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International - Page 338

  • La mère de Justin Bieber soutient un film anti-avortement

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    Nous lisons dans De Standaard :

    Pattie Mallette, la mère de Justin Bieber, travaille actuellement sur le film anti-avortement «Crescendo».

    Les créateurs de «Crescendo» veulent, avec un court métrage présenté le 28 février, rassembler 7,500,000 euros au bénéfice des centres de grossesse. Selon la société de production 'Movie to Movement', Mallette assistera personnellement à plusieurs projections.

    La mère de la pop star a déjà évoqué précédemment sa sa propre grossesse lorsqu'elle était adolescente. Après une jeunesse marquée par la violence et la dépression, elle fut elle-même enceinte de Justin à 17 ans.

    A 37 ans, Mallette espère que son implication dans le film "va encourager les jeunes femmes du monde entier". Elle veut leur faire savoir qu'il ya des endroits où les filles enceintes peuvent aller et qu'il ya des gens prêts à leur offrir un refuge sûr.

  • La cohabitation entre chrétiens et musulmans au Liban

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    Sandro Magister (sur son blog chiesa) examine la situation des chrétiens et des musulmans au Liban.

    Les effets de la guerre civile qui a lieu dans le pays voisin, la Syrie. Et les raisons pour lesquelles le pape a confié à deux jeunes Libanais la rédaction des textes destinés au prochain chemin de croix qui aura lieu au Colisée 

    ROME, le 1er février 2013 – Le fait a été confirmé officiellement il y a quelques jours : Benoît XVI a confié "à deux jeunes Libanais" la rédaction des textes destinés au chemin de croix qui aura lieu au Colisée le prochain vendredi saint.

    Les deux jeunes gens écriront les méditations des 14 stations du chemin de croix "sous la conduite" de leur patriarche, le cardinal Béchara Boutros Raï.

    Selon ce qui a été communiqué, le pape Joseph Ratzinger a fait ce choix "en mémoire de son récent voyage au Liban et pour inviter toute l’Église à inclure dans sa prière le Moyen-Orient, ses problèmes et les communautés chrétiennes vivant sur ces terres".

    Le Liban a été le but du dernier voyage effectué hors d’Italie par Benoît XVI jusqu’à présent. Le pape s’y est rendu au milieu du  mois de septembre dernier et il y a été accueilli par des foules très nombreuses, venues également d’autres pays.

    Parmi les pays d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, le Liban est l’un des endroits les moins dangereux pour les chrétiens et ceux-ci y vivent en nombre relativement élevé.

    Mais que son "modèle" renommé de cohabitation entre les religions soit en ruines depuis bien des années, voilà ce que tout le monde peut constater. Benoît XVI lui-même s’y est référé avec beaucoup de prudence :

    "Le fameux équilibre libanais qui veut continuer à être une réalité, peut se prolonger grâce à la bonne volonté et à l’engagement de tous les Libanais. Alors seulement, il servira de modèle aux habitants de toute la région et au monde entier".

    Il est de fait que la catastrophe qui a lieu dans le pays voisin, la Syrie, a certes mis en grande difficulté les chiites libanais du Hezbollah, dont les leaders se trouvent à Damas et à Téhéran. Mais elle n’a certainement pas favorisé les chrétiens.

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  • Jordanie : le mauvais travail des sectes

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    ASIE/JORDANIE - Déclarations du Directeur du Catholic Center for Studies and Media : les sectes mettent en danger les rapports entre chrétiens et musulmans

    Amman (Agence Fides) – Les témoins de Jéhovah et les sectes d’origine américaine, par leurs méthodes de propagande, créent des problèmes aux communautés chrétiennes d’antique tradition présentes au Moyen-Orient et à leurs rapports avec la majorité musulmane. Cette alarme est lancée par le Père Rifat Bader, prêtre jordanien et Directeur du Catholic Center for Studies and Media ayant son siège à Amman. « Ces derniers temps – explique le Père Bader à l’Agence Fides – de nombreuses familles m’appellent pour me signaler l’insistance avec laquelle les témoins de Jéhovah demandent à entrer dans leurs maisons afin de distribuer du matériel de propagande. Ceux qui sont passés dans leurs rangs ont immédiatement commencé à manifester publiquement leur hostilité envers la communauté chrétienne à laquelle ils appartenaient précédemment ».
    Le prêtre rappelle que déjà en 2008, face aux effets produits en Jordanie par l’activité de dizaines de prédicateurs, les chefs des Eglises présentes dans le royaume hachémites avaient exprimé dans un document leur préoccupation commune. « Les témoins de Jéhovah et les militants d’autres sectes – indique le Père Bader – sillonnent les villes et les villages et font de la propagande y compris auprès des familles musulmanes. Ils citent leur bible et leur évangile. Même s’ils ne partagent pas la foi trinitaire, ils parlent de Jésus et sont perçus comme chrétiens. De cette manière il sont un facteur de confusion et troublent le respect traditionnel selon lequel, à l’intérieur de notre société, chaque communauté religieuse évite de faire du prosélytisme parmi les membres des autres groupes ». Selon le prêtre jordanien, le phénomène représente également une provocation pastorale : « si nos fidèles subissent l’attrait des sectes, cela veut dire qu’ils n’ont pas trouvé réellement la richesse de la foi dans laquelle ils ont pourtant été éduqués ». Dans le même temps, le Père Bader ne considère pas que son alarme exprime une conception contraire à la liberté religieuse : « Nous espérons tous que, dans le monde arabe aussi, s’affirment pleinement les libertés de religion et de conscience. Mais les méthodes de prosélytisme agressives d’adressant à des communautés de croyants, ne peuvent être justifiées par ces principes ». (GV) (Agence Fides 31/01/2013)

  • Syrie : destruction d'une église et d'une école en Mésopotamie

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    ASIE/SYRIE - Destruction d’une église en Mésopotamie - Pour l’Archevêque syro-orthodoxe de Jézirah et Euphrate, « avec la guerre, tous sont perdants »

    Hassakè (Agence Fides) – L’église syro-orthodoxe de Sainte Marie et l’école chrétienne d’Al-ahda ont été détruites à Deir Ezzor, petite ville de Mésopotamie se trouvant au centre des affrontements qui ont causé le départ de la population civile. C’est ce qu’indique à Fides l’archevêque syro-orthodoxe Eustathius Matta Roham, Métropolite de Jézirah et Euphrate, expliquant que « il s’agit d’une journée très triste pour moi et pour toute la communauté ». Les deux structures ont été touchées et détruites par le feu croisé de l’armée régulière et des groupes rebelles. La Mésopotamie, remarquent des sources locales de Fides, vit actuellement « une lente agonie » et toute la population civile – arabes, chrétiens, kurdes et autres groupes – paie un prix très fort. L’archevêque Matta Roham remarque : « Cette féroce guerre est d’abord et avant tout une guerre contre notre civilisation. Il s’agit d’un conflit dans le cadre duquel tous sont perdants. Je crois que nous retrouverons seulement un pays en ruine avec des milliers d’orphelins, de veuves, de pauvres et surtout déstabilisé par l’inimitié au sein de la société ». L’archevêque s’adresse à ceux qui combattent : « Qui reconstruira tout ce que nous avons construit en des décennies de dur labeur ? Et combien de temps cela prendra-t-il ? Qui rebâtira les relations sociales détériorées ? Nous demandons la prière de tous les chrétiens du monde afin de retrouver la paix en Syrie ». (PA) (Agence Fides 31/01/2013)

  • Congo : un holocauste au féminin

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    Anna Bono et Pino Locati, dans la Nuova Bussola Quotidiana dénoncent l'holocauste des femmes en République Démocratique du Congo et la passivité de l'ONU. 

    Des femmes ravies, dansent, chantent et applaudissent pour saluer une modeste distribution des paquets de poudre de savon et de couvertures. Cela se passe au camp de réfugiés de Mugunga 3, au Nord-Kivu, une des provinces orientales de la République Démocratique du Congo, qui, depuis près de 20 ans, ne connaît plus la paix : éternel champ de bataille entre des milices antigouvernementales rassemblées sous des sigles divers, des groupes armés Hutu et Tutsi (groupes ethniques antagonistes du Rwanda et du Burundi), les forces gouvernementales, les casques bleus de la plus grande et de la plus chère mission de paix des Nations Unies, forte de plus de 20.000 unités. Cette guerre continuelle a officiellement pris fin en 2003, mais elle continue de décimer la population congolaise : en 2008, les pertes parmi les civils sont estimées à 5,4 millions, principalement de faim, de maladies et d’abus. Depuis lors, le massacre a continué et l'exode forcé des centaines de milliers de personnes désespérées fuient les combats, privés de moyens de subsistance, d'emplois, de logement, de bétail, de terres.

    Mugunga, divisé en trois sections, est l'un des 31 camps mis en place au Nord-Kivu pour accueillir les réfugiés, mais il y manque les services de base, les tentes sont aujourd’hui épuisées et il n'y a pas toujours assez de nourriture pour tout le monde. Le 26 janvier, le père Pino Locati, missionnaire des pères blancs, y est arrivé avec sa cargaison de savon et de couvertures ainsi qu'avec une liste des femmes attendant son arrivée : au total, 344 ; 147 victimes de viol (le plus jeune, une fillette de cinq ans) et 197 malades du sida, un petit échantillon d'une réalité aux proportions énormes, parce qu’au Congo, comme l'expliquent des religieux vivant sur place, « ce sont les femmes qui ont payé le plus lourd tribut au cours des vingt dernières années ».

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  • L'horreur du quotidien en Syrie

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    Déclarations de l'archevêque arménien catholique d'Alep (Zenit.org).

    « Nous nous sommes habitués à l’horreur du quotidien », déplore Mgr Boutros Marayati, archevêque d’Alep des arméniens catholiques qui décrit « le bruit continu des bombardements », un « état de tension et de peur jour et nuit », un quotidien « où l’on ne trouve pas même l’eau pour boire et le carburant pour chauffer les maisons ».

    Mgr Boutros Marayati, décrit à l’agence vaticane Fides la situation vécue par les habitants de la métropole syrienne où ont été retrouvés hier des dizaines de cadavres de jeunes, victimes d’exécutions sommaires collectives.

    Tension et peur jour et nuit 

    « Il y a toujours des nouvelles relatives à de nouveaux massacres. Il y a le bruit continu des bombardements. On vit dans un état de tension et de peur jour et nuit. Il est difficile de survivre dans un quotidien où l’on ne trouve pas même l’eau pour boire et le carburant pour chauffer les maisons ». Pour l’archevêque, « la conséquence de la condition dans laquelle nous vivons depuis plus d’un an est que nous nous sommes habitués à l’horreur du quotidien ».

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  • Turquie : Sainte-Sophie redeviendra-t-elle une mosquée ?

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    Nous lisons sur orthodoxie.com :

    Le Parlement turc examine une demande visant à reconvertir la basilique Sainte-Sophie de Constantinople en mosquée

    C’est avec surprise que l’on a appris que le Parlement turc (la grande Assemblée nationale) a accepté d’examiner la demande de reconvertir la basilique Sainte-Sophie de Constantinople en mosquée. Ladite demande a été soumise par un citoyen turc du nom de Talip Bozkurt, de la ville de Kahramanmaraş en Anatolie, lequel voudrait que Sainte-Sophie redevienne un lieu de prière islamique. Sainte-Sophie a été transformée en mosquée immédiatement après la chute de Constantinople en 1453. Depuis 1935, elle fonctionnait comme musée. La commission parlementaire qui a accepté d’examiner la proposition demandera l'avis de diverses organisations et institutions.

    Cette demande se produit après la décision du gouvernement turc actuel de reconvertir en mosquéel’église Sainte-Sophie de Nicée, (1) qui était jusqu’à maintenant un musée, tandis que l’été dernier était initié le processus visant à reconvertir l’église Sainte-Sophie de Trébizonde en mosquée.

  • Philippines : le président prié de prendre au sérieux la doctrine sociale de l'Eglise

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    (EDA) Les évêques demandent au président Aquino de prendre au sérieux la doctrine sociale de l’Eglise

    Mardi 29 janvier, à l’issue d’une assemblée plénière de trois jours, les évêques de l’Eglise catholique des Philippines ont publié une « Déclaration pastorale au sujet de certains problèmes sociaux actuels ». Dans ce texte de cinq pages, ils interpellent le président Aquino et l’ensemble des responsables politiques du pays. S’appuyant sur l’Evangile et la doctrine sociale de l’Eglise, ils appellent à la mise en place de véritables réformes afin de lutter contre des maux connus de longue date mais auxquels les différentes administrations qui se sont succédé à la tête du pays n’apportent pas de réponse satisfaisante. « Nous prenons la parole à la place de ceux qui souffrent », expliquent les évêques.

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  • Mali : et après ?

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    Jean-Sylvestre MONGRENIER, chercheur associé à l’Institut Thomas More , se penche sur L’avenir incertain du Mali réunifié :

    Le 28 janvier 2013, Tombouctou est tombée sans coup férir entre les mains de l’armée française, accompagnée de troupes maliennes. Le but de guerre, tel qu’il est présenté par François Hollande, est la restauration de l’intégrité territoriale du Mali. La tâche sera de longue haleine et ses objectifs doivent être plus circonscrits | Par 

    La liquéfaction accélérée de l’Etat malien, début 2012, et la perte totale de contrôle du Nord-Mali ne sont pas des épiphénomènes de l’histoire africaine post-coloniale. La rhétorique des gouvernements de la CEDEAO (Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest), l’exercice de multilatéralisme appliqué conduit depuis Paris et les résolutions des Nations unies n’auront en rien ralenti le processus. In fine, la reconquête de Tombouctou repose sur la seule force des armes mais il sera autrement plus difficile de redresser la situation politique d’ensemble. Ce sont des forces profondes qui travaillent le Mali et l’ensemble de la région à cheval sur le Sahel-Sahara et l’Afrique de l’Ouest. Aussi l’objectif proclamé – la souveraineté du Mali sur l’intégralité de son territoire – requerra-t-il un effort de longue haleine. Les objectifs politiques doivent donc être plus circonscrits. 

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  • Inde : un des violeurs bientôt en liberté ?

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    ASIE/INDE - Viol et meurtre d’une jeune indienne de 23 ans : un inculpé mineur bientôt libre

    New Delhi (Agence Fides) – L’un des six inculpés du viol et du meurtre de la jeune indienne de 23 ans qui a bouleversé le monde entier voici un mois, est mineur. C’est ce qu’a démontré le Tribunal des mineurs de Delhi. Ceci, selon la praxis juridique indienne, pourrait lui permettre d’être libre d’ici quelques mois. L’âge de l’inculpé, décrit par la police de Delhi comme le plus brutal des six accusés, a été déclaré comme étant de « 17 ans, six mois et 24 jours », comme le démontre son certificat de naissance. La législation indienne prévoit qu’un mineur d’âge compris entre 16 et 18 ans puisse être, dans le cas où il serait condamné pour un crime, détenu dans une maison de correction pour trois ans au plus avant d’être placé en liberté surveillée. Toutefois, la loi prévoit qu’un mineur ne peut être détenu dans ce type de structure rééducative au-delà de son 18ème anniversaire et qu’il ne peut par la suite être de nouveau jugé, condamné ou placé en détention. Selon cette norme, le jeune inculpé pourrait purger quelques mois de peine avant d’être relâché dès qu’il sera majeur, à savoir le 4 juin prochain.

    Le Père Nithiya Sagayam, OFM Cap, Directeur du Franciscan Peace Centre sis dans l’Etat du Tamil Nadu et Secrétaire exécutif du Bureau pour le Développement humain de la Fédération des Conférences épiscopales d’Asie (FABC) commente ce fait à l’Agence Fides : « Si le jeune a commis des crimes si graves, tels que le viol et l’homicide, comment le fait de le remettre en liberté peut-il constituer une solution ? Il s’agit d’un problème sérieux pour le pays, d’une question qui doit être soulevée de manière urgente en ce qu’elle concerne la légalité et l’impunité. Il faut urgemment se demander : qui peut-on considérer mineur ? Un jeune homme qui viole et tue peut-il être considéré tel ? Le jeune en question a une responsabilité civile et pénale évidente ». L’autre question, remarque le Père Sagayam, est que « les mineurs en Inde sont exposés à une culture, servie par les moyens de communication de masse, qui propage violence et sexe : ceci ne protège pas leur développement psychophysique et augmente la diffusion des crimes au sein de la société ». (PA) (Agence Fides 29/01/2013)

  • La Matinale de La Vie, une précieuse ressource

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    Natalia Trouiller fait vraiment un travail intéressant. Chaque jour (ou presque), la Matinale de la Vie rend compte d'évènements dont on ne trouve guère d'échos ailleurs. En témoignent ces informations de ce jour :