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Médias - Page 173

  • Des corbeaux au Vatican

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    Au sujet des "fuites" et de l'arrestation de leur auteur présumé, notre amie de "Benoît-et-moi" a traduit trois articles parus en Italie:

    Il y a

    • Marco Tarquino, le directeur de l'Avvenire, qui dit l'essentiel, en peu de mots très émouvants,
    • Vittorio Messori qui s'est (au sens propre du terme) retiré dans un couvent pour mettre la dernière main à son livre sur Sainte Bernadette, , et qui juge (donc) les choses avec une hauteur de vue rafraîchissante,
    • et Angela Ambrogetti, qui se demande avec nous "pourquoi a-t-il fait cela?".

    A lire ici

  • Les avatars d'une institution divine mais aussi humaine

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    Nous n'aimons pas ces histoires où "l'hommerie" vient éclabousser le rocher auquel est arrimée la barque de Pierre. Pourtant, c'est le lot d'une institution incarnée, faite d'hommes, exposée dès l'origine à la trahison de Judas, au reniement de Pierre, aux manoeuvres simoniaques, aux divisions et aux intrigues. Aujourd'hui, il s'agit d'un proche du pape qui dérobait des documents confidentiels pour les livrer à un journaliste sans scrupule, et du banquier du Vatican qui semble avoir failli et que l'on a prié de démissionner :

    Radio Vatican : Une personne a été interceptée au Vatican en possession illégale de documents secrets, dans le cadre d'une enquête de la Gendarmerie vaticane sur une série de fuites embarrassantes d’informations ces derniers mois. Jeudi soir, c’est le président de l'Institut pour les œuvres de religion, le IOR, qui était limogé. Ettore Gotti Tedeschi, le président de l’institution financière depuis moins de trois ans était visé par une motion de défiance de l’ensemble du conseil d’administration. Samedi dernier on faisait savoir en plus haut-lieu au Vatican que l’on menait l’enquête tous azimuts pour démasquer le ou les coupables depuis plusieurs mois de vols de notes internes, lettres et autres documents confidentiels touchant au plus près l’activité du Pape et du Saint-Siège. C’est chose faite. Ce vendredi midi, un communiqué nous faisait savoir que dans le cadre de cette enquête de la Gendarmerie vaticane sur cette série de fuites de documents et informations, une personne avait été arrêtée au Vatican en possession illégale de documents secrets…Interrogé par les journalistes, le père Federico Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège , a indiqué que "l'enquête lancée par la gendarmerie vaticane selon les instructions de la Commission des cardinaux et sous la direction du Promoteur de justice du Vatican ( càd le procureur) avait permis de localiser une personne qui est à présent entendue par la magistrature du Vatican pour d’ultérieurs approfondissements. Il s’agit en effet de découvrir les motivations réelles de ces vols de documents qui ont abouti notamment à la publication en Italie de "Sa Sainteté - Les documents secrets de Benoît XVI" du journaliste Gianluigi Nuzzi. Motivations purement financières, lutte d’influence, divergences face à la politique de transparence voulue par Benoit XVI …les médias se lancent dans les conjectures, d’autant qu’à tout cela viennent de s’ajouter les démissions jeudi soir du président de l’Institut pour les œuvres de religion (IOR), l’Italien Ettore Gotti Tedeschi, poussé à quitter ses fonctions par le Conseil d’administration de l’Institut financier. Le banquier part, après moins de trois ans, marqués surtout par l’application de la loi sur la transparence financière du Saint-Siège.

  • Quand un humoriste de bas étage donne dans l'anticatholicisme primaire...

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    ... cela donne ceci  : les attaques anticatholiques d'un histrion belge.

  • Quand des catholiques prennent la parole

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    Une site est ouvert sur le net intitulé "Paroles de Catholiques". Il se présente ainsi :

    Quelques paroissiens de base qui se réunissent : voilà la genèse de l’association Paroles de Catholiques, créée pour faciliter le dialogue sur tous les sujets débattus sur la place publique.

    « Paroles de Catholiques » est une association née en novembre 2010 à l’initiative de quelques paroissiens pour permettre aux laïcs catholiques d’exprimer leur point de vue personnel dans le monde d’aujourd’hui et à travers les medias.

    « Paroles de Catholiques » se fait connaitre dans les paroisses, les mouvements d’Eglise et les aumôneries. Elle organise une formation sur les questions d’aujourd’hui, ainsi qu’une formation media de quelques heures.

    Par des communiqués de presse, « Paroles de Catholiques » propose ensuite ces témoignages aux medias sur les sujets d’actualité, religieux ou non.

    Ainsi, un premier argumentaire téléchargeable (pdf) consacré à l'euthanasie a été mis en ligne, mais ce site propose aussi des formations, des dossiers thématiques, des textes fondamentaux, etc.

  • L'exorcisme à la une

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    Un procès sensationnel à Bruxelles, un film à Cannes ("Au-delà des collines"), et voilà l'exorcisme projeté à l'avant-plan. Même s'il s'agit d'exorcismes pratiqués en-dehors de l'Eglise (musulman dans le premier cas, orthodoxe dans le second), on se doute bien qu'on ne manquera pas de mettre en cause cette pratique dans le contexte catholique. Christian Laporte fait écho à cette question et propose un "éclairage" du Père T. Scholtès :

    L’exorcisme n’est pas ce que l’on croit - Christian Laporte

    Bien des inexactitudes ont été lancées à propos de l’exorcisme autour des assises de Bruxelles. Mises au point catholique mais aussi musulmane…

    Éclairage

    Le procès autour de la mort brutale de Latifa Hachmi devant la cour d’assises de Bruxelles a donné lieu à moult interprétations à propos de l’exorcisme dans plusieurs religions.

    Dans l’islam, bien entendu, puisque cette religion a été directement mise en cause, mais aussi à propos de l’Eglise catholique que l’on a associée un peu rapidement à certaines dérives dans lesquelles même les musulmans ne se retrouvent nullement. Démontons ces assertions...

    lire la suite : l'exorcisme n'est pas ce que l'on croit

    Voir aussi : l'exorcisme, ça existe encore aujourd'hui (catholique.org) où l'on conclut ainsi:

    Si l’exorcisme est aujourd’hui méconnu, il n’en demeure pas moins important pour la foi chrétienne, comme a voulu le rappeler Jean Paul II dans son discours du 24 mai 1987 :

    "Cette lutte contre le Démon, qui spécifie le personnage de l’Archange Saint Michel, est bien actuelle aujourd’hui encore, puisque le Démon est toujours vivant et agissant dans le monde. En effet, le mal qui est présent sur terre, le désordre..., l’incohérence ... ne sont pas seulement les conséquences du péché originel, mais aussi l’effet de l’action dévastatrice et obscure de Satan. »

  • 46ème journée mondiale des communications sociales : le message du pape

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    MESSAGE DU PAPE BENOÎT XVI POUR LA 46ème JOURNÉE MONDIALE DES COMMUNICATIONS SOCIALES [Dimanche 20 mai 2012 - sur "Radio Vatican"]:

    "Silence et Parole : chemin d’évangélisation"

    Chers frères et sœurs,

    A l’approche de la Journée Mondiale des Communications Sociales 2012, je désire partager avec vous quelques réflexions sur un aspect qui malgré son importance, est quelquefois négligé dans le processus humain de la communication. Il s’agit du rapport entre silence et parole dont l’importance doit être particulièrement soulignée aujourd’hui. Silence et parole sont deux moments de la communication qui doivent s'équilibrer, se succéder et se compléter pour parvenir à un dialogue authentique et à une profonde proximité entre les personnes. Lorsque parole et silence s'excluent mutuellement, la communication se détériore, soit parce qu’elle provoque un certain étourdissement, soit au contraire parce qu’elle crée un climat de froideur ; lorsque, en revanche, ils se complètent harmonieusement, la communication acquiert valeur et cohérence.

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  • Le Saint-Siège victime de nouvelles fuites de documents

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    Selon le Vatican Insider, le Saint-Siège va s'engager dans une procédure légale, y compris au niveau international, après un énième cas de "fuite" de documents du Vatican. C'est ce qu'annonce Alessandro Speciale, sur vatican Insider. Il s'agit notamment de "révélations" faites dans un livre intitulé “Sua Santità” ("Sa Sainteté") du journaliste de Libero, Gianluigi Nuzzi, livre dans lequel sont publiées de nombreuses lettres et rapports qui se sont trouvés sur le bureau du pape.

    Il s'agit d'un nouvel épisode de ces "fuites vaticanes" (Vatileaks),qui ont commencé avec la publication des lettres envoyées au pape par Monseigneur Carlo Maria Viganò, dans lesquelles il signalait une corruption rampante àdan le gouvernorat du Vatican. C'est Nuzzi qui fut là aussi à la base de ces publications.

    "La nouvelle publication de documents du Saint-Siège et de documents privés du Saint Père - déclare un communiqué diffusé le 19 mai par la Salle de Presse du Vatican - n'apparaît plus comme une initiative journalistique dont on pourrait discuter mais, objectivement dffamatoire, elle revêt les caractéristiques d'un acte relevant de la justice." 

    Selon la note du Vatican, cette fois, ont été violés, les droits personnels de réserve et de liberté du pape et de nombre de ses collaborateurs dans leurs échanges de correspondance ainsi que ceux des personnes qui correspondent avec eux.

    C'est pourquoi, ainsi que cela fut déjà fait lors de la publication des lettres de Monseigneur Vigano, mais cette fois avec plus de force, le Saint-Siège annonce qu'il va recourir aux voies légales contre les responsables de ces fuites de documents.

  • Plaidoyer pour une bonne gouvernance mondiale

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    Zenit.org revient sur la session de l'Académie pontificale des sciences (18e session plénière de l’Académie pontificale des sciences sociales qui a eu lieu du 27 avril au 1er mai 2012) (Les "gras" sont de belgicatho)

    Anne Kurian, de Zenit, recueille les propos de Mgr Minnerath (archevêque de Dijon)

    L’avenir du monde globalisé ne réside pas dans une « course en avant désordonnée sous la pression des lobbies », mais dans la « reconnaissance de l’ordre éthique inscrit dans les êtres humains, ordre qui n’est pas à inventer, mais à découvrir toujours plus profondément », souligne Mgr Minnerath.

    Dans le cadre de la XVIIIe session plénière de l’Académie Pontificale des sciences sociales (27 avril - 3 mai 212), Mgr Roland Minnerath précise quelques réflexions de cette assemblée pour Zenit. Une réflexion qui prend toute son actualité, par exemple, avec la réunion du "G 8".

    En un premier temps, rapporte l’archevêque, les participants ont examiné les « profondes transformations » apportées par les sciences biologiques, les neurosciences, les sciences génétiques. Ces mutations, fait-il observer, « modifient la vision de l’ordre créé ».

    A ce propos, on note la « désintégration de la vision judéo-chrétienne de l’homme et du monde », la « montée de l’individualisme hédoniste, du positivisme juridique, du relativisme des valeurs » et « l’effondrement de l’idée de vérité objective dans le domaine éthique ».

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  • Vatican II : quand Radio Vatican fait la pub d'une vision de rupture...

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    Les débats autour de Vatican II sont d'actualité en ce cinquantième anniversaire de l'évènement qui a changé le cours de l'existence de l'Eglise. On sait que le pape invite à lire le concile dans une vision de continuité (l'herméneutique de la continuité) à l'encontre de ceux qui y voient une rupture radicale avec ce qui précède. On est dès lors étonné que sur le site de Radio Vatican, dans la rubrique "Livre pour Dieu", une recension brève d'un ouvrage assortie d'une interview de son auteure fasse la part belle à cette "herméneutique de la discontinuité". Il s'agit de "La bataille du Vatican" de Christine Pedotti, sous-titrée : "Les coulisses du Concile qui a changé l'Eglise".

    N'est-il  pas surprenant que "la voix du pape et de l'Eglise" réserve un écho si complaisant à un ouvrage qui présente "le" concile comme un évènement de rupture (inachevée) et aujourd'hui mise en péril?

    Il faut savoir que celle qui se fait ici l'historienne de Vatican II est très clairement "située", comme en atteste cette présentation qui nous signale qu'elle a créé, en 2008, le "Comité de la Jupe" et, un an plus tard, elle a lancé "la Conférence catholique des baptisé-e-s de France" qui "entend d’une part faire émerger une opinion publique dans une Église où trop souvent les fidèles sont tenus pour des mineurs, et de l’autre ne pas laisser le monopole de la prise de parole à la « marée noire » (sic) du traditionalisme." Fin 2010, elle publiait, toujours avec Anne Soupa, un stimulant “Les pieds dans le bénitier” où elle ne se contentait pas de régler des comptes avec la hiérarchie mais témoignait d’une foi à déménager les cathédrales endormies (resic).

    Sa vision du Concile :

    "En fait de Concile, c’est presque une guerre de tranchée que rapporte l’historienne, loin de la légende dorée d’une assemblée d’évêques heureux de se retrouver, emportés par l’effusion de l’Esprit Saint. Si l’Esprit souffle, c’est en tempête, en coup de gueule ou de tabac, à travers de sourdes luttes d’influences, tant dans les réunions qui se tiennent officiellement que dans les cafés romains et les pizzerias ou dans l’antichambre des appartements pontificaux.

    Ce qui était en jeu, c’était – comme l’avait voulu Jean XXIII, pape de transition qui avait pris la Curie à contre-pied – un aggiornamento, qui devait réconcilier l’Église catholique et le monde. L’heure était venue, pensait-il, de tourner la page de la crise moderniste qui avait vu ses prédécesseurs obnubilés par la dénonciation de l’erreur et obnubilés par la menace du communisme athée.

    Une bonne part de la Curie n’en voulait pas. Elle allait résister pied à pied, perdant bataille sur bataille, si bien que Vatican II fut à bien des égards un tournant. Cependant, la minorité parvint à allumer des contre-feux non négligeables, bien déterminée à reprendre la main plus tard quand le moment serait venu.

    Christine Pedotti ne raconte pas ce qui s’est passé ensuite, mais si son livre rend hommage à l’extraordinaire courage de ceux qui se sont battus pour que l’Église accompagne le monde dans les formidables transformations qui s’annonçaient, il montre aussi pourquoi les promesses de Vatican II ne seront pas toutes honorées, loin s’en faut.

    Tout cela permet de réfléchir aux raisons qui font que le catholicisme, dans sa forme institutionnelle, semble aujourd’hui, au moins dans le monde occidental, passablement à bout de souffle, explique-t-elle en buvant tranquillement un thé sous l’œil placide d’Alma, sa chienne qui fait celle qui en a vu et entendu d’autres et ne s’étonnerait pas de voir sa maîtresse parmi les cardinaux." (On peut lire la suite, du même tonneau, ici.)

  • Quand le recours à l'affect dispense de penser...

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    Excellente réflexion de Natalia Trouiller sur son blog (Nystagmus) intitulée : "Mon nombril, mon bon droit et moi":

    Il est quelque chose qui me déplaît souverainement dans le débat public actuel. Une dérive qui s'apparente à une forme de totalitarisme : je veux parler de la mort de la pensée devant l'affect.

    Sur les questions dites ''de société'', depuis des années, c'est toujours le même schéma : on prend un cas particulier excessivement dramatique, et on le matraque partout de façon à ce que l'adversaire passe pour un épouvantable cœur de pierre s'il ose émettre un semblant de réflexion contradictoire. Le Pacs ? Il faut voir les débats de l'époque : la France était alors peuplée de personnes homosexuelles qu'aucune loi ne protégeait, qui se retrouvaient jetées à la rue sans possibilité de recours à cause de l'épouvantable famille de leur conjoint décédé qui captait leur héritage légitime. Jusque-là, les concubins hétérosexuels trouvaient bien le moyen de ne pas se marier sans que cela n'inquiète personne ; mais peu importe. On fit donc une loi pour pallier cette épouvantable atteinte à l'Amour.

    Avec le débat sur l'euthanasie, même chose. Voici un cas particulier, celui d'une mère contrainte ''d'aider son fils à mourir'' parce que l'on refuse au malheureux le DROIT de mourir. Nos chaumières, abreuvées du sublime façon Nous deux + un roman et tétanisées par les larmes de cette famille brisée, trouvèrent absolument admirable qu'une maman administre à son fils pour le tuer du pentobarbital de sodium, un produit que les Etats-Unis eux-mêmes récusent dans la mise à mort de leurs condamnés.

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  • www.chiesa : félicitons Sandro Magister

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    Sandro Magister nous fait part des nouveaux records de www.chiesa:

    Ses lecteurs sont de plus en plus nombreux, dans tous les pays du monde. Il arrive jusque sur le bureau du pape ainsi que dans la mission la plus lointaine. En Chine et dans les mosquées musulmanes. Les chiffres et les récits qui racontent l'histoire d'un succès

    ROME, le 16 mai 2012 – Au mois d’avril, www.chiesa a battu un double record. Avec plus de 123 000 visiteurs individuels dans le monde entier. Et avec une moyenne de près de 12 000 impressions par jour.

    Ce second chiffre est lié au profil particulier du site. Celui-ci ne suit pas les faits qui constituent l’actualité, mais il les encadre. L’internaute qui se rend sur www.chiesa découvre que les informations y sont accompagnées d’analyses et les analyses de documents publiés dans leur intégralité, de manière à former un tableau aussi complet que possible, avec un renvoi systématique aux sources. Alors il imprime le tout. Afin de le lire tranquillement et de le conserver.

    Découvrir le détail de cette information

  • L'image du pape : Benetton fait amende honorable

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    On se souvient de la campagne publicitaire de Benetton de 2011 recourant à des images choc où l'on voyait différentes personnalités en vue, dont le pape, s'embrasser. La firme fait amende honorable. Le V.I.S. communique ces extraits de la note du Directeur de la Salle de Presse du Saint-Siège, publiée ce matin:
    "Vendredi dernier, la Société Benetton a diffusé un communiqué (...) renouvelant ses regrets pour avoir heurté la sensibilité du Saint-Père et des catholiques, assurant le retrait de toutes les photographies de Benoît XVI de son circuit commercial, et garantissant ne plus utiliser l'image du Pape sans avoir consulté le Saint-Siège. La société fera en sorte que l'utilisation de ces photos par des tiers cesse, sur Internet notamment". Ce communiqué, écrit le P.Federico Lombardi, SJ, "signe la fin du contentieux sur la base d'un accord transitoire entre Benetton et les avocats du Saint-Siège (...) La Société Benetton reconnaît donc (...) que l'image du Pape doit être respectée (...) Le Saint-Siège n'a pas réclamé de dommages et intérêts mais a obtenu une réparation morale par la reconnaissance d'un abus, et voulu affirmer sa détermination à défendre l'image du Pape, y compris au plan légal. Plutôt que des dommages et intérêts, il a obtenu de Benetton une donation en faveur d'une oeuvre caritative de l'Eglise. Ainsi est-il mis fin (...) à un incident regrettable qui n'aurait jamais du se produire, et dont on espère qu'il servira de leçon".