Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique - Page 601

  • Syrie : quand l'évêque d'Angoulême s'égare

    IMPRIMER

    Syrie : le patriarche Gregorios III répond à Mgr Dagens (aleteia)

    Après les accusations lancées par l’évêque d’Angoulême et académicien sur les ondes de Radio Notre-Dame, réponse du patriarche de l’Eglise catholique melkite.

    La semaine dernière, Mgr Claude Dagens, évêque d’Angoulême et membre de l’Académie française,  interrogé sur la crise syrienne, lançait un cri de colère sur les antennes de Radio Notre-Dame. Répondant aux questions de Louis Daufresne dans l’émission Le Grand Témoin , il prenait nettement parti contre Damas et accusait la hiérarchie catholique de collusion avec le régime.

    La réponse du patriarche de l’Eglise catholique melkite, Gregorios III, directement mis en cause, ne s’est pas fait attendre :

    Son Excellence Mgr Claude Dagens - Evêque d’Angoulême

    Excellence et cher frère dans l’épiscopat,

    Vous m’avez gravement et publiquement mis en cause sur les ondes de Radio Notre-Dame. Vous n’imaginez sans doute pas combien vos paroles diffamatoires ont blessé – et mis en danger – la communauté melkite si cruellement éprouvée depuis tant d’années.

    Quel contraste avec la sollicitude du Pape François et la solidarité spirituelle si touchante de mes frères dans l’épiscopat et de tant de Français anonymes !

    J’ajoute que beaucoup de chrétiens d’Orient sont des francophones fervents et ont été du coup particulièrement peinés par les attaques de l’Académicien que vous êtes.

    De légitimes différences d’appréciation géopolitiques ne me semblent pas justifier le fait de porter violemment atteinte à la fraternité épiscopale et de choquer toute une Eglise en attaquant son Patriarche.

    Sur la brèche et faisant front à toutes les difficultés et les tragédies de ces deux dernières années je n’ai eu de cesse d’appeler au dialogue et surtout à la réconciliation unique planche de salut pour la Syrie et pour laquelle je suis prêt à offrir ma vie en sacrifice. (1)

    Demeurant à votre disposition pour en reparler, je vous assure, Excellence, de ma prière pour la paix, la communion ecclésiale, vous-même et votre diocèse. 

                                                         + Gregorios III              Patriarche

    Copies à

    S. Ex Mgr Georges PONTIER, Président de la Conférence épiscopale frnaçase

    S. Em. le Cardinal VINGT-TROIS, Ordinaire des Orientaux en France

    S. Em. le Cardinal OUELLET, Préfet de la Congrégation des Evêques

    Mme Hélène CARRERE d’ENCAUSSE, Secrétaire Perpétuel de l’Académie Française

    (1) Lire : http://www.zenit.org/fr/articles/sa-beatitude-gregorios-iii-face-a-la-crise-syrienne

  • Les Conférences épiscopales d'Europe vont plancher sur la laïcité et le laïcisme

    IMPRIMER
    Europe: Dieu et l'Etat: entre laïcité et laïcisme
    Assemblée du CCEE en Slovaquie

    ROME, 17 septembre 2013 (Zenit.org) - "Dieu et l’Etat: entre laïcité et laïcisme": ce sera le thème de l'assemblée plénière annuelle des Présidents des Conférences épiscopales d’Europe aura lieu, cette année, à Bratislava (Slovaquie) à l’occasion du 1150ème anniversaire de l’arrivée des Saints Cyrille et Méthode sur sol slovaque.

    C’est à l’invitation de l’Archevêque de Bratislava, Mgr Stanislav Zvolenský, que cette année aura lieu à Bratislava (3-6 octobre) auprès du Falkensteiner Hotel (Pilárikova ulica 5 - Bratislava), l’Assemblée plénière du Conseil des Conférences épiscopales d’Europe (CCEE), l’organisation continentale qui réunit les présidents des 33 Conférences épiscopales en Europe, les archevêques du Luxembourg, de la Principauté de Monaco, de Chypre des Maronites, l’évêque éparchialde Mukachevo (Ukraine) et l’évêque de Chişinău (Moldavie).

    Pendant quatre jours, les sommets de l’Eglise catholique en Europe aborderont, à l’aide d’experts, les aspects sociaux et spirituels des défis auxquels l’Europe contemporaine doit faire face. Les débats de la rencontre de Bratislava se pencheront notamment sur la place laissée à la religion et donc sur le rôle de l’Eglise dans les sociétés des pays européens, qui se débattent entre laïcité et laïcisme. Le sujet sera introduit par Madame le prof. Emila Hrabovec, professeur d’histoire, qui aura la tâche de présenter les conclusions d’une enquête menée auprès des Conférences épiscopales. Les présidents aborderont également d’autres sujets tels que :l’évangélisation dans un monde sécularisé, l’objection de conscience et les travaux de l’Union Européenne et du Conseil de l’Europe.

    Les travaux seront suivis par le Préfet de la Congrégation pour les Evêques (Saint Siège), leCardinal Marc Ouelletet par le Nonce Apostolique en Slovaquie,l’archevêque Mario Giordana.

    À Bratislava arriveront également le secrétaire général du Symposium des Conférences épiscopales d’Afrique et de Madagascar (SECAM) ; mons. William Shomali, évêque auxiliaire du Patriarcat latin de Jérusalem ; Sa Béatitude Ignace Youssif III Younan, Patriarche Syriaque d’Antioche et un représentant de la Conférence épiscopale du Kazakhstan.

    Les évêques réunis à Bratislava rencontreront également Son Excellence Robert Fico, Premier Ministre du Gouvernement Slovaque, ainsi qu’un certain nombre de représentants des institutions civiles et ecclésiales du Pays.

    Jeudi 3 octobre, à partir de 21h30, à l’Eglise Saint Jean de Matha, aura lieu une veillée de prière pour la Terre Sainte et pour les chrétiens du Moyen Orient.

    La rencontre est à huits clos.

    Le programme complet de la rencontre est disponible sur le site www.ccee.eu (section featured today).

  • Gender à Bruxelles : La Manif Pour Tous en alerte

    IMPRIMER

    Gender à Bruxelles : La Manif Pour Tous en alerte

    Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. 

     

    Tous nés d’un homme et d’une femme

    Paris, le 17 septembre 2013 

    Communiqué de presse

    Parlement Européen - Rapport sur la santé et les droits sexuels et reproductifs

    L’Europe, l’éducation sexuelle et le genre :

    La Manif Pour Tous en alerte 

    sur un projet d’enseignement obligatoire dès le primaire

    Demain, 18 septembre, la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen soumettra au vote le rapport sur la Santé et les Droits Sexuels et Reproductifs. La Manif Pour Tous est particulièrement inquiète des dispositions envisagées en matière d’éducation sexuelle, de lutte contre les stéréotypes et d’éducation à l’égalité des genres. Elle dénonce fermement la volonté affirmée dans l’amendement 151 de promouvoir l’égalité de genre dans les programmes et manuels scolaires.

    Une nouvelle menace pour l’enfant et les libertés fondamentales

    La Manif Pour Tous dénonce l’amendement 151 de la députée européenne Barbara Matera (PPE) qui propose de rendre obligatoire des cours d’éducation sexuelle pour tous les élèves des écoles primaires et secondaires des Etats membres. De tels cours n’ont certainement pas leur place en primaire, et d’autant moins qu’ils aborderaient notamment la question de « l’égalité des genres ». La Manif Pour Tous dénonce ce projet de promotion de l’identité de genre, notion qui fait débat chez les spécialistes et qui n’est pas un sujet pertinent à l’âge de l’école ! Imposée aux écoles, cet enseignement serait ainsi décidé sans concertation avec les parents, sans respect de leur rôle de premiers et principaux éducateurs de leurs enfants.

    L’amendement 151 est une grave atteinte à l'article 26 (§3) de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme qui stipule que le droit d'éducation est reconnu prioritairement aux parents. Il met en danger la liberté et le droit des parents à s'opposer à l'interférence d'acteurs étatiques ou non étatiques dans cette éducation. La défense d'un droit d'accès de l’enfant à une information scientifique et dégagée de tout jugement en matière de sexualité ne doit pas se faire sans l’implication des parents et l’assurance que les contenus contribuent à l’équilibre de l’enfant. Par ailleurs les concepts de genre n’entrent pas dans le champ « d’une information scientifique » et n’ont donc pas de place dans ce cadre.

    La Manif Pour Tous en alerte

    Le 18 septembre prochain, La Manif Pour Tous suivra avec attention les débats de la commission « Droits de la femme et égalité des genres » du Parlement Européen. Elle se prépare à se mobiliser et à mener toutes les actions nécessaires si cet amendement devait être adopté. La Manif Pour Tous demande aux députés européens de cette  commission permanente de prendre concrètement position à l’occasion de ce vote pour défendre les intérêts de l’enfant, le rôle de ses  parents et la neutralité des instances nationales d’éducation gravement mis en danger par ce rapport. Elle leur rappelle que :

    1. La Manif Pour Tous s’oppose fermement à la diffusion à l’école du concept de genre, notion floue et non scientifique conduisant notamment à la remise en cause des identités sexuelles homme/femme.

    2. Les parents sont les premiers éducateurs de leurs enfants. La liberté d’éducation des parents est un droit fondamental et inaliénable qu’aucune institution ne peut retirer et que toutes les conventions internationales garantissent.

    3. La Manif Pour Tous défend les droits de l’enfant. Elle est prête à agir aussi bien au niveau français qu’au niveau européennif Pour Tous est un mouvement spontané, populaire et divers qui s’oppose à la généralisation de la PMA, à la GPA (mères Contact presse

      Tel : 06 43 90 35 81    /    contact-presse@lamanifpourtous.fr  

  • Combatif, le cardinal Bagnasco dénonce les idéologies qui mettent à mal la famille

    IMPRIMER

    Bishop_Angelo_Bagnasco_(2005).jpgMassimo Introvigne (Nuova Bussola quotidiana - 13-09-2013) (merci à EW pour sa traduction)

    Extraits :

    La 47e Semaine sociale des Catholiques italiens de Turin, dédiée à la famille, s’est ouverte ce 12 septembre. […] Dans son message aux participants, le Pape François a rappelé l’essentiel de la conception chrétienne de la famille : union féconde entre un homme et une femme, dans leurs différences, et nul autre modèle ; premier et principal sujet constructeur d’une société et d’une économie à taille humaine ; réalité concrète, quotidienne, chaîne intergénérationnelle de solidarité et de valeurs. Il a aussi souligné les risques courus par un peuple qui mépriserait la famille : « un peuple qui ne prend pas soin des personnes âgées et des enfants n’a pas de futur, car il maltraite à la fois sa mémoire et ses promesses pour l’avenir» et souligné la portée des choix politiques concernant la famille, des problèmes démographiques du continent européen aux questions relatives au travail et à l’économie. Ensuite, François a dénoncé le manque de liberté des familles italiennes à pouvoir appliquer leurs propres choix éducatifs pour enfin terminer avec cette recommandation : « mettre en évidence le lien qui unit le bien commun à la promotion de la famille fondée sur le mariage, au-delà de tout préjugé ou idéologie. »

    Cette recommandation a immédiatement été appliquée par le Cardinal Bagnasco (archevêque de Gênes et président de la conférence épiscopale italienne), dans son allocution d’ouverture, partant directement du cœur du problème, à savoir le défi que la révolution anthropologique pose à l’Église et au bien commun.  A la suite de Benoît XVI, qui dénonçait une écologie se préoccupant plus de la plus petite plante ou du moindre animal que de la vie ou de la famille humaine, le Cardinal a cité la psychiâtre Catherine Ternynck : « Partout, ils nous exhortaient à sauver la planète. Ne fallait-il pas, avec la même urgence, venir au secours de l’être humain ? Si l’air devait rester pur, l’herbe verte, ne fallait-il pas aussi que le monde des humains demeure vivable ? Que faisait-on de la terre des hommes ? » Bagnasco a affirmé qu’il s’agissait justement « du sol humain qui s’était appauvri, vidé de son humus de relations, liens, responsabilités et, de là, devenu friable et inconsistant. Au point que l’homme lui-même, sur ce terrain incertain, finisse par devenir « de sable », une forme fluide, pétrie de contradictions et avec une caractéristique évidente : la sensation de lassitude. C’est un homme « à la tête lourde » qui se fatigue à faire avancer sa vie, doute du chemin et du sens. »

    Lire la suite

  • Le drame de l'élimination massive des petites filles à naître en Inde

    IMPRIMER

    Friday-Fax-Header-French.jpgLisa Correnti a assisté à une séance parlementaire au Congrès sur les avortements des petites filles en Inde. La séance était présidée par le député américain du New Jersey, Chris Smith.

    Le congrès se penche un génocide féminin en Inde

    WASHINGTON DC, 13 septembre (C-FAM) L’élimination massive des petites filles en Inde par le biais de l’avortement sélectif et de l’infanticide peut être mis sur le compte des programmes coercitifs institués sur le fondement des prévisions alarmistes des démographes, des agences de l’ONU, et des militants de l’avortements des pays riches, dont les Etats-Unis.

    « L’avortement sélectif pratiqué en raison du sexe, une politique violente, vile et délibérée, et imposée au monde par le mouvement favorable au contrôle des populations et à l’avortement, n’est pas arrivé par accident », déclarait Chris Smith, député américain siégeant au sous-comité du Congrès sur l’Afrique, la santé mondiale et les droits de l’homme.

    La séance sur les affaires étrangères à la Chambre des représentants abordait le thème « les filles qui manquent à l’Inde ». Les députés se sont penchés sur les pratiques discriminatoires et sur les conséquences du taux de répartition des sexes faussé dans la population indienne. Ce taux fait suite à 37 millions de morts de petites filles, partagés entre les d’avortements et les infanticides de nouvelles-nées par leur mère ou un membre de la famille.

    « La sélections de l’enfant en fonction du sexe, rampante ces dernières décennies, a créé un véritable génocide, a déclaré le Dr Sabu George. Il y a plus de petites filles éliminées chaque année en Chine et en Inde que de naissances de petites filles aux Etats-Unis. » Le Dr George a travaillé en Inde pendant 28 ans pour protéger les petites filles des négligences, de l’infanticide et de la sélection en fonction du sexe.

    Lire la suite

  • Parce que l'enfant à naître est une malédiction...

    IMPRIMER

    De France (Najat Vallaud Belkacem) :

    En direct du Ministère des Droits des femmes

    Pourquoi je soutiens l’ouverture de la distribution des tests de grossesse

    11 SEPTEMBRE 2013

    Tests de grossesse, je soutiens, je partage

    "Aujourd’hui, toutes les femmes n’ont pas accès à ces dispositifs en raison de leur coût. Pour la première fois, depuis 1995, la part des femmes ayant déclaré leur grossesse après le premier trimestre a même augmenté de manière significative en 2010 (7,8 % contre 4,9 % en 2003). C’est l’entrée dans le parcours de santé de la femme enceinte qui s’en trouve mis en cause.

    Je soutiens l’ouverture de la distribution des tests de grossesse, qui pourra être prévue dans le cadre du débat au Sénat sur le projet de loi  relatif à la consommation. La protection des femmes enceintes est notre priorité, ce qui implique qu’elles aient connaissance le plus tôt possible de leur grossesse. Le gouvernement sera favorable à l’amendement déposé par la députée socialiste Mme Schilinger tendant à supprimer le monopole des pharmaciens sur la vente des tests de grossesse et des tests d’ovulation car il s’agit d’une avancée pour notre santé publique. De cette ouverture on peut attendre légitimement une baisse des prix et un accès plus aisé à ces produits médicaux.

    J’ai souhaité que cette mesure soit accompagnée de la diffusion dans les notices et sur les boîtes de messages d’information pour les femmes enceintes. Ces informations doivent être clairement données :  il sera rappelé aux femmes la nécessité de consulter un médecin ou une sage-femme en cas de test positif mais seront aussi rappelé les conseils qu’elles peuvent trouver en matière de contraception ou d’interruption volontaire de grossesse auprès des centres de planification et d’éducation familiale. (...)"

    no comment

  • Quel avenir pour les chrétiens d'Egypte ?

    IMPRIMER


    Égypte : Quel est l'avenir des chrétiens... par BlogCopte

    Depuis le 14 août, l’Égypte est à nouveau dans la tourmente avec la lutte entre le régime militaire et les Frères musulmans. Les chrétiens aussi ont été la cible de représailles, accusés par les islamistes d’avoir soutenu la chute du président Morsi. Une soixantaine d’églises ont été incendiées et des attaques ont visé de nombreuses écoles, maisons et commerces appartenant à des coptes. Le patriarche des coptes catholiques a souligné qu’il ne s’agissait pas d’une « lutte politique entre factions rivales mais d’une lutte de tous les Égyptiens contre le terrorisme ».

    Comment les chrétiens vivent-ils cette nouvelle épreuve ? Quel avenir possible pour l’Egypte ? Etat des lieux avec le Père Samir Khalil Samir, jésuite égyptien. Ce professeur de théologie et d’islamologie à l’Université pontificale orientale était un expert reconnu des relations entre chrétiens et musulmans.

  • La Lettre d'information de l'Observatoire socio-politique du diocèse de Fréjus-Toulon (sept. 2013)

    IMPRIMER

    logo letter.jpgC'est la rentrée ! La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon revient, gonflée à bloc, la Mouche du Coche ayant chanté tout l'été ! Tous les mois, La Lettre de l'Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon propose un regard d'Eglise sur les grandes questions de société. Faites-la découvrir à vos amis !

    JOUIR SANS ENTRAVES

    Par P. Louis-Marie Guitton, responsable de l'OSP

    LA POSTMODERNITé, UN POSTCHRISTIANISME ?

    Par Falk van Gaver, délégué de l'OSP

    SVT : UNE SCIENCE LIBRE AU SERVICE DE LA VIE

    Par Pierre-Olivier Arduin, responsable "bioéthique" de l'OSP

    REPORT DE L'éCOTAXE

    Par Philippe Conte, responsable "environnement" de l'OSP

    JOHN RUSKIN, AT LAST !

    Par Falk van Gaver, délégué de l'OSP

    "J'ai été à la Manif, alors je voudrais faire de la politique..."
    Par Jérôme Le Montréer

    Par la Mouche du Coche
  • Le journaliste Domenico Quirico, libéré de Syrie : "J'ai rencontré le pays du Mal"

    IMPRIMER

    Domenico Quirico, journaliste à La Stampa détenu en Syrie pendant cinq mois avec le Belge Pierre Piccinin, a regagné l'Italie lundi. Il a livré à son journal le récit de sa captivité. Cliquez ici, sur le blog du "Monde" : Le journaliste Domenico Quirico, libéré de Syrie : "J'ai rencontré le pays du Mal"

    En conclusion de son récit, il y a cette profession de foi : "Cette expérience est remplie de Dieu. Pierre Piccinin [le compagnon de captivité de Domenico Quirico] est croyant. Je le suis aussi. Ma foi est très simple, c'est celle de mes prières d'enfant, des prêtres que je croisais alors, pédalant vers leurs petites paroisses chaussés comme des ouvriers, leur sacoche attachée à leur vélo. Ils allaient porter l'extrême onction, bénir les maisons, avec la foi de Bernanos, simple mais profonde. Ma foi, c'est de me donner, je ne crois pas que Dieu soit un supermarché, où on va demander à peu de frais la grâce, le pardon, un service. Avoir la foi m'a aidé à résister.

    Notre histoire, c'est celle de deux chrétiens dans le monde de Mahomet et de la comparaison entre deux fois différentes : la mienne, simple, faite de don de soi et d'amour, et la leur, qui est faite de rituels. J'avais aussi avec moi un de mes carnets où j'écrivais chaque jour ce qui s'était passé. Je l'avais presque fini, il ne restait que deux pages. Le dernier jour, ils me l'ont pris. Il m'a surtout servi à tenir le compte des mois, des jours, parce que si on perd le sens du temps, on sombre dans un puits d'où on ne ressort pas. 

    Domenico Quirico (traduit de l'italien par Florence Djibedjian)"

    A méditer. Pierre Piccinin est, en effet, aussi un croyant sincère, à ce que je crois savoir par ailleurs. JPSC

  • Les FEMEN Belgique ferment boutique

    IMPRIMER

    Lu sur RTL.be : Ne les appelez plus jamais Femen

    Les Femen de Belgique, connues pour des manifestations seins nus dans le pays, cessent leurs activités, ont-elles annoncé sur leur page Facebook mardi après-midi. "Nous avons pris unanimement cette décision à la suite d'un désaccord concernant l'organisation internationale du mouvement", a confirmé à l'agence Belga Margo Fruitier, porte-parole de la branche belge du mouvement.

    "Nous ne revenons pas sur l'idéologie du mouvement, mais bien sur la manière dont fonctionne ce groupe à l'échelle internationale", ajoute-t-elle. "Nous ne regrettons rien, nous avons mené toutes nos actions sincèrement", écrivent les Femen belges sur leur page Facebook. "Nous continuerons à nous battre dans un mouvement qui sera le nôtre" et qui se développera d'abord en Belgique, selon la porte-parole. Le groupe, qui ne donne pas pour l'instant d'autres détails sur ce choix, a pris sa décision lors d'une réunion qui s'est tenue lundi soir.

    Deux évènements récents pas à l’origine de ces sécession

    La récente polémique autour de Victor Svyatski, qui aurait fondé le mouvement et le récent départ de la militante tunisienne Amina Sboui ne seraient pas directement à l'origine de la fermeture de Femen Belgique, selon leur porte-parole. "Il s'agit bien d'un désaccord quant à l'organisation internationale et à la communication au sein du mouvement", insiste la porte-parole belge. (...)

     

  • Pilule gratuite, de l'électoralisme ?

    IMPRIMER

    L'histoire populiste de la "pilule gratuite" au Parti Socialiste ?

    10/09/2013 - Début de vie - IEB

    Ces mots sont ceux du Dr Marc Moens, vice-président de l'Absym (Association Belge des Syndicats Médicaux) et Secrétaire général du Groupement des Unions Professionnelles Belges de Médecins Spécialistes (GBS) 
    Dans le rapport annuel 2012 du GBS, intitulé " Une pilule mutualiste empoisonnée" le Dr Moens se questionne quant à l’opportunité de distribuer gratuitement la pilule aux jeunes de « moins de 21 ans, avec un coût de 9,313 millions d'euros pour l'INAMI, alors que, cinq ans après le lancement, aucun effet n'a (encore) pu être enregistré sur le nombre d'interruptions volontaires de grossesse dans cette tranche d'âge ». Cela aurait-il  « amené ce groupe ou leurs mères à voter pour le PS au niveau local ? »
    De plus Marc Moens affirme, dans le Journal du Médecin du 19 juillet 2013, que "la suppression pure et simple de la pilule gratuite représenterait une part non négligeable des 50 millions d'euros d'économies supplémentaires demandées au budget des soins de santé".

  • Strasbourg, 1er octobre : la famille un sujet de droits

    IMPRIMER

    La famille,
    un sujet de droits

    Strasbourg, le 1er octobre 2013

    à l'occasion de Année européenne des citoyens
    & le 30ème anniversaire de la Charte des 
    Droits de la Famille du Saint Siège

    Inscription et programme

    CONFERENCE AVEC

    Xavier Breton, Député français
    Mgr Jean Laffitte, Secrétaire du Conseil pontifical pour la famille
    Grégor Puppinck, Directeur du Centre européen du droit  et de la justice  (ECLJ)
    Antoine Renard, Président de la FAFCE et de la CNAFC
    On. Luca Volontè, Président de la fondation Novae Terrae

    Dr Anna Záborská, Présidente de l’Intergroupe pour la famille, la petite  enfance et la solidarité intergénérationnelle du Parlement européen.

    La Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe, FAFCE, a été fondée en 1997 et elle est dotée d’un statut participatif auprès du Conseil de l’Europe.

    La FAFCE représente des associations familiales de 16 pays européens. L’action de la FAFCE est fondée sur l’enseignement social et familial de l’Eglise catholique. Elle promeut l’intérêt des familles et valorise la contribution de la famille à la société auprès des décideurs politiques à l’échelle européenne.

    Dans le cadre de l’Année européenne des citoyens et pour célébrer le 30ème anniversaire de la Charte des Droits de la famille du Saint Siège, la FAFCE souhaite attirer l’attention sur la famille comme sujet de droits. Cet événement prépare également le 20ème anniversaire de l’Année internationale de la famille en 2014.

     La FAFCE souhaite promouvoir la famille comme un sujet de droits et par là contribuer à renforcer les droits existants qui sont déjà inscrits dans les instruments juridiques aux niveaux nationaux, communautaires et internationaux.

    Cette conférence abordera le thème de la famille, sujet de droits en s’inspirant de la Charte des Droits de la Famille du Saint Siège et en explorant la législation en faveur de la famille comme ressource pour les législateurs aux niveaux européen et national.

    La conférence est ouverte aux législateurs, experts juridiques, étudiants en droit, think tanks, associations familiales et d’autres acteurs qui s’intéressent à la promotion de la famille et ses intérêts.