Cela existe, c'est en anglais, et c'est consultable sur le net : http://www.intoleranceagainstchristians.eu/
Voici les derniers cas qui y sont recensés :
"Latest Cases of Christianophobia
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Cela existe, c'est en anglais, et c'est consultable sur le net : http://www.intoleranceagainstchristians.eu/
Voici les derniers cas qui y sont recensés :
"Latest Cases of Christianophobia
"Le HellFest, festival des musiques extrêmes, s’est tenu à Clisson en région nantaise, du 17 au 19 juin. Après la mobilisation initiée par le collectif « Provocs HellFest ça suffit », alertant sur le contenu ouvertement antichrétien d’une large partie de la programmation, interview-bilan avec son responsable, Louis Peramet, et le blogueur Les yeux ouverts."
C'est sur Enquête&Débat (11 juin 2011), c'est bien fait et très éclairant :
Comment faire dire au pape ce qu’il n’a pas dit et créer ainsi une immense polémique ?

Analyse des propos du pape Benoit XVI du 17 mars 2009 dans l’avion qui le mène en Afrique.
C'est la première partie d'un travail fouillé que l'auteur conclut ainsi :
"Le travail de l’AFP, de l’AP, et de Reuters est exécrable et orienté. Dans le sillage de l’AFP, Le Point se contente de répéter et de résumer, Le Figaro, de son côté, réalise une bouillie immonde de toutes les dépêches. Le JDD, dans la suite de Reuters, expédie l’affaire en se réjouissant de la polémique. Enfin, Le Monde et La Croix réalisent un travail de terrain, l’un en chargeant lourdement la barque, l’autre en soufflant doucement sur les voiles. France 2 produit à peu près la même bouillie que l’article du Figaro, mais de manière télévisuelle, ce qui est encore plus puissant au niveau émotionnel. Pour finir, le Vatican n’arrange pas les choses en modifiant également les propos du pape !
Il faut donc conclure ainsi : les personnes vraiment soucieuses de savoir ce que le pape a dit, ne peuvent même pas se fier au Vatican ! Mais qu’ils ne se fient pas pour autant aux dépêches de presse ! Ainsi, seul le lecteur de La Croix pourra (peut-être) comprendre un peu ce que le pape a dit ce jour là sur ce sujet, alors que celui du Monde comprendra qu’il n’a dit que des bêtises et que c’est un scandale pour tout le monde."
Voici le billet que le vicaire général aux armées, Robert Poinard, a mis en ligne sur le site du Diocèse aux armées françaises (http://www.dioceseauxarmees.catholique.fr/billet-du-vicaire-general)
Nos racines bannies de la sphère publique
Lentement mais sûrement le judéo-christianisme se fait balayer vers la porte de sortie. Oh bien sûr il ne s’agit pas d’une franche persécution bien tranchante et bien sanglante comme nos pères en connurent sous d’autres cieux en d’autres temps mais enfin, qu’on le veuille ou non, on nous prie de disparaître vers les arrière-cuisines en nous demandant de n’en plus bouger. Années après années le bannissement se fait de plus en plus pressant.
Un dénommé Florent Peyre propulsé sur les plateaux de télévision par le triste Laurent Ruquier est censé nous faire rire en se livrant à un exercice soi-disant humoristique d'imitation du pape. C'est d'un pénible! Rien de drôle, que du médiocre, au ras des pâquerettes, avec quelques méchancetés diffamatoires en prime.
Des organismes espagnols révèlent que les violations de la liberté religieuse sont en augmentation dans le pays, parmi eux l’Association civile des avocats chrétiens (AEAC) qui a dénoncé à l’ONU 153 violations depuis 2004.
Le président de l’Association, Polonia Castellanos, a présenté le 16 mai aux Haut Commissariat des Nations Unies pour les droits de l’homme, à Genève, un rapport sur les attaques à la liberté religieuse.
L'AEAC dénonce le gouvernement Zapatero pour « violations réitérées, persistantes et manifestes des droits humains liés à la liberté de religion ou de croyance en Espagne ».
Parmi ces violations, figurent des attaques à des prêtres, à des images et des églises catholiques, mais aussi des actions comme la fermeture au culte de la basilique Valle de los Caídos par le gouvernement, le 6 avril 2010, des agressions laïcistes dans diverses chapelles universitaires, l’interdiction de faire des processions. Le document signale aussi des manifestations et des spectacles offensifs.
L’association fait également état dans son rapport d’insultes et de menaces à l’encontre d’évêques, proférées publiquement par des groupes et entités, et une invitation à mettre le feu à la Conférence épiscopale lancée durant une manifestation pro-avortement en septembre 2009.
Le rapport signale aussi des déclarations offensives de représentants du gouvernement, de politiciens et de personnes recouvrant de hautes charges.
L’association a demandé à l’ONU d’enquêter sur ces faits et de sanctionner le gouvernement espagnol en cas de responsabilité prouvée.
Selon l'AEAC, si l’Espagne ne prend pas des mesures contre les croissantes vagues d’attaques laïcistes ou anti-religieuses, c’est son vote à la Commission des droits de l’homme de l’ONU qui pourrait être compromis, mesure qu’elle exhorte à appliquer.
Le pape lui-même avait soulevé la question de la liberté religieuse en Espagne dans son discours, le 16 mai, à la nouvelle ambassadrice du pays près le Saint-Siège,María Jesús Figa (cf. ZENIT, 17 avril 2011), exprimantsa préoccupation contre certaines formes d'hostilité contre la foi qui tendent à « marginaliser » la religion, voire à la diffamer ou la discriminer.
Patricia Navas - Mercredi 25 mai 2011 (ZENIT.org)
En prévision de la visite pontificale que Benoît XVI effectuera en Croatie les 4 et 5 juin prochains, Louis Mathoux croit très opportun de nous donner, dans "Dimanche" (!) de cette semaine, un portrait au vitriol de l'Eglise croate coupable de bien des maux.
Il commence par rappeler le sort pénible de la Croatie devenue un pays satellite de l'Allemagne nazie où les Oustachis de Pavelic menèrent, comme chacun sait une politique de franche collaboration avec le régime de Hitler, et notre journaliste-historien d'ajouter : avec la collaboration du cardinal Stepinac. Or, c'est une allégation injuste et diffamatoire à l'encontre de ce prélat béatifié par Jean-Paul II et que Alain Finkielkraut défendait en ces termes (Le Monde, 7/10/1998) lors de sa béatification :
Un texte décapant à découvrir sur "causeur.fr" met en évidence le caractère antichrétien de l'ultragauche :
Extrait :
"La nature de l’ultragauche n’est aucunement anticléricale : c’est juste qu’elle ne veut pas entendre parler du Christ. Elle s’accommode sans aucun problème du halal et des mosquées, s’abandonne dans la contemplation des spiritualités exotiques, respecte profondément les croyances animistes, sympathise de bon cœur avec le culte rastafari. Mais le christianisme, lui, rencontre une hostilité sans limite. J’ai cru, de bonne foi, que « Ni dieu ni maître » était réellement le credo de l’ultragauche. La vérité, c’est que n’importe quel Dieu fait l’affaire, pourvu qu’il ne s’agisse pas de Jésus et de ses copains. L’anticléricalisme n’est que la vitrine politique du véritable combat anti-pape, anti-Église, et in fine anti-Christ. Qu’on ne se raconte pas d’histoires ; tenez, pour preuve supplémentaire, je suis allé rendre visite à un petit meeting anarchiste il y a quelques jours. Au menu du plat unique destiné à financer l’association, le chili con carne arborait en grosses lettres la mention « halal ».
Ni dieu ni maître ? Vraiment ? Vraiment-vraiment ?"
"Le rapport du "John Jay College" de l'Université de New York, intitulé "Les causes et le contexte des abus sexuels commis contre des mineurs par des prêtres catholiques aux Etats-Unis, 1950-2010", montre qu'il n'y a pas qu'une seule cause et qu'un seul élément indicateur d'abus sexuels. Résultat d'une enquête menée durant cinq ans à la demande de la Conférence épiscopale américaine, le rapport devrait fournir une réponse définitive concernant les causes des abus sexuels commis par des membres du clergé, note l'USCCB. Selon cette longue enquête, ce n'est pas le célibat sacerdotal ni l'homosexualité qui sont en cause.
"Le gros des cas a eu lieu il y a des décennies", a relevé Karen Terry, investigatrice principale de cette enquête du "John Jay College". Pour elle, la fréquence croissante des abus dans les années 1960 et 1970 découlait des modèles de plus en plus déviants de la société à cette époque.
Selon le journal le Soir (Riccardo Guttierez et Vanja Luksic : La loi du silence perdure) les récentes instructions romaines sur les abus sexuels cléricaux contre les mineurs d’âge (voir ici : Abus sexuels) officialiseraient la loi du silence au sein de l’Eglise. Et pourquoi cela ? Parce que ces instructions demandent de « tenir compte de la législation du pays où se trouve la Conférence épiscopale, en particulier en ce qui concerne l’éventuelle obligation d’informer les autorités civiles ».
Sur son blog, l’abbé Éric de Beukelaer réagit vigoureusement contre la prose du quotidien vespéral et il a bien raison : «En d’autres mots, écrit-il, au lieu de respecter les législations en vigueur, l’instruction vaticane aurait dû imposer la dénonciation « urbi et orbi », même là où une législation démocratiquement votée en déciderait autrement, réservant – par exemple – ce droit à la victime. Décidément, j’ai bien du mal à suivre pareil raisonnement. L’article revient aussi sur le secret de la confession, dont le caractère absolu devrait être levé. Ce que je pense de la question peut être lu sur mon « post » du 29 mars : « Secret professionnel des prêtres et secret de confession : réalité et phantasme ». Conclusion: du lecteur que je suis ou de l’article, un des deux doit être aveugle. » Lire tout le « post » d’Eric de Beukelaer ici : Eglise catholique et abus sexuels : « La loi du silence perdure ? » (Le Soir p.9)
Rappelons que les lois belges d’ordre public (le droit pénal en fait partie) s’imposent à tous les citoyens : tel est le cas des dispositions pénales relatives au secret professionnel, au rang desquels se trouve aussi le secret ecclésiastique .Sur les droits et obligations qui en découlent, on peut lire aussi ce que nous écrivions déjà ici le 28 mars dernier Belgique : le statut légal du secret de la confession
JPS
Les ecclésiastiques abuseurs arborent-ils le col romain? C'est une question que l'on pourrait se poser même si elle ne semble pas du plus haut intérêt.
Toujours est-il que LaLibre en ligne associe sytématiquement chaque article (et Dieu sait s'il y en a eu!) relatif à la question des abus sexuels dans l'Eglise au col romain.
A se demander si, adeptes des théories de Pavlov, les responsables du site ne cherchent pas à créer un réflexe conditionné chez les lecteurs qui associeraient automatiquement le col romain, et donc les prêtres, aux abus sexuels...
"Le président de "Professionnels pour l'Ethique", Jaime Urcelay, a assuré que l'Espagne connaît actuellement une «crise» de la liberté religieuse en raison du développement de la "laïcité agressive qui vise à condamner les chrétiens à une certaine marginalisation dans la vie publique".
Urcelay a déclaré à Europa Press que la situation est un "modèle" d'"attitude hostile au christianisme" comme le montrent «les profanations, l'assaut de la chapelle de l'Université "Complutense", le mépris affiché par des officiels", mais surtout le "développement d'une culture, à travers certains médias, dans l'éducation et la legislation, qui vise à ramener la religion en Espagne à une situation de marginalisation."