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Livres - Publications - Page 169

  • "Marie, mon secret", un livre du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine

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    Source : "De l'amour en éclats"

    Le 13 février paraîtra en librairie un livre du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine :

    Marie, mon secret. Conversation avec la Vierge

    Préface : P. Bernard Ardura, o.praem., Président de la Commission Pontificale de Sciences Historiques

    Qui n'a pas rêvé une fois dans sa vie de rencontrer des êtres célestes et de communiquer avec eux ? Quel chercheur de vérité n'a pas un jour voulu déchirer le voile qui sépare la terre de l'éternité, pénétrer dans le monde surnaturel, et peut-être – pourquoi pas? –- comme de nombreux enfants, rencontrer la Vierge et parler avec Elle ?

    À défaut de visions, c'est au prêtre mais aussi au poète écrivain qu'il faut oser demander cette entrée dans l'Infini, capable de fortifier la foi ou tout simplement de la donner.

    Dans ce livre féérique où la qualité de l'écriture fait déjà toucher le divin, le rêve est assuré, la Vierge est là, toute proche, et le dialogue s'instaure, et son être se dévoile, et les idées subjuguent, et la lumière descend !

    En cours de route, sur le chemin de l'extase, quelques visages de Marie, trésors des Musées du Vatican, agrémentent le voyage et achèvent de plonger l'âme dans la pure beauté. Aux passionnés de Dieu et aux amoureux de Marie, ce livre !

  • L'Homme nouveau : sommaire du numéro 1510 du 28 janvier 2012

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    Evénement

    Économie

    Le rôle de la monnaie

    La crise économique qui secoue le monde est intimement liée à la dégradation de la politique monétaire. Analyse.

    Dossier

    Débat

    Les cathos doivent-ils descendre dans la rue ?

    L'abbé Guillaume de Tanoüarn et l'abbé Pierre-Hervé Grosjean débattent sur le rôle des catholiques face au sacrilège.

    Actualités

    Au prochain consistoire, le Pape créera 22 cardinaux.

    Les chrétiens agissent : Il n'y a pas de sphère économique neutre.

    Pour Ovidiu Hurduzeu, l'économie profane a profané le monde. Un regard différent sur la crise.

    Diplomatie vaticane

    Benoît XVI face aux nations

    Pour la huitième fois de son pontificat et selon la tradition, le Pape Benoît XVI s'est adressé au Corps diplomatique.

    Culture

    Carte blanche : Jean de Viguerie évoque Jeanne d'Arc.

    Léon Tolstoï : une vie bouleversée par l'Évangile.

    Figure spirituelle

    Saint Albert Hurtado, apôtre du Christ au Chili.

    Magistère

    Les évêques appelés à suivre l'étoile qu'est le Christ.

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  • Un entretien avec le Cardinal Julien Ries

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    Notre ami L.W., du Forum Laïc Catholique Romain, a rencontré Monseigneur Julien Ries, notre nouveau cardinal. Il nous fait l'immense plaisir de nous communiquer l'interview que le prélat lui a accordé et nous autorise à le reproduire ici. Nous lui exprimons notre plus vive gratitude ainsi qu'à tous nos amis du Forum Laïc Catholique Romain.

    Entretien avec Monsieur le Cardinal Ries, Villers-Saint-Amand, le 16 janvier 2012

    Parcours

    Avant de commencer l’interview, nous voulions vous féliciter, au nom de tous les membres du Forum laïc catholique romain, pour votre accession au cardinalat.

    Monsieur le cardinal, vous êtes né en 1920 à Fouches, près d’Arlon. Pourriez-vous nous dire quelques mots de la vie dans ce petit village de la province de Luxembourg à l’époque de votre enfance ? Avez-vous certains souvenirs de messes célébrées à l’Eglise Saint Hubert de Fouches ?

    À l’époque, c’était un village vraiment sympathique ; ça le reste encore mais évidemment, aujourd’hui, il est devenu beaucoup plus grand ; et dans ce village, on s’entendait vraiment très bien. Nous avions un excellent curé. Je lui servais la messe tous les matins, pendant toute l’année et à l’âge de douze ans, je lui ai dit : « je veux devenir prêtre ». Alors, il s’est occupé de moi ; il m’a appris le latin ; il m’a appris le grec ; nous avons fait un tour de la grammaire française ; et c’est comme cela qu’il m’a préparé à entrer au Séminaire de Bastogne. J’ai pu entrer ainsi directement en cinquième latine ; l’année où j’avais beaucoup travaillé avec lui a compté pour mon diplôme normal d’humanité. C’était possible à l’époque : on pouvait faire une année en dehors d’un institut, d’une école ou d’un séminaire.

    Dans ce village, il y avait une excellente pratique religieuse ; même en semaine, il y avait beaucoup de monde bien que la messe était célébrée tôt, à sept heures du matin et cela même en hiver. Nous avions un très bon personnel enseignant aussi. Il y avait une particularité, dans ce petit coin de la Lorraine belge : à l’époque on parlait trois langues : le luxembourgeois, le français et l’allemand. Si bien qu’à l’âge de 12 ans, je connaissais ces trois langues. Et cela a été très précieux. C’était une vie vraiment très agréable…

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  • Un imprimatur pour les publications électroniques ?

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    Le bimensuel « L’Homme Nouveau » a interrogé le Vicaire Général du diocèse de Paris sur cette idée qui a germé dans l’appareil épiscopal :

     « Mgr Michel Aupetit est vicaire général du diocèse de Paris. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier en date est L'Homme, le sexe et Dieu (éditions Salvator). Il a bien voulu nous accorder un entretien après la circulation sur Internet d'une déclaration concernant l'abbé Pagès et plus largement la prise de parole sur Internet au nom de l'Église.

      Vous avez souligné, dans une déclaration du 15 décembre sur l'abbé Pagès, les difficultés liées à l'absence d'imprimatur pour les documents circulant sur Internet, spécialement les vidéos. Tout d'abord, qu'est-ce que l'imprimatur ? Par qui est-il délivré et en quoi se distingue-t-il du nihil obstat ?

     L'imprimatur, c'est l'autorisation de l'autorité hiérarchique pour imprimer un ouvrage. Le nihil obstat indique simplement que dans le texte rédigé il n'y a rien de contraire à la foi. Ce sont des théologiens désignés par l'évêque et sous l'autorité de celui-ci qui les délivrent.

     Quelles sont les difficultés que pose cette prolifération de documents fournis par des catholiques soucieux, pour beaucoup, de transmettre leur foi ?

    On peut tout d’abord se réjouir de cette prolifération qui montre l’intérêt croissant du public pour la question religieuse et la volonté des fidèles d’évangéliser avec les outils modernes mis à leur disposition. La difficulté essentielle est la même que pour tous les documents publiés sur Internet. Elle concerne la validité et la fiabilité de ce qui est ainsi proposé et la manière dont une personne de bonne volonté va pouvoir exercer son jugement dans cette abondance.

    Faut-il envisager un élargissement du droit canonique concernant un imprimatur puisqu’il ne porte actuellement que sur certains imprimés, comme son nom l’indique d’ailleurs ?

    On peut toujours imaginer un élargissement de reconnaissance de la valeur théologique des différentes productions. Aujourd’hui, on assiste à des controverses via internet qui finissent sur le bureau de l’official du diocèse, délégué par l’évêque pour exercer la juridiction contentieuse. Dans l’état actuel, il me semble exagéré de recourir à l’officialité quand il s’agit seulement d’une « disputatio », aucun des auteurs ne pouvant se dire, malgré ses titres et son savoir, représentant attitré du magistère.

    Comment, sur le plan purement pratique, un tel « label de catholicité » pourrait-il être mis en place et qui pourrait donner ce fameux label ?

    Actuellement, il est difficile d’envisager la mise en place par l’évêque d’une équipe capable de visionner et d’étudier l’abondance des productions sur le web. Ce qui serait souhaitable n’est pas toujours possible.  Il faudra donc pour tous ceux qui souhaitent éclairer leur intelligence de la foi, consulter les documents officiels comme, par exemple, le Catéchisme de l’Église catholique.

    Au-delà des difficultés pratiques, comment cette idée pourrait-elle être recevable alors qu’elle contredit l’esprit de liberté d’expression qui caractérise Internet ?

    Chacun est absolument libre de s’exprimer comme il le veut. Mais dans ce cas, il donne une opinion personnelle, parfaitement respectable, mais qui n’engage que lui et en rien la foi de l’Eglise. Celle-ci repose sur la foi de Pierre et des Apôtres du Seigneur et de leurs successeurs, à savoir les évêques chargés de sa transmission et de son intégrité (Mt, 16, 18 ; Lc, 22, 32 ; Eph 4, 11 ; Col 2, 7 ; 1 Tm 4, 6). Retour ici.

    Un label « catholique garanti » délivré  par les autorités ecclésiales à certains sites ou productions électroniques qu’elles ne contrôle pas ?  Sur base de quels critères : la soumission à la ligne d’un évêché ou d’une conférence épiscopale, à moins de créer une commission de contrôle doctrinal au sein de la congrégation romaine de la doctrine de la foi?… Bonne chance dans la jungle. Et si on vérifiait déjà ce qui sort de certaines officines médiatiques appartenant aux structures de l’Eglise ?

  • Une grande poétesse "étonnamment libre"

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    Almanache-MNoel.pngLa récente édition de "l'Almanach pour une jeune fille triste" a remis - et ce n'est que justice - Marie Noël à l'honneur.

    Philippe Kersantin lui consacre un billet dans l'Homme Nouveau tandis que Diane Gautret, dans "Famille Chrétienne" recense cette parution qu'elle salue ainsi :

    "Magnifique victoire contre le désespoir que cet Almanach pour une jeune fille triste, livre inédit qui respecte l’esprit de Marie Noël. Il constitue le versant ­lumineux des Notes intimes de la poétesse catholique."

    Lire cette recension : http://www.famillechretienne.fr/

     

  • Soutenus par Pie XII, les évêques français contre les rafles

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    Anita S. Bourdin, sur Zenit.org, rend compte d'un dossier paru dans "Histoire du Christianisme Magazine"

    France : « Les évêques contre les rafles »

    Soutenus par Pie XII

    « Les évêques contre les rafles » titre en couverture « Histoire du Christianisme Magazine » qui précise : « Soutenus par Pie XII » dans son édition de janvier-février 2012 (n. 58) : un dossier réalisé avec le concours d’une historienne agrégée, Sylvie Bernay, qui rassemble l’essentiel de sa thèse de doctorat, encore inédite et qui devrait paraître en avril prochain aux éditions du CNRS sous le titre : « L’Eglise en France face à la Shoah ».

    « Comment les évêques français, soutenus par le pape Pie XII, ont-ils tenté de freiner la machine génocidaire ? » demande l’auteur en se fondant sur des fonds d’archives jusqu’ici inexplorés.

    HCM expose, dans ce dossier de 28 pages, richement illustrées, les « réseaux chrétiens de sauvetage » des juifs pendant l’occupation nazie, montre comment les libertés se sont décidées face aux persécutions, comment Pie XII a manifesté son soutien , elle indique certains « diocèses refuges » et propose ainsi une nouvelle vision de la réaction catholique face à la Shoah.

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  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique - 13 janvier 2012

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    images (4).jpgSommaire

  • BXL et Tournai, 16 et 17 janvier : Divorcés, aimer encore

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    Le père Michel Martin-Prével en Belgique pour présenter son nouveau livre

     « Divorcés Aimer encore»

    le 16 janvier 2012 à 19h30 à Bruxelles (librairie UOPC).

    le 17 janvier 2012 à 17h30 à Tournai (librairie Siloé, rue des Jésuites 28)

    Le Père Michel Martin-Prével est membre de la Communauté des Béatitudes en France depuis 1981. Veuf après trente-deux ans de mariage, et père de trois enfants, il a été ordonné prêtre en 2009. Il exerce un ministère d'accompagnement auprès de couples en difficulté et de divorcés depuis plus de vingt ans. Il est également l’auteur de plusieurs livres aux Editions des Béatitudes dont : « La communion de désir » et « Lettre aux divorcés ». Il a une grande expérience pastorale avec des couples mariés, des époux séparés vivants seuls et des personnes divorcées remariées.« L’objet de ce livre est d’aider des divorcés, qui se trouvent dans n’importe quelle situation, à retrouver leur vocation humaine à l’amour et à prendre pleinement leur place dans l’Eglise, après avoir connu un échec conjugal».  L’auteur résume ainsi son travail en précisant qu’il ne s’adresse pas qu’à des personnes divorcées mais vise à faire comprendre à un large public la parole de l’Eglise sur cette question difficile, douloureuse et délicate du divorce. Pari audacieux d’autant plus qu’il entreprend avec courage, comme le remarque le père Sonnet dans sa préface, de montrer que si cette position parait dure et peu compréhensible dans la société actuelle c’est parce que l’Eglise entend rester fidèle à l’enseignement du Christ, pour redire la beauté et la grandeur du mariage chrétien. Une approche positive pour aider divorcés, restés seuls ou remariés à progresser vers l’attitude juste entre miséricorde et vérité, et vivre en paix leur situation.

    www.ouipourlavie.org

  • "Une souffrance cachée": une brochure de la conférence épiscopale

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    L'information est apparue ce matin sur le site de catho.be :

    "Dans la foulée des travaux de la Commission parlementaire «  », qui a abouti entre autres à la constitution de tribunaux d’arbitrage pour indemniser les victimes d’ dont les faits sont prescrits aux yeux de la loi, la Conférence épiscopale présente ce jeudi matin à la presse une brochure intitulée « Une souffrance cachée – Pour  une  approche globale des  abus  sexuels  dans  l’Eglise ». Ce document de 52 pages, publié aux Editions Licap, entend être la réponse des Evêques de Belgique et des Supérieurs des Religieuses et Religieux de Belgique aux cas d’abus sexuels commis notamment par des membres du clergé.  L’ouvrage est divisé en deux parties. La première vise, entre autres, à tirer les leçons de récits douloureux entendus de la part des victimes et porte à rompre le silence et à ne pas  ne pas laisser les abuseurs en paix.  La seconde partie entend poser les jalons en vue du traitement et de la prévention des abus sexuels..."

    lire la suite ici : http://info.catho.be/

    Tout cela est sans doute bel et bien mais personne ne nous empêchera de penser que ces dérives tragiques se sont produites dans un contexte d'atonie religieuse et de relâchement généralisé et qu'il serait grand temps de retrouver un tonus religieux et spirituel à la hauteur des défis actuels. Dans la perspective de cette année de la foi qui s'ouvrira à l'automne prochain, nous sommes curieux de voir quelles propositions seront faites aux catholiques de Belgique pour sortir de cette léthargie déprimante. 

     

  • Le vrai Trotski

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    Deux ouvrages récents présentés par Jacques Franck restituent la vérité historique concernant ce personnage souvent présenté de façon idéalisée. Un peu comme la figure du Che. Un minimum d'honnêteté et de souci d'objectivité historique conduit à faire tomber de leur piédestal ces hommes aveuglés par l'idéologie et pour lesquels les réalités humaines ne pesèrent pas lourd. Ainsi :

    "...La Révolution d’Octobre projeta (Trotski) sur le devant de la scène. Membre du Politburo, il s’y réconcilia avec Lénine et se montra toujours d’accord avec lui pour éliminer implacablement leurs adversaires, refuser toute liberté syndicale, créer une police politique, la Tchéka, et approuver son recours à la torture et aux exécutions capitales. Bref, constate Robert Service, "les idées et pratiques de Trostki ont participé aux fondements de l’édifice stalinien - politique, économique, social et même culturel : Staline, Trotski et Lénine avaient bien plus de points communs que de différences".

    Au témoignage de ses proches, il manquait fondamentalement du sens de l’amitié, et l’humanité était un sentiment dont il était "dépourvu". Extrêmement imbu de sa personne, il manquait totalement de sens politique, au point de sous-estimer par orgueil un Staline qui, lui, ne le ratera pas. Trotski fut assassiné à coups de piolet, le 29 août 1940, au Mexique où il avait trouvé refuge après que Léon Blum l’eut expulsé de France à la demande du parti communiste, au temps du Front populaire. Il y avait été accueilli par le peintre Diego Rivera qu’il remercia en faisant de sa femme, Frida Kahlo, sa maîtresse pendant quelques mois."

    Tout l'article est ici : Trotski, un orgueilleux sans humanité

  • Un nouveau cardinal belge

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    auteur1282.jpgParmi les nouveaux cardinaux qui recevront leur barette au prochain consistoire, il faut signaler le Professeur Julien Ries, présenté ainsi par les Editions du Cerf :

    Né à Fouches, près d'Arlon (Belgique), prêtre du diocèse de Namur, docteur en théologie et licencié en philologie et histoire orientales, Julien Ries a enseigné l'histoire des religions à l'Université de Louvain-la-Neuve de 1960 à 1990. Articles, livres, périodiques, collections, colloques, congrès et conférences, l'œuvre et l'activité du professeur Ries est vaste et multiforme. Pour l'ensemble de ses publications sur le sacré, l'Académie française lui a octroyé le prix Dumas-Millier en 1986 et le prix Furtado en 1987.

    Nous présentons au nouveau Cardinal toutes nos félicitations et nous nous réjouissons que soit reconnue l'oeuvre de toute une vie ainsi qu'un dévouement inlassable au service de l'Eglise catholique romaine.

    La Croix présente les nouveaux cardinaux ici

  • Un nouvel abus clérical découvert par Christian Laporte

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    laporte_jpg_h170_jpg_280.jpgCommentant aujourd’hui un livre paru, voici peu, aux éditions « Fidélité », le journaliste titre dans la « Libre » de ce jour : « Mgr Léonard s’en prend au Parlement » et poursuit :

    « L’archevêque veut inciter les chrétiens à mieux se défendre en politique. Ce n’est qu’un livre de 117 pages mais "Agir en chrétien dans sa vie et dans le monde" de Mgr Léonard va à coup sûr (re)susciter des débats passionnés (…)

    Jeudi, Mgr Léonard présentait la version flamande à Malines. Son objectif ? "Montrer qu’une morale attentive à la loi naturelle, soit laïque ou catholique, embrasse toutes les dimensions de l’existence. Car la vie morale est dynamisée par la recherche inlassable du bonheur et habitée par l’espérance."

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