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Jeunes - Page 128

  • Brunor et Duphot remportent le prix de la BD chrétienne 2015

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    daniel-brottier-remuer-ciel-et-terre.jpgPrix de la BD chrétienne 2015 à Brunor et Duphot pour leur "Daniel Brottier"

    (Zenit.org) - Le prix de la BD chrétienne francophone 2015 a été décerné à "Daniel Brottier - Remuer ciel et terre" de Brunor et Hervé Duphot par le jury du Festival de la BD chrétienne d'Angoulême 2015. Il sera remis lors du festival d'Angoulême, jeudi 29 janvier 2015.

    Après une pré-sélection du comité de lecture, ce titre qui concourait avec 11 autres BD, a reçu le prix à l'unanimité. Celui-ci sera remis aux auteurs, le scénariste Brunor et le dessinateur Hervé Duphot, le jeudi 29 janvier à 15h à l'occasion du festival d'Angoulême.

    En 45 planches, Brunor et Duphot retracent la vie du bienheureux Daniel Brottier, directeur des Orphelins Apprentis d’Auteuil de 1923 à 1936, à travers les témoignages croisés de soldats rencontrés dans les tranchées.
 Le scénario original s’ouvre en effet sur la période de la « Grande Guerre », que Daniel Brottier - alors surnommé l’aumônier verni - vit au front, au plus près des soldats, avant de créer l’Union nationale des combattants aux côtés de George Clémenceau.

    "Daniel Brottier – Remuer Ciel et Terre" revient également sur son attachement pour le Sénégal où il passe quelques années au début du siècle, avant de contribuer à la construction de la cathédrale de Dakar depuis la France
Pour retranscrire au mieux la richesse de cette existence hors-norme et la faire découvrir aux nouvelles générations, Brunor s’est appuyé sur les archives historiques d’Apprentis d’Auteuil. À la fondation, la force symbolique du Père Brottier n’a en effet jamais faibli.

    Aujourd’hui encore, dans les 200 établissements qui accueillent – comme au temps du Père Brottier- des jeunes en difficulté, il reste une figure incontournable et une inspiration quotidienne pour les collaborateurs de l’institution, les donateurs mais aussi les jeunes et les familles accueillies.

    Fondateur du fameux Fanzine PLG avec deux autres étudiants, Brunor a été journaliste, puis responsable des pages BD de Tintin-Reporter. Il est également illustrateur pour la presse depuis de nombreuses années et est connu pour son humour décapant.

    Auteur de la collection Les Indices pensables, série d’enquêtes sur la question de l’existence de Dieu, qui réjouissent chaque semaine les lecteurs de Zenit, il offre des informations vérifiables qu’il transmet avec enthousiasme lors de multiples conférences. 

    Chez Mame, il scénarise toute la collection « À ciel ouvert » : Bernadette, Jehanne d’Arc, Martin, Monsieur Vincent (prix 2011 du Festival international de la BD chrétienne), Paul... Il travaille actuellement sur Louis.

    Après des études de communication visuelle à Olivier de Serres, Hervé étudie le graphisme à l’école des Beaux arts de Mulhouse. Il travaille ensuite dans une agence de publicité qu’il quitte pour devenir enseignant en infographie et communication visuelle. Parallèlement, il commence à publier ses travaux de bande dessinée sur internet. Ils sont remarqués par Christophe Bec qui lui confie une histoire courte pour un album collectif (chez Soleil) et par Jean David Morvan avec qui il réalise une adaptation littéraire en BD : Le Tour d’écrou d’après l’œuvre d’Henry James (chez Delcourt).

    Sa collaboration avec les éditions Delcourt se poursuit avec la série Les Combattants (scénario: Laurent Rullier). C’est à la lecture de ces albums que Brunor pense à lui pour illustrer la vie du Père Brottier aux éditions Mame. Après une histoire courte pour un collectif sur Les Enfants sauvés, toujours chez Delcourt, je travaille actuellement sur un projet dont le premier tome sortira en 2016 chez Glénat.

  • Verviers, 20-28 décembre : le Bethléem verviétois

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    téléchargement.jpgCette année encore vous pouvez découvrir (ou redécouvrir) le charme et les surprises du Bethléem verviétois au Musée d’Archéologie et de Folklore, tous les jours,

    du 20 au 28 décembre 2014, de 14h à 17h (dernière séance à 16h30).

    Son charme naïf, son accent savoureux, son atmosphère un peu mystérieuse nous replongent magiquement dans l'ambiance enchantée des Noëls d'autrefois.

    Il est unique en son genre et vraiment original, car c’est un théâtre de marionnettes, plus que centenaire, où le mouvement est toujours transmis par des systèmes de contrepoids, de glissières et de plaques tournantes, le tout animé par les petites mains discrètes d’enfants cachés sous les tréteaux. Les scènes se succèdent le long des murs et c’est le spectateur qui se déplace au fil du texte et de l’histoire, fredonnant les vieux Noëls wallons chantés par des enfants, et découvrant l’histoire de la Nativité mêlée à des scènes populaires, pleines de détails pittoresques.

     

    Infos :

    Musée d’Archéologie et de Folklore

    Rue des Raines, 42 à Verviers

    Du 20 au 28 décembre 2014, de 14h à 17h 

    Renseignements : 087/33.16.95

    Prix d’entrée :

    2 euros

    1 euro pour les étudiants, pensionnés et groupes de minimum 15 personnes

    Gratuit pour les moins de 12 ans.

    Possibilité de visites pour les groupes sur rendez-vous.

  • Le film "Don Bosco" est disponible en français

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    A l'occasion du bicentenaire de la naissance de Don Bosco, SAJE Distribution et les Salésiens de Don Bosco co-éditent en DVD le film réalisé par Lodovico Gasparini (2 épisodes d'1h40 chacun), avec Flavio Insinna et la participation d'Alessandra Martines.

    Ce téléfilm à succès diffusé sur la RAI est enfin disponible en version française.

    La bande-annonce est ici.

    Sans titre.png
    Vous pouvez commander le DVD .

    Bonne découverte.

    L'équipe de SAJE Distribution

  • Djihadisme : vaincre le mal par le bien

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    Un éditorial d’Aymeric Pourbaix dans l’hebdomadaire « Famille chrétienne » de cette semaine : plaidoyer pour sortir de l’analphabétisme chrétien. Comme dit justement un proverbe chinois : « le poisson périt toujours par la tête »…

    «Occupez-vous des jeunes, ou ils s’occuperont de vous ! » Jamais l’adage de Don Bosco n’a semblé autant d’actualité qu’en ces temps où la France regarde avec stupeur ses propres fils transformés en djihadistes barbares. Y compris ceux qui, comme Maxime Hauchard, 22 ans, ont été au catéchisme. Né de parents chrétiens, mais non pratiquants, il avait fait sa première communion et sa profession de foi, avant de se convertir à l’islam, pour ressembler aux superhéros hollywoodiens.

     Mais face au défi du djihadisme, la stupéfaction ne peut être le dernier mot. Psychiatres et spécialistes de la lutte contre les sectes sont convoqués, afin de « déradicaliser » ces jeunes Français. Fort bien. Mais la radicalisation est-elle une maladie, un « virus », et si oui, quelle partie de l’homme concerne-t-elle : son intel­ligence, sa psychologie, son âme ? Faut-il des cellules de décontamination, une thérapie, des groupes de partage comme les Alcooliques anonymes ? Autant d’interrogations qui reflètent le désarroi moderne, symptôme de notre difficulté de nommer correctement le mal… et donc d’y répondre.

    Le mal, c’est aussi le manque d’idéal de notre propre société occidentale.

    Le mal, en l’espèce, ne consiste pas seulement en la fausseté de l’idéal recherché par ces jeunes – le paradis d’Allah. Le mal, c’est aussi le manque d’idéal de notre propre société occidentale. À Strasbourg, le pape François a d’ailleurs remis les pendules à l’heure « C’est l’oubli de Dieu, et non pas sa glorification, qui engendre la violence ».

    On ne détruit bien que ce qu’on remplace. Notre société, faute de nommer Dieu et de lui donner la première place, se prive en définitive de la seule véritable réponse à la hauteur de l’enjeu. De nos jours, disait Gustave Thibon, « il faut mettre Dieu tout entier dans la balance pour pencher du côté du bien. » Il est tout aussi nécessaire, dans un contexte de pluralisme religieux, d’affirmer clairement de quel Dieu il s’agit.

    Ce qui suppose un enseignement solide des vérités de la foi , pour sortir d’un certain « analphabétisme » chrétien, selon l’expression de Benoît XVI. C’est-à-dire d’une attitude extérieure et sentimentale, qui n’implique pas une adhésion ferme à ces vérités enseignées par l’Église. Attitude que l’on perçoit, par exemple, dans des documentaires ou films récents qui présentent la vie religieuse en omettant de mentionner sa source : la vie en Dieu.

    Dans une lettre célèbre, saint François Xavier, patron des missions, exprimait son désir de parcourir les universités d’Europe, et d’abord celle de Paris, pour « hurler partout d’une manière folle » : « Hélas, quel nombre énorme d’âmes, exclu du ciel par votre faute, s’engouffre dans l’enfer ! ». Par ces paroles de feu, le jésuite voulait susciter des apôtres parmi des étudiants qui avaient, disait-il, plus de « doctrine que de charité » missionnaire. Aujourd’hui, il semble que les deux soient devenues aussi nécessaires l’une que l’autre.

    Ref. Djihadisme : vaincre le mal par le bien

    JPSC

  • La descente aux enfers de l’occident chrétien : irréversible ?

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    Sur le chemin de l’enfer, Dante vit soudain une porte sur laquelle étaient écrits ces mots tracés d’une sombre couleur : « vous qui entrez, laissez toute espérance » ( La divine comédie, livre un, dantenf07-02-01 (1).jpgchant troisième, vendredi-saint, 8 avril 1300). Lu sur le « metablog », cette réflexion post-synodale :

    « La popularité du pape François, y compris auprès de publics éloignés de l’Église, est un phénomène massif et constant. Un pape qui fait l’objet de plusieurs couvertures de journaux à portée mondiale ; un pape qui suscite l’intérêt de personnalités éloignées de l’Église; etc. Certains hurleraient, d’autres s’en réjouiraient. Mais ce n’est pas la question. Et je crains que les discussions sur le pontificat bergoglien n’oublient certaines choses, à commencer par l’état précaire du catholicisme dans un pays comme la France, qui se vérifie dans tout l’occident sécularisé (de Los Angeles à Berlin ou de Stockholm à Barcelone). On raisonne encore comme si les jeunes de France et de Navarre étaient en contact permanent avec l’Église, comme si celle-ci continuait à drainer massivement les jeunes par ses aumôneries et son catéchisme… Nous ne sommes plus dans les années 1950, on en conviendra. Mais nous ne sommes plus non plus dans les années 1980: cela, on tend à l’oublier, tant chez les catholiques dits traditionnels que chez ceux qui ne le sont pas.

    Permettez-moi une petite séquence rétro. Je ne vais pas vous parler de l’état de l’Église avant le concile, ou même de celui des dernières années pacelliennes ou même du bref intermède roncallien, mais bien de la situation des années 1980. Au cours de ces années, un nombre non négligeable d’enfants allaient au catéchisme et suivaient un parcours sacramentel complet, allant du baptême à la confirmation. Évidemment, ils allaient au catéchisme qui avait, pour ainsi dire, pignon sur rue, au point de susciter la curiosité de leurs collègues. Certes, les jeunes n’allaient pas à la messe tridentine, pas plus qu’ils ne suivaient un catéchisme sous forme de questions-réponses (le manuel Pierres vivantes existait) ; mais dans ces années 1980, le catholicisme existait encore dans l’espace public. Le catéchisme des enfants était un phénomène social. Malgré

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  • Le délabrement de la famille traditionnelle se confirme en Angleterre

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    Du blog de Jeanne Smits :

    Royaume-Uni : 40% des enfants de 11 ans ne vivent pas avec leurs parents 

    Une étude menée au Royaume-Uni sur les « Cohortes du Millénaire » révèle une image inquiétante de la société britannique dont l'élément fondamental – la famille unie et stable – se disloque peu à peu. Et même très vite, si l'on compare ses données avec des enquêtes antérieures.

    Portant sur des enfants âgés de 11 ans – 13.000 bébés du début du millénaire – l'enquête des pouvoirs publics montre que parmi eux, seule la moitié vivent encore avec leurs parents mariés à la fin de leur scolarité dans le primaire – sachant que tous les parents ne sont pas mariés au départ. L'étude montre encore que des problèmes de comportement sont liés à cette instabilité. Même si les enfants se disent généralement « heureux ».

    Lire la suite sur le blog de J. Smits

    Et il y a aussi cela : Viols, implants contraceptifs et avortements dès 13 ans, ou les succès de l’éducation sexuelle en Grande-Bretagne

     

  • Sexe, drogue, avortement : des droits dès l'enfance ?

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    ONU: Les enfants ont droit au sexe, à la drogue et à l’avortement

    De Rebecca Oas, Ph.D. pour C-Fam :

    UNFPA State of World Pop Report 2014

    NEW YORK, 21 novembre (C-Fam) La terre compte aujourd’hui une jeunesse plus nombreuse que jamais. D’après le dernier rapport du Fonds de l’Onu pour la Population (UNFPA), c’est le moment ou jamais de faire des progrès sans précédent, mais cela requiert que les futures générations soient moins nombreuses.

    Les instructions de l’ UNFPA visent à ce que le « dividende démographique » garantisse un libre accès à l’avortement aux adolescents, l’abrogation de l’âge minimal de consentement aux relations sexuelles, et l’affaiblissement du rôle des parents dans la formation sexuelle de leurs enfants.

    « Les jeunes ont besoin d’accès à une large palette de services de santé sexuelle et reproductive, qui inclut […] des soins abortifs sans danger », explique le rapport 2014 sur l’état de la population mondiale. Selon l’ UNFPA, les systèmes juridiques de la plupart des pays sont en retard dans la mise en œuvre des traités de protection des droits de l’homme. Ils doivent désormais « reprendre contact avec les réalités des adolescents et de la jeunesse. »

    Aucun traité de l’Onu ne fait mention de l’avortement, ou n’oblige les Etats à exposer la jeunesse aux adultes qui leur offrent des services sexuels et reproductifs.

    L’ UNFPA est particulièrement préoccupée par l’âge de consentement, et par les législations exigeant une autorisation préalable des parents pour l’accès à l’avortement, à la contraception, ou à d’autres services, comme par exemple les programmes d’échange d’aiguilles pour les usagers des drogues.

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  • Entretien. Père René-Luc : « J’ai choisi Marthe Robin pour être ma petite sœur dans le Ciel »

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    P.-Rene-Luc-C-est-difficile-de-ne-pas-connaitre-son-pere_article_popin.jpgAlors que la première pierre de Capmissio, nouvelle école d'évangélisation dont il est à l'origine, est posée ce vendredi, le père René-Luc, auteur du best-seller Dieu en plein cœur, revient sur la rencontre avec celle qui a bouleversé sa vie. De Mathilde Rambaud sur le site « aleteia »

    Aleteia : Dans votre livre Dieu en plein cœur (Éd. Presses de la Renaissance), vous racontez votre « rencontre » avec Marthe Robin, sur son lit de mort. Dans quel contexte cela s’est-il passé ?

    Père René-Luc : J’étais un adolescent d’une quinzaine d’années et je venais tout juste de me convertir. Je participais à une mission d’évangélisation dans un collège à Megève (Haute-Savoie, ndlr), en février 1981. À la fin de cette semaine, sur le chemin du retour, nous avons appris le décès de Marthe Robin et décidé de faire un détour par Châteauneuf-de-Galaure (dans la Drôme, village natal de Marthe Robin, ndlr). Nous y sommes arrivés le lendemain de sa mort, le 7 février. On m’avait  dit que cette femme était stigmatisée, mais je ne savais même pas ce que signifiait ce terme et, converti depuis quelques mois seulement, je n’avais jamais entendu parler de Marthe. Mais j’étais un peu intrigué…

    Quel souvenir en gardez-vous ?

    Nous sommes arrivés dans sa chambre et j’ai été saisi par l’ambiance feutrée et douce de la pièce et du peu de lumière qui filtrait, même après son décès. J’ai alors découvert ce « petit bout de femme »… Elle était assez âgée ! Beaucoup de photos de Marthe la montrent quand elle avait une trentaine d’années, mais quand je l’ai vue elle devait avoir près de 80 ans. Et son visage était si paisible… Son front m’a particulièrement marqué. Il y avait des traces de sang, comme des croutes, pas énormes mais bien visibles. J’étais impressionné. 

    Que vous a apporté cette rencontre ?

    Après avoir quittée Marthe, je me suis mis à la prier et à énormément lire sur sa vie. Je l’ai choisie comme ma petite sœur dans ma vocation sacerdotale. La question de la vocation est en effet arrivée peu après et j’ai mis Marthe « dans le coup ». Comme je le dis dans mon livre Dieu en plein cœur, Marthe doit avoir le pied marin parce que j’ai souvent eu recours à elle quand ma vie tanguait ! Et à chaque fois, j’ai vraiment senti son soutien.

    Quel lien avez-vous avec elle aujourd’hui ?

    Je la prie toujours comme une petite sœur dans le Ciel et j’ai beaucoup d’amis dans les Foyers de Charité. Je vais régulièrement à Châteauneuf me recueillir dans la chambre de Marthe. Elle fait partie de ma vie, de mon univers. Je suis tellement content de savoir qu’elle est vénérable ! C’est un vrai signe de reconnaissance qui me touche beaucoup. 

    Vous ouvrirez, en septembre 2015, Capmissio, une nouvelle école d’évangélisation à Montpellier. Comment ce projet est-il né ?

    Suite à cette mission d’évangélisation à Megève, le père Daniel-Ange qui était l’un des prêtres de l’équipe, s’est dit que faire intervenir un jeune auprès des jeunes était une idée géniale. J’ai participé à plusieurs missions avec lui entre 1981 et 1984. Il a alors fondé la première école d’évangélisation. Le principe est de dispenser une formation à des jeunes tout en leur donnant la possibilité de s’investir auprès d’autres jeunes. Ceux-ci n’ont pas le temps de se former spirituellement pendant leurs études et le regrettent. L’Église, par ces écoles, répond à ces deux besoins de formation et d'évangélisation. Pendant mes missions, j’ai toujours prié Marthe dans mon cœur. Pour moi, elle est vraiment présente de manière étonnante dans la mise en place de ce projet d’école d’évangélisation à Montpellier.

    En quoi cette nouvelle école d’évangélisation sera différente ? 

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  • Thy le Château (21-23 novembre) : L'éducation affective et sexuelle de nos enfants et adolescents

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    « L’éducation affective et sexuelle de nos enfants et adolescents : parlons-en. »
     
    Du vendredi 21 novembre (18h) au dimanche 23 novembre (17h) Pourquoi, comment, quand “en” parler mais, suffit-il d’“en” parler? 
    Session animée par
    Véronique Hargot-Deltenre,
    mariée et mère de 8 enfants, formatrice à l’Ecole Vie-Amour.be. Elle donne une formation sociale, théologique et sexologique. Pour parents ou grands-parents.
     

     

      Du 21/11/2014 à 18:00 au 23/11/2014 à 17:00 
    à la Communauté des Béatitudes, rue du fourneau, 10; Thy-le-château

     

     Communauté des Béatitudes

    Téléphone 071 660 300
    E-mail  thy.retraite@beatitudes.org
  • Un cours "des" religions ?

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    Telle est l'idée lumineuse portée par les responsables des différentes religions au Grand-Duché :

    Les communautés religieuses proposent un cours "des" religions

    Huit communautés religieuses au Luxembourg (catholique, protestante, israélite, musulmane, etc.) ont signé mardi un mémorandum pour la création d'un cours «des» religions dans l'enseignement public. Elles sont prêtes à porter le projet avec le gouvernement. «C'est une opportunité» pour le gouvernement Bettel, souligne Jean-Claude Hollerich.

    «Il ne s'agit pas d'argent, pas de pouvoir ou d'influence, pas de privilèges d'une communauté de croyances. Il s'agit d'un cours des religions», explique l'Archevêque de Luxembourg, Jean-Claude Hollerich, en insistant bien sur le pluriel de l'intitulé du cours.

    Un cours qui ne sera «pas de la catéchèse de catéchistes à l'école" mais bien un cours qui permet de «connaître les différentes religions et de développer une compréhension des multiples expressions du religieux», comme le stipule en toutes lettres le mémorandum.

    Si on veut lire la suite : luxembourg/une-alternative-au-cours-d-ethique-a-l-ecole-les-communautes-religieuses-proposent-un-cours-des-religions-

  • Vivre l'Avent et l'année liturgique avec les enfants

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    log_transmettre_l136.jpgVivre l'Avent et l'année liturgique avec les enfants

    Bonne année !

    Pour les chrétiens, l'année commence au premier dimanche de l'Avent.

    Afin de vivre l'année liturgique avec les enfants, Transmettre propose plusieurs outils qui ont fait leurs preuves :

    Un magnifique poster (format 42 x 42 cm) présentant l'année liturgique selon les calendriers correspondant aux deux formes du rite romain (ordinaire au recto, extraordinaire au verso).

    Vivre l'année liturgique avec les enfants, par Monique Berger. Un guide complet : présentation des temps et fêtes liturgiques; explication des vérités de la foi; conseils pratiques; des milliers de prières. Avec l'imprimatur à usage catéchétique. Un livre à offrir à tous les parents et catéchistes !

    Vivre l'Avent avec les enfantsUn Dossier Transmettre (numérique, PDF) pour comprendre et expliquer le temps de l'Avent, et le vivre avec les enfants.

    Abonnez-vous au mensuel Transmettre : le dossier du numéro de décembre est entièrement consacré au temps liturgique. Et en vous abonnant, recevez un cadeau très apprécié : Le Manuel du chrétien, grand succès de l'année.

  • Comprendre pourquoi le djihadisme attire certains jeunes

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    Jean-Pierre Denis sur le site de l’hebdomadaire « La Vie » :

    « Un ou deux jeunes Français figurent, selon toute vraisemblance, parmi les bourreaux djihadistes en Syrie. La justice enquête sur leur participation à l’exécution d’une vingtaine de Syriens et d’un humanitaire américain, un massacre publicitaire scénographié et rendu public à travers une vidéo destinée à impressionner l’opinion mondiale. Il faut l’admettre : de la séduction à distance jusqu’au départ pour la Turquie sur vol low-cost et du crime commis jusqu’à la mort reçue comme une récompense, les filières djihadistes exercent effectivement leur emprise sur un millier de nos enfants.

    Un millier, cela peut sembler peu à l’échelle de la génération des 15-25 ans, un bassin de population d’environ 8 millions de personnes. Mais chaque jour, plusieurs jeunes sont en partance. Et il faudrait prendre en compte tous les ados que la propagande fascine secrètement et qui pourraient basculer en deux ou trois mois dans la plus douteuse des aventures. En passant du monde des trafiquants et des braqueurs à celui des lycéens scotchés devant Facebook, les terroristes ont considérablement élargi leur terrain de recrutement. Le nouveau djihadisme est une drogue de synthèse. Il utilise et les techniques classiques de manipulation mentale et les méthodes les plus innovantes de communication virale. Il mobilise à la fois l’internationalisme à la papa et le discours religieux le plus réactionnaire. Il joue encore sur le désir d’exister vraiment et sur cet idéalisme qui de tout temps a poussé les jeunes à risquer leur vie pour une cause jugée noble. Mais il s’agit aussi et surtout d’un virus mutant. Le voici installé dans le corps même de la France ordinaire, celle des classes moyennes et des petits pavillons.

    Pour agir, on doit surveiller, prévenir, punir. Mais les réponses d’ordre sécuritaire ne feront pas tout. Le plus important serait de comprendre. Quand l’islamisme recrutait parmi les petits trafiquants et les truands, l’affaire semblait entendue. Quand il transformait de paisibles médecins ou scientifiques de nationalité britannique et de religion musulmane en terroristes indécelables, les explications horrifiées pleuvaient, bien faciles. Mais quand le djihadisme tend ses filets dans une population à la fois sans antécédents judiciaires et sans religion, peu concernée par le drame du Proche-Orient et peu politisée, quelle est la clé ? Quand il va chercher nos ados au fond de leur désarroi intime pour les transformer en robots meurtriers et suicidaires, que penser ? 

    Environ 80 % de ces jeunes seraient issus de familles athées, estime le Centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam. 40 % d’entre eux auraient connu des épisodes dépressifs. Cela semble dessiner, au moins à titre d’esquisse, la piste d’un malaise existentiel d’autant plus profond qu’il n’a ni nom, ni doctrine, ni apparence pour se dire et qu’il se soucie comme d’une guigne des discours creux sur la laïcité. Avant d’être les criminels qu’ils deviendront du côté de Mossoul ou d’Alep, ces fugueurs d’un nouveau genre seraient des « déshérités », pour reprendre le titre du récent essai de François-Xavier Bellamy. Il faudrait alors les voir comme les témoins et les premières victimes d’une profonde crise culturelle, celle d’une société qui n’annonce plus rien, quand les islamistes, eux, promettent sans vergogne. Et pas n’importe quoi : l’obéissance aveugle sur la Terre, le paradis au ciel ! Il va bien falloir s’interroger là-dessus, en évitant si possible les réponses univoques ou trop rapides. Celle que je viens de risquer n’est qu’une première tentative. »

    Ref. Comprendre pourquoi le djihadisme attire certains jeunes

    Un jeune belge d’Alost a aussi été identifié parmi les égorgeurs du dernier assassinat collectif organisé par l’ « Etat » islamique, qui en a diffusé le film  sur le réseau web.

    Selon la chaîne France 24, Il y a quelques jours, une étude de "The Economist" a révélé que la Belgique était aujourd’hui le pays occidental qui fournit le plus gros bataillon de jihadistes, proportionnellement au nombre d’habitants. Plus précisément, l'étude statistique estime qu'il existe en moyenne 22 jihadistes belges pour un million d’habitants. Suit le Danemark avec 17 jihadistes pour un million d’habitants et enfin la France avec 11 ressortissants jihadistes pour un million d’habitants Au total, la Belgique - dont la population est estimée à 11 millions d’habitants - compte 250 jihadistes en Syrie et en Irak. Mais comment la Belgique, petit État situé entre la France, les Pays-Bas et l’Allemagne, est-elle devenue cet important pourvoyeur de terroristes ?

    JPSC

    Pour rappel, à l’Université de  Liège (Salle des professeurs, Bâtiment du Rectorat, Place du XX aout, 7, 1er étage)

    Copie de conférence union ulg.jpg

    S’inscrire le 20 novembre au plus tard : tel. 04.344.10.89 ou en ligne sur le site  http://www.ethiquesociale.org/