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Foi - Page 941

  • Quand des prêtres anglicans optent pour le sacerdoce catholique

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    Sur info.catho.be :

    Après les d’Angleterre et du Pays de Galles en 2011, l’Eglise catholique s’apprête à accueillir 42 anciens prêtres venus de toutes les régions des Etats-Unis. Ils vont commencer leur formation pour devenir prêtres catholiques.

    Plus d’une centaine d’anciens prêtres anglicans ont déposé une demande pour devenir prêtres catholiques au sein de l’ personnel de la Chaire de Saint-Pierre dans le territoire de la Conférence épiscopale des Etats-Unis d’Amérique, érigé en janvier dernier. Actuellement, 42 d’entre eux ont été acceptés dans un processus en plusieurs étapes pour être ordonnés au sein de l’Eglise catholique. Le programme de formation, d’une durée de neuf mois, comprend notamment des cours sur le « ministère de Pierre et l’ecclésiologie catholique », « l’approche catholique des Ecritures saintes », la tradition catholique, ainsi que des sessions sur le mariage, le baptême et l’initiation, le sacrement des malades, le sacrement de réconciliation et la culture de l’Eglise catholique.

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  • Carêmes en ligne

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    Avec le Carmel

    Retraite dans la Ville

    Avec les Fraternités de Jérusalem

    Avec la Famille ignatienne (Notre-Dame du web)

    Avec "Magnificat" (iPHONE)

    Voir aussi : http://info.catho.be/2012/02/15/bientot-le-careme-pour-tous/

     

  • Faisons attention les uns aux autres

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    Tel est le thème du message de Benoît XVI pour le carême 2012. (Source : zenit.org) Ce thème est tiré de l'Epître aux Hébreux : «Faisons attention les uns aux autres 
pour nous stimuler dans la charité et les œuvres bonnes» 
(He 10, 24).

    Message de Benoît XVI pour le carême

    Frères et sœurs,

    Le Carême nous offre encore une fois l’opportunité de réfléchir sur ce qui est au cœur de la vie chrétienne : la charité. En effet, c’est un temps favorable pour renouveler, à l’aide de la Parole de Dieu et des Sacrements, notre itinéraire de foi, aussi bien personnel que communautaire. C’est un cheminement marqué par la prière et le partage, par le silence et le jeûne, dans l’attente de vivre la joie pascale.

    Cette année, je désire proposer quelques réflexions à la lumière d’un bref texte biblique tiré de la Lettre aux Hébreux : « Faisons attention les uns aux autres pour nous stimuler dans la charité et les œuvres bonnes » (10, 24). Cette phrase fait partie d’une péricope dans laquelle l’écrivain sacré exhorte à faire confiance à Jésus Christ comme Grand prêtre qui nous a obtenu le pardon et l’accès à Dieu. Le fruit de notre accueil du Christ est une vie selon les trois vertus théologales : il s’agit de nous approcher du Seigneur « avec un cœur sincère et dans la plénitude de la foi » (v. 22), de garder indéfectible « la confession de l’espérance » (v. 23) en faisant constamment attention à exercer avec nos frères « la charité et les œuvres bonnes » (v. 24). Pour étayer cette conduite évangélique – est-il également affirmé -, il est important de participer aux rencontres liturgiques et de prière de la communauté, en tenant compte du but eschatologique : la pleine communion en Dieu (v. 25). Je m’arrête sur le verset 24 qui, en quelques mots, offre un enseignement précieux et toujours actuel sur trois aspects de la vie chrétienne: l’attention à l’autre, la réciprocité et la sainteté personnelle.

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  • 40 jours pour grandir dans l'amour de Dieu et du prochain

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    L'Evangile au Quotidien nous propose ce "Commentaire du jour"

    Saint Grégoire le Grand (v. 540-604), pape et docteur de l'Église
    Homélies sur les évangiles, n° 16, 5 (trad. Le Barroux rev.)

    Quarante jours pour grandir dans l'amour de Dieu et de notre prochain

          Nous entamons aujourd'hui les saints quarante jours du carême, et il nous faut examiner attentivement pourquoi cette abstinence est observée pendant quarante jours. Moïse, pour recevoir la Loi une seconde fois, a jeûné quarante jours (Gn 34,28). Élie, dans le désert, s'est abstenu de manger quarante jours (1R 19,8). Le Créateur des hommes lui-même, venant parmi les hommes, n'a pas pris pas la moindre nourriture pendant quarante jours (Mt 4,2). Efforçons-nous, nous aussi, autant que cela nous est possible, de refréner notre corps par l'abstinence en ce temps annuel des saints quarante jours..., afin de devenir, selon le mot de Paul, « une hostie vivante » (Rm 12,1). L'homme est une offrande à la fois vivante et immolée (cf Ap 5,6) lorsque, sans quitter cette vie, il fait cependant mourir en lui les désirs de ce monde.

          C'est la satisfaction de la chair qui nous a entraînés au péché (Gn 3,6) ; que la chair mortifiée nous ramène au pardon. L'auteur de notre mort, Adam, a transgressé les préceptes de vie en mangeant le fruit défendu de l'arbre. Il faut donc que nous qui sommes déchus des joies du Paradis par le fait de la nourriture, nous nous efforcions de les reconquérir par l'abstinence.

          Mais que personne ne s'imagine que seule cette abstinence nous suffise. Le Seigneur dit par la bouche du prophète : « Le jeûne que je préfère ne consiste-t-il pas plutôt en ceci ? Partager ton pain avec l'affamé, recevoir chez toi les pauvres et les vagabonds, habiller celui que tu vois sans vêtement, et ne pas mépriser ton semblable » (Is 58,6-7). Voilà le jeûne que Dieu approuve... : un jeûne réalisé dans l'amour du prochain et imprégné de bonté. Prodigue donc aux autres ce que tu retires à toi-même; ainsi, ta pénitence corporelle soulagera le bien-être corporel de ton prochain qui est dans le besoin.

    Pour vous y aider : http://exultet.net/news

  • La signification symbolique des cendres

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    Source : missel.free

     La symbolique des cendres

    La cendre, dont la signification originelle est fort discutée, bien que son usage soit répandu dans la plupart des religions antiques, est souvent associée à la poussière[1], et symbolise à la fois le péché et la fragilité de l'homme.

    I. Le cœur du pécheur, d'abord, est semblable à la cendre : le prophète Isaïe appelle l'idolâtre un « amateur de cendres[2] », et le Sage dit de lui : « Cendres, que son cœur ! Plus misérable que la poussière, sa vie ![3] » C'est pourquoi le salaire du péché ne peut être que cendre : les orgueilleux se verront « réduits en cendre sur la terre[4] », et les méchants seront piétinés comme cendre par les justes[5]. D'ailleurs le pécheur qui, au lieu de s'endurcir dans son orgueil[6], prend conscience de sa faute, confesse précisément qu'il n'est que « poussière et cendre[7] » ; et pour signifier aux autres et à lui-même qu'il en est convaincu, il s'assoit sur la cendre[8] et s'en couvre la tête[9].

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  • Heureux celui qui ose le chemin du désert

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    Pour ce mercredi des cendres, Eric de Beukelaer propose cette méditation intitulée "Des soldes et des cendres"

    Les soldes. Moins dépenser pour plus acheter. Se perdre dans les entrailles maternantes de ces temples de la consommation que sont les centres commerciaux. Vivre un temps de douce frénésie collective, afin de relancer la machine économique. Sainte croissance, priez pour nous. Pour celui qui en a les moyens - pourquoi pas ? La vie est parfois si tendue. Alors, se lâcher un peu ne fait de tort à personne. OK. Mais est-ce bien cela le fond des choses ? "Laisse-toi vivre. Profite. On ne vit qu’une fois. Tu le vaux bien." OK, OK Et puis quoi ? Les Cendres - Mercredi des cendres. Début du temps de carême. Moins consommer pour vivre autrement. Se perdre dans le désert. Lieu ingrat, dépouillé, bref vide. Non pas le désert des aventuriers en Land Rover, rêvant au Dakar. Non, le désert qui dure : silencieux, inutile et inactif. En hébreu, désert se dit "mishbar". En jouant sur les consonances, ce mot peut être relié à "mit-dabar" qui signifie "de la parole" . Un ami plus compétent m’a dit que le jeu de mots n’avait aucun fondement sémantique, mais peu m’importe : celui qui entre dans le désert, part à la rencontre de la parole, de sa parole. En effet, au cœur de nos vies se cache un désert, un espace de solitude radicale. Qui d’entre nous se sent durablement et intégralement compris, aimé, accueilli ? Celui qui veut durer en amour ou en amitié doit apprendre à respecter le jardin secret et les silences douloureux de l’âme sœur, ce désert inaccessible qui fonde l’identité et l’altérité. Aucune vie adulte digne de ce nom n’est possible sans la reconnaissance et l’apprivoisement de ce creux qui vibre au cœur de notre moi profond. Seul celui qui se sait seul et qui assume pareille radicale solitude est lucide dans sa rencontre de l’autre. Il faut une vie et davantage pour parcourir ce chemin, car le désert est tout sauf un endroit séduisant. A vrai dire, il fait peur. Il est ce lieu aride où sont démasqués nos besoins infantiles et cocons matriciels. C’est pourquoi - si facilement - nous le fuyons en consommant - bien au-delà de nos besoins réels. Cela nous distrait de vivre. Au désert, la perspective change. L’humain commence à renaître dans les douleurs d’un enfantement. Le masque du carnaval de nos vies craque de partout et derrière, il y a un enfant qui pleure. Alors - mais alors seulement - la voix de Celui qui est, qui était et qui vient, se fait entendre. C’est la voix qui dit à Abraham : "Va, quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père, pour le pays que je t’indiquerai" (Genèse 12,1) . Avec le Mercredi des cendres et le début du carême, s’ouvre pour tout qui veut une porte vers quarante jours de désert - périple de mort à nos peurs en vue d’une résurrection. Heureux qui fait le pas et tente le voyage. Il existe un autre pays que celui de notre condition creuse et anonyme de petit consommateur besogneux. Heureux celui qui ose le chemin du désert pour parcourir le royaume austère de l’authentique spiritualité. Il se découvrira sujet.

    Eric de BEUKELAER

    Blog : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/
  • Les désordres romains ne touchent pas que l'Europe...

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    « Les scandales de l’Eglise mettent en difficulté les chrétiens de l’Inde »

    Interview du Cardinal Telesphore Placidus Toppo qui décrit la situation des croyants dans son pays : «Je vois des églises toujours plus vides : nous devons rester unis et proches du Pape.»

    (Fabio Marchese Ragone, Vatican Insider, 20/02/12 - traduction de notre amie B.T.)

    “Celui qui agit ainsi n’est pas un vrai chrétien. En Inde, nous avons eu connaissance de ces fuites et cela nous a beaucoup peiné ». C’est avec fermeté, et avec une nuance de reproche, que s’exprime le Cardinal Telesphore Placidus Toppo, 72 ans, archevêque de Ranchi au nord-est de l’Inde, pays où, selon le dernier rapport publié par le « Catholic Secular Forum », il y a eu, en 2011, 2141 chrétiens victimes de violence, persécutés et discriminés.  L’archevêque est arrivé à Rome pour participer au consistoire convoqué par le Pape Benoît XVI, grand moment de fête avec le Saint Père et les 22 nouveaux Cardinaux, mais aussi moment de réflexion sur les derniers événements qui ont impliqué la curie romaine.

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  • Mort, l'athéisme moderne ?

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    C'est la thèse de ce livre que recense l'abbé Guillaume de Tanoüarn :

    9782130591658.jpgL'athéisme est mort

    Après avoir crié "Dieu est mort", les cultureux de tous pelages commencent à réaliser que l'athéisme ne tient pas la route. C'est ce que souligne Philippe Nemo, dans un petit livre tout à fait passionnant, intitulé La belle mort de l'athéisme moderne. Belle mort ? Il faut remonter à l'expression "mourir de sa belle mort". L'athéisme moderne est mort, mais personne ne l'a tué, il est mort de sa belle mort. Il est mort parce que les hommes ont compris qu'il n'apportait rien, que l'athéisme ne rendait pas plus heureux, que ce n'était pas la peine de refouler Dieu en soi, puisque l'absence de Dieu ne nous donnait rien de plus et nous mettait souvent dans des situations inextricables.

    On ne comprendra pas l'importance du livre de Philippe Nemo, si l'on oublie de quels sentiments est faits l'athéisme moderne. Comme l'a expliqué naguère Claude Tresmontant dans Le problème de l'athéisme, l'athéisme moderne est avant tout un antithéisme : "Si Dieu existait, écrit Sartre dans sa célèbre petite conférence L'existentialisme est un humanisme, ce serait une raison supplémentaire pour nous de le combattre".

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  • Un festival marial des familles en août prochain

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    Affiche FMF 2012 petite.jpg

    Cliquer sur l'image pour accéder au site et aux informations relatives à ce "festival"

  • Eglise conciliaire et années soixante

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    Rade.jpgIl s’agit d’un essai paru chez L’Harmattan, sous la plume de Louis Rade. Louis-Marie Lamotte en a rendu compte sur le blog de réflexion « contre-débat ». Extraits :

    « Que s’est-il donc passé ? Pourquoi la pratique religieuse a-t-elle chuté ? Pourquoi le message moral de l’Eglise passe-t-il si mal et son message sociopolitique plutôt bien alors qu’il y a un siècle c’était l’inverse ? Pourquoi les vocations se sont-elles taries malgré des efforts sérieux ? »  

    « C’est à ces questions que Louis Rade s’efforce de répondre, dans« Eglise conciliaire et années soixante », un ouvrage publié par L’Harmattan dans la collection « Logiques sociales ». Il ne s’agit en effet pas de mener une étude théologique, mais d’apporter une « contribution à l’édifice interprétatif, en fournissant un schéma hypothétique pouvant s’accorder avec un maximum de faits et surtout tenant compte des plus récentes analyses de ce qui se passa vraiment en Occident riche, et dont le concile est un épisode » (p. 7). L’ouvrage, qui se veut donc une réflexion sur la crise de l’Eglise à partir de la question du rapport de celle-ci au monde propose ainsi un modèle simple (…) : l’ouverture au monde postconciliaire n’a pas été tant une ouverture à la modernité qu’une ouverture au « soixantisme » issu de la croissance économique d’après-guerre, dont les effets ont été décuplés par la disparition ou du moins l’affaiblissement de la « musculature surnaturelle » de l’Eglise (p. 13).  Voir ici : samedi 18 février 2012

    Louis RADE, Eglise conciliaire et années soixante, L’Harmattan, Paris, 2011, 239 pages

  • Quebec: Big brother pense désormais pour vous

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    Lu dans les matinales de “La Vie”:

    L'affaire a débuté en 2008. Jusque-là, l'enseignement public dans les écoles québécoises dispensait aux enfants, selon le choix des parents, un cours d'enseignement moral et religieux catholique ou protestant. Cette année-là, le gouvernement décide de mettre en place un cours d'éthique et de culture religieuse (ECR) qui propose non plus de l'instruction confessionnelle, mais de l'éducation morale et religieuse, c'est-à-dire une présentation laïque des différentes confessions et des cours de morale civique, dans tous les établissements publics et privés de la Belle-Province. Depuis sa mise en place, les demandes de dérogation, sans être nombreuses, ont été significatives, venant aussi bien de particuliers (2.300 demandes) que d'établissements privés confessionnels demandant à pouvoir enseigner ce cours selon leur propre positionnement religieux. Dans l'affaire dite de Drummondville, ce sont deux parents catholiques qui ont demandé aux tribunaux de pouvoir dispenser leurs enfants de ces cours, arguant que "le relativisme auquel seraient exposés les élèves qui suivent le cours ECR entraverait leur capacité de transmettre leur foi à leurs enfants". Déboutés par la Cour supérieure du Québec, puis par la Cour d'appel, les deux parents ont porté l'affaire devant la juridiction canadienne suprême. Celle-ci vient de les débouter également. Pour les juges suprêmes, en effet, l'obligation de suivre les cours d'ECR "ne contrevient pas à la liberté de conscience et de religion". "Suggérer que le fait même d'exposer des enfants à différents faits religieux porte atteinte à la liberté de religion de ceux-ci ou de leurs parents revient à rejeter la réalité multiculturelle de la société canadienne et méconnaître les obligations de l'État québécois en matière d'éducation publique", écrit ainsi l'une des juges, Mme Deschamps. Pour autant, bien qu'ayant pris cette décision à l'unanimité, deux des neuf juges de la Cour suprême ouvrent la porte à de futures poursuites pouvant cette fois-ci aboutir: "Par ailleurs, l'état de la preuve ne permet pas non plus de conclure que le programme et sa mise en application ne pourront éventuellement porter atteinte aux droits accordés aux appelants et à des personnes placées dans la même situation". Les regards se tournent maintenant vers l'affaire du collège Loyola, établissement privé catholique qui avait obtenu, lui de pouvoir dispenser les cours d'ECR "dans une perspective catholique" par un jugement de la Cour supérieure du Québec qui a été porté devant la Cour suprême par le gouvernement. Jugement attendu dans les prochains mois. Référence: Québec: les cours de culture religieuse jugés conformes aux libertés

    La Belgique n’en est pas encore là, mais le “melting pot” relativiste prêché dans les cours de religion et de morale prépare l’avènement de cette religion séculière unique. De lege ferenda, des projets  existent en ce sens, tant du côté flamand que francophone. Chers parents, Big brother vous veut du bien et il pense pour vous…

     

  • L'enjeu spirituel du ministère de Pierre

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    Source : Zenit.org

    Dans l'Église, tout repose sur la foi - Fête de la Chaire de saint Pierre

    ROME, dimanche 19 février 2012 (ZENIT.org) – « Dans l’Eglise, tout repose sur la foi », affirme Benoît XVI, invitant à revenir à la réalité profonde de la mission ecclésiale : être une « fenêtre vers Dieu ». 

    Le pape a présidé la messe, en la fête de la Chaire de Pierre, ce matin, 19 février 2012, dans la basilique Saint-Pierre de Rome. Il était entouré des 22 nouveaux cardinaux, agrégés au collège cardinalice hier, 18 février, au cours du 4e consistoire public convoqué par lui.

    Benoît XVI a donné une homélie très concrète, redisant avec force la permanence de l’autorité de l’Eglise, éclairée par la Parole de Dieu, qui lui assure « un fondement stable au milieu des mutations historiques », en dépit des tempêtes dont elle est parfois l’objet. En outre, le pape a réaffirmé l’enjeu spirituel du magistère pétrinien, qui ne peut être atteint par les considérations de personnes.

    Tout dans l’Eglise repose sur la foi

    L'homélie de Benoît XVI fait comprendre plus profondément pourquoi le pape a convoqué une "Année de la Foi" (11 octobre 2012-24 novembre 2013).

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