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Livres - Publications - Page 167

  • Pour découvrir le Moyen Age et l'aimer mieux

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    Regards sur le Moyen Age est un ouvrage paru en 2009, oeuvre d'un historien en butte aux attaques de l'intelligentsia dominante, Sylvain Gouguenheim, présenté ainsi sur Canal Académie :

    Sylvain Gouguenheim n'est pas un historien comme un autre. Auteur d'un livre remettant en cause le passage du savoir grec à travers la pensée arabe, il fut la victime d'une cabale autant médiatique qu'universitaire. Condamné lors de procès à charge où il ne fut même pas convié, il explique aujourd'hui que, dans cette histoire, se sont bien des motifs politiques et non historiques qui ont poussés ses détracteurs à remettre en cause ses thèses développées dans Aristote au Mont-Michel. Deux ans après, il publie deux ouvrages pédagogiques pour mieux faire aimer cette période si peu connue, celle des temps médiévaux.

    Regards sur le Moyen-Âge, publié chez Tallandier, offre ainsi une quarantaine de textes consacrés à la fois aux mondes politiques et religieux, mais aussi à la société. Pour chacun des points abordés, Gouguenheim fait le point sur nos connaissances et sur les questions qui demeurent. Nous retrouvons, avec ces regards, les grands symboles des temps médiévaux : Poitiers, Jeanne d'Arc, Frédéric II Staufen ou saint Louis... mais une approche thématique complète aussi admirablement cet ouvrage. Nous découvrons ainsi "l'invention" de la Bible en tant que corpus unique de de textes, l'image de l'amour ou encore l'importance et la nature de l'économie en ces temps "que plus personne n'imagine immobiles ou de transitions." Un livre à mettre entre les mains de tous ceux qui souhaitent découvrir cette diversité médiévale et mieux la connaître.

  • D'après William Lane Craig, il est raisonnable de croire

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    Via "Théophile", nous découvrons la parution d'un ouvrage traduit en français, et présenté ainsi sur AgoraVox (extraits) :

    La foi raisonnable de William Lane Craig

    Première traduction française de Foi raisonnable, l'ouvrage phare d'un des principaux philosophes américains contemporains, William Lane Craig. Craig offre une justification rationnelle du christianisme, claire et implacable. Un coup de tonnerre dans le ciel calme de la philosophie française, peu habituée aux raisonnements rigoureux qui agitent le monde universitaire anglo-saxon.

    ... vient de paraître la traduction française de l’ouvrage phare du philosophe américain William Lane Craig, Foi raisonnable. Cet ouvrage, disons-tout de suite est fondamental pour tous ceux qui s’intéressent à la question de l’existence de Dieu. A la différence de Michel Serres, William Lane Craig est un philosophe analytique. Pour lui, toute thèse avancée par un philosophe doit être fondée sur une série de propositions logiques. Un argument qu’on connaît tous repose sur une telle démarche : 1) Socrate est un homme, 2) Tous les hommes sont mortels, donc 3) Socrate et mortel. Il suffit de démontrer que les propositions 1) et 2) sont vraies pour que la conclusion soit inattaquable. Mais, me direz-vous, est-ce que tous les philosophes ne raisonnent pas ainsi ? Si vous avez un jour ouvert Nietzsche, Schopenhauer, ou bien pire, la radio pour écouter papy philo, vous aurez bien que compris que non, loin de là.

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  • Et si on se mettait à espérer ?

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    Un peu d'espérance …, c'est l'éditorial de Christophe Geffroy, paru dans la Nef de ce mois de septembre. Une lecture qui fait du bien.

    Si l’on interrogeait nos contemporains, nul doute qu’une majorité estimerait que les choses vont aujourd’hui moins bien qu’hier. Il y a pour appuyer ce sentiment des réalités incontestables : la crise économique avec le problème de l’euro et d’une Union européenne bien chahutée, la déchristianisation accélérée du Vieux Continent – avec son déclin démographique compensé en partie par une immigration musulmane non maîtrisée et peu soucieuse d’intégration –, le bouleversement sans précédent des mœurs qui a fait exploser tous les repères traditionnels, le relativisme étant désormais la norme largement admise, etc. Ainsi, faudra-t-il bientôt faire face à une nouvelle offensive contre la vie et la famille avec les futurs projets de loi visant à légaliser l’euthanasie et le "mariage" homosexuel (1). Bref, le climat général, en ce temps de rentrée, n’est guère porté à l’optimisme.

    Pour secouer la désespérance contemporaine, Jean-Claude Guillebaud vient de commettre un petit livre revigorant qui a le grand mérite de remettre quelques pendules à l’heure (2). L’esprit de son livre pourrait être résumé par cette belle phrase de Gandhi qu’il cite : "Un arbre qui tombe fait beaucoup de bruit, une forêt qui germe ne s’entend pas" (p. 119). Écoutez les informations à la radio ou la télé – ce sont partout les mêmes –, il n’est question que de drames ou d’horreurs : les guerres, comme en Syrie, les faits divers les plus sordides, les catastrophes ou accidents, etc. Le bien qui se fait dans ce monde, le dévouement désintéressé des hommes envers leurs prochains ne sont que rarement objets d’information et de reportage. Pire, les grands médias, dont on dit qu’ils façonnent l’opinion, sont en réalité à la remorque des idéologies dominantes et ne perçoivent rien des grands mouvements de fond qui travaillent nos sociétés.

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  • Une déconstruction de la théorie du Gender (genre)

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    Jean-François MATTEI , sur Magistro, recense "La Querelle du genre", du Docteur Christian Flavigny, aux Editions PUF

    Nietzsche voyait dans la lutte des femmes pour l’égalité des droits "un symptôme de maladie". Son diagnostic sur ce qu’il nommait alors "l’éternelle guerre entre les sexes", voire "la haine mortelle des sexes" (1), paraîtra sans doute excessif ; il est en réalité insuffisant. Car ce n’est plus de guerre entre les sexes et de haine des sexes dont il est question dans les gender studies ou "études de genre", mais de guerre contre le sexe et de haine du sexe, qu’il soit masculin ou féminin. Il s’agit toujours d’une lutte pour l’égalité des droits, mais, au lieu de passer par l’égalité des sexes, elle passe par leur neutralisation. Le terme de "sexe" est aujourd’hui inconvenant et doit être remplacé, le mot occultant la chose, par le terme de gender que l’on traduira par "genre". Il ne faudrait plus parler de l’égalité des sexes, mais de l’égalité des genres, les genres n’étant plus sexués en "homme" et en "femme", en "mâle" et en "femelle", en "garçon" et en "fille", et, a fortiori, en XY et en XX. La différence sexuelle étant dissoute au même titre que la différence génétique, il n’y aurait plus d’obstacle à la suppression de la différence sociale.

    L’ambiguïté de la théorie tient en premier lieu dans les mots gender et genre. Si le terme anglais tend à l’emporter sur le terme français, on n’oubliera pas que tous deux proviennent du latin genus, "naissance", apparenté à l’engendrement, à la génération et à la genèse, c’est- à-dire à un espace sémantique qui dit l’origine des Etres. Or, c’est cette origine qui est paradoxalement effacée par le gender américain, bientôt suivi du genre français, sous le prétexte que tous deux sont des catégories sociales ou plus exactement grammaticales. Ce n’est pas parce qu’il y aurait des hommes et des femmes sexués qu’il existerait des comportements masculin et féminin spécifiques dans la société ; c’est parce qu’il y a des genres masculin et féminin dans la langue que la société aurait calqué des comportements différents sur ce découpage grammatical. Le français, qui n’a pas de genre neutre, a tendance à durcir l’antagonisme du masculin et du féminin. L’anglais, qui possède ce neutre, a plus de ressources pour neutraliser l’opposition des deux sexes. C’est sans doute la raison initiale du développement des gender studies dans les pays anglo- saxons.

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  • Liège, 11 septembre, une soirée lecture consacrée à Alexis Curvers

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    Mardi 11 septembre, à 18h30,
    Thierry Devillers aux « Soirées Lectures » de la librairie Pax (place Cockerill)

     

    http://culture.ulg.ac.be/upload/docs/image/jpeg/2011-08/alexis-curvers-2.jpgPrésence

    d’Alexis Curvers

     


    http://wwww.homerecords.be/photos/fotoames/B_Thierry_Devillers_%28c%29_2.jpg

     Thierry Devillers vit à Liège.

    Il est auteur-compositeur-interprète, il a enregistré plusieurs disques.

    Il aime également faire la lecture (Pascal, Céline, Chateaubriand, Baudelaire...).

    On le connait aussi comme acteur, il a joué Shakespeare, Beaumarchais, Goldoni...

  • 100 questions sur Dieu

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    Un livre des éditions Artège

    (12,00 € - 2012 - 148 pages)


    Présentation de l'éditeur

    Bien souvent les questions les plus simples nous laissent sans réponse… Et qui n’a pas rêvé de s’entretenir avec des spécialistes pour répondre aux questions que soulève sa foi?

    Le frère Emmanuel Pisani a réalisé ces rencontres pour interroger de façon simple et complète de grands noms de l’Église ou de la pensée contemporaine tels le cardinal Georges Cottier, Mgr Robert Le Gall, Maurice Gilbert, Pierre Gardeil et bien d’autres.

    Après s’être interrogés sur Dieu lui-même, ils répondent aux questions à propos de Sa Parole, transmise par l’Écriture Sainte. Au final sont abordées de nombreuses questions très variées comme par exemple : « La Trinité est-elle une invention des théologiens? » ; « Peut-on penser Dieu après Darwin? » ; « Y a-t-il une bonne traduction de la Bible? »

    Des réponses claires et sans détour aux questions les plus difficiles de la foi.

    L'auteur :
    Emmanuel Pisani, dominicain de Montpellier, doctorant en islamologie, est également enseignant en islamologie à l’Institut catholique de Paris. Il a pendant quatre années animé l’émission « le café théologique » sur Radio présence à Toulouse.

  • L'incroyable fidélité des "chrétiens du bout du monde"

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    1357032.jpgÀ la rencontre des chrétiens du bout du monde (dans Le Figaro)

    Extraits :

    "Pendant un an, Charles Guilhamon et Gabriel de Lépinau sont partis à la rencontre de petites communautés chrétiennes isolées. Un tour du monde à vélo qui les a conduits du Tibet au Brésil, en passant par le Sénégal et la Thaïlande. Ils racontent leur incroyable aventure dans un livre à paraître le 5 septembre." (...)

    "Église des confins et des nuages, Église souterraine, sans prêtre et pourtant étonnamment fidèle à Rome, Église souffrante, persécutée, Charles et Gabriel sont allés à la découverte de ces multiples visages de la chrétienté. En Amazonie en pirogue, à pied avec les Karens, ou encore, comme le plus souvent, à vélo, ils ont parcouru 11.000 kilomètres pour vivre avec ces communautés oubliées quand elles ne sont pas inexistantes ou agonisantes." (...)

    "Après le départ de Paris, leur première destination avait été, au bout de deux mois sur les routes, le village de Tal Arboush, dans la Djézireh, à l'est de la Syrie. Charles se souvient encore du regard rêveur de Charbel. Il savourait un narguilé assis dans son jardin. Sa coupe de cheveux et sa stature lui donnaient des airs de James Dean. A un détail près: un immense tatouage de la Vierge Marie haut en couleur occupait tout son avant-bras et faisait écho à un dessin de la croix gravé sur son biceps. Il était le troisième fils de l'une des quarante familles catholiques peuplant le village de Tal Arboush, seul village catholique sur des dizaines de kilomètres. Ils parlaient l'araméen comme les premiers chrétiens. Depuis six mois, Tal Arboush ne répond plus. Charles n'a plus de nouvelles de Charbel. Les derniers chrétiens."

    Le livre : Sur les traces des chrétiens oubliés, de Charles Guilhamon, Calmann-Lévy, 430 p., 21.50 €

    Tout l'article est ici : A la rencontre des chrétiens du bout du monde

  • Les Belges, ces "accidentés de l'histoire"

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    C'est ainsi que Patrick Roegiers les évoque à l'occasion de la sortie de son nouveau roman à paraître chez Grasset, intitulé "Le bonheur des Belges"; c'est ici : levif.be

    Citation :

    « Les Belges sont des accidentés de l’histoire, ils ressemblent aux gens qui ne croient pas au bonheur alors qu’ils l’ont en eux. Les Flamands en profitent pour instrumentaliser un désir de Nation. Le projet névrotique de Bart de Wever démonte le mythe du pays, en le tuant il fera aussi périr la Flandre. La Wallonie n’a pas d’avenir et la Flandre s’euthanasie ! » Roegiers raconte donc « une histoire optimiste sur fond de désastre. » (...) « Ce n’est pas un roman sur le passé, mais sur le présent. Il part d’un pays qui disparaît mais mon héros distille du bonheur et de la lumière. Ma nostalgie est joyeuse, tel est le secret du livre. Toute la Belgique s’y trouve, alors prenez-le comme un cadeau.» De la part d’un homme profondément blessé.

  • Une lettre pastorale de nos évêques

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    cover_1345725920_thumb150.jpg« Etre chrétien aujourdhui »

    Source : ZENIT.org

    Les évêques de Belgique publient une lettre pastorale qui pose des jalons pour « être chrétien aujourd’hui », annonce un communiqué du 27 Août 2012.

    Avec cette nouvelle lettre, les évêques invitent « toute la communauté croyante » à « méditer sur le vrai sens d'être chrétien aujourd'hui » et à « chercher ensemble ce que signifie concrètement mettre ses pas dans ceux de Jésus ».

    La Lettre pastorale « Être chrétien aujourd'hui » (Editions Licap scrl) sera accompagnée de six clips vidéo qui présentent le témoignage et la vie de chrétiens. Les vidéos seront disponibles en ligne à partir du 1er octobre.

    Alors qu’ « aujourd'hui la souffrance et le découragement sont partout », dans une société déterminée par « le stress, l'angoisse et la course aux performances », les évêques de Belgique souhaitent « nourrir la réflexion » sur « ce que signifie d'être chrétien aujourd'hui » et « comment s'y prendre concrètement ».  

    La foi n'est pas une « solution miracle » mais de nombreuses personnes « se sentent interpellés par la simplicité et la joie de l'Évangile », constatent les évêques.

  • Le numéro 1524 de l'Homme Nouveau

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    Au sommaire du numéro 1524 daté du 1er septembre 2012 :

    Dossier : La spiritualité orientale

    Notre époque ressemble à bien des égards aux premiers siècles chrétiens. Les Pères de l'Église nous livrent une source spirituelle.

    Actualités

    Vatican : La sage gouvernance de Benoît XVI.

    Bioéthique : Une victoire mitigée.

    L'Appel d'Alain Tasso pour les chrétiens du Liban : À l'approche de la visite du Pape au Liban, l'écrivain franco-libanais Alain Tasso lance un appel pour le renouveau de l'Église au Proche-Orient.

    Des sandwiches qui dérangent aux USA : L'affaire Chick-fil-A dénote une volonté de lutter contre ceux qui osent défendre le mariage.

    La prévention du suicide, une des priorités de santé publique.

    Culture

    Alexandre Vialatte, un Auvergnat irréfutable.

    Figure spirituelle

    Sainte Jeanne Jugan, amie et Petite Sœur des Pauvres.

    Magistère

    Saint Dominique, un homme de prière avant tout.

    Tribune

    Le cardinal Zen, une force au service du Christ.

    Disponible à la boutique de l'Homme Nouveau :
    Journal n°1524 du 01-09-2012

  • Lénine démythifié

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    9782262034542.jpgUne nouvelle biographie de Lénine est recensée par Victor Scribe dans En kiosque ("Riposte catholique"):

    Les éditions Perrin publient en cette fin du mois d’août une grosse biographie de Lénine. Elle est signée Robert Service, enseignant à l’université d’Oxford et déjà auteur d’une biographie de Trotski dont la traduction en français a déjà été publiée aux éditions Perrin en 2011.

    Partant du fondateur de l’Armée rouge, qui était loin d’être un enfant de chœur qui aurait seulement été la victime des vindictes de Staline, l’auteur s’est intéressé tout naturellement à Lénine. C’est une grosse biographie (576 pages, 28€), à l’anglo-saxonne, fouillée et précise, mais bien vivante. Biographie politique certes, mais non pas d’abord étude ou analyse politique.

    Robert Service retrace un itinéraire et raconte les points saillants d’une vie mouvementée, engagée, lugubre par bien des endroits. Il a eu accès aux archives « Lénine » du parti communiste soviétique et il s’appuie sur des documents souvent inédits pour découvrir la personnalité complexe de Lénine. La réussite de celui-ci, et la réussite de la révolution bolchevique, s’expliquent par bien des aspects de cette personnalité, ce qui est déjà une contradiction des principes déterministes du marxisme.

    Donnant à voir la personnalité de Lénine, il le démythifie également. Tout ce que Lénine a entrepris n’a pas réussi (même de son point de vue). Malgré son génie révolutionnaire, il y eut des échecs et des ratés. L’auteur ne le présente pas non plus comme « blanc comme neige » selon la vulgate qui s’est imposée après Staline qui aurait été le seul monstre de l’histoire communiste. Sans être la biographie définitive sur le personnage, ce nouveau livre apporte un regard et des informations qui méritent d’être pris en compte. Pour fuir définitivement la tentation communiste.

  • Quand un évêque prend la peine d'expliquer le catéchisme

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    FIC69255HAB40.jpgPour l'année de la foi : "Le catéchisme expliqué"

    (Prix : 19,90 €; 2012; Editeur : Artège, 376 pages.)
     
    Présentation de l'éditeur

    L'Église vit pour transmette la Bonne Nouvelle du Royaume de Dieu, pour faire connaître et aimer le Christ, pour inviter les hommes et les femmes de tous les pays et de toutes les générations à marcher à la suite du Christ. C’est sa principale raison d’être. Dans cette vocation essentielle de l’Église, le ministère épiscopal comporte une responsabilité propre : transmettre la foi.

    Cet ouvrage nous est donné comme une réponse paternelle de Monseigneur Raymond Centène à l’appel de sa propre devise épiscopale « Pour que la génération à venir Le connaisse ».

    Il cherche à éclairer, fortifier et soutenir tous ceux qui partagent et partageront la sollicitude de son cœur d’évêque. Il nous donne ici une présentation complète et lumineuse de la foi catholique, accessible à tous.

    Ces entretiens sur le Catéchisme de l’Église catholique offrent, sous forme de question/réponse, un guide indispensable pour découvrir ou revivre les piliers de la foi.

    L'auteur :

    Raymond Centène, né en 1958 à Banyuls-sur-Mer, est évêque de Vannes depuis 2005. Docteur en droit et diplômé de l'Université pontificale grégorienne, il est, depuis le début de son ministère, particulièrement préoccupé par les questions de catéchèse et par la transmission de la foi aux plus jeunes.