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Médias - Page 121

  • Le couronnement des « opera omnia » de Joseph-Ratzinger-Benoît XVI : Jésus de Nazareth

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    Événement sur KTO. Le cardinal Gerhard Ludwig Müller, grand théologien, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, a été chargé par Benoît XVI de l'édition des oeuvres complètes du pape émérite. La publication en français comprend à présent la réunion en un seul volume des 3 ouvrages que Joseph Ratzinger a consacrés à la figure et au message de Jésus de Nazareth, fruit de toute une vie de travail et de méditation, source de débats. Qu'apporte cette recherche scientifique et spirituelle à la compréhension de Jésus ? Pourquoi lire et relire ce livre ? Le cardinal Müller lui-même vient présenter cette oeuvre majeure sur le plateau de Régis Burnet, en compagnie de plusieurs professeurs du Collège des Bernardins.

    JPSC

  • Le cardinal Vingt-Trois dénonce "un projet militant visant à éliminer toutes les religions de l'espace public"

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    Extrait de l'homélie du cardinal Vingt-Trois, archevêque de Paris, lors de la messe chrismale à Notre-Dame (mercredi 1/4) :

    "... nous ne sommes pas seulement devant un effacement culturel des références chrétiennes qui serait le fruit d’un oubli ou d’une inculture. Nous sommes devant un projet militant qui hérite, pour une part, des vieux filons anticléricaux du XIXe siècle en feignant de craindre que l’Église puisse exercer un pouvoir occulte. Pour une autre part, il exprime la difficulté des hommes à reconnaître une véritable transcendance. Ce projet militant ne combat pas seulement le catholicisme comme une cible privilégiée. II vise aussi à l’élimination de toutes les religions de l’espace public et notamment de la religion musulmane. Même si certaines revendications laïques ne sont souvent que l’habillage républicain d’un anti islamisme ou d’un antisémitisme larvé et inavoué, elles ne sont pas sans effet sur l’attitude à l’égard du christianisme dans notre société. Nous éprouvons concrètement que ce militantisme aboutit à des aberrations qu’il s’agisse des discussions oiseuses sur les crèches ou sur les menus des cantines ou encore du récent refus de la RATP d’annoncer un concert en faveur des Chrétiens d’Orient dont, par ailleurs, la France prend à cœur d’assurer la défense à l’O.N.U. tandis qu’elle fait légitimement état de l’accueil qu’elle accorde à des chrétiens syriens. Quand l’ignorance culturelle assimile toutes les religions à un modèle unique de croyance et à un unique système de fonctionnement elle devient inapte à une laïcité authentique et elle ouvre le champ social à l’émergence d’un « front des religions ». Si la dérision et la caricature ont leurs auteurs qui doivent pouvoir s’exprimer, une société civilisée ne peut pas réduire le socle culturel de son unité à ce seul modèle. Elle doit sans cesse développer les capacités rationnelles et créatives de ses membres et les faire respecter y compris dans leurs expressions religieuses qui ne sauraient devenir les seules victimes d’une nouvelle censure."

  • Transmettre la culture de la vie

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    Les « marches » et autres manifestations « pour la vie » se succèdent,  avec des succès divers. La Belgique n’est pas, pour l'instant, à la pointe du succès sur ce point. Quoi qu’il en soit, dans la promotion de la culture de la vie, il est fondamental de ne pas abandonner la bataille de l’opinion publique. Sur le site "Didoc", Lucia Martinez Alcade nous rappelle quelques clés utiles pour réussir à transmettre le message:

    « Cela s’est vérifié aux Etats-Unis : bien que les médias les plus importants y soient pro choice (« pour le choix », c'est-à-dire en faveur de l’avortement), les pro life (« pour la vie ») ont réussi à entretenir le débat social jusqu’à obtenir un soutien majoritaire dans l’opinion publique.

    Avec une majorité de médias pro choice, 48% de la population des États-Unis se déclare pro life, face à 45% qui se déclarent en faveur de l’avortement, d’après l’enquête Gallup réalisée en mai 2013. Il a fallu quarante ans pour obtenir ce revirement de l’opinion publique, depuis que le Tribunal Suprême a éliminé les restrictions à l’avortement en 1973. Cela n’a été possible que grâce au dynamisme de la société nord-américaine.

    Avec ce panorama, comment communiquer la culture de la vie de façon efficace ? María Martínez Orbegozo propose six clés, qui tiennent compte des années de pratique de l’avortement dans la société occidentale et des différentes campagnes réalisées autour du sujet.

    Communication positive

    Dans des enquêtes réalisées auprès de femmes en âge de procréer et susceptibles d’affronter des situations induisant à avorter, on a constaté que les campagnes pro life négatives (par exemple, des photos de fœtus avortés) provoquaient un rejet. Il n’en va pas de même avec d’autres types de campagnes centrant leur message sur la femme, sur la valeur positive de la maternité, sur des clips mettant en scène des filles courageuses qui décident de garder leur enfant…

    « Les messages positifs t’inclinent à dire “oui” à ce qu’on te propose », signale María Martínez Orbegozo. Elle ajoute que les manifestations pro life produisent le même effet : on y voit de la joie, des familles, on y entend de la musique ; tout le contraire de l’attitude de féministes radicales qui manifestent de façon violente, en proférant des insultes et en posant des gestes grossiers.

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  • Mgr Léonard : "Je ne suis pas Charlie"

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    Nos amis d'Espérance Nouvelle se font l'écho de l'entretien accordé par Mgr Léonard à l'hebdomadaire "Paris Match" :

    Grand entretien de Mgr Léonard avec Paris Match : "Je ne suis pas Charlie"

    Dans le sillage du Pape François et de ses nombreux entretiens accordés à la presse séculière, Mgr Léonard a accepté d'être interrogé par le célèbre magazine français.

    "Le 6 mai prochain, André-Joseph Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles, primat de Belgique, aura 75 ans et enverra sa "lettre de renonciation" au Pape. L'occasion du bilan d'une vie. Dans ce grand entretien accordé à Paris Match, Mgr Léonard n'élude aucun des grands débats qui traversent l’Église. Mieux, il se livre avec beaucoup de franchise et d'humilité, conférant à ce texte un statut de véritable confession [au sens profane bien entendu; NdEspN]. 

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  • Sur Arte, un documentaire concernant l'avortement à ne rater sous aucun prétexte

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    De France Catholique :

    La réalisatrice Renate Günther Greene a avorté à l’âge de 25 ans. Après plusieurs décennies de refoulement, son retour sur les lieux de l’intervention l’a submergée de douleur. Elle a alors cherché à entrer en contact avec des femmes au parcours similaire, mais s’est heurtée à un mur de silence. Pourquoi, alors qu’elles avaient revendiqué haut et fort le droit à disposer de leur corps dans les années 1970, les femmes éprouvent-elles tant de difficultés à assumer le recours à l’avortement ? La réalisatrice a rencontré la rescapée d’une IVG qui, adolescente, a sombré dans l’anorexie avant de découvrir que son sentiment d’être jumelle ne relevait pas de la démence mais venait de l’intervention subie par sa mère quand elle la portait. Trois femmes qui ont avorté quand elles étaient plus jeunes racontent par ailleurs leur expérience et ses conséquences, entre relative sérénité et culpabilité suffocante.

    http://www.arte.tv/guide/fr/051843-...

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  • Pour une "culture de la vie" qui soit "contagieuse"

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    dbc049c3b810a8a2824091b5166c5334.jpgSix clés pour transmettre la culture de la vie (sur didoc.be - Lucia Martinez Alcalde)

    Dans la promotion de la culture de la vie, il est fondamental de ne pas abandonner la bataille de l’opinion publique.

    Cela s’est vérifié aux Etats-Unis : bien que les médias les plus importants y soient pro choice (« pour le choix », c'est-à-dire en faveur de l’avortement), les pro life (« pour la vie ») ont réussi à entretenir le débat social jusqu’à obtenir un soutien majoritaire dans l’opinion publique.

    Avec une majorité de médias pro choice, 48% de la population des États-Unis se déclare pro life, face à 45% qui se déclarent en faveur de l’avortement, d’après l’enquête Gallup réalisée en mai 2013. Il a fallu quarante ans pour obtenir ce revirement de l’opinion publique, depuis que le Tribunal Suprême a éliminé les restrictions à l’avortement en 1973. Cela n’a été possible que grâce au dynamisme de la société nord-américaine.

    Avec ce panorama, comment communiquer la culture de la vie de façon efficace ? María Martínez Orbegozo propose six clés, qui tiennent compte des années de pratique de l’avortement dans la société occidentale et des différentes campagnes réalisées autour du sujet.

    Communication positive

    Dans des enquêtes réalisées auprès de femmes en âge de procréer et susceptibles d’affronter des situations induisant à avorter, on a constaté que les campagnes pro life négatives (par exemple, des photos de fœtus avortés) provoquaient un rejet. Il n’en va pas de même avec d’autres types de campagnes centrant leur message sur la femme, sur la valeur positive de la maternité, sur des clips mettant en scène des filles courageuses qui décident de garder leur enfant…

    « Les messages positifs t’inclinent à dire “oui” à ce qu’on te propose », signale María Martínez Orbegozo. Elle ajoute que les manifestations pro life produisent le même effet : on y voit de la joie, des familles, on y entend de la musique ; tout le contraire de l’attitude de féministes radicales qui manifestent de façon violente, en proférant des insultes et en posant des gestes grossiers.

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  • Séjour parisien du Cardinal Robert Sarah (suite): changer l’Eglise, pour quoi faire ?

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    Interview du Cardinal Robert Sarah par le Journal du Dimanche :

    Le quatrième personnage de la Curie, le cardinal Sarah, se pose en défenseur de la doctrine et de la famille. À ses yeux, la vision du mariage que veut imposer l’Occident est "ahurissante".

    Originaire du nord de la Guinée, le cardinal Robert Sarah, 69 ans, a été nommé en novembre préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements. Au Vatican, qui ne compte que deux cardinaux africains, il conseille le pape François pour la préparation de son premier voyage sur le continent noir, qui le conduira en décembre en Ouganda et en République centrafricaine. Nommé évêque à 34 ans par Jean-Paul II, créé cardinal en 2010 par Benoît XVI, il se veut le défenseur de l'église africaine et de ses 187 millions de fidèles.

    Divorces, mariage pour tous, unions libres, familles recomposées… La notion de famille change. Le Vatican vient d'envoyer un questionnaire aux chrétiens du monde entier pour les interroger sur ces questions. L'Église est-elle prête à une plus grande ouverture?

    Mais l'Église est déjà ouverte! Les divorcés y ont leur place, leurs enfants également. Tout comme les homosexuels, qui doivent être accompagnés dans leur foi.

    La question n'est pas là. L'Église doit-elle aller plus loin pour suivre les évolutions de la société?

    Je pense souvent à l'histoire de Naboth, qui possédait une vigne que convoitait le roi Achab. Naboth est mort car il a refusé de vendre sa terre qui lui venait de son père et de ses ancêtres. L'héritage est un trésor à conserver même si en apparence cela ne représente rien. Pourquoi l'Église devrait-elle changer alors qu'elle vient d'entrer dans son troisième millénaire? Sur les questions que vous avez évoquées, Dieu est clair. Il considère que la matrice de la famille se compose d'un homme et d'une femme. Jean-Paul II s'est prononcé sans ambiguïté sur les remariés. Ils ne peuvent communier.

    Vous faites partie de ceux qui ont fait entendre une voix dissidente, attachée à la tradition, lors du dernier synode sur la famille…

    Le synode n'a aucun pouvoir doctrinal mais uniquement pastoral. Les évêques émettent des propositions discrètes au pape. Ce ne sont que des exhortations. Soigner quelqu'un, c'est du domaine de la pastorale mais la composition des médicaments relève de la doctrine. En dernier ressort, c'est le pape qui décide. Je fais partie de ceux – et ils sont très nombreux – qui ne laisseront pas la pastorale prendre le pas sur la doctrine. La doctrine, c'est la fondation sans laquelle la maison s'effondre.

    «La vision du mariage que l'on veut nous imposer est ahurissante»

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  • Hozanna, "réseau social pour les chrétiens", présenté par Le Vif

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    Sous la plume d'un stagiaire, leVif.be présente le réseau de prière créé par Hozanna.org :

    Hozana, un réseau social pour les chrétiens

    Profil personnalisé, "Like" et chaines de prières : Hozana offre l'opportunité à chaque chrétien de partager sa foi en développant des rencontres "qui s'inscrivent dans l'éternité".

    Hozana, un réseau social pour les chrétiens

    La chaine de prières "pour plaire à Marie". © Capture d'écran

    Ne dites plus "Like", mais "Amen" : sur hozana.org, c'est en effet par ce dernier que l'on marque son "adhésion" aux messages postés, tels que "Prions pour que nous soyons plus indulgents avec nos frères" ou "Seigneur, aide les chrétiens qui sont persécutés partout dans le monde". Cette fonctionnalité n'est toutefois qu'un court verset du site français, véritable "Bible interactive".

    Sur Hozana, l'activité principale consiste à créer des "chaines de prières". Créées librement (mais soumises à validation), elles rassemblent les membres autour d'une même intention : prier pour le carême, le Pape François ou la fidélité. "Plusieurs élus ont manifesté leur désapprobation vis-à-vis de campagnes publicitaires qui encouragent les relations extra-conjugales. Prions pour ces personnes courageuses", propose Théophane, auteur de l'intention "Priez pour la fidélité dans le mariage". À l'heure actuelle, c'est la "Prière pour les chrétiens d'Irak" qui remporte le plus franc succès.

    Une "Carte des priants" permet par ailleurs de localiser les croyants inscrits. On découvre que Bruxelles compte 14 "priants". Un onglet "Prière proposée" suggère des prières de manière aléatoire.

    "Hozana souhaite rendre plus concrète l'union des chrétiens au travers de la communion des Saints, en leur permettant de se rassembler autour d'intentions de prière partagées", ambitionne l'équipe du site internet, qui a développé le projet en collaboration avec le réseau catholique aleteia.org et l'association Marie de Nazareth."Hozana n'est pas un site de rencontres éphémères. Ces rencontres y sont de l'ordre de l'invisible et pourtant elles sont plus solides que n'importe quelles autres rencontres, car elles s'inscrivent dans l'éternité."

    Lors de l'inscription, l'anonymat est garanti : en plus d'un prénom et d'une localité, les seules données sollicitées sont votre "Verset biblique favori" ainsi qu'une "Prière que vous aimez bien réciter". Pour photo de profil, vous avez le choix entre, par exemple, une colombe, Saint Pierre ou Saint Jean-Paul II.

    Lire la suite sur levif.be

  • Le cardinal Sarah sur "Europe 1" avec Jean-Pierre Elkkabach

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    Cardinal Sarah : « On ne peut pas détruire un... par Europe1fr

    ... et on peut lire sur le site du Point (Afrique) (Véronique Fortes) :

    Religion - Divorce et homosexualité : "Dieu est clair", dit le cardinal guinéen Sarah

    Pour Mgr Robert Sarah, il y a des incompréhensions profondes entre l'Afrique et l'Occident sur le divorce et l'homosexualité au sein de la curie romaine.

    Lors du premier synode sur la famille en octobre 2014, les ouvertures sur les divorcés remariés, les unions libres et les homosexuels ont beaucoup irrité les évêques africains, qui peinent déjà à défendre le modèle catholique monogame dans des pays à tradition souvent polygame. "L'Afrique propose à l'Occident ses valeurs sur la famille, l'accueil, le respect de la vie", explique ce cardinal réservé et modeste, l'un des deux membres africains de la curie romaine. "Les derniers papes ont eu une grande confiance dans l'Église d'Afrique, et c'est une invitation à jouer notre rôle", note le prélat.

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  • Un grand moment d'objectivité historique sur "Le Soir"

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    Trouvé dans le Soir, sous le titre « Dix saccages d’oeuvres pour raisons idéologiques ».

    http://portfolio.lesoir.be/v/2015-01-06_top/_27_02_15_oeuvres/

     

    Destruction_of_icons_in_Zurich_1524.jpgComme le premier « saccage » remonte à 560 avant J.-C., on aurait pu s’attendre à entendre parler des vitraux et statues détruits par les calvinistes, du sac de Cluny, de l’attaque contre la Pietà de Michel Ange, ou, de manière plus chauvine, de la destruction de la cathédrale Saint-Lambert... Mais non, dans ce top 10, on trouve :

    • les méchants cathos américains qui ont boudé les Beattles pour s’être comparés à Jésus Christ ;
    • les méchants cathos « proches de l’extrême droite » qui ont abîmé le piss Christ ;
    • les méchants cathos du "Printemps français, proche des idées du mouvement de la Manif pour tous, » qui «serait responsable des dégradations », du plug anal de Paul McCarthy sur la Place Vendôme...
  • Cardinal Sarah : tout sur sa venue en France

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    D’Elisabeth de Baudouin sur le site « aleteia » :

    topic (20).jpgOn attendait François en France en 2015. Alors que son voyage a été reporté en 2016, c’est l’un de ses plus proches collaborateurs, le cardinal guinéen Robert Sarah, qui vient en visite dans l’Hexagone, à l’occasion de la sortie de son livre   Dieu ou rien, entretiens sur la foi, écrit en collaboration avec l’écrivain Nicolas Diat (Ed. Fayard, 424 pages).


    L’un des hommes clés de la curie

    Qui est Robert Sarah ? Derrière l’homme discret, natif d’Ourouss en Guinée (1945) et ordonné prêtre en 1969 se cache en fait un « premier de classe » : nommé archevêque de Conakry à seulement 34 ans par Paul VI (1974), il est créé cardinal – le premier du continent africain - par Benoît XVI en 2010. Entretemps (2001), le « Bébé évêque », comme l’aurait surnommé le Pape Jean Paul II, a été appelé à Rome, d’abord comme « numéro deux » de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, dicastère en charge des Eglises des pays en développement, avant de devenir président de « Cor unum », le Conseil pontifical qui coordonne l’action humanitaire de l’Eglise.

    De là à lui confier la direction d’une congrégation pontificale, il n’y avait qu’un pas : François l’a franchi en novembre dernier, en le nommant à la tête de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, dicastère clé en charge de la question, sensible dans certains pays dont la France, de la liturgie. Comme cardinal de curie, il participé au synode sur la famille d’octobre dernier, où les évêques africains se sont signalés par leur défense des valeurs traditionnelles de l’Eglise concernant le mariage et la famille.

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