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Médias - Page 56

  • USA : une élection sous tension

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    Trump-472x330.jpgL’élection présidentielle américaine est toujours un moment de très fortes tensions où tous les coups, y compris les plus bas, sont permis. L’élection de 2020 (prévue le 3 novembre) n’échappe pas à la règle. Lu sur le site web du mensuel « La Nef » :

    " Le décès de Ruth Bader Ginsburg, doyenne des juges de la Cour suprême des États-Unis, est venu renforcer l’ambiance délétère dans laquelle se déroule la campagne des présidentielles américaines. Elle oppose le président sortant, le clivant Donald Trump, avec un camp républicain qui n’est pas entièrement uni derrière lui, et Joe Biden, vice-président de 2009 à 2017, candidat démocrate par défaut, issu de primaires perturbées par le Covid-19. Depuis la France, il est très difficile de se faire une opinion sur la vie politique américaine. Dans leur immense majorité, les lieux de pouvoir politique, culturel et médiatique français sont fortement opposés aux candidats conservateurs, que l’on pense à la haine contre la famille Bush. Écouter ou lire les médias français donne une vision biaisée des États-Unis.

    La haine atteint à son comble à l’encontre d’un Trump dont la personnalité, il est vrai originale et clivante, n’aide guère. Chacun peut apprécier ou non sa manière de gouverner, se reconnaître ou non dans les idées du parti républicain, ce n’est pas la question. Elle est dans la représentation que les médias français donnent des États-Unis : d’un côté, le « bien », démocrate, qui défend justement la même vision du monde que la majorité des médias français ; de l’autre, le « mal », républicain. En ce domaine, Trump est un excellent client.

    Le parti démocrate est aussi clivant

    Dès son élection, Trump a été contesté, accusé d’avoir truqué les élections. Une fois celles de mi-mandat passées, la remontée en force des démocrates a même conduit à une procédure d’impeachment visant à le déstabiliser ou le destituer. Tout est tombé à l’eau. Trump semblait même, une fois les primaires démocrates démarrées, en position d’être réélu, du fait d’un bilan économique globalement jugé positif aux États-Unis, ce qui peut être discuté, et largement passé sous silence en France. Sa réélection était d’autant plus possible que le camp démocrate était divisé, une division reflétant l’état d’un parti soumis à de très forts clivages internes entre socio-libéraux à l’ancienne, les successeurs des Clinton en somme, et courants beaucoup plus à gauche incarnés par Bernie Sanders ou l’étoile montante Alexandria Ocasio-Cortez (AOC). Cela amenait la presse américaine à s’interroger sur l’advenue d’un mouvement socialiste aux États-Unis. Être « socialiste » était même une mode dans la jeunesse démocrate de la côte Est fin 2019.

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  • Martin Steffens, "grand témoin" sur Radio Notre-Dame

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    De Radio Notre-Dame :

    Le Grand Témoin 7h30

    14 octobre 2020 : Martin Steffens, professeur de philosophie en khâgne, conférencier et chroniqueur pour La Croix et La Vie. Auteur de « L’éternité reçue » (DDB)

    Martin Steffens livre

    Martin Steffens, professeur de philosophie en khâgne, conférencier et chroniqueur pour La Croix et La Vie. Auteur de « L’éternité reçue » (DDB)

     

  • France, 10 novembre : "Marchons enfants", une mobilisation mémorable contre la PMA , la GPA et la loi bioéthique

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    Ce week-end, partout en France, de Lille à Toulon et Bayonne, de Saint-Brieuc à Strasbourg, en passant par Clermont, Lyon, Paris, Tours ou encore Fort-de-France, ils ont massivement manifesté, malgré le contexte sanitaire, contre le projet de loi dit « bioéthique ». 

    Plus de soixante villes ont été investies par ceux qui ont répondu à l'appel !

  • KTO: saint Augustin, parcours d'un berbère romain

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    Eléonore  de Vulpillières a publié, sur ce thème un large commentaire à découvrir sur le site web « Aleteia » : Ref. Sur les traces de saint Augustin, le théologien berbère et romain

    JPSC

  • RTB(F) : une politisation inscrite dans les gènes de la radio-télévision de service public

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    De Paul Vaute sur le blog "Le Passé belge" :

    Service public et militantisme à la RTB(F)

    La politisation était inscrite dans les gènes de la radio-télévision de service public. Le pluralisme y a consisté en un partage d’influences entre les partis. Quand ceux-ci ont perdu un peu de leur emprise sur l’information, ce fut au profit d’un certain vent soixante-huitard , qui a soufflé sur tous les médias (1960-1977)

     L’épisode est resté célèbre. Le 26 mars 1955, une manifestation interdite a été néanmoins organisée pour la défense de l’enseignement catholique contre les projets scolaires portés par le ministre socialiste Léo Collard. Alors que 100.000 personnes défilent dans les rues de Bruxelles, l’INR, ancêtre de la RTBF et de la VRT, est sommée par le cabinet de l’Intérieur de diffuser à plusieurs reprises, notamment au journal parlé de 13 heures, un communiqué ministériel affirmant « qu’il n’y a pas eu de manifestation à Bruxelles » ! L’incident donnera lieu à plusieurs interpellations parlementaires.

       Ce n’est pas la première fois que la question de l’influence du politique sur le secteur audiovisuel est posée en Belgique. Et elle va rebondir souvent, jusqu’à nos jours inclus. Les travaux de Jean-Claude Burgelman (Vrije Universiteit Brussel) ont montré l’ampleur de ladite influence, même si elle ne fut pas la seule à s’exercer. Flore Plisnier, archiviste aux Archives générales du Royaume, traite en profondeur des problèmes du pluralisme, de l’autonomie et de la tutelle dans un ouvrage issu de sa thèse de doctorat, défendue en 2017 à l’Université libre de Bruxelles [1]. La chercheuse a elle-même inventorié les sources en provenance de la place Flagey ou du boulevard Reyers. Son étude s’étend plus précisément sur les années RTB (après l’INR et avant la RTBF), soit de 1960 à 1977.

    Lire la suite sur "Le Passé belge"... mais retenons déjà la conclusion de cette étude :

    Le paysage a-t-il changé depuis ? En partie oui, l’extrême gauche ayant perdu une grande partie du terrain. Demeure en revanche une doxa très largement socialisante, écologisante, laïciste, libertaire… qui ne singularise d’ailleurs pas la seule RTBF. Selon la dernière enquête nationale sur les journalistes belges, menée par des chercheurs des Universités de Bruxelles, Mons et Gand, la majorité d’entre eux, exactement 58,4 %, se positionnent à gauche de l’échiquier politique, contre seulement 26 % au centre et 15,6 % à droite. On ne relève pas de différences sur ce plan entre Flamands et francophones. Une autre étude, menée en 2013, allait plus loin encore, concluant que 80 % des journalistes belges se réclament de la gauche. Pour expliquer ces proportions, qui ne reflètent absolument pas les rapports de force existant au sein de l’électorat ou de la population en général, il faudrait au moins une autre thèse de doctorat.

  • Carlo Acutis : la figure d'un saint qui convainc et fascine

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    Du site de la Nuova Bussola Quotidiana :

    RITE DE BÉATIFICATION

    Acutis, à travers le nouveau Bienheureux, une Eglise qui attire

    12-10-2020

    Un type simple, gentil et normal. Mais aussi : amoureux exceptionnel de l'Eucharistie et dévoué à la Vierge. Génie de l'Internet et partisan des principes chrétiens, sans compromis. Du profil que le cardinal Agostino Vallini a tracé du nouveau bienheureux Carlo Acutis, se dégage toute la beauté d'une Église ancienne et toujours nouvelle. Capable plus que jamais d'attirer, car gouvernée par le seul Seigneur de l'Histoire : Jésus-Christ.

    Nous reproduisons le texte de l'homélie que le cardinal Agostino Vallini a prononcée le samedi 10 octobre lors de la Sainte Messe de béatification de Carlo Acutis, dans la Basilique supérieure de Saint François à Assise. Des mots qui esquissent la figure d'un saint qui convainc et fascine, parce que tout entier tourné vers le Christ et en même temps parfaitement capable de dialoguer avec les gens de notre temps. Le nouveau bienheureux montre à l'Église que l'Évangile est vivant dans la chair de ses enfants et l'Église, par le nouveau bienheureux, montre à ses enfants que seul Dieu tient son destin ultime entre ses mains.

    *******

    "Celui qui demeure en moi et moi en lui porte beaucoup de fruits, car sans moi vous ne pouvez rien faire." (Jean 15:5)

    (...) Aujourd'hui, nous sommes particulièrement attirés et en admiration face à la vie et au témoignage de Carlo Acutis, que l'Église reconnaît comme un modèle et un exemple de vie chrétienne, en le proposant tout particulièrement aux jeunes. On se demande, bien sûr, ce que ce jeune homme de seulement quinze ans avait de si spécial ?

    En parcourant sa biographie, nous trouvons quelques repères qui le caractérisent déjà humainement.

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  • Finances vaticanes : le compte du pape dépouillé

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    Lu dans les colonnes du journal Le Soir du 1er octobre, Léna, p. 8

    Le pillage du Vatican : « Même le compte du pape a été dépouillé » 

    Un extraordinaire document de 59 pages lève le voile sur la vague de corruption qui a secoué le Vatican. Des êtres tout-puissants et avides ont élaboré un plan diabolique pour piller le Saint-Siège et ont même mis la main sur le compte personnel du pape François, le plus protégé des coffres du Vatican. Tel est le portrait sans pitié de l’attaque dont ont été victimes les finances du Vatican, des malversations qui ressortent de la commission rogatoire présentée par le parquet du Vatican : reconstitution d’un pillage de 454 millions d’euros. Tout commence avec le scandale de cet immeuble londonien autour duquel gravite une foule de prélats, de courtiers et d’avocats d’affaires, et dans lequel le pape Bergoglio reste une tache blanche entourée d’âmes noires et traîtresses. Le rapport établi par les enquêteurs a de quoi choquer : « La Secrétairerie d’Etat finance l’opération de Londres grâce à des prêts d’un montant de 200 millions de dollars, des lignes de crédit accordées par le Crédit Suisse et la Banque Suisse Italienne contre le nantissement d’actifs détenus par la Secrétairerie d’Etat et provenant de dons du Denier de Saint-Pierre. »

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  • Déferlante de discours haineux à l'encontre des Grecs, des Arméniens et des Syriens dans la presse turque

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    Une dépêche de l'Agence Fides :

    ASIE/TURQUIE - Déferlement de discours haineux dans la presse turque, en particulier à l'encontre des grecs, des arméniens et des syriens

    28 septembre 2020

    Istanbul (Agence Fides) – En 2019 également, les moyens de communication turcs, sur papier et numériques, ont été porteurs d'un grand nombre de discours haineux – Hate Speech en anglais – à savoir d'interventions dénigrant et incitant au mépris de personnes ou groupes humains identifiés sur une base nationale, ethnique ou religieuse. C'est ce qui ressort du rapport produit annuellement à ce propos en Turquie par la Fondation Hrant Dink, ayant son siège à Istanbul.

    La Fondation, qui porte le nom d'un journaliste turc d'origine arménienne assassiné en 2007, conduit depuis 2009 des enquêtes sur les expressions de haine religieuse et de racisme qui apparaissent dans les moyens de communication turcs. Selon le compte-rendu cité par Agos, revue bilingue turc-arménien publiée à Istanbul, le rapport de la Fondation Hrant Dink relatif à l'année 2019 et basé sur la surveillance de 500 titres nationaux, régionaux et numériques, a enregistré une moyenne de 19 articles par jour contenant des discours dénigrants envers des groupes ou des personnes. Les insultes et les incitations à la haine à base ethnique ou religieuse apparues dans la presse turque au cours de l'année 2019 ont pris pour cible 80 ethnies ou communautés religieuses différentes. Les expressions injurieuses diffusées par les moyens de communication turcs, selon ce que démontre le rapport de la Fondation Hrant Dink, ont concerné de manière particulièrement fréquente et avec un acharnement particulier les arméniens, les syriens et les grecs. (GV) (Agence Fides 28/09/2020)

  • Sur CNEWS : "La conversion par amour de la Vérité", avec le cardinal Müller, Fabrice Hadjadj et Mehdi-Emmanuel Djaadi

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    En Quête d’Esprit sur la vérité, la foi, la conversion

    (via Le Salon beige)

    28 septembre 2020

    Avec le cardinal Gerhard Müller, préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la Foi, Fabrice Hadjadj, Mehdi-Emmanuel Djaadi :

  • Covid-19 : pourquoi ils ne vont plus à la messe du dimanche ?

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    Déjà en chute constante depuis la crise ouverte de la foi qui a suivi le Concile Vatican II, l’assistance aux messes dominicales a-t-elle reçu le coup de grâce avec les célébrations virtuelles organisées durant l’interdit lié au confinement radical puis aux contraintes sanitaires (toujours en vigueur) édictées pour lutter contre la pandémie persistante du covid 19 ? Lu sur le site web du périodique « famille chrétienne » cet article réalisé par Hugues  Lefèbvre avec Guilhelm Dargnies :

    paroisse-vide-de-fideles_article.jpg

    « Avec la crise sanitaire, les catholiques iraient moins à la messe. Peur du virus ? Confort de la messe télévisée ? Découragement ou bien colère ? Enquête sur les raisons d’une désertion.

    Dix ? Vingt ? Trente pour cent ? Impossible de dire précisément combien de catholiques ont cessé d’aller à la messe le dimanche depuis la crise du Covid-19. Dès le 15 août, Mgr Patrick Chauvet (*), recteur de la cathédrale de Paris, s’alarmait du fait que 30 % des fidèles n’étaient pas revenus sur les bancs des églises. Une situation propre à Paris et aux grandes métropoles françaises ? Peut-être. Certains citadins ont profité des possibilités de télétravail pour partir prendre l’air. « Chez nous, on observe une baisse d’affluence à la messe, mais c’est trompeur et temporaire », veut croire le Père Stanislas Lemerle, curé de la paroisse Saint-Ferdinand-des-Ternes, dans le 17e arrondissement de la capitale. « Beaucoup ne sont pas rentrés. Ils ont passé le confinement à la campagne, dans leur résidence secondaire. À partir du moment où les activités paroissiales reprendront, les gens reviendront. » Une baisse conjoncturelle donc, résultat d’un effet de vases communicants. À Vannes, par exemple, on n’a pas noté d’évolution particulière. « Il n’y a pas eu de moindre fréquentation. Les paroissiens étaient contents de revenir à l’église, las de regarder la messe à distance, sur leur écran», explique Léon Bridaux, diacre permanent à la paroisse de Notre-Dame-de-Lourdes, Saint-Pie-X et l’Île d’Arz. 

    Pourtant, en sondant plusieurs diocèses, ruraux notamment, beaucoup partagent le même constat. « Partout où je suis allé depuis le déconfinement, je note qu’un certain nombre de personnes, âgées surtout, ne sont pas revenues à la messe », s’inquiète Mgr Bernard Ginoux, évêque de Montauban. « Les remontées de prêtres confirment cette impression. Les familles sont là, les jeunes aussi, mais une partie du public plus âgé est craintif à l’idée de se rendre à l’église à cause du virus. »

    «Nous ne sortons pas tant que le virus se promène»

    Même son de cloche dans le diocèse de Strasbourg. De nombreuses paroisses du doyenné de Masevaux connaissent par exemple une baisse de fréquentation des messes. Le Père Gérard Ballast évoque un certain état d’esprit : « Depuis le confinement, l’état physique de certaines personnes âgées s’est aggravé. Il y en a trois que je rencontre souvent, à qui j’ai proposé d’apporter la communion. Les deux dames m’ont dit : “Nous ne sortons pas tant que le virus se promène.” Animatrice en pastorale et bras droit du vicaire épiscopal du diocèse de Strasbourg, Véronique Lerch sillonne ce dernier depuis des années. « Dans la moitié des communautés de paroisses, il manque des fidèles. Il s’agit de personnes âgées mais, dans certaines communautés, les coopératrices de la pastorale m’indiquent qu’elles n’ont pas encore d’inscription pour la préparation des sacrements. C’est la première année qu’il en est ainsi. Il faut dire que nous n’avions pas pu lancer ces inscriptions au printemps, lors du confinement. On en subit aujourd’hui la conséquence. » Toujours dans ce diocèse de l’est de la France, région fortement touchée par la crise sanitaire, le Père Frédéric Flota confie que la moitié des enfants de chœur (sur une quinzaine) de la communauté de paroisses de la Haute-Doller n’est pas revenue servir la messe. « Ceux qui restent sont ceux dont les parents étaient pratiquants », explique-t-il. Que sont devenus les autres ?

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  • Pour mieux comprendre et mieux vivre la messe : le MOOC de la messe à partir du 28 septembre

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    Le MOOC (Massive Open Online Course) de la messe

    Mieux comprendre et mieux vivre la messe

     

    Le MOOC de la messe commence lundi 28 septembre 2020. À bientôt !


    À propos de ce MOOC


    C'est la première formation digitale entièrement gratuite sur la messe !

    Pourquoi aller à la messe ? Quelle est la signification des gestes, les rites ? Quel est le sens des lectures ? Lit-on les mêmes textes dans le monde entier ? C'est quoi la présence réelle ? Qu'est ce que cela veut dire "un mémorial" ? Pourquoi la messe est-elle une action de grâce ? Si pour vous aussi tout cela n'est pas très clair... ce MOOC est fait pour vous !

    Plus besoin de se déplacer, on peut suivre le MOOC du fond de son canapé ! Il suffit d’une connexion Internet, d’une tablette ou d’un ordinateur. C’est ouvert à tous, c’est facile d'accès et c'est intuitif. Nul besoin d'être technicien, nul besoin d'être théologien : le MOOC est accessible à tous, il suffit d'une connexion internet !


    Comment ça fonctionne ?


    Chaque semaine sont mis en ligne : 3 vidéos d'environ 7 minutes chacune, des documents pour aller plus loin, des prières, un travail dirigé à faire seul ou en groupe et un quiz.

    • Quand vous voulez : Ce cours est accessible 24h sur 24 pendant plusieurs mois : cela permet à chacun de suivre le MOOC à son rythme, à l'heure qui lui convient le mieux. Il est toujours possible de revenir sur une séquence précédente que ce soit pour la rattraper, parce qu'on a été absent ou pour l'approfondir. Les contenus restent en ligne jusqu’au 3 janvier 2021 et sont entièrement téléchargeables.
    • Avec qui vous voulez : Seul à son rythme, à deux ou en équipe pour se motiver et partager.
    • Comme vous voulez : Vous avez peu de temps ? Visionnez les 3 vidéos mises en ligne chaque semaine et faites le quiz, cela ne vous prendra pas plus de 30 minutes. Vous voulez approfondir ? De nombreuses ressources, des prières, des travaux dirigés, etc. vous permettront d'aller plus loin.

    Ce cours est interactif : grâce au forum vous pourrez poser des questions aux intervenants, échanger et partager avec la communauté des participants. Vous y apprendrez beaucoup, dans une ambiance conviviale.

    N’hésitez pas à suivre ce MOOC à plusieurs, il est aussi conçu pour cela !


    Quel est le programme ?


    6 semaines pour mieux comprendre et mieux vivre la messe.

    I/ Dieu nous invite pour se donner à nous.
    Semaine 1 : Heureux les invités !
    Semaine 2 : Le Christ nous donne sa vie et son corps pour notre salut

    II/ L'accueillir et participer à son sacrifice.
    Semaine 3 : Accueillir le Seigneur de tout son cœur
    Semaine 4 : Participer à son offrande par le don de nous-même

    III/ Renouvelés et transformés par le Christ pour la mission.
    Semaine 5 : La communion au Christ source de la communauté
    Semaine 6 : Pour la gloire de Dieu et le salut du monde

    Une attestation de réussite peut être délivrée à l'issue de la formation, si le participant a obtenu la moyenne à chaque quiz. Elle lui sera envoyée par la poste.

    https://mooc.lemoocdelamesse.fr/courses/course-v1:MOOC+Messe+2020/about

  • Mgr Delville, évêque de Liège: "Quelques bienfaits de la messe en latin"

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    Quelques bienfaits de la messe en latin 

    Interview donnée par 

    delville.jpg

    MGR JEAN-PIERRE DELVILLE

     évêque de Liège 

    Emission sur RCF Liège « Trente minutes avec notre évêque » du lundi 29 juin 2020 à 16h03, rediffusée lundi 24 août 2020 à 16h03

    Ref. http://www.belgicatho.be/archive/2020/08/31/l-eveque-de-liege-explique-l-interet-de-la-messe-en-latin-6260342.html (13’30 à 25’45) 

    Ralph Schmeder

    Monseigneur, le 13 juin dernier, à l’occasion de la Fête-Dieu à Liège, vous avez célébré une messe en latin à l’église du Saint-Sacrement, célébration d’ailleurs retransmise par RCF-Liège, qu’on peut encore réécouter sur la page Facebook de la radio.

    En même temps, récemment les éditions ADF/Bayard musique ont publié un CD avec des musiques pour la messe en latin.

    Est-ce que ce sont des signes d’une renaissance de la messe dans les anciens rites ? Et d’ailleurs est-ce qu’il y a un public particulier pour ce genre de célébration ?

    Mgr Delville

    Effectivement cette année-ci, la messe a été retransmise par RCF et par Facebook. Quand j’ai accepté de célébrer cette messe que je célèbre chaque année dans l’église du Saint-Sacrement à Liège, en latin dans la forme ancienne de la liturgie, il n’était pas prévu de retransmission.

    Ici il y a eu la retransmission à cause du Covid et, en fait, j’ai insisté pour que la retransmission se fasse d’une manière (on va dire) dynamique et pédagogique, c’est-à-dire qu’on ne se contente pas de regarder de loin le prêtre qu’on voit de dos, mais qu’on ait des caméras qui montrent ce que le prêtre fait à l’autel, ce qui se passe autour de lui, etc. C’est une manière d’entrer plus activement dans les différents rites de la célébration de cette messe, c’est donc une modernisation au sens d’une manifestation plus explicite de ce qui se fait.

    Y a-t-il une renaissance de ce type de messe ? Ce que je trouve intéressant, c’est que c’est un patrimoine particulièrement riche dans notre histoire chrétienne. On fait beaucoup pour sauver le patrimoine architectural, on fait beaucoup pour restaurer les églises et les cathédrales - regardez ce qu’on fait pour Notre-Dame de Paris -, il faut reconnaître que la liturgie, c’est aussi un patrimoine, mais un patrimoine immatériel : c’est fait de chants, de gestes, de textes et d’attitudes de prière qui sont en quelque sorte un trésor spirituel. Je trouve qu’il serait dommage de le laisser uniquement couché dans les livres et dans les témoignages du passé, mais que cela vaut la peine de l’actualiser dans une célébration concrète.

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