqu’aux exigences de la spiritualité d’une vie offerte à la suite du Christ, l’évêque de Fréjus-Toulon dans un langage vivant et concret nous dévoile la beauté et le bonheur de ce Don.

    Un livre qui nous éclaire sur ces hommes qui répondent à l’appel du Christ pour exercer le rude et exaltant métier d’Aimer et d’apprendre à Aimer, qui donne leur vie pour guider nos âmes.

  • Rome-Ecône : l’objet de la querelle demeure

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    Voici un extrait  du sermon prononcé ce 2 février 2012 au Séminaire lefébvriste de Winona (USA) par Mgr Fellay, Supérieur  général de la Fraternité Saint-Pie X :

     (…) je peux affirmer que ce qui nous est présenté aujourd’hui [remplit] toutes nos conditions, si je puis dire, au niveau pratique. Il n’y a pas beaucoup de problèmes sur ce plan. Mais le problème demeure à un autre niveau, au niveau de la doctrine. Toutefois, même dans le domaine doctrinal, on avance très vite, mes bien chers frères. La clé du problème est un principe (celui de la cohérence avec la Tradition). Ils nous disent : « vous devez accepter que dans les cas où il y a des difficultés dans les documents du Concile – tels points ambigus qui font débat – ces points, comme l’œcuménisme, la liberté religieuse, doivent être interprétés en cohérence avec l’enseignement de toujours de l’Eglise ». Et ils ajoutent : « ainsi lorsqu’il y a une ambiguïté dans le Concile, vous devez la comprendre comme l’Eglise a enseigné depuis toujours ».

    Ils vont encore plus loin et disent : « on doit rejeter tout ce qui est opposé à l’enseignement traditionnel de l’Eglise ». Bon, c’est ce que nous avons toujours dit. C’est surprenant, n’est-ce pas, que Rome nous impose ce principe ? Surprenant. Alors vous pourriez demander : « pourquoi n’acceptez-vous pas ? »

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  • Sainte Jeanne de France

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    source : "Marie de Nazareth"

    Sainte Jeanne de France, fondatrice de l'Annonciade (1464-1505)

    Le règne de Louis XI ne se comprend tout à fait qu'aux lumières du bûcher de Jeanne d'Arc. C'est l'oeuvre spirituelle de Jeanne d'Arc qui a permis l'oeuvre temporelle de Louis XI. Si ce roi calculateur, rusé, quelque peu superstitieux, ne fut point un saint, sa fille Jeanne le sanctifia. Douloureuse, humiliée, offerte, canonisée par Pie XII, elle est la sainte de la Maison de Valois, la quatrième des dynasties de France.

    Une fille de roi dont l'enfance fut particulièrement humiliée

    Trente-trois ans après Jeanne d'Arc, une autre Jeanne, de France et de Valois, vient de naître. Qui la connaît ? Elle n'est pas au catalogue des grandes dames de l'histoire dont les médias nous offrent le programme des vies et des exploits, formant ainsi et à l'année longue, des modèles d'égéries passionnées plus que de femmes fortes. Elle n'est pas même non plus au catalogue habituel des saintes françaises. Bien qu'elle soit fille, soeur et femme de roi, aucune enfant ne sera plus asservie, aucune épouse plus méprisée que Jeanne, pas une féminité plus dédaignée, pas une reine ne sera plus humiliée. Elle est pourtant de celles dont le coeur souverain a porté non seulement les siens mais la vocation de son pays.

    Ce qui lui est refusé en premier, c'est sa naissance. Louis XI, son père, qui a déjà une fille Anne, pour aînée, attend un héritier mâle. Il le veut. Et promet à cet effet à Notre-Dame de Cléry, une statue en argent du poids du nouveau né. Aussi, lorsque la reine, Charlotte de Savoie, met au monde une fille, Jeanne, le roi révolté n'accorde pas une attention à l'enfant. Dépité par cette cadette, il lui préfèrera toujours la compagnie de ses grands oiseaux et de ses lévriers. Privée de la tendresse naturelle de son père, Jeanne a cependant une mère aimante et attentionnée. L'éducation chrétienne qu'elle reçoit de la pieuse reine Charlotte est d'autant plus décisive pour l'enfant que, dès ses première années, Jeanne révèle une véritable profondeur spirituelle.

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