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Livres - Publications - Page 167

  • Les sites d'Eglises et de religions

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    Sandro Magister met en ligne la Liste de sites d’Eglises et de religions :

    Mise à jour au 3 avril 2012. Elle comporte deux nouveautés : "Doctrina fidei", avec tous les documents de la congrégation pour la doctrine de la foi, et CCEO, le code des canons des Églises orientales

    > La Bible. Texte et hypertexte des Saintes Écritures judéo-chrétiennes.

    > Nova Vulgata. La Bible en latin, dans la version officielle revue sur la base de la traduction de saint Jérôme.

    > Documenta Catholica Omnia. Une mine de 20 000 textes de papes, de conciles, de pères et de docteurs de l'Eglise. Dans leur langue d'origine et traduits.

    > Saint-Siège. Le site officiel du pape et de la curie. Nouvelles, discours, voyages, documents.

    > Doctrina fidei. Tous les documents de la congrégation pour la doctrine de la foi

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 30 mars 2012

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  • De Jésus à Jésus, en passant par Darwin

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    Emmanuel Cabello, sur didoc.be, se penche sur deux livres récents de Christian de Duve et de Jean-Christian Petitfils (que nous avons déjà évoqué).

    De Jésus à Jésus, en passant par Darwin

    Christian de Duve, Professeur émérite de l’UCL, Prix Nobel de Médecine, a publié récemment un livre sur Jésus. Il y exprime sa conviction d’homme de science. Peu de temps auparavant, un autre scientifique s’est penché sur la figure de Jésus : Jean-Christian Petitfils, historien.

    De Jésus à Jésus, en passant par Darwin

    Dans ce petit livre de 90 pages (De Jésus à Jésus, en passant par Darwin, Odile Jacob, Paris 2012), Christian de Duve nous livre un bref résumé, sobre et intéressant, de son itinéraire scientifique (pp. 19-43) ainsi qu’une description et une justification de sa pensée philosophique et religieuse actuelle (pp. 45-89).

    La thèse centrale du livre, enveloppée par les souvenirs personnels de l’auteur, est l’affirmation que l’espèce humaine est marquée par un « péché originel génétique ». Pour l’auteur, cela veut dire que notre patrimoine génétique, hérité de nos ancêtres et préservé par la sélection naturelle, présente des traits comme l’« égoïsme de groupe » et l’hostilité à l’égard d’autres groupes. Il y a quelque cent mille ans, ces traits étaient nécessaires à la survie de nos ancêtres, mais aujourd’hui ils risquent de déclencher des conflits pouvant aller jusqu’à l’holocauste nucléaire. Il faut impérativement apporter un remède à ce danger. Et ce remède, nous le trouvons dans la doctrine de Jésus de Nazareth. Christian de Duve voit en lui un homme sage. Mais, pour notre Prix Nobel, il faut expurger ses enseignements de tout dogmatisme et condamnation, et sa vie de tout miracle. Par ailleurs, la personne de Jésus doit renoncer à toute prétention à la divinité, qui n’est qu’un ajout des siècles postérieurs.

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  • Guillebaud pourfend les fantasmes du transhumanisme

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    Sur le site de la Vie, Jean-Pierre Denis présente le dernier livre de Jean-Claude GUILLEBAUD ("La vie vivante. Contre les nouveaux pudibonds"), dans un article intitulé "L'homme, une expérience ratée?"

    Mères porteuses, nanotechnologies, intelligence artificielle, refus de l’enfant, fabrication de chimères, quête d’immortalité… Le corps humain serait-il has been ? En tout cas, avec les prouesses toujours plus ébouriffantes de la science et le grand bond en avant de la technique, voici venue l’époque des "technoprophètes". Chercheurs talentueux, joyeux apôtres d’une dématérialisation de l’homme, ils annoncent une ère radicalement nouvelle. Un temps où l’on n’aura plus besoin de l’être humain, cette vieille chose prisonnière d’un corps de chair et enserrée dans d’étroites limites biologiques et sociales. Loin de demeurer d’aimables utopistes, ces experts préparent activement, avec l’aide de puissants lobbies scientifiques et industriels, l’avènement de la posthumanité.

    Avec La vie vivante, Jean-Claude Guillebaud livre un essai courageux, engagé, inquiétant. À contre-courant de toutes les bien-pensances. Puisant aux meilleures sources, l’essayiste et chroniqueur à La Vie rapproche les faits épars. C’est sans faux-semblant qu’il prend au sérieux ces nouveaux courants de pensée, avant d’y distinguer le retour insidieux d’une nouvelle forme de "domination" parée des couleurs du progrès. Contre toutes les pudibonderies – autrement dit toutes les haines et les peurs du corps humain –, il est urgent de retrouver une nouvelle forme d’incarnation.

    On trouvera sur le site de La Vie des extraits exclusifs de La vie vivante, le nouveau livre de Jean-Claude Guillebaud en cliquant ici : lavie.fr/jean-claude-guillebaud

    La vie vivante. Contre les nouveaux pudibonds, de Jean-Claude Guillebaud. Editions des Arènes. Parution le 10 mars 2011, 22 €

  • Quand un "amnésique" retrouve la mémoire...

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    Nous reprenons ici une note de Michel Janva, sur le Salon beige, intitulée : L'amnésie sidérante et collective, même chez les catholiques

    "En mars 2008, Jean-Marc Potdevin, entrepreneur, ancien CTO de Kelkoo.com, ancien vice-président de Yahoo ! Europe, traverse la crise de la quarantaine. Il décide d’interrompre toute activité et de partir seul vers St Jacques de Compostelle. Sur le chemin, il fait une expérience mystique qui bouleverse totalement son existence. Il raconte dans "Les mots ne peuvent pas dire ce que j'ai vu" :

    P"j'étais en fait un mal-croyant. Comment avais-je pu passer au travers de mon éducation chrétienne dans une école catholique dite "du Sacré-Coeur", entouré par une famille croyante et pratiquante, sans avoir perçu l'immense richesse de cette littérature mystique qui sonde et expérimente la relation directe entre l'homme et son Dieu ? Avais-je bouché mes oreilles, ou étais-je victime de l'oubli collectif, y compris au sein de nos communautés catholiques, de la perte de ces richesses inestimables, joyaux des racines chrétiennes, de notre culture ? Ce sujet est pourtant tellement central pour la vie de l'homme dont l'aspiration intime au bonheur est infinie et légitime ! Comment se fait-il qu'il ait été oublié par l'homme moderne, effacé de nos mémoires, de nos librairies, de nos cours de catéchismes, de nos écoles ?

    Cette amnésie collective est sidérante, et contraste de façon autant radicale qu'incompréhensible avec la beauté infinie et l"extase de l'homme libre renoué et vivifié en son Dieu, de l'homme divinisé dans l'amour uni à son Créateur et, enfin, extrait de son tas de cendre, l'instant d'une rencontre revenu à l'état originel, sans blessure, divin et lumineux. Comment le XXe siècle avait-il si méthodiquement et si scientifiquement tenté d'éradiquer toute trace de cette sagesse religieuse ? [...] Les fruits mortifères produits sont notamment ces campas de la mort, d'Auschwitz au Goulag, de Marx à Mao en passant par Pol Pot, et qui perdurent bien malheureusement aujourd'hui sous couvert de nos hypocrites "démocraties commerciales, confortables et souriantes" dans de nouveaux types de charniers médicalisés et aspetisés produits par l'industrie de l'avortement qui vient arracher la vie de centaines de millions d'êtres humains en l'aspirant directement dans le ventre même des jeunes mères. Démocraties du sourire qui proposeront bientôt un peu partout l'eugénisme de masse sponsorisé par l'état et la sécurité sociale en éliminant directement les malades handicapés avant la naissance (tri d'embryons, "dépistage préimplantatoire"), ou l'euthanasie des plus faibles sous toutes ses formes, des plus vieux aux plus souffrants, en leur expliquant que c'est pour leur bien, pour leur "liberté et au nom de leur "dignité" (quelle sinistre maîtrise du sophisme !). cette société profondément violente, sans repères, est à la fois dopée aux excitants et calmée aux anxiolytiques. Toutes ses tranches d'âge enregistrent des records taux de suicide, fruits moisis de cette perte du lien avec son Roy [NSJC]. Elle est minée par la progression rampante dans les bas-fonds de la "culture de mort", comme l'a si bien qualifiée Jean-Paul II."

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 26 mars 2012

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  • L'"anthropologie de l'ouverture", remède au drame de notre temps ?

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    Sur ZENIT.org :

    « Le Christ, destin de l’homme. Itinéraires d’anthropologie filiale » : ce livre du secrétaire du Conseil pontifical pour la Famille, Mgr Jean Laffitte, évoqué sur ZENIT.org le 16 mars, a été présenté à Paris, au Collège des Bernardins, le mercredi 14 mars, entre autres, par le P. Olivier Bonnewijn, professeur à l’I.E.T. de Bruxelles.

    Le texte intégral de sa présentation figure sur le site de ZENIT.org : http://www.zenit.org/article-30433?l=french.

    Extrait :

    "(l') auteur (Mgr Laffitte) possède une vive perception du drame de notre temps : la fermeture à Dieu comme l’a spécialement analysé Gaudium et spes dans ses numéros sur l’athéisme, le rétrécissement individualiste de l’être humain et de la société. La gender theory en présente un symbole actuel particulièrement éloquent. Pourtant, « l’homme ne se limite jamais à l’horizon de ce monde. » « Il est incapable de se suffire à lui-même. (…) Il a une constitution que de nombreux auteurs (…) ont parfois qualifiée de structure dialogique. D’autres, comme Bruaire, sont allés encore plus loin en parlant de l’homme comme être-de-don. »

    D’où la question de fond qui traverse tous les chapitres : Comment échapper à cet emprisonnement ? Comment tracer des pistes - des « itinéraires » - pour parvenir à cette « anthropologie adéquate » dont parle Jean-Paul II ? Notre théologien pasteur part de très loin. Il commence par considérer l’embryon souvent prisonnier d’un regard très matérialiste et aboutit 560 pages plus loin au côté transpercé du Christ. « Il y a une contemporanéité du Cœur transpercé du Christ à l’homme de tous les temps », y compris à l’homme en son stade embryonnaire.Entre les deux, quel parcours ! La santé, le sida, la mort, le mariage, la famille, le corps, l’Eucharistie, la société, la paix entre nations, la démographie en Europe, l’objection de conscience et « la tolérance idéologique », la révolution sexuelle, l’inviolabilité de la conscience, la connaissance de Dieu et de la vérité, l’agir rationnel du croyant, le pardon. Toutes ces problématiques sont en réalité intrinsèquement reliées entre elles grâce aux rayons de cette anthropologie de l’ouverture."

  • Une excellente recension du "Jésus" de Petitfils dans La Libre

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    Paul Vaute, sous le titre : "Jésus-Christ sous le scalpel de l’historien", publie dans la Libre de ce 19 mars une excellente recension du livre de Jean-Christian Petitfils que nous avons évoqué sur ce blogue.

    "Considérés avec ou sans la foi, les Evangiles sont une source historique solide.

    Spécialiste de la monarchie française des XVIIe et XVIIIe siècles, Jean-Christian Petitfils s’était déjà échappé avec bonheur de son domaine de prédilection. Le défi qu’il s’est imposé cette fois n’en était pas moins de taille, pour ne pas dire à hauts risques : aborder la figure de Jésus en tant que sujet d’histoire, avec les méthodes de la critique historique. L’entreprise s’est révélée être un succès en librairie. C’est aussi une réussite.

    Bien sûr, l’historien n’a ici ni à proclamer, ni à nier le credo chrétien. Face au surnaturel, il s’efface, ainsi qu’il s’en est expliqué dans un entretien à "La Libre" (29/2). Pas plus que Cabanis ne trouva d’âme sous son scalpel, il ne peut affirmer la virginité de Marie. Mais il constate l’existence, à l’époque, de ce vœu d’oblation religieuse, même dans le cadre du mariage. Il ne sait pas si une étoile a vraiment guidé les mages, mais il relève sa singulière coïncidence avec une conjonction astronomique dûment attestée depuis Kepler. Il n’enquête pas sur la filiation divine de Jésus, mais il souligne son originalité irréductible. Il laisse la résurrection au domaine de la foi, mais il observe que "ce troupeau de fuyards apeurés" qu’étaient devenus les disciples "s’est métamorphosé soudainement en un groupe non de fanatiques hypnotisés, mais d’hommes libres, brûlants de conviction, prêts à donner leur vie pour annoncer la Bonne Nouvelle". Et qu’on ne connaît aucun exemple dans l’histoire d’un phénomène d’affabulation ou de wishful thinking collectifs engendrant un mouvement d’une telle ampleur.

    Pour le reste, le chercheur fait prudemment la part des événements authentiques et symboliques. Ces derniers imprègnent surtout les évangiles synoptiques, alors qu’à l’encontre de l’opinion commune, c’est celui de Jean, longtemps considéré comme le plus théologique, qui offre aux historiens les points d’appui les plus solides. Avare de précisions, certes, il est pourtant celui qui décrit et situe au mieux les faits.

    Outre les sources écrites, y compris païennes, Jean-Christian Petitfils accorde une place particulière, qui le singularise, aux trois grandes reliques de la Passion que sont le linceul de Turin, le suaire d’Oviedo et la tunique d’Argenteuil. Les techniques de pointe mises en œuvre ces dernières années ont révélé des données et des convergences telles qu’on peut conclure à "un degré d’authenticité extrêmement élevé". L’examen médico-légal du linceul a ainsi permis d’établir le modèle de fouet utilisé lors de la flagellation (un flagrum taxilatum), la position du bourreau à un mètre de la victime, "frappant le côté droit par des coups directs et le côté gauche par des coups de revers". Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.

    Ces avancées de la science restent pourtant inconnues du grand public."

    Jésus Jean-Christian Petitfils Fayard 673 pp., env. 25 €

  • Le numéro 1513 de l'Homme Nouveau (10 mars 2012)

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    Au sommaire du numéro 1513 daté du 10 mars 2012 (commande) :

    Evénement : Présidentielles françaises : Un juste vote ?

    Quelques réflexions sur le programme de divers candidats à l'aune de la doctrine catholique.

    Dossier : Liturgie

    Des évêques réagissent au sujet des traductions liturgiques.

    Actualités : Aux frontières de l'humain.

    Un congrès s'est tenu à Rome sur la personne humaine à l'heure de la révolution biotechnologique. Éclairant !

    Kevin Ford, un jeune fermier en Amérique.

    La contraception accessible à tous : Un rapport demande l'accès gratuit à toute contraception pour les mineur(e)s. Il montre en effet que ces derniers ne l'utilisent guère.

    Culture : Le père Frederick William Faber, avocat de l'Église et chantre du Salut.

    Saint François d'Assise selon les écrits de Padre Pio.

    Figure spirituelle : Catherine Drexel, mère et servante des Indiens et des Noirs.

    Magistère : Le Pape invite les cardinaux à avoir saint Pierre pour modèle.

    Tribune : Le frère Marie-Angel, soldat du feu, soldat de Dieu.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 2 mars 2012

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    images (4).jpgSommaire

  • Des inédits très actuels de Mère Teresa

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    Teresa-198x300.jpgMère Teresa : Quand l’amour est là, Dieu est là

    C’est un gros livre, de plus de 400 pages, qui ne place plus le lecteur face à l’aridité d’un foi vécue dans la souffrance mais aborde les grandes questions de l’existence et montre les réponses apportées par Mère Teresa. Toutes se résument en Dieu, même si les situations concrètes abordées sont bien humaines. Il s’agit pour Mère Teresa de conduire le lecteur à une plus grande union avec Dieu, laquelle permet de faire rayonner véritablement l’amour dans le monde. 

    « Dans la mesure où elle se trouvait constamment en relation avec des gens d’origines et de milieux divers, aucune situation ne lui était étrangère »,  précise dans sa préface le Père Brian Kolodiejchuk, missionnaire de la Charité et postulateur de la cause de canonisation de la bienheureuse de Calcutta. D’inspiration très clairement ignacienne, cette spiritualité s’énonce parfois avec des formules fortes.

    Mère Teresa n’hésite pas, par exemple, à faire l’éloge du silence afin de se « débarrasser de l’amertume et de la haine », souligne que « Cela n’a pas de sens d’entrer dans une congrégation religieuse si vous ne voulez pas être saintes »  ou que l’adoration, qu’elle avait instituée en 1973 a des effets très concrets : « Depuis ce temps, l’amour intime de Jésus a beaucoup grandi. Nous avons une meilleure compréhension de la souffrance des pauvres, de la façon de leur donner. » Sans oublier, bien sûr, l’avortement : « tout pays qui accepte l’avortement enseigne à ses citoyens à recourir à n’importe quelle violence pour obtenir ce qu’ils veulent » ; le divorce : « parce que les familles ne prient plus elles ne peuvent pas rester ensemble » ou la femme : « la maternité est le don de Dieu aux femmes ; nous pouvons détruire ce don en pensant qu’un emploi et un poste sont plus importants qu’aimer et se donner aux autres. »

  • Le "Jésus" de Jean-Christian Petitfils

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    arton1049.jpg"Pas de révélation dans cette étude scrupuleuse ; plutôt une confirmation de ce que le croyant sait déjà mais a peut-être oublié. Une bonne raison alors de se plonger dans cette passionnante vie de Jésus racontée par un historien dont la plume claire et élégante nous met au cœur de l’action afin de mieux nous réinterroger sur notre foi..."

    Lire la suite ici : http://www.dimanche.be/Jesus.html