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Médias - Page 54

  • Suivre ici en vidéo, dès aujourd’hui, la messe traditionnelle de ce dimanche 6 décembre 2020 en l’église du Saint-Sacrement à Liège :

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    Sion emission_radio_avent2_jose_leonardo_1635_losangeles_county_museumofart.jpgLes chants de la messe d’aujourd’hui, deuxième dimanche de l’Avent, sont entièrement consacrés à Jérusalem : « Peuple de Sion, le Seigneur va venir pour sauver les Gentils. Le Seigneur fait entendre sa voix pour la joie de votre cœur (Intr.). « De Sion resplendit l’éclat de Sa gloire : Dieu va venir, d’une manière visible. Rassemblez autour de lui ses saints qui ont conclu avec lui l’alliance du sacrifice » (Grad.). « Jérusalem lève-toi et monte à l’observatoire et vois la douceur qui va te venir de ton Dieu » (Comm.). Sion, ville de notre force, le Sauveur est en toi comme un mur et un avant-mur : ouvre largement tes portes car Dieu est avec nous, Alléluia » (Ant. laudes).

    Nous voyons d’abord apparaître la Jérusalem du pays de Judée, cette ville vénérable où le Seigneur Jésus a commencé sa mission de Rédempteur, où il a souffert, où il est mort. C’est la Jérusalem juive pour laquelle nous devons avoir un grand respect.

    Sur ces fondements, une autre Jérusalem s’est bâtie : la Jérusalem des chrétiens qui est le royaume de Dieu sur la terre, la sainte Église. Cette Jérusalem est toujours debout, c’est elle que le divin Roi doit visiter à Noël.

    Mais cette ville a encore un troisième étage. Au-dessus de la seconde Jérusalem s’en élèvera une troisième, la Jérusalem céleste, quand les temps seront accomplis. L’Église pense déjà à cette Jérusalem dans ses chants. Dans l’Avent nous attendons aussi le Sauveur qui doit venir au dernier jour pour nous introduire tous dans la Jérusalem céleste.

     Enfin nous pouvons découvrir une quatrième Jérusalem, c’est notre âme. Le Roi veut aussi faire son entrée dans cette Jérusalem et c’est cette Jérusalem qu’il nous importe spécialement d’orner et de préparer — cela aussi est une tâche de l’Avent.

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  • Covid 19 et liberté du culte en France: un accord trouvé sur une nouvelle jauge pour les cérémonies religieuses

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    Publié sur le site web du « Figaro » par Jean-Marie Guénois, rédacteur en chef :

    « Dans la soirée de mercredi 2 décembre, le ministère de l'intérieur a annoncé par communiqué la proposition d'une nouvelle jauge suite aux discussions avec les religions sur la question de l'occupation des lieux de culte dans cette phase de déconfinement au moins jusqu'au 15 décembre : «De manière à concilier liberté d'exercice du culte et mesures sanitaires, une nouvelle jauge de présence dans les édifices du culte a été établie» stipule le ministère. Elle prévoit, pour l'organisation des cérémonies, de laisser libres deux sièges entre chaque personne ou entité familiale et de n'occuper qu'une rangée sur deux.

    À LIRE AUSSI :«Monsieur le premier ministre, entendez les catholiques!»

    Le ministère de l'intérieur annonce en outre que «les consultations se poursuivront dans les jours prochains, afin de préparer l'évolution des mesures de confinement à partir du 15 décembre prochain».

    L'épiscopat a reconnu que cette nouvelle jauge était «réaliste» car «proportionnée à la capacité d'accueil des édifices» et «que bien que contraignante» elle était «applicable» au moins pour les deux prochains dimanches 6 et 13 décembre.

    L'épiscopat catholique était allé au Conseil d'État en fin de semaine dernière et avait eu gain de cause contre le gouvernement, cassant la limite fixe à 30 fidèles quelle que soit la capacité des églises, d'où cette nouvelle négociation.

    L'Église, mercredi soir, s'est donc «réjouie que se renoue un dialogue constructif avec les pouvoirs publics» en espérant «à la lecture des données sanitaires, l'éventuelle réévaluation de cette jauge à partir du 15 décembre» et surtout de «pouvoir célébrer le grand mystère de la foi dans les églises le 24 décembre au soir, avec le moins de restrictions possibles».

    La rédaction vous conseille :

    Ref. Covid 19 et liberté du culte en France: un accord trouvé sur une nouvelle jauge pour les cérémonies religieuses

    En Belgique, les autorités sont toujours aux abonnés absents mais les catholiques sortent enfin du silence (cliquez ici pour lire et signer :https://www.pourlamesse-voordemis.be/ ) 

    JPSC

     

  • Daniel Hamiche R.I.P. (mise à jour 1er décembre)

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    De Riposte Catholique :

    Sur Le Salon Beige, Michel Janva publie l’avis de décès de notre confrère Daniel Hamiche. Daniel Hamiche était également le porte-parole de Riposte Catholique (dont il avait été le rédacteur en chef). A Dieu cher Daniel nous prions pour vous !

    J’ai la douleur de vous faire part du décès ce matin de mon confrère Daniel Hamiche. Il était entré voici quelques jours dans un service de soins palliatifs.

    Né le 1er octobre 1947, Daniel fut journaliste, blogueur, essayiste, éditeur… Engagé au sein du courant légitimiste, il rejoint, quelque jours après, le baron Pinoteau (décédé le 24 novembre).

    Ancien maoïste, convertit au catholicisme au début des années 1980, il devint royaliste, fonda la revue Bourbons Magazine et la Feuille d’Information Légitimiste, devenue par la suite Le Légitimiste. Il est notamment l’auteur de La Passion de Mel Gibson de A à Z (Sicre, 2004), le traducteur de Kinsey le corrupteur, et d‘Être consommé de William Cavanaugh (Éditions de L’Homme Nouveau, 2007). Il travaillé pour plusieurs journaux, dont L’Homme nouveau, Famille chrétienne, Le Choc du mois, Monde & Vie…

    Fondateur du blogue Americatho, sur l’actualité religieuse aux États-Unis, il a été rédacteur en chef de Riposte-catholique ainsi que de l’Observatoire de la christianophobie. Il fut également président fondateur de l’« Amitié catholique France-États-Unis » et secrétaire-général de l’association Les Amis de Chesterton.

    De 1993 à 2007, Daniel Hamiche assista régulièrement Serge de Beketch dans son Libre Journal de la France courtoise, sur Radio Courtoisie, avant de prendre la direction du Libre journal de Chrétienté.

    Adieu Daniel Hamiche : rendez-vous au Ciel… (Philippe Maxence sur l'Homme Nouveau)

    RIP Daniel Hamiche… A Dieu, camarade ! (Jeanne Smits sur son blog)

  • Suivre ici en vidéo, dès aujourd’hui, la messe traditionnelle de ce dimanche 29 novembre en l’église du Saint-Sacrement à Liège :

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    1er dim Avent.jpgC’est sous les auspices de la Vierge Marie que s’ouvre la nouvelle année liturgique. C’est, en effet, dans la basilique de Sainte Marie Majeure que tout le peuple de Rome se réunissait autrefois en ce premier dimanche de l’Avent.

    Toute la messe de ce jour nous prépare au double avènement (adventus) de la miséricorde et de la justice : c’est pour cela que saint Paul nous dit, dans l’Épître, de nous dépouiller du péché, afin qu’étant prêts à la venue du Christ parmi nous, comme Sauveur, nous le soyons aussi à sa venue comme Juge, dont nous parle l’Évangile de ce jour.

    Célébrant : Abbé M.-A Dor

    Chants grégoriens : propre grégorien de la messe « Ad te levavi », kyriale de la messe XVII (XIVe s.), Credo III, Antienne Alma Redemptoris; Hymne Rorate Caeli.

    Orgue : Patrick Wilwerth

    Pour suivre la messe, cliquez ici :

    En vertu de l’article 10 de l’arrêté ministériel du 1er novembre 2020 portant des mesures sanitaires de lutte contre la pandémie du covid19, des célébrations liturgiques enregistrées sont permises, dans le but d’une diffusion par tous les canaux disponibles, en présence des personnes en charge dudit enregistrement (en tout maximum 10 personnes) avec le maintien d’une distance d’1,5 mètre entre chaque personne, et pour autant que le lieu reste fermé au public pendant l’enregistrement du culte.

    A ce titre, des messes selon le missel de 1962 (avec orgue et plain-chant) sont célébrées et enregistrées et diffusées quotidiennement à Liège, en l’église du Saint-Sacrement. On peut suivre toutes ces messes en vidéo le jour de leur célébration en cliquant sur ce lien:

    https://youtube.com/channel/UCEUYps3ebyPUPP2BnnEO6iw

    P1011232.JPGPar ailleurs, l’église du Saint-Sacrement (Bd d'Avroy, 132, 4000 Liège) a choisi d’ouvrir ses portes pour la prière individuelle devant le Saint-Sacrement exposé, avec disponibilité d’un prêtre: tous les mardis de 17h à 19h, tous les jeudis de 10h à 12h et de 14h à 17h, tous les vendredis de 12h à 14h, tous les samedis de 15h à 18h et tous les dimanches de 15h à 18h. Venite, adoremus.

  • Suivre ici en vidéo, dès le jour même, la messe traditionnelle (orgue et plain-chant) de ce 22 novembre en l’église du Saint-Sacrement à Liège :

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    Ce dernier dimanche après la Pentecôte est comme une fête anticipée du Retour du Christ. Les bouleversements inquiétants dont parle l’évangile de ce jour ne doivent pas nous faire oublier le mystère d’espérance que nous vivons déjà : « le Fils de l’homme rassemblera les élus de toute la terre ». La messe est suivie du «Te Deum » Liégeois d’action de grâce clôturant l’année liturgique. Cliquez ici :

    En vertu de l’article 10 de l’arrêté ministériel du 1er novembre 2020 portant des mesures sanitaires de lutte contre la pandémie du covid19, des célébrations liturgiques enregistrées sont permises, dans le but d’une diffusion par tous les canaux disponibles, en présence des personnes en charge dudit enregistrement (en tout maximum 10 personnes) avec le maintien d’une distance d’1,5 mètre entre chaque personne, et pour autant que le lieu reste fermé au public pendant l’enregistrement du culte.

    A ce titre, des messes selon le missel de 1962 (avec orgue et plain-chant) sont célébrées et enregistrées et diffusées quotidiennement à Liège, en l’église du Saint-Sacrement. On peut suivre toutes ces messes en vidéo le jour de leur célébration en cliquant sur ce lien:

    https://youtube.com/channel/UCEUYps3ebyPUPP2BnnEO6iw 

    P1011232.JPGPar ailleurs, l’église du Saint-Sacrement a choisi d’ouvrir ses portes pour la prière individuelle devant le Saint-Sacrement exposé, avec disponibilité d’un prêtre: tous les mardis de 17h à 19h, tous les jeudis de 10h à 12h et de 14h à 17h, tous les vendredis de 12h à 14h, tous les samedis de 15h à 18h et tous les dimanches de 15h à 18h. Venite, adoremus.

    JPSC

  • Quand le cardinal Parolin minimise les persécutions subies par les chrétiens en Chine

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    Du National Catholic Register (Bree A. Dail) :

    D'un journaliste catholique chinois en exil : Les croyants chinois ont besoin d'aide !

    En réponse aux récents commentaires du Cardinal Parolin qui semblaient minimiser l'existence de la persécution chrétienne, Dalù déclare que la persécution est en fait un terme trop doux pour la situation actuelle désastreuse en Chine.

    Catholics gather to pray the Rosary including Bishop Ma Daquin of Shanghai.

    Les catholiques se réunissent pour prier le chapelet, y compris l'évêque Ma Daquin de Shanghai.

    Interview

    17 novembre 2020

    Un journaliste, lanceur d'alerte et réfugié politique chinois a critiqué le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d'État du Vatican, pour ce que l'exilé chinois considère comme une attitude dédaigneuse à l'égard des persécutions actuelles en Chine. Le journaliste chinois Dalù répliquait à une interview du cardinal Parolin accordée au journal italien La Stampa, réalisée quelques jours avant que le Vatican ne renouvelle son accord avec la Chine le mois dernier.

    Dalù s'est adressé au Register le 27 octobre, Journée internationale de la liberté religieuse. Dans cette interview, il a mis en avant la question posée par le journaliste de La Stampa Vatican au cardinal Parolin sur la persécution continue des chrétiens en Chine, malgré l'accord sino-Vatican signé en 2018, auquel le secrétaire d'État du Vatican a répondu : "mais les persécutions, les persécutions ... Il faut utiliser les mots correctement".

    Les paroles du cardinal ont choqué Dalù, qui a reçu le statut de réfugié politique en Italie en 2019 après avoir défié le Parti Communiste Chinois, et l'ont amené à conclure : "Les commentaires du Cardinal Parolin peuvent avoir un sens. Le terme "persécution" n'est pas assez précis ou fort pour décrire la situation actuelle. En fait, les autorités du PCC ont réalisé que la persécution des religions nécessite des méthodes nouvelles et innovantes pour éviter une forte réaction du monde extérieur".

    Originaire de Shanghai, Dalù a été l'un des journalistes les plus populaires des médias chinois avant de réaliser en 1995 un reportage visant à exposer la vérité sur le massacre de la place Tiananmen à ses auditeurs de radio, malgré la tentative du gouvernement chinois de contrôler le récit de l'événement. Dalù s'est converti au catholicisme en 2010, ce qui, selon lui, a renforcé l'hostilité du Parti communiste chinois à son égard. Puis, en 2012, après l'arrestation de l'évêque Ma Daquin du diocèse de Shanghai, Dalù a utilisé les médias sociaux pour demander avec insistance la libération de l'évêque, ce qui a finalement conduit à l'interrogatoire et à la persécution du journaliste.

    Dalù a reçu le statut légal de réfugié politique en Italie en 2019. L'interview suivante a été publiée dans un souci de clarification et d'approfondissement.

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  • "Dear Future Mom", la vidéo qui fait bouger les lignes ?

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    De gènéthique.org :

    Inès

    Dear Future Mom, la vidéo qui fait bouger les lignes ?

    Publié le : 16 novembre 2020

    Pour la journée de la trisomie 21, le 21 mars 2014, un collectif d’associations européennes, parmi lesquelles les amis d’Eléonore et la Fondation Jérôme Lejeune, a diffusé un clip vidéo Dear Future Mom. Résolument positif, il présente des personnes trisomiques s’adressant à une future maman qui attend un enfant porteur de cette anomalie chromosomique. En France, plusieurs chaines, Canal +, M6 et D8, acceptent de le diffuser à titre gracieux dans leurs écrans publicitaires. Cependant, saisi par seulement deux courriers, le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) invite les responsables des chaines à l’autocensure, conseillant de retirer le clip de la diffusion. Les chaines incriminées obtempèreront. Pourtant, la vidéo fera l’objet de plus de 8,2 millions de vues à travers le monde.

    La Cour Européenne des droits de l’Homme est saisie

    En France, les différents recours successifs déposés par la Fondation Lejeune et Inès de Pracomtal, une jeune fille impliquée dans la vidéo, conduisent au Conseil d’Etat. Il tranche en faveur du CSA estimant que ce dernier n’a pas abusé de son « pouvoir de régulation » ni « porté une atteinte disproportionnée à la liberté d’expression » (cf. « Dear future Mom » : un message légitime qui ne serait pas d’intérêt général). Le 9 mai 2017, des requêtes sont déposées pour contester cette décision auprès de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) qui accepte d’examiner le fond de l’affaire le 21 septembre 2020, obligeant le gouvernement français à répondre aux questions ayant trait à la liberté d’expression (cf. « Dear future Mom » : la CEDH valide la requête).

    C’est une surprise, en effet, seules 5% des requêtes franchissent ce cap (cf. Censure eugéniste du CSA : nouvelle étape franchie à la CEDH). Que s’est-il passé ? Le vent serait-il en train de tourner ? C’est en tous cas la question qu’on pourrait légitimement se poser. En effet, depuis de nombreuses années des vidéos circulent mettant en scène des personnes porteuses de trisomie 21 : mannequins, acteurs, sports, insertion professionnelle, mais aussi frères et sœurs de ces personnes qui témoignent de leur tendresse, parents aimants, adoptants. Ces vidéos ont en commun de porter un regard très positif sur ces enfants, ces jeunes, ces adultes souriants et heureux, qui s’interrogent sur leur différence, la place qu’on leur laisse dans la société.

    Un regard sur la trisomie 21 qui change

    Lors des débats sur le projet de loi de bioéthique, des députés, des sénateurs, très concernés, avec beaucoup de sensibilité, ont refusé de cautionner le diagnostic préimplantatoire qui vise à sélectionner les embryons dans les parcours de PMA pour écarter ceux qui seraient porteurs d’anomalies, notamment des anomalies chromosomiques comme la trisomie 21 (DPI-A). Plus récemment, un téléfilm diffusé sur M6 Apprendre à t’aimer (cf. Trisomie 21 sur M6 : « Heureusement qu’on n’a rien décelé avant sa naissance »), a reçu un accueil très chaleureux de la part du public. En Mars dernier, Emmanuel Macron inaugurait sur les champs Elysées, le « café Joyeux » servi « avec le cœur » par des personnes en situation de handicap.

    Cependant, rien n’est encore joué. Lors de ces mêmes débats de bioéthique, Olivier Véran ne s’est pas attaché à défendre la trisomie 21, mais a demandé un délai pour expérimenter le DPI-A. Juste avant ce débat, les députés ont validé le principe du bébé médicament qui consiste à sélectionner un embryon in vitro exempt de la maladie d’un aîné, en vue de le soigner. Une pratique qui instrumentalise l’enfant à naître, abandonnée en 2014 (cf. La pratique du « bébé médicament » abandonnée en France en 2014) : la procédure est lourde pour les professionnels de santé et la loi imposait d’utiliser l’ensemble des embryons congelés, même si ces derniers ne sont pas compatibles, avant de permettre une nouvelle FIV. In fine, très peu de procédures ont abouti. Le bébé médicament reviendrait donc dans la pratique, mais la contrainte de la loi serait levée. Le ressort eugéniste est le même que pour le DPI-A.

    Au niveau international, l’avortement eugénique fait l’objet de condamnations

    Ces deux dernières années, d’un point de vue international, plusieurs instances de l’ONU, le Comité des droits des personnes handicapées en 2018 et le Rapporteur spécial sur les droits des personnes handicapées, ont considéré que « l’avortement eugénique viole les droits des personnes handicapées », explique l’ECLJ (cf. Censure eugéniste du CSA : nouvelle étape franchie à la CEDH). Espérons que la CEDH fasse preuve de sagesse et rende aux personnes porteuses de trisomie 21 leur droit de cité dans les médias.

  • Suivre ici en vidéo, dès le jour même, la messe dominicale traditionnelle célébrée ce 15 novembre en l’église du Saint-Sacrement à Liège :

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    st sacrement façade 20201113_143051.jpgEn vertu de l’article 10 de l’arrêté ministériel du 1er novembre 2020 portant des mesures sanitaires de lutte contre la pandémie du covid19, des célébrations liturgiques enregistrées sont permises, dans le but d’une diffusion par tous les canaux disponibles, en présence des personnes en charge dudit enregistrement (en tout maximum 10 personnes) avec le maintien d’une distance d’1,5 mètre entre chaque personne, et pour autant que le lieu reste fermé au public pendant l’enregistrement du culte.

    A ce titre, des messes selon le missel de 1962 (avec orgue et plain-chant) sont célébrées et enregistrées et diffusées quotidiennement à Liège, en l’église du Saint-Sacrement. On peut suivre toutes ces messes en vidéo le jour de leur célébration en cliquant sur ce lien:

    https://youtube.com/channel/UCEUYps3ebyPUPP2BnnEO6iw

     

    P1011232.JPGPar ailleurs, l’église du Saint-Sacrement a choisi d’ouvrir ses portes pour la prière individuelle devant le Saint-Sacrement exposé, avec disponibilité d’un prêtre: tous les mardis de 17h à 19h, tous les jeudis de 10h à 12h et de 14h à 17h, tous les vendredis de 12h à 14h, tous les samedis de 15h à 18h et tous les dimanches de 15h à 18h. Venite, adoremus.

    JPSC

  • Covid 19 : confinement sanitaire et liberté du culte en France

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    Puppinck.jpgEmission du 14 novembre sur RCF à propos des manifestations demandant la restauration de la liberté de culte et du maintien de l’instruction religieuse pendant le confinement :

    avec, entre autres, Gregor Puppinck, Directeur du Centre européen pour le droit et la justice

    rendes nous la messe 531796_1.jpeg

     

    Ref.  Comment maintenir l’instruction religieuse et le culte public

    Et en Belgique, les convoyeurs attendent dans la morne plaine ?

    JPSC

  • Trump-Biden : ce n’est plus le politique qui censure les médias mais les médias qui censurent le politique

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    De la revue de presse de l'Homme Nouveau :

    Dans sa chronique de samedi dernier dans le Figaro, Mathieu Bock-Côté analyse lui aussi le résultat des élections américaines (dont le résultat définitif n’est pas encore connu) et en tire une leçon beaucoup plus universelle, sur une transformation à laquelle nous assistons depuis plusieurs années et dont la dernière élection américaine a été un champ d’application à grande échelle.

    C’est la théorie des quatre pouvoirs qu’il faut revisiter. Les médias sont désormais le premier d’entre eux. Les Gafam, notamment, se sont permis un interventionnisme actif tout au long de la campagne pour en contrôler le récit au point même, ces derniers jours, de censurer à répétition les interventions de Trump. Quant aux grands réseaux de télévision, ils se permettent aussi de suspendre la diffusion de ses discours pour les corriger. On aurait tort d’y voir une simple entreprise de correction factuelle. Ce n’est plus le politique qui censure les médias mais les médias qui censurent le politique. Le pouvoir médiatique fixe la définition du réel et assimile ceux qui la contredisent aux propagateurs de fausses nouvelles, et cela, bien au-delà des déclarations trumpiennes. Le pouvoir qui se réclame de la souveraineté populaire n’est plus qu’un contre-pouvoir, cantonné dans la fonction tribunicienne, à la manière d’un dernier refuge populaire pour contenir ou renverser le déploiement du régime diversitaire prétendant avoir pour lui le sens de l’histoire. Même élu, un chef « populiste » demeure en opposition structurelle au système qui cherche à l’expulser de toutes les manières possibles. Dans la perspective populiste, il s’agit de restaurer le pouvoir politique.

    La campagne de Trump était mauvaise. Alors qu’en 2016, il avait su porter un discours critique à la fois de la mondialisation et de l’immigration massive, il aura mené ces derniers mois une campagne erratique, essentiellement consacrée à la dénonciation anticipée des fraudes supposées des démocrates. Il avait fini par incarner une colère sans projet. Son personnage dévorait sa politique. Sa psychologie trouble se révèle contradictoire avec les exigences démocratiques, comme on l’a vu ces derniers jours, lorsqu’il a semblé préférer la guerre civile à l’éventualité de sa défaite. Son attitude actuelle le condamne à la disgrâce. Cela ne devrait pas nous empêcher de comprendre les motivations de l’insurrection populiste. Reste à voir si elle parviendra à sortir de la posture tribunicienne et du style histrionique qui la condamne à l’échec.

    Lire également : la censure privatisée

  • La mort du Directeur de Rédaction de cathobel

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    De Bosco d'Otreppe sur le site de la Libre :

    8 novembre 2020

    Décès de Jean-Jacque Durré, rédacteur en chef du journal Dimanche et de Cathobel

    Jean-Jacques Durré, directeur des rédactions des médias catholiques, de Cathobel et du journal Dimanche, est décédé inopinément ce vendredi 6 novembre ont communiqué sa famille et les médias catholiques.

    Décès de Jean-Jacque Durré, rédacteur en chef du journal Dimanche et de Cathobel
    © Youtube
    C’est en 2011 qu’il avait pris ses fonctions, soucieux depuis lors d’élargir l’audience et les canaux de diffusion des médias catholiques. Sur son site internet, l’équipe de Cathobel "salue les qualités humaines de son directeur de rédaction, en particulier sa bienveillance, son optimisme, son humour, son esprit convivial et son sens de l’écoute." "Jean-Jacques était un homme aimable et bienveillant, un chrétien engagé et un journaliste compétent", écrit sur son blog le chanoine Éric de Beukelaer qui l’a bien connu.

    "Homme de foi, souligne Tommy Scholtès, actuel porte-parole des évêques, et à qui Jean-Jacques Durré avait succédé comme directeur de la rédaction de Cathobel, il avait l’intelligence des choses et des situations de l’Eglise et de la société, dans un souci continu de rencontre et de recherche d’une journalisme de qualité et chrétien. Il a prouvé que c’était parfaitement compatible au sein de l’Eglise et dans la Presse."

  • 1RCF fête sa première année d'existence

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    Wavre, le 4 novembre 2020. Le jeune réseau radio 1RCF Belgique passe le cap de son premier anniversaire. C’est le premier réseau radiophonique associatif non marchand en Fédération Wallonie-Bruxelles. En juillet 2019, lorsque le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel a accordé à 1RCF une des rares places sur le réseau DAB+ couvrant l’ensemble du territoire de Belgique francophone, les équipes et les auditeurs de RCF étaient ravis. Cela saluait entre autres le travail de fond accompli par les radios locales RCF à Bruxelles, Liège, Namur et Bastogne depuis des années. Puis, elles n’ont eu que quelques mois pour réussir le lancement de la radio « 1RCF Belgique » le 4 novembre 2019. 1RCF Belgique couvre en DAB+ potentiellement plus de 5 millions de personnes, d’Anvers à Luxembourg et de Lille à Eupen. 9% des belges détiennent déjà un récepteur DAB+, même sans le savoir, dans la voiture par exemple. Ce sera 50% vers 2025. Le DAB+, c’est la FM du futur, même si la FM a encore de beaux jours devant elle.

    « RCF existe en France depuis 1982 et en Belgique depuis 1991. D’abord à Bastogne puis à Bruxelles, Liège et Namur. RCF et les diocèses ont créé des antennes FM locales dynamiques avec le soutien de nombreux bénévoles. L’évolution technologique ouvre de nouvelles perspectives. RCF a saisi la balle au bond, avec le soutien des autres radios RCF, de CathoBel et surtout de la conférence épiscopale de Belgique. RCF est une radio à vocation oeucuménique », dit Elise Vanesche, responsable marketing de 1RCF Belgique, qui a quitté son boulot dans une banque pour vivre cette nouvelle aventure.

    « Lancer une nouvelle radio quasi nationale est un défi. Plus de 50 bénévoles et permanents rendent cela possible. Leur enthousiasme est fantastique. Le principal défi est que la radio «1RCF Belgique » a l’obligation de produire 70% de contenu propre et plus de 6% de musique de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Elle ne peut dès lors diffuser que 30% de contenu venant des tiers, par exemple des radios RCF locales, RCF France ou d’autres partenaires. Cela se traduit par une programmation très riche et variée », explique Jacques Galloy, directeur bénévole à mi-temps de 1RCF Belgique.

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