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Médias - Page 176

  • Eric de Beukelaer recadre le débat sur l'euthanasie

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    Sur son minisite, l'abbé de Beukelaer intervient très opportunément, suite aux propos extrêmement agressifs (et qui, selon nous, procèdent d'une vision totalitaire) du président du Centre d'Action Laïque à l'égard de notre archevêque :

    Dénigrer, c’est euthanasier le débat

    Pour faire très bref, dans le débat sur l’euthanasie, il y a l’approche de principe et la gestion politique de celle-ci. Le principe est de savoir si le droit à la « bonne mort » (sens du mot euthanasie) peut être octroyé sur demande à des citoyens et – si oui – moyennant quelles conditions. Les partisans de l’euthanasie répondent « oui » au nom du libre-arbitre ; les opposants – dont je fais partie – répondent « non » de par l’interdit fondateur de donner la mort. La gestion politique du « oui » implique de vérifier les conditions d’accès au droit de mourir, en évitant que cette liberté ne se transforme en pressante invitation. La gestion politique du « non », demande de mettre en œuvre une politique de soins qui apaise la souffrance – quitte à accélérer le décès – sans pour autant provoquer la mort. Si l’honnêteté intellectuelle invite à reconnaître que les partisans du « oui » ne sont pas des êtres privés de respect pour la vie humaine, la même honnêteté, force à admettre que les adeptes du « non » ne sont pas pour autant des obscurantistes imposant le poids de leurs croyances passéistes à toute la société. Le fait que – parmi d’autres grandes nations démocratiques –  la très laïque France n’aie à ce jour aucune loi de dépénalisation de l’euthanasie, illustre assez clairement que le débat existe.

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  • La lettre d'un prêtre à un frère journaliste du New-York Times

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    Cher frère journaliste:

    Je suis un simple prêtre catholique. Je me sens heureux et fier de ma vocation. Cela fait 20 ans que je vis en Angola comme missionnaire.

    Je lis dans de nombreux moyens de communication, surtout dans votre journal, l'amplification du thème des prêtres pédophiles, cela d'une manière morbide, recherchant en détail dans la vie de  ces prêtres, les erreurs du passé. Il y en a un, dans une ville des Etats-Unis, dans les années 70, un autre, en Australie dans les années 80, et ainsi de suite, d'autres plus récents.....

    Certainement tous des cas parfaitement condamnables!

    Il y a des présentations journalistiques pondérées et équilibrées, d'autres amplifiées, remplies de préjudices et même de haine.  Je ressens moi-même une grande douleur pour le mal immense que des personnes qui devraient être des signes de l'amour de Dieu, soient un poignard dans la vie d'êtres innocents. Il n'y a pas de paroles pour justifier de tels actes. Il n'y a pas de doutes que l'Église doit être du coté des faibles, des plus démunis. Pour cette raison, toutes les mesures prises pour la prévention et la protection de la dignité des enfants seront toujours une priorité absolue.

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  • Le Cardinal Bertone réagit aux "vatileaks"

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    Fuites de documents : une occasion d'unité et de cohésion pour l'Eglise

    Source : http://www.zenit.org/article-31039?l=french

    Le Secrétaire d’Etat Tarcisio Bertone s’est exprimé à propos des fuites de document à l’intérieur du Vatican, lors d’un entretien accordé à la première chaîne de télévision publique italienne, Rai Uno, le 4 juin 2012.

    Les évènements de ces dernières semaines au Vatican, « n’ont pas été et ne sont pas, affirme le cardinal, des jours de division » mais ce sont « des jours d’unité » et « avant tout une période de courage dans la foi, de ferme sérénité également dans les décisions ».

    « C’est le moment de la cohésion de tous ceux qui veulent vraiment servir l’Eglise », souligne-t-il, rappelant que l’Eglise est « une maison lumineuse, malgré tous les défauts des personnes qui sont à l’intérieur ».

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  • Euthanasie : quand Pierre Galand se fend d'une réponse à Mgr Léonard

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    Sur le site de catho.be, JJD commente la "réaction peu nuancée de Pierre Galand à Mgr Léonard" (parue dans la Libre); nous partageons totalement le sentiment du commentateur :

    "Monseigneur a publié le 29 mai dernier un texte dans la page Opinion de La Libre Belgique, à propos des 10 ans de la loi dépénalisant l’. Pierre Galand, président du Centre d’action laïque, réagit vivement aux propos de l’Archevêque de Malines-Bruxelles dans l’édition du 2 juin du même quotidien. Réaction particulièrement virulente et peu nuancée.

    En effet, M. Galand n’hésite pas à accuser Mgr Léonard d’avoir recours « sans retenue à ces techniques de mystification : attaque contre les corps constitués, apologie des interdictions, choix de la vie envers et contre tout » (SIC).

    Décortiquant une à une les phrases du texte de l’opinion de Mgr Léonard, le président du CAL, ne fait pas dans la dentelle, parlant de l’Institut européen de bioéthique, comme d’un « faux institut de recherche et vrai lobby ultra-catholique actif auprès des instances européennes ». Et d’affirmer que selon Mgr Léonard,  » (…) tous les mourants qui veulent abréger leurs souffrances et le demandent clairement sont des débiles à moitié inconscients dont il est urgent de faire le bonheur malgré eux, grâce aux sacro-saints soins palliatifs ».

    Citant la phrase de Mgr Léonard, à propos des « soignants qui, malgré d’éventuelles pressions, exercent leur droit à l’objection de conscience et refusent de pratiquer l’euthanasie ou d’y participer », Pierre Galand estime que « Mgr Léonard flirte dangereusement avec la malhonnêteté intellectuelle la plus trouble ».

    Que le Centre d’action laïque ne partage pas la vision de Mgr Léonard n’étonnera personne. Mais tout débat de société doit se faire dans la dignité et le respect de toutes les opinions. C’est ce qui fait avancer le monde. Répondre de manière insolente et sans nuance ne grandit pas l’auteur de cette opinion. Peut-être aurait-il mieux valu que M. Galand nous donne sa position plutôt que de s’échiner à contrecarrer celle de l’archevêque.

    JJD

  • La Libre : une méprise soigneusement entretenue

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    108739829-la-libre-belgique-leopold-iii-entre-dans-l-histoire.jpgBeaucoup de chrétiens belges francophones persistent à confondre la Libre avec leur quotidien préféré de jadis intitulé "Libre Belgique", et qui a été, durant des décennies, le défenseur du trône et de l'autel. Malin, le quotidien entretient délibérément cette méprise en accordant de temps à autre une carte blanche ou une tribune à Mgr Léonard, à Eric de Beukelaer ou à un dissident occasionnel. Le quotidien ménage ainsi une partie de son fonds de commerce bourgeois-catho qui persiste à faire vivre ce journal en payant très cher ses insertions nécrologiques et familiales. Tout cela explique que beaucoup de "braves gens" continuent d'acheter cette publication tout en pestant quotidiennement contre des parutions qui offensent systématiquement leurs convictions. Pourtant, il n'est pas nécessaire d'être un grand analyste pour constater que la Libre a résolument emboîté le pas à tous les courants avant-gardistes les plus éloignés de ses orientations fondatrices.

    COVER_LLB_2609111.jpgProfitant de cette méprise, le chroniqueur "religieux" actuel abreuve son lectorat chrétien d'articles qui minent la confiance dans la hiérarchie et qui corrodent les convictions de la foi et de la morale enseignées par l'Eglise. Ainsi en a-t-il été récemment : attaques contre la présence de la Communauté de l'Emmanuel à Louvain-la-Neuve, tribune accordée au père Fossion pour la promotion d'une "autre vision du sacerdoce", publicité gratuite pour une réunion avec la Loge organisée par Gabriel Ringlet, etc. Aujourd'hui, le chroniqueur multirécidiviste appâte malhonnêtement son public par un titre qui laisse croire qu'il va aborder un sujet général concernant l'Eglise belge : "Eglise plus wallonne, pas antiflamande". En réalité, il s'agit d'y faire la publicité pour un groupuscule post-soixante-huitard qui a toutes ses sympathies: "le mouvement Eglise-Wallonie" qui essaie de trouver un second souffle et dont certains acteurs "n’ont pas caché, à titre personnel, ce lundi à Namur que ce ne sera pas nécessairement facile avec une hiérarchie romaine "gérontocrate" voire "autiste" dont les priorités sont aux antipodes d’un engagement progressiste." On comprend dès lors que l'évêque-auxiliaire de Namur, Mgr Warin, préfère garder ses distances par rapport à ce mouvement qui l'avait sollicité.

    La grande misère des catholiques belges, c'est qu'ils ne disposent plus guère de relais médiatiques en phase avec eux, à l'exception des hebdomadaires paroissiaux (qui suscitent toutefois quelques réserves). C'est ce qui explique qu'ils doivent se tourner vers l'Hexagone où fleurissent de nombreuses publications, et d'innombrables sites et blogs, qui professent sans ambiguïté leur fidélité à la foi et à l'Eglise. C'est aussi pourquoi notre "pauvre petit blog de rien du tout" a toute son importance.

  • Un livre condamné par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi

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    Il s'agit d'un livre publié par une religieuse américaine (USA) et qui est en contradiction avec l'enseignement de l'Eglise sur la morale sexuelle et conjugale. La notification communiquée par le VIS (Vatican Information Service) est en ligne ICI.

    On peut évidemment discuter (comme le fait Frédéric Mounier) sur l'opportunité de la publication de cette notification au lendemain de la grande fête de la famille qui a eu lieu à Milan, et où le pape a fait preuve d'empathie à l'égard, notamment, des couples divorcés et remariés. Les médias n'ont pas manqué d'exploiter cette condamnation pour l'instrumentaliser contre l'Eglise censée se retrancher dans un enseignement d'un autre temps. Ainsi, la dépêche annonçant cette condamnation a été immédiatement mise en ligne sur le site de la Libre qui s'était bien gardée de faire écho au grand rassemblement de Milan. Illico, les lecteurs cathophobes qui grouillent dans les forums de ce quotidien se sont précipités avec plaisir sur cette nouvelle opportunité pour y déverser leur prose acerbe et souvent vulgaire.

  • Quand le cardinal Barbarin commente les "Vatileaks"

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    A propos des « fuites » du Vatican, le Cardinal Barbarin s’exprime : « Ces soi-disant révélations sont inutiles et offensantes »

    Source : http://www.leprogres.fr/

    Des « informations » – dont des courriers personnels du pape – ont été divulguées dans la presse et dans un livre paru en Italie. Est-ce un scandale ?

    Oui, c’est un scandale. Le Vatican a utilisé l’adjectif « criminel » pour dénoncer ces pratiques lamentables, qui vont au-delà de simples indiscrétions. C’est d’autant plus déplorable que ces soi-disant « révélations » ne nous apprennent rien. On nous donne le numéro du compte en banque du pape. Et alors ? On se doute bien que son compte bancaire a un numéro ! Tout cela est inutile et d’autant plus offensant que ces fuites ne peuvent venir que de proches collaborateurs.

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  • Syrie : La désolation de la ville d'Homs et la guerre de l'information

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    Déclarations d’un Evêque gréco catholique à propos de « la désolation de la ville d’Homs et de la guerre de l’information » - Damas (Agence Fides)

    « La paix en Syrie pourrait être sauvée si tous disaient la vérité. Après un an de conflit, la réalité sur le terrain est loin du cadre qu’impose la désinformation des moyens de communication de masse occidentaux » : c’est ce qu’affirme, dans un témoignage envoyé à Fides, l’Evêque français Philippe Tournyol Clos, Archimandrite gréco catholique melkite qui a visité ces jours derniers la Syrie, se rendant dans différentes villes, telles que Damas, Alep et Homs.

    A Homs, qualifiée de « ville martyr », les forces d’opposition ont occupé deux quartiers, Diwan Al Bustan et Hamidieh, où se trouvent toutes les églises et les Evêchés raconte à Fides l’Archimandrite. « Le spectacle qui s’offre maintenant à nos yeux – continue-t-il – est celui de la plus absolue désolation : l’église de Mar Élian est à demi détruite et Notre-Dame de la Paix saccagée (près de laquelle on a trouvé plusieurs personnes égorgées) est encore occupée par les rebelles. Les maisons, très endommagées par les combats de rue sont entièrement vidées de leurs habitants qui ont fui sans rien emporter ; le quartier d’Hamidieh constitue encore aujourd’hui le refuge inexpugnable de bandes armées indépendantes les unes des autres, fournies en armes lourdes et en subsides par le Qatar et l’Arabie Saoudite. Tous les chrétiens (138’000) ont pris la fuite jusqu’à Damas ou au Liban ; ceux qui n’y avaient pas de parents se sont réfugiés dans les campagnes avoisinantes, chez des amis, dans des couvents, jusqu’au Krak des Chevaliers. Un prêtre y a été tué ; un autre, blessé de trois balles dans l’abdomen, y vit encore ainsi qu’un ou deux autres, mais ses cinq évêques se sont prudemment réfugiés à Damas ou au Liban ».

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  • Benoît XVI "disqualifié" et "indéfendable" ?

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    C'est l'avis d'un dénommé Thierry de Cabarrus (critique politique et cinéma) sur le Nouvel (?) Observateur; il titre : "Benoît XVI à Milan : la "Famille traditionnelle", une énorme erreur." Cet article mérite-t-il d'être signalé? Sans doute non si ce n'est qu'il constitue un spécimen typique et commun de la prose journalistique ordinaire. 

    "Le Vatican serait-il un monde clos au point que le Pape ne puisse prendre en compte les mutations sociales ? Pour Thierry de Cabarrus, en défendant "la famille" sans prendre en compte le divorce et les couples homosexuels, Benoît XVI s'est en quelque sorte disqualifié, lors de la messe qu'il a célébrée à Milan pour la clôture de la 7ème rencontre mondiale des familles."

    Le reste suit (au cas où cela vous intéresserait), du même tonneau, allant jusqu'à opposer au pape son prédecesseur censé avoir été plus en phase avec le monde actuel. C'est vrai, enfin! Comment Benoît XVI ose-t-il se démarquer ainsi de "ce qui se fait de nos jours"? Comment ose-t-il se réclamer de l'enseignement dispensé par le Christ, il y a deux mille ans, alors qu'il suffirait de lire la gazette pour y trouver la bonne parole, celle de Monsieur de Cabarrus et d'autres journaleux de son espèce?

  • Une page d'anthologie de Christian Laporte...

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    C'est dans la Libre d'aujourd'hui et cela mérite le détour. Christian Laporte, plutôt que de nous entretenir du grand rassemblement des familles qui a lieu à Milan (50.000 participants) a choisi de faire la pub d'une réunion (autrement importante) convoquée par l'oracle de Malèves Sainte-Marie : "Ce vendredi, Gabriel Ringlet reçoit des maçons au prieuré de Malèves." (Nous annotons en rouge.)

    Il commente : "A n’en pas douter, l’initiative va faire jaser dans certains milieux obtus chrétiens :-) mais aussi maçonniques (car il y en a de part et d’autre !) (étonnant, des cathos obtus, ça on savait, mais des frères obtus, voilà qui a de quoi étonner!). Ce vendredi 1er juin, à 20h, au prieuré de Malèves-Sainte-Marie, l’abbé Gabriel Ringlet, ancien vice-recteur de l’UCL, recevra, en effet, une belle brochette de représentants de la franc-maçonnerie belge pour une soirée de dialogue entre des chrétiens et des maçons forcément ouverts. (c'est nous qui soulignons)

    Sont ainsi annoncés : Christine De Vos, grande maîtresse de la Grande Loge féminine de Belgique; Jacques François, grand maître adjoint de la Grande Loge régulière de Belgique; Eddy Caekelberghs, premier grand maître adjoint du Grand Orient de Belgique; Jean Somers, ancien vénérable maître de la loge "Les Amis philanthropes no 2 Alpha" et, enfin, Carine Claeys qui se présente comme franc-maçonne. (Une belle brochette en effet...; et du côté "chrétien", l'histoire ne nous dit pas de qui il s'agit.)

    Pour l’organisateur, tout est parti d’une interrogation : "Chrétiens et francs-maçons sont-ils condamnés à se tourner éternellement le dos ou, au contraire, ont-ils bien plus de choses à se dire qu’on ne l’imagine si souvent ? Pourquoi la méfiance ? (Oui, pourquoi, en fait?) Pourquoi les condamnations ? (Bonne question!) Dans un monde en recherche de repères, n’est-il pas urgent que s’approfondisse un dialogue original et stimulant ?"

    Et Ringlet de constater que "les Loges comme les Eglises parlent de lumière. (finement observé! Le Christ, lumière pour les nations, et les prétendues "Lumières" du XVIIIe siècle). Ensuite, les unes comme les autres pratiquent des rites et utilisent des symboles parfois bien proches (quelle superficialité dans cette approche!) Sans oublier que certaines traditions maçonnes se réfèrent beaucoup à la Bible. La fraternité n’est-elle pas une expérience déterminante en maçonnerie ? N’est-elle pas une réalité fondamentale de l’Evangile ?" (Avec de tels amalgames simplistes, on peut déjà imaginer ce qui va se raconter demain...)

    L’animateur (le GO) du prieuré de Malèves ajoute que "né autour de la table (la table de l'Eucharistie?), le christianisme des origines se veut d’abord une fraternité. Qu’est-ce qui empêche dès lors la spiritualité chrétienne et la spiritualité maçonne de mettre certaines de leurs valeurs en commun ?" (Ben oui, entre frères...; on pourrait se demander pourquoi il a fallu attendre Ringlet pour poser d'aussi pertinentes questions; mais non, il n'est pas le premier puisque...) Ces questions, Gabriel Ringlet n’est évidemment pas le premier à se les être posées. On se souvient des réflexions du père Michel Riquet, sj en France ou de l’abbé Hubert de Thier, chez nous, notamment dans son remarquable livre "L’Eglise et le Temple"." (Il n'y a décidément que le cardinal Ratzinger et ses disciples "obtus" pour n'avoir rien compris à cette évidente convergence mise en lumière par ces esprits éclairés...)

    Mais cela fait aussi pas mal d’années que le journaliste-écrivain réfléchit à la question (on imagine!), ayant eu l’occasion de la soumettre à des assemblées chrétiennes et maçonnes (cela ne nous étonne évidemment pas). Mais il reste vrai que l’Art royal qu’est la franc-maçonnerie (mmm! quelle belle appellation, digne d'un vrai maçon!) continue à être vu négativement dans les hautes sphères ecclésiales (les vilains, comment peuvent-ils?). Ce qui n’a jamais empêché le cardinal Danneels (tiens, tiens...) d’entrer en dialogue avec des maçons à l’initiative notamment d’Hervé Hasquin. Dieu merci, dirait Ringlet (on s'attendrait plutôt à ce qu'il invoque le Grand Architecte).

    On peut bien sûr compter sur le journaliste de la Libre pour couvrir l'évènement comme il se doit. (L'utilisation de trois points de suspension de notre part est purement fortuite.)

  • Liens du jour (31 mai 2012) (complété)

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    • Sur ZENIT.org :

    « La prière est une rencontre avec une personne vivante »

    Catéchèse de Benoît XVI sur la prière chez saint Paul

    Fuites de documents à la une de L'Osservatore Romano
    Aucune tempête ne pourra abattre l'Eglise, par Mgr Angelo Becciu

    Un avenir libéré de la faim n'est pas un rêve utopique
    Congrès international des Caritas les 1er et 2 juin à Vienne

    Milan 2012: congrès International théologique et pastoral
    « Un événement extraordinaire et de valeur », déclare le card. Scola

    Les évêques européens étudient la démographie et la famille
    Nouvel ouvrage du CCEE présenté à Milan

    • Sur FAMILLE CHRETIENNE :

    L’idéologie du genre s’impose en Argentine et progresse en France

    Sur Fides.org :

  • De la dictature des médias

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    L'Observatoire sociopolitique de Fréjus-Toulon met en ligne cette tribune libre "hexagonale" de Grégory Soodts - tout à fait applicable dans notre pays - intitulée  "Le « péril médiatique »":

    La médiacratie, de média et kratos« souveraineté », semble connaître ses heures de gloire en notre pays, comme ailleurs dans le monde. Sortant à peine d’une campagne électorale et nous apprêtant à entrer dans une autre, nous avons vu et voyons avec effroi se profiler une couverture  médiatique omnipotente. Les faiseurs de roi seraient-ils  toujours les rédacteurs en chefs ou directeurs de journaux, qui peuvent dire à la suite de Maurice Bunau-Varilla, directeur du journal « le Matin » : « Mon fauteuil vaut trois trônes » ? La démocratie qui conduit le peuple à choisir ses responsables est-elle une médiacratie ? 

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