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Politique - Page 604

  • Un site belge contre l'euthanasie animé par des professionnels; enfin !

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    cliquer sur le logo pour accéder au site

    Le site se présente : Pourquoi Euthanasie STOP ?

    La loi dépénalisant l'euthanasie en Belgique a été votée en mai 2002. Cette loi crée un cadre permettant à un patient de formuler une demande d'euthanasie et à un médecin d'y accéder, sous certaines conditions, sans commettre d'infraction pénale.

    Aujourd'hui, de nouvelles propositions de loi visant à étendre le champ de la loi aux mineurs d'âge, aux déments... sont en discussion au Parlement. La plupart des partis politiques semblent déterminés à voir aboutir ces propositions d'élargissement.

    Cet engouement n'est pas partagé par tous les citoyens. Malheureusement, l'accès aux médias traditionnels ne leur est pas toujours facilité. Ce site web se présente comme un espace d'expression publique, ouvert à tous ceux qui souhaitent faire entendre une voix discordante.

    Par leur signature, les auteurs des articles postés s'engagent à titre personnel.

    Qui sommes-nous ?

    Ce site est une initiative citoyenne, portée essentiellement par des professeurs universitaires, des juristes et des professionnels de la santé, de tous les coins du pays et de divers horizons philosophiques.

    Albert GUIGUI, Grand Rabbin de Bruxelles / Broeder René STOCKMAN, Generaal Overste der Broeders van Liefde (Gent) / Prof Yacob MAHI, Islamologue, ULB / Mr Brahim BOUHNA, Imam, Bruxelles / Chanoine Eric DE BEUKELAER, Liège / Prof Benoît BEUSELINCK, oncoloog, KULeuven / Prof Olivier BONNEWIJN, IET, Bruxelles / Prof Jean-Michel COUNET, UCL / Prof Herman DE DIJN, KULeuven / Prof Paul-Augustin DEPROOST, UCL / Prof Timothy DEVOS, KULeuven / Prof ém. Philippe de WOOT, UCL / Prof ém. Xavier DIJON, UNamur / Prof Michel GHINS, UCL / Prof Lambert ISEBAERT, UCL / Prof Dominique LAMBERT, UCL / Prof Chantal LEFEBVRE, médecine interne, UCL / Prof Stanley LUTTS, UCL / Prof Etienne MONTERO, UNamur / Prof Alexandre PERSU, UCL / Prof Laura RIZZERIO, UNamur / Prof ém. Henri SIMONART, UCL / Dr Bernard ARS, Bruxelles / Dr. med. Steven BIESEMAN, Leuven / Dr Isabelle DE BOCK, spécialiste en soins palliatifs, Bruxelles / Dr Christine de MONTPELIER, médecin pédiatre, Bruxelles / Dr Cécile DENEYER, médecin généraliste, Bruxelles / Dr Paul DESCHEPPER, Leuven / Dr André DEVOS, Oostende / Dr Catherine DOPCHIE, oncologue, Tournai / Dr Thierry FOBE, médecin généraliste, Bruxelles / Dr Marie FRINGS, spécialiste en soins palliatifs / Dr Chantal KORTMANN, Leuven / Dr Thierry LETHE, médecin généraliste, Bruxelles / Dr. sc. Tom MORTIER, Leuven / Dr Georges OTTE, neuropsychiater, Gent / Dr Karine PEDERSEN, neurologue, Bruxelles / Eric VERMEER, éthicien soins palliatifs, Namur / Maître Fernand KEULENEER, advocaat, Brussel

  • Quand la crise de l'Union européenne fait furieusement penser à la chute de la République romaine

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    livre-engels.jpgC'est Joseph Savès, sur Herodote.net qui nous donne l'envie de lire un ouvrage dont le compte-rendu met incontestablement en appétit :

    Le déclin; La crise de l'Union européenne et la chute de la République romaine

    David Engels (éditions du Toucan, 384 pages, 20 euros,  2013)

    Avec cet essai plein d'érudition et de finesse, le jeune historien belge David Engels (33 ans) a réussi un coup de maître.

    Professeur d'histoire romaine à l'Université libre de Bruxelles, il dresse un parallèle audacieux et tout à fait inédit entre la situation actuelle de l'Europe et celle de Rome... à la fin de la République, autrement dit au 1er siècle av. J.-C., à l'époque de Marius, Sylla, Pompée, César et Auguste !

    Avant lui, dès le XIXe siècle, de nombreux historiens et essayistes s'étaient inquiétés de l'évolution du Vieux Continent et avaient cherché des grilles d'explication dans une comparaison avec la fin de l'empire romain (IIIe-Ve siècles de notre ère), mais jamais encore personne n'avait songé à la crise du 1er siècle av. J.-C.

    Point par point, dans une première partie, David Engels confronte l'Europe du XXIe siècle et la République romaine : il analyse la première principalement à travers les sondages d'opinion et la seconde à travers les chroniques, les écrits et la correspondance des contemporains (Cicéron, Salluste...).

    Les similitudes dans les moeurs et les mentalités sont confondantes...

  • Revivre la Manif pour Tous avec Aleteia.org

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    http://www.aleteia.org/fr/politique/actualites/manif-pour-tous-une-grande-armee-sest-levee-642001

  • Noël, Toussaint et Pâques bannis du calendrier scolaire en Belgique francophone

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    Nous lisons dans La.Libre :

    Noël et Pâques éjectés du calendrier scolaire

    Un nouveau décret édicte une règle pour fixer les congés scolaires. Et scelle au passage leurs appellations.

    Le gouvernement de la Communauté française vient d’adopter un décret-cadre déterminant les vacances et jours de congé dans l’enseignement obligatoire, l’enseignement de promotion sociale et l’enseignement secondaire artistique à horaire réduit. (...)

    ... les appellations des différents congés scolaires - modifiées dans les années 2000 déjà ! - sont, cette fois, utilisées dans un décret. On peut ainsi lire "congé d’automne" pour le congé de la Toussaint, "vacances d’hiver" pour vacances de Noël, "congé de détente" pour le congé de Carnaval et "vacances d’été" pour les grandes vacances. (...)

    Signer la pétition pour maintenir les appellations issues de notre culture chrétienne : https://www.lapetition.be/en-ligne/Rendez-nous-nos-conges-de-Noel-Paques-Toussaint-12733.htm

  • L'embryon humain n'est pas du matériel de laboratoire

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    Dignité de l'embryon: le card. Vingt-Trois appelle à la responsabilité

    Source: ZENIT.ORG

    "Les Français doivent être conséquents avec leur droit de vote", déclare le card. Vingt-Trosi qui appelle à al responsabilité face à des lois qui nieraient la dignité humaine.

    Ce samedi 23 mars,  dans son entretien hebdomadaire sur l’antenne de Radio Notre-Dame, le Cardinal André Vingt-Trois s’est exprimé au sujet du débat levant l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain

    Radio Notre-Dame / Elodie Chapelle - Jeudi prochain 28 mars, une proposition de loi levant l’interdiction de la recherche sur l’embryon humain sera débattue à l’assemblée pour un vote solennel des députés le mardi 2 avril, c’est un texte qui a été validé en catimini par la Commission des Affaires Sociales le 20 mars. Votre réaction ?

    Cardinal André Vingt-Trois - Je pense que c’est une erreur grave par rapport à l’équilibre de notre société. Car quand on donne libre cours à toutes sortes de recherches sur l’embryon cela veut dire que l’on considère que l’embryon n’est rien et que c’est un matériau de laboratoire. Je sais bien qu’il y a des chercheurs qui sont beaucoup plus conscients de l’importance de l’acte qu’ils font et qu’ils ne sont pas tous irresponsables mais la loi de bioéthique qui a été votée en 2011 prévoyait qu’il y ait une autorisation préalable à la dérogation de l’interdit. Ce n’était pas parfait, mais cela avait l’avantage d’une part de maintenir l’interdit de principe, qui rappelle la dignité particulière de l’embryon humain, et d’autre part d’obliger les chercheurs à étayer leur demande sur un certain nombre d’arguments. Et on sait qu’un certain nombre de demandes ont été soit récusées, soit contestées en raison de la faiblesse des arguments qui étaient présentés pour obtenir la dérogation. Le fait que l’on supprime l’interdit a priori, cela veut dire qu’on laisse le champ libre à tous ceux qui voudront essayer quelque chose.

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  • Hiver belge et printemps français

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    Il n’y a pas photo ! Entre une Belgique totalement chloroformée et une France où l’on voit se dresser des foules innombrables refusant l’établissement de la dictature du relativisme, le contraste est sidérant. Tout ce que l’on redoute de voir s’écrire dans la loi française a déjà été inscrit dans la nôtre sans protestations ou presque, et bien davantage.

    Le Belge se mobilise difficilement. Il faut remonter à la Question Royale (1951) ou à la Question Scolaire (1958) pour le voir descendre massivement dans la rue pour manifester son attachement à la monarchie ou à la liberté d’enseignement. Et depuis lors, en-dehors de causes syndicales ou de réactions émotives (« Marche blanche »), plus rien. Un véritable processus d’engourdissement que l’on peut expliquer de diverses manières :

    • l’emprise d’un libéralisme profondément ancré dans notre histoire et qui présente comme suspect tout discours de vérité,
    • la dérive des milieux catholiques vers des engagements tiers-mondistes ou écologistes peu attentifs aux questions sociétales,
    • une tendance systématique à rechercher des compromis et à se contenter de vagues concessions,
    • un amour immodéré du confort et de la sécurité qui appréhende tout ce qui pourrait venir les compromettre,
    • une Eglise bien installée profitant de larges subventions et peu encline à risquer d’en découdre avec le politique,
    • le formatage de l'opinion publique par un monde médiatique très consensuel et favorable à l’extension sans limites des droits individuels,
    • etc.

    Tant et si bien que les appels à la mobilisation lancés par quelques-uns restent sans écho et ne réunissent que quelques courageux, comme ce fut le cas à Bruxelles, dimanche dernier.

    Comment "le Belge" (s’il existe toujours et s'il n'est pas définitivement descendu au tombeau) pourrait-il comprendre cet immense frémissement qui parcourt l'Hexagone et que d’aucuns ne craignent pas de désigner sous le vocable de « printemps français » ? Il ne peut que hausser les épaules et déclarer que, de toute façon, la cause est entendue et que cela ne servira à rien. Alors, à quoi bon se déranger ? Je dois avouer humblement, en battant ma coulpe, que je n’ai pas été loin de partager une telle attitude en écrivant sur ce blog, il y a quelques mois, que cette mobilisation en France risquait de constituer « beaucoup de bruit pour rien ». Ma seule excuse est d’appartenir à ce triste monde belge incapable de concevoir que l’on puisse aujourd’hui encore, avec un peu de foi, renverser les montagnes de l’iniquité. Je suis donc extrêmement impressionné par le spectacle que nous donnent aujourd’hui ces très nombreux Français qui ne veulent pas que le mariage, la famille et les droits de l’enfant soient dénaturés par des lois contraires au bien objectif de l’homme et de la société.

    Face à ce qu’il y a de meilleur et de plus respectable dans la société française, on a vu un pouvoir aveuglé par l’idéologie et le mépris recourir à la force brutale allant jusqu'à gazer à bout portant des adolescents et des enfants. On ne peut qu’être ému et admiratif devant la détermination de tous ces Français qui manifestent à moins que de partager cet aveuglement qui caractérise une sensibilité belge dégradée et pour tout dire complètement sclérosée.

    Il reste à souhaiter que nos amis français ne désarment pas et qu’ils se mobilisent encore et encore pour résister à cette dictature du relativisme immoral, négateur de toutes les valeurs d’une civilisation authentique. Souhaitons-leur toutefois de faire preuve de discernement et notamment de ne pas laisser leur mouvement être récupéré par ceux qui ne rêvent que de le détourner à des fins partisanes, de ne pas laisser non plus l’initiative à des figures de proue improvisées dont l’insuffisance est patente (Frigide Barjot !), de méditer aussi les leçons de l’histoire pour éviter d’en reproduire les échecs (se souvenir, à ce propos, d'un certain 6 février 1934) …

    YW

  • Manif pour Tous : un témoignage entre mille

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    Nous avons trouvé reproduit ICI un témoignage adressé au célèbre blogueur Koz : Source: Koz Toujours (Facebook)

    "Cher Koz,

     On parle beaucoup de débordements de la Manif pour tous d’hier et, comme j’étais en haut de l’avenue Foch entre 14h40 et 17h environ, je me dis que peut-être que ces quelques lignes de témoignage peuvent être utiles.

    Je ne sais pas trop à qui les envoyer et m’adresse à toi car je fais confiance à ta pondération et à ton discernement.
    Je ne veux pas rajouter de l’huile sur le feu, mais peut-être que croisé avec d’autres mon témoignage permettra de comprendre ce qui s’est passé avenue Foch et qui en est responsable.

    Je me suis rendue à la Manif pour tous avec mon frère Philippe 31 ans, père de famille et une jeune cousine, Adélaïde, 20 ans. Nous sommes arrivés par la ligne 6 à Kleber vers 14h30 et espérions rejoindre le haut de l’avenue de la Grande Armée. On nous y fait accéder en passant par l’avenue Victor Hugo et la rue Paul Valéry. En arrivant avenue Foch on nous dirige vers le haut de l’avenue. Il y a encore très peu de monde si bien que nous nous postons avec mon frère et ma cousine à l’angle de la rue de Presbourg et de l’avenue Foch. L’ambiance est paisible et conviviale. Le dispositif des forces de l’ordre un peu impressionnant et paraît même ridiculement disproportionné pour ce qui est sensé n’être qu’une voie parallèle à la manifestation : il y a derrière une double rangée de barrières 6 ou 7 camionettes bleues et une trentaine de « policiers » (je le mets entre guillemets car je n’y connais rien et qu’à côté de nous un père de famille visiblement militaire a précisé à ses enfants qu’il s’agissait de gendarmes.)

    (Lire l'Abbé Grosjean, qui explique pourquoi les manifestants se sont dirigés vers l'Avenue Foch.) 

    Un espace de sécurité de 3-4 mètres au moins est préservé par les volontaires « sécurité » de la Manif pour tous entre la foule qui commence à arriver et les barrières. La rue de Presbourg est barrée. Avec 5 ou 6 policiers dans l’espace.
    Par la rue on aperçoit la foule massée avenue de la Grande Armée et l’ambiance a l’air plutôt sympa, mais nous n’en entendons que le brouhaha car la sono ne porte pas du tout dans notre direction.

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  • Hier à Paris, la plus grande manifestation de l'histoire de France

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    Nous lisons sur le blog d'Henri Hude :

    La plus grande manifestation de l'Histoire de France

    Voici mon commentaire de la manifestation du 24 Mars 2013. Je m'exprime ici en tant que citoyen et en tant qu'universitaire français, dans la plénitude des droits et devoirs attachés à cette qualité, exerçant aussi ma responsabilité intellectuelle et sociale d'écrivain, d'homme de science et de philosophe.

    Paris vient d’accueillir la plus grande manifestation populaire de toute l’Histoire de France.

    Beaucoup pensaient que son ampleur n’égalerait pas la première : c’était une erreur. Cette manifestation du 24 mars 2013 confirme donc et renforce les enseignements de la précédente. Le 13 janvier, nous étions un million, nous avons atteint sans doute le million et demi, la prochaine fois nous reviendrons deux millions. Ne parlons pas des évaluations dérisoires et scandaleuses du Pouvoir et du Léviathan médiatique : le Docteur Goebbels n’est pas mort. Cette observation nous met au cœur du sujet : le Peuple français se trouve en face d’une nouvelle entreprise totalitaire. En quoi consiste-t-elle ?

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  • Mariage gay : le bras droit de Christiane Taubira opposée à l'adoption par des couples de même sexe

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    Nous lisons dans le Figaro :


    Christine Maugüe, bras droit de la ministre de la Justice, a soutenu lorsqu'elle était conseillère d'État le refus de donner un agrément en vue d'une adoption à un professeur homosexuel.

    Elle a hésité plusieurs jours. Christine Maugüe, conseillère d'État, vient d'accepter de prendre la succession de Christian Vigouroux, ex-directeur de cabinet de la ministre de la Justice Christiane Taubira, qui a quitté une maison en crise il y a près de 10 jours. Si Christine Maugüe n'a pas montré plus d'enthousiasme, ce n'est pas seulement en raison du désordre régnant dans une équipe secouée par des départs en cascade - le chef de cabinet de la ministre, le directeur des affaires civiles et du Sceau ainsi qu'une de ses adjointes, la conseillère en charge de la conférence sur la récidive ont également pris le large… Le statut de son époux, conseiller parlementaire de François Hollande qui envisage de se présenter aux élections municipales a dû aussi peser dans la réflexion de cette militante socialiste âgée d'une cinquantaine d'années.

    Mais une autre raison, une raison de fond, idéologique, apparaît à la lecture de la jurisprudence des Sages. Dans une décision qui, à l'époque, a fait grand bruit, Christine Maugüe a ardemment défendu, en 1996, la position du président du Conseil de Paris, qui avait refusé à un professeur agrégé homosexuel l'agrément en vue d'une adoption. Dans ce texte remarquablement argumenté, se plaçant essentiellement du point de vue de l'enfant, elle expliquait pourquoi, malgré les qualités unanimement reconnues à ce professeur, le conseil de Paris avait eu raison, selon elle, d'estimer que l'homme «n'offrait pas des garanties suffisantes en ce qui concerne les conditions d'accueil qu'il était susceptible d'offrir à un enfant» en raison de ses choix de vie.

     

    «Le droit de toute personne à avoir la vie sexuelle de son choix ne doit pas être confondu avec un hypothétique droit à l'enfant» écrivait-elle. Notant que la question de savoir si un enfant risque d'être psychiquement perturbé, s'il est privé d'un modèle d'altérité sexuelle, «est très difficile», elle appliquait alors une forme de principe de précaution, écrivant: «l'enfant adopté a d'autant plus besoin d'avoir un environnement familial stable et épanouissant qu'il a été privé de sa famille d'origine et a déjà un passé douloureux (…)»

     

  • Peu de participants à la Marche pour la Vie à Bruxelles

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    Nous avions déploré les divisions qui ont affecté le comité d'organisation de la Marche pour la Vie et entraîné des mots d'ordre en sens opposé. Tout ce désordre qui s'est produit à quelques semaines de l'évènement, conjugué à de mauvaises conditions météréologiques et au choix que beaucoup d'amis ont fait d'être à Paris plutôt qu'à Bruxelles, explique ce résultat inférieur à celui qui avait été obtenu l'an dernier. Dommage. Il est vrai que l'immense succès du rassemblement contre le "Mariage pour Tous" à Paris éclipse cet épisode malheureux (mais Le Soir qui met "le flop" de la Marche pour la Vie en avant se croit jusqu'à présent dispensé d'informer ses lecteurs au sujet de cette manifestation colossale...) Au passage, on peut aussi souligner le très petit nombre des contre-manifestants réunis à Bruxelles pour défendre "le droit à l'avortement".photo (1).JPG

  • Paris, Manif pour Tous, des nouvelles d'amis belges

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    Nos amis présents à Paris confiment l'immense succès de la mobilisation contre la "mariage pour tous". L'un d'entre eux signale qu'il est sur l'Avenue Charles De Gaulle, celles de la Grande Armée et Foch étant déjà saturées. L'ambiance y est bon enfant, la détermination énorma. Un autre nous envoie cette photo qui parle d'elle-même :photo.JPG

    Le chiffre officiel d'un million quatre cents mille manifestants est annoncé par les organisateurs. Il semble que le gouvernement ait sous-estimé l'importance de cette manifestation au point que les forces de l'ordre risquent d'être débordées. Ce qui explique l'utilisation de gaz lacrymogènes qui aurait intoxiqué des enfants.

    Et alors, Monsieur Delattre, toujours persuadé qu'il s'agit, de la part d'une Eglise déliquescente, d'une tentative "pour retrouver une visibilité" ?