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Jeunes - Page 130

  • Quand les lois sur l'euthanasie enfoncent les parents d'enfants handicapés dans le désespoir

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    Un entretien avec Sophie Lutz réalisé par Gabrielle Cluzel sur Boulevard Voltaire :

    Les lois sur l’euthanasie enfoncent les parents d’enfants handicapés dans le désespoir

    Sophie Lutz, vous êtes mère d’une petite Philippine, 14 ans, polyhandicapée, diagnostiquée in utero. Vous avez publié deux livres-témoignages dans lesquels vous évoquez Philippine. Vous avez écrit sur Twitter que la loi sur l’euthanasie des enfants, telle qu’elle s’apprête à être promulguée en Belgique, est « une claque affreuse pour tous les parents qui accompagnent leurs enfants souffrants : elle les enfonce dans le désespoir ». Pouvez-vous nous expliquer ?

    Parce que je sais par ma propre expérience que, même si l’on est convaincu de la dignité de la personne et de l’existence de son enfant, il y a en même temps, au fond de soi, cette petite question terrible qui revient régulièrement : « Est-ce qu’il ne vaudrait pas mieux qu’il ou elle meure ? » On est déjà bien désespéré, mais on peut garder la tête hors de l’eau, rester debout, si tout le monde vous soutient et dit avec vous : « On ne sait pas si ce serait mieux, et personne ne sait. » Cette loi, elle, prétend « savoir » ; elle franchit le pas d’après, le pas dans le vide. Et sous prétexte de tout résoudre, elle plonge dans une détresse sans nom.

    La loi en question prévoit que l’initiative doit venir de l’enfant, mais que la décision appartient aux parents qui doivent donner leur consentement…

    La première partie montre déjà qu’en soi, et même pour ceux qui y seraient favorables, la loi est absurde. Quid, dans ce cas, des enfants qui ne peuvent pas parler ? Quant au reste… Qu’est-ce que cela signifiera ? Que les parents qui ne voudront pas faire mourir leur enfant seront des parents tortionnaires, indifférents aux souffrances de celui-ci ? Quelle sorte de lien filial va ressortir de tout cela ? À vrai dire, ce sont des choses que j’ai déjà ressenties quand j’attendais Philippine. Nous savions qu’elle allait être handicapée mais nous voulions la garder… Pour certains, nous étions coupables. Sur Twitter, on me dit que la loi ne contraint pas, donc que je ne devrais pas m’inquiéter. Mais la loi me dira : c’est possible et d’autres le font, pourquoi pas toi ? Si je ne veux pas euthanasier ma fille, suis-je une mère abusive, égoïste, qui ne pense qu’à elle ? Cette loi s’introduit dans la conscience pour ébranler l’interdit de tuer, qui est une sécurité pour ceux qui souffrent.

    Il n’y a pas qu’en Belgique que l’euthanasie est au cœur de l’actualité. Vincent Lambert, en France, fait les gros titres. Cette affaire vous touche ?

    Bien sûr. Car, comme le disent les médecins, Vincent Lambert n’est pas mourant mais handicapé. Il est finalement comme ma petite fille. Les « parents intégristes » qui veulent que leur enfant vive, ce sera nous dans quelques années, quand la loi sur l’euthanasie sera passée en France. Car être contre l’euthanasie, c’est être « intégriste ». Un qualificatif que la presse a mis trois semaines à trouver… C’était presque long, je commençais à m’étonner.

    C’était bon d’entendre la voix de Philippe Pozzo di Borgo 1 sur RTL aujourd’hui. Il a une voix tellement paisible pour dire qu’il est heureux de ne pas avoir été débranché, que sa vie immobile, très contemplative, lui convient, qu’elle est riche sur le plan relationnel et qu’il progresse personnellement. J’ai été touchée qu’il dise l’importance de sa famille, des soignants autour de lui. Je me dis que ma fille peut ressentir ces bienfaits-là aussi et aimer sa vie.

  • Retour sur "l'euthanasie des enfants" avec le Professeur Ghins

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    Une interview du Professeur Michel Ghins (UCL) parue sur Euthanasie STOP :

    Le titre "euthanasie des enfants" apparu avec le nom de la Belgique dans les media du monde a fait frissonner bien des rédactions: en quoi consiste la loi adoptée par le parlement belge?

    Prof. Michel Ghins - La loi du 28 mai 2002 ouvre l'accès de l'euthanasie aux adultes atteints d'une maladie incurable qui est la cause de souffrances physiques ou psychiques insupportables et inapaisables. L'extension de cette loi aux enfants, quel que soit leur âge, ajoute les restrictions suivantes : le décès de l'enfant est prévu à brève échéance, seules les souffrances physiques sont prises en considération, un pédopsychiatre ou psychologue (dont il n'est pas précisé que ce dernier doit être un spécialiste des enfants) doit attester que l'enfant est capable de discernement au moment de sa demande d'euthanasie, l'accord des parents est requis.

    Prévoit-elle l'objection de conscience?

    Oui, aucun médecin n'est obligé d'accéder à une demande d'euthanasie. Seul un médecin est autorisé à pratiquer une euthanasie.

    La loi est-elle passée en force, en dépit du dissentiment de l'opinion publique, et la réaction a-t-elle été insuffisante?

    Il est difficile de se prononcer sur l'état de l'opinion publique. Beaucoup de gens confondent l'euthanasie (qui consiste à mettre intentionnellement fin à une vie à la demande du patient) et la désescalade thérapeutique (l'arrêt progressif des soins curatifs). De plus, peu savent que toutes les souffrances peuvent à présent être soulagées par des soins palliatifs appropriés et, dans des cas rares, par le recours à un endormissement profond, réversible, la sédation palliative. Depuis 2002, les soins palliatifs ont fait de grands progrès. La grande majorité des pédiatres qui soignent des enfants en fin de vie sont opposés à cette loi.

    La loi a été votée au Sénat et des experts y ont été consultés. Mais à la Chambre, en commission de la justice, aucune nouvelle audition d'expert n'a été acceptée, alors que plusieurs partis le demandaient. La commission de la santé n'a pas été consultée. Aucun avis n'a été demandé au Conseil d'Etat. Il est vrai que certains partis, principalement les socialistes et les libéraux flamands ont fait le forcing pour que la loi soit votée rapidement, avant les élections du 25 mai.

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  • Droit de vote à 16 ans : l'argument à cent balles

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    L'argument avancé par un partisan du droit de vote à 16 ans coule évidemment de source (dans lalibre.be) :

    A 16 ans, dispose-t-on du discernement nécessaire pour poser un geste aussi important que celui de voter ?

    En Belgique, le débat sur cette question devient caduc dès lors qu’on a adopté l’idée de pouvoir décider de sa mort avant 16 ans. Si la société est capable d’accepter quelque chose d’aussi fondamental et important, l’acte de poser un bulletin dans une urne n’a aucune commune mesure.

    cqfd...

  • Genre : un débat éclairant

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    Le 15 février, dans l’émission « Les Grandes questions » présentée par Franz-Olivier Giesbert sur France 5. Participent également au débat les auteurs de « Tous à poil », le philosophe Marcel Gauchet, Camel Bechikh, le Président de « Fils de France » et Ivan Rioufol.

  • Ethique sociale : une initiative de l’Union des Etudiants Catholiques de Liège à l’Ulg

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    Affiche lunch-débat Javaux Image.jpg

    Durant ces trente dernières années, les sociétés occidentales se sont profondément libéralisées. Cette libéralisation a rendu possible de réels progrès sociaux, mais elle s’est également accompagnée d’une perte de confiance dans l’Etat, d’une instabilité financière et d’une dilution du lien social, ainsi que d’un affaiblissement de la solidarité interpersonnelle et d’un sentiment de perte de sens. Cette face sombre de la libéralisation nourrit aujourd’hui l’émergence de phénomènes réactifs dont témoigne la recrudescence des replis « identitaires » de type nationaliste, populiste et autres.

    Vouloir poursuivre le mouvement de progrès social nécessite par conséquent de repenser le sens que doit avoir aujourd’hui le politique. La philosophie politique dominante dans les principaux partis de gauche comme de droite, le libéralisme politique, doit être dépassée au profit d’une conception humaniste de la nature, de la raison et de la conscience, comme l’a justement montré le pape Benoît XVI dans son discours mémorable au Bundestag à Berlin le 22 septembre 2011:  

     Plus de détails, cliquez ici:

    Université de Liège, le 12 mars 2014 : écologie de la nature et écologie de l’homme

    Inscription obligatoire trois jours ouvrables à L’AVANCE par TEL. 04.344.10.89 ou e-mail adressé à  info@ethiquesociale.org


    RSVP avant le
     7 mars 2014 
     

  • Euthanasie des enfants en Belgique : l’agence Zenit a interviewé le Professeur Ghins (Ucl) :

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    14b26801bddc5e5ec22628f61f7feb41.jpeg et le professeur Michel Ghins répond avec sa clarté d’esprit habituelle. Un bon résumé de l’état de la question :

    "L’euthanasie est toujours un homicide et donc un acte violent, et ne peut certainement pas être considéré comme un soin palliatif", explique le prof. Michel Ghins, à l'origine d'euthanasiestop et président de l'association Action pour la Famille. Il fournit quelques clefs de lecture sur la loi belge sur l'euthanasie d'enfants en fin de vie. Il estime que "la vie des enfants très malades n’est plus suffisamment protégée en Belgique" et qu'une fois la "digue" rompue, il est "impossible d’arrêter l’extension de l’euthanasie à des couches de plus en plus larges de personnes".

    Zenit- Professeur Ghins, le titre "euthanasie des enfants" apparu avec le nom de la Belgique dans les media du monde a fait frissonner bien des rédactions: en quoi consiste la loi adoptée par le parlement belge?

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  • A l’Université de Liège : Mgr Delville a ouvert un nouveau cycle de lunchs débats sur le rôle de l’humanisme chrétien dans la société.

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    DSCF0380 (1).JPGLe nouvel évêque de Liège, Monseigneur Jean-Pierre Delville, a inauguré un nouveau cycle de lunchs débats à l’Université de Liège. Le cycle est organisé par le groupe « éthique sociale » de l’Union des étudiants catholiques, sur le thème « Humanisme chrétien, Travail et Société ».

    La conférence de Mgr Delville était intitulée « l’humanisme dans l’engagement social de l’Eglise, hier et aujourd’hui ».  Docteur en Philosophe (UCL), théologien (Université grégorienne à Rome) et musicien (prix d’orgue du Conservatoire royal de Liège), Mgr Delville est aussi licencié en histoire de l’Université de Liège.  Au moment de sa nomination épiscopale (31 mai 2013), il était professeur ordinaire à l’Université catholique de Louvain, où il enseigna l’histoire du christianisme.

    DSCF0381.JPGDSCF0396.JPG

     

     « Deus caritas est » : C’est le lien de l’amour qui constitue l’unicité de Dieu  dans l’altérité des personnes trinitaires. À la suite de saint Jean, Benoît XVI, dans sa première encyclique, a développé les conséquences cette affirmation, avec beaucoup d'intelligence et de fraîcheur d’âme.

    De là résulte que l’autre, dans la foi, est toujours pour nous le visage de Dieu, même s’il est parfois bien défiguré.

    Jésus est formel. Au jour du jugement, lorsque toutes les nations seront rassemblées devant lui, il dira à ceux qui sont à sa droite : «  j’avais faim, et vous m’avez donné à manger ; j’avais soif, et vous m’avez donné à boire ; j’étais un étranger, et vous m’avez accueilli ; j’étais nu, et vous m’avez habillé ; j’étais malade, et vous m’avez visité ; j’étais en prison, et vous êtes venus jusqu’à moi : chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait » Et aux autres : « Allez-vous-en loin de moi, maudits, dans le feu éternel préparé pour le démon et ses anges » (cfr  Matthieu, 25, 31-46)

    De cette Parole, qui émaille aussi sous d’autres formes tous les textes évangéliques, procède une double démarche : l’amour inconditionnel des pauvres, quels qu’ils soient, et la recherche de la pauvreté spirituelle qui purifie l’âme. Au fil de son histoire, même peuplée par tous les vices des cercles de l’enfer de Dante, la chrétienté l’a toujours su et exalté cet idéal. C’est ce que nous rappelle d’abord l’orateur. 

    Mais, au XVIIIe siècle, dans la société occidentale, a pris naissance un profond bouleversement de la condition humaine issu de ce que Paul Hazard a appelé « la crise de la conscience européenne » : la révolution des lumières philosophiques et celle de l’industrialisation qui s’en suivirent ont introduit  dans la vie sociale une rupture inédite, exaltant la liberté de l’homme pour mieux l’asservir. Aux idéologies contradictoires qui l’expriment et ambitionnent de tenir  lieu de religion à l’ère du progrès industriel et technique, l’Eglise a opposé une doctrine sociale tirée de l’Evangile. Monseigneur Delville nous montre en quoi il ne s’agit pas d’une idéologie de plus.

    JPSC

     On lira ci-dessous la transcription in extenso de l’enregistrement de sa conférence (les intertitres sont de notre fait) :

     

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  • François, Stromae, même combat ?

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    Le père Manuel Grandin se risque au rapprochement des deux super-vedettes (sur jeunes-catho.fr) :

    Le chanteur Stromae, 29 ans, a triomphé aux 29èmes Victoires de la musique vendredi 14 février en emportant la Victoire de l’artiste masculin de l’année et celle de l’album de chansons pour Racine carré ainsi que celle du clip pour Formidable. Retour sur ce chanteur hors-pair avec le père Manuel Grandin s.j., directeur du Réseau jeunesse ignatien (RJI).

    stromae- 29ème victoires de la musique 2014 -

    Pourquoi Stromae fascine-t-il autant ?

    Le fait d’avoir son style à lui, très personnel, touche les gens. Il est inclassable et cultive sa différence tout en restant totalement lui-même, loin du formalisme imposé par le star system. Et sa musique bien sûr, aux multiples influences (électro, slam, rap) a beaucoup attiré par ses refrains faciles à retenir. On l’écoute à la fois pour ses paroles aux sujets graves, (le cancer, les violences conjugales, etc.) et à la fois pour danser. Rassembler ces deux critères est plutôt rare.

    Il est aimé pour son style et sa personnalité ou pour sa musique ?

    Les deux ! Une musique est toujours incarnée, c’est certain que le charisme de l’interprète joue énormément. Stromae a compris l’importance de la communication et y travaille. Si je peux oser la comparaison, comme le pape François, il a compris que le message ne suffit pas, encore faut-il l’incarner pour le transmettre. Stromae et le pape François, même combat (rires) ! D’ailleurs, les disciples à l’époque, ils n’ont pas suivi des idées, ils ont suivi Jésus, un être incarné.

    Lire la suite sur jeunes-catho.fr

  • Le buzz du pape autour de la liturgie traditionnelle

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    Comme nous l'avons relaté ici   La liturgie traditionnelle : une mode ? les évêques de la République Tchèque ont fait leurs visites « ad limina » à Rome  et, à cette occasion, Mgr Jan Graubner, Archevêque d’Olomouc, a interrogé le pape François au sujet de la « forme extraordinaire » de la Messe.

    Dans une assez longue déclaration, ce dernier  a répondu que s'il comprenait les fidèles des anciennes générations qui souhaitent revenir à ce qu’ils avaient connu, il ne pouvait par contre pas comprendre les jeunes qui s’attachaient à cette forme :

     «  Lorsque je cherche en profondeur, je vois qu’il s’agit là d’une mode. Et s’il ne s’agit que d’une mode, il ne faut pas y porter davantage d’attention. Il est juste nécessaire de faire preuve de patience et de délicatesse avec ces personnes qui sont attachées à une certaine mode. Cependant, je considère qu’il est très important d’étudier les choses en profondeur ; car si nous ne le faisons pas, alors aucune liturgie, qu’elle soit dans cette forme ou dans une autre, ne pourra nous sauver ».

    La liturgie, une simple affaire de mode, vraiment ? sur son site « Pro Liturgia », Denis Crouan (lui-même cependant adepte de la nouvelle forme de la messe) rétorque :

    « Lorsqu’il était archevêque de Buenos Aires, Mgr Bergoglio a dû recevoir la Lettre que Benoît XVI avait envoyée à tous les évêques pour leur expliquer le sens du motu proprio « Summorum pontificum ». Or dans cette Lettre se trouve un passage qui explique pourquoi des fidèles de tous âges se sont tournés vers la liturgie ancienne qu’on appelle « forme extraordinaire » du rite romain : « Cela s’est produit - écrit Benoît XVI - avant tout parce qu’en de nombreux endroits on ne célébrait pas fidèlement selon les prescriptions du nouveau Missel ; au contraire, celui-ci finissait par être interprété comme une autorisation, voire même une obligation de créativité ; cette créativité a souvent porté à des déformations de la liturgie à la limite du supportable. Je parle d’expérience, parce que j’ai vécu moi aussi cette période, avec toutes ses attentes et ses confusions. Et j’ai constaté combien les déformations arbitraires de la Liturgie ont profondément blessé des personnes qui étaient totalement enracinées dans la foi de l’Eglise »

    Ref.http://proliturgia.pagesperso-orange.fr/actu.html

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  • Pour Pieter De Crem (vice-premier ministre démocrate-chrétien), la question de l’euthanasie des mineurs ne valait pas une crise

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    Lu dans « La Libre » de ce jour :

    « Le vote de l'extension aux mineurs d'âge de la loi sur l'euthanasie par une majorité de rechange, vendredi à la Chambre, n'est pas un événement à reproduire, a averti dimanche le vice-Premier ministre CD&V Pieter De Crem, dans le journal de la mi-journée de VTM. M. De Crem, dont le parti s'est opposé à l'extension de la loi, s'est dit conscient qu'une crise gouvernementale déclenchée sur ce point n'était pas envisageable pour son parti.

    "Nous ne sommes pas loin des élections. Nous ne pouvions nous permettre une crise", a commenté M. De Crem, rappelant l'approche d'un important contrôle budgétaire pour sortir la Belgique de la procédure européenne de sanction pour déficit excessif.

    Le chef de file des chrétiens-démocrates flamands au gouvernement fédéral a déploré un vote "brutal et rude", sans débat parlementaire suffisant ni consultation du Conseil d'Etat, aboutissant à une courte majorité de députés néerlandophones (45 sur 88). (...)

     Réf. Euthanasie: le CD&V ne pouvait se permettre une crise gouvernementale

     A chacun sa hiérarchie de valeurs. Ce qu’on avait déjà constaté va encore mieux en le disant…

    JPSC

  • Euthanasie des mineurs : l'Eglise belge K.O. ?

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    Sur le site de La Croix, Isabelle de Gaulmyn l'affirme :

    L’Eglise belge est K.O.

    Après le vote par le parlement  de l’extension de la loi sur l’euthanasie, pour permettre à des enfants malades (dont le décès est prévu à brève échéance) de demander à mourir, elle doit bien faire un constat d’impuissance. Les termes de son communiqué,  «déçus », « crainte » reflètent même une sorte de désarroi. Comme le relève le P.Tommy Scholtes, porte-parole de l’épiscopat, « nous n’avons jamais pu réellement nous faire entendre, le parlement a été peu dialoguant, dans un pays à la laïcité si forte, nos arguments étaient par avance discrédités ».

    Lire la suite sur le site de La Croix

  • Euthanasie des mineurs : un geste symbolique

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    Ce samedi 15 février, à partir de 14h, seront déposés devant le Parlement belge des fleurs, des couronnes, des peluches et des bougies à l'intention des futures victimes de l'assassinat médical et de l'abandon parental couverts par la loi récemment votée sur l'euthanasie pour les mineurs. Toute personne de bonne volonté est invitée à se joindre à cette initiative par sa contribution personnelle, qui peut se répéter autant de fois qu'elle souhaite et sans limite de temps.

    source : http://esperancenouvelle.hautetfort.com/archive/2014/02/15/fleurs-et-peluches-devant-le-parlement-pour-les-victimes-de-5299150.html

    Le compte-rendu de cette action est ici : http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/1794442/2014/02/15/Les-familles-ont-besoin-de-courage-pas-d-une-loi-sur-l-euthanasie.dhtml?google_editors_picks=true