À PARAÎTRE EN JUILLET 2017 :
Culture - Page 218
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La collection Petite Vie poursuit son succès aux éditions Artège
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A l’Université de Liège, le 4 avril prochain: un débat sur le thème « Immigration, identité et multiculturalité » organisé par l’Union des étudiants catholiques et le groupe de réflexion « Ethique sociale »
A l’Ulg, le mardi 4 avril 2017, l'Union des étudiants catholiques de Liège et le groupe de réflexion Ethique sociale lancent un nouveau lunch débat; il est urgent de s'inscrire :
« IMMIGRATION, IDENTITÉ ET MULTICULTURALITÉ»
animé par Annie LAURENT
experte au Synode des évêques sur le Moyen Orient
Sous l’intitulé « L’Europe, ses fondements, aujourd’hui et demain », l’ « Union », cercle inter-facultaire des étudiants catholiques de Liège, et le groupe de réflexion « Ethique sociale » proposent cette année quatre rencontres sur les enjeux majeurs de la crise actuelle de l’Europe. Celles-ci ont lieu sous forme de lunchs débats organisés à l’Université de Liège dans la Salle des Professeurs de l’Université, Bâtiment du Rectorat, place du XX août, 7, 1er étage à Liège (parcours fléché à partir de la grande entrée).
Le cycle a été inauguré le 17 janvier dernier par un exposé de Mgr Jean-Pierre Delville, évêque de Liège, sur « Le Christianisme médiéval, creuset de l’Europe ».
La prochaine rencontre aura pour titre «Immigration, identité et multiculturalité » : un thème délicat qui sera abordé par Mme Annie Laurent, experte au Synode des évêques sur le Moyen Orient.
Journaliste et écrivain, Mme Laurent est titulaire d’une maîtrise en droit international et d’un doctorat d’Etat en science politique (Université Panthéon-Assas, Paris) pour une thèse sur « Le Liban et son voisinage », une région où elle a séjourné de nombreuses années. Elle a fondé l’Association « Clarifier » pour éclairer sur les réalités de l’Islam selon une approche pédagogique et respectueuse des personnes qui s’y réfèrent. Elle explique non seulement le credo de l’islam, mais aussi l’anthropologie qui en découle, essayant d’identifier les références, les croyances, les aspirations du musulman qui vit dans nos pays.
Mardi 4 avril prochain à 18h00 dans la Salle des Professeurs de l’Université de Liège, Bâtiment du Rectorat, place du XX août, 7, 1er étage (parcours fléché à partir de la grande entrée.). P.A.F 15 € (5 € pour les étudiants) à payer sur place.
Réservation obligatoire le 31 mars au plus tard : on peut s’inscrire
-par téléphone 04.344.10.89 ou
-par email info@ethiquesociale.org ou uniondesetudiantscatholiqueliege@skynet.be
-plus de renseignements et s’inscrire en ligne, cliquez ici : http://www.ethiquesociale.org/conference/immigration-identite-et-multiculturalite/
JPSC
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Liège : dimanche 2 avril à 10h00, premier dimanche de la passion à l’église du Saint-Sacrement, au Boulevard d’Avroy
«Judica me, Deus, et discerne causam meam de gente non sancta : ab homine iniquo et doloso eripe me : quia tu es, Deus meus, fortitudo mea. Rends-moi justice, mon Dieu et sépare ma cause de celle des impies. De l’homme fourbe et méchant délivre moi car tu es mon Dieu et ma force » (introït de la messe) : le Christ traqué par ses ennemis invoque la justice de son Père et proclame son espérance » (célébration avec le concours de l'Ensemble Darius)
Hymne de la Passion "Vexilla Regis prodeunt"
Les étendards du Roi s'avancent
La Croix rayonne en son mystère
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Bénéton ou la nécessité de se libérer des idées folles de notre temps
Lu ICI :
L’occident déréglé of Bénéton
Peut-on trouver titre mieux choisi pour décrire l’état de déréliction dans lequel se trouve l’Occident ? Publié au Cerf, Le dérèglement moral de l’Occident de Philippe Bénéton, professeur émérite de la faculté de droit et sciences politique de Rennes, renvoie à Jean Sévillia qui voit dans l’absence de morale le chaînon manquant à nos sociétés pour qu’elles vivent en harmonie et aient un réel avenir. D’emblée, notre professeur nous immerge dans le propos de son ouvrage : « l’idée d’émancipation n’est pas née en 1965 ou 1968 mais a cheminé, chez les modernes, pendant des siècles depuis Machiavel et Bacon », et « la dynamique de l’autonomie individuelle est allée beaucoup plus loin que ne pouvaient le penser Locke ou Montesquieu ». La tempête de 1968 et l’émancipation radicale qui l’a accompagnée ont selon lui tout balayé : « la modernité libérale avait mis fin au pouvoir politique de l’Eglise et rogné son autorité intellectuelle, la modernité tardive a mis fin à l’emprise des mœurs traditionnelles, façonnées par le christianisme. L’une des conséquences est que le peuple a disparu. Ne restent que des individus ».
Chantal Delsol dans la Haine du monde et Alain de Benoist dans Au-delà des droits de l’homme commentés pour Mauvaise Nouvelle ont finement analysé ces phénomènes d’auto-engendrement de l’individu promus par les idéologies libérales libertaires, ainsi que cette tendance lourde à l’abstraction (la démocratie, les droits de l’homme, l’humanité multiculturelle, pacifiée et sortie de l’histoire, la non-discrimination, la tolérance, le marché bienfaiteur) qui se substitue peu à peu à l’incarnation (le monde réel, l’homme singulier, la mort, le tragique de l’existence, les passions humaines heureuses ou tristes). Nous avons eu l’occasion d’expliquer par ailleurs ce lien étroit qui unit le libéralisme et l’arasement culturel qui prépare son terrain de jeu. Bénéton le dit ainsi : « Notre modernité est une puissante machine qui écrase les différences que la civilisation occidentale tenait pour significatives. Par-là, elle travaille à produire un monde homogène ». Il va sans dire que les fruits (assumés et revendiqués) de cette idéologie mondialisée du libéralisme triomphant sont prégnants dans nos quotidiens : inculture, indifférence et indifférenciation. Ces fruits sont l’exact opposé de ceux patiemment mûris par notre civilisation judéo-chrétienne au cours des siècles écoulés : goût pour la culture, l’intelligence et l’esprit, primauté de la communauté ou du corps social sur les individus et les minorités, claire distinction des génies respectifs de l’homme et de la femme.
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Patrimoine religieux: restaurer ne signifie pas réaffecter
Le Christ de la Portioncule semblait dire à saint François d’Assise « va et restaure mon Eglise qui tombe en ruine » : une exhortation que François prit d’abord à la lettre en relevant de ses mains, sa truelle, son marteau et ses clous la petite église du VI e siècle avant de comprendre que l’appel visait l’Eglise du Christ elle-même : l’un ne va pas sans l’autre. JPSC
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Liège, 6 mai : Concert de Yasmina di Meo au profit du Centre Don Bosco d'Alep
Yasmina di Meo
En concert à Liège
Au profit du centre Don Bosco d’Alep en Syrie
Samedi 6 mai 2017 à 20h
Eglise Saint François de Sales
(rue Jacob Makoy, 34a – 4000 Liège)
« Don Bosco est vivant, plus vivant que jamais en Syrie, à Alep. Dans la désolation et parmi les décombres, la maison salésienne ouvre tous les jours ses portes pour accueillir des centaines de bambins, d’enfants et de jeunes parce que nous voulons à tout prix qu’à côté de la mort que l’on voit partout, la vie continue. Et je peux affirmer qu’au lieu de diminuer, le nombre de jeunes continue d’augmenter. Je suis ému de voir plus de mille cinq cents enfants et jeunes, le double d’avant, qui veulent venir dans la maison de Don Bosco pour rencontrer d’autres jeunes, pour vivre, pour prier et pour jouer. »
Père Munir El Raì, Provincial Salésien du Moyen-Orient.
Yasmina di Meo est née au Liban en temps de guerre, dans une famille chrétienne. Elle y vit plus de six années avant de s’installer avec sa famille à Paris.
Elle baigne dans une culture grecque-catholique et une éducation entre Orient et Occident, où l’on parle français, arabe et anglais.
Depuis son plus jeune âge, sa rencontre avec le Seigneur et son engagement pour la musique, étroitement liés et indissociables, constituent son principal chemin. Dans un style entre pop-rock et musique world, elle y chante en grec et en arabe dans ses adaptations des chants byzantins de son enfance, mais également des compositions en anglais et en français.
Seule au piano ou accompagnée de ses musiciens, elle poursuit en France et Europe son histoire d’amour sur scène avec le public.
Les bénéfices du Concert qu’elle donnera le 6 mai prochain servira à soutenir les activité du centre de jeunes Don Bosco d’Alep en Syrie.
Parking sur la cour de l’école don bosco (entrée par le 59, rue des wallons)
Paf : libre
Contact et info – Rudy Hainaux – rue Jacob makoy, 34a – 4000 Liège – rudy.hainaux@gmail.com – 04.252.64.18
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La culture de mort ou la dérive totalitaire des démocraties modernes
De Joël Hautebert sur le site de "L'Homme Nouveau" :
À propos du totalitarisme et de la terreur, à l’école d’Hannah Arendt
Dans ses encycliques Veritatis splendor (nn. 99 et 101) et Evangelium vitæ (nn. 20 et 96) publiées en 1993 et en 1995, le saint pape Jean-Paul II dénonçait la possible dérive totalitaire des démocraties modernes. Ces fermes mises en garde suscitèrent bien des réactions d’émoi. D’aucuns ont pu penser et pensent encore que les propos du pape faisaient preuve d’un anachronisme coupable ou bien qu’ils révélaient un défaut de rigueur conceptuel par l’emploi inapproprié du substantif « totalitarisme ». Telle n’est pas notre opinion, car il nous semble au contraire que la culture de mort revêt un caractère systémique dans nos régimes contemporains, similaire à ce que l’on a pu observer dans le passé. Pour s’en convaincre, il convient de reprendre l’une des analyses les plus perspicaces du système totalitaire, celle proposée par Hannah Arendt dans les années 1950, à partir des expériences politiques national-socialiste et soviétique.
Deux critères : idéologie et terreur
Aux yeux de la célèbre philosophe juive allemande, le concept de totalitarisme repose essentiellement sur les deux critères suivants : l’idéologie et la terreur. L’idéologie est présentée comme le moteur du régime, c’est-à-dire ce qui fait agir tant les gouvernants que les citoyens. La terreur correspond à la nature du régime, ce qui le fait être, comme on peut dire que la nature de la monarchie consiste dans le fait qu’elle soit dirigée par un roi, l’aristocratie par une élite, etc. Conséquence selon Hannah Arendt de la faillite du sens commun, l’idéologie est un système d’explication du monde déconnecté du réel et de l’expérience. Les idéologies totalitaires, révolutionnaires, sont progressistes car elles énoncent l’idée d’un mouvement permanent, fondé sur des lois prétendument scientifiques, celle de la « nature » [qui n’a strictement rien à voir avec la conception classique de la loi naturelle ou du droit naturel] (évolutionnisme de Darwin appliqué à la race), d’un côté et celle de l’histoire, de l’autre (marxisme).
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ARTE, cette chaîne qui nous veut du bien...
Lu sur le site de l'Observatoire des Journalistes et de l'Information Médiatique (OJIM) :
[DOSSIER] LA COMEDIA MILITANTE D’ARTE
À BIENTÔT 30 ANS, ARTE VEUT TOUJOURS ÊTRE UNE CHAÎNE DE TÉLÉVISION CULTURELLE LIBÉRALE/LIBERTAIRE ET PRO-EUROPÉENNE. N’EST-ELLE PAS LE BÉBÉ DE FABIUS ET DE BERNARD-HENRY LÉVY ? DEPUIS 2012, ÉLISABETH QUIN, FORMÉE À SOS RACISME, Y TIENT LE HAUT DU PAVÉ POUR LES QUESTIONS POLITIQUES, ÉCONOMIQUES ET SOCIALES. REGARDER LE JOURNAL ET LE MAGAZINE 28 MINUTES DU 28 FÉVRIER 2017 INDIQUE UNE ÉTRANGE MANIÈRE DE FAIRE DU JOURNALISME : L’INFORMATION/AMALGAME…
Le budget alloué par l’État français à Arte était de 264 millions en 2016. Trois fois le budget de BFM. Arte, « l’une des plus couteuses du paysage audiovisuel français si on rapporte son budget à son audience », selon Challenges. La chaîne atteint 2 % d’audience près de 30 ans après sa création. Elle est connue pour son cinéma d’auteur, ses émissions franco-allemandes mais aussi pour ses séries, Cannabis ou Beau séjour. Sa tête de gondole demeure le documentaire : 40 % du temps d’antenne. L’audience aurait augmenté de 50 % en 5 ans. Arte ne dépasse pourtant pas ce plafond de verre des 2 %. Pourquoi ?
ARTE, UNE CHAÎNE QUI VOUS VEUT DU BIEN…
En 2016, le PDG du holding Arte GEIE, Peter Boudgoust, le disait : face au « repli sur soi », Arte veut « une Europe de l’intégration et du métissage ». Pour faire vivre « l’Europe de la culture ». La présence d’Elisabeth Quin est donc logique. Quin ? Journaliste de Ça bouge dans ma tête, radio de SOS Racisme, présidente du jury de la Queer Palm à Cannes en 2011, elle arrive sur Arte en 2012 pour animer 28 minutes, magazine qui suit le Journal. Quin, militante libérale-libertaire. Les dominantes de l’information d’Arte ne surprendront donc pas : les migrations, les réfugiés maltraités, le danger Front National, les menaces autoritaires (Poutine, Erdogan, Trump), le racisme, l’antisémitisme, le capitalisme prédateur. Dominantes parfois portées par des blogueurs à la mode, ainsi Mehdi Meklat et Baroudine Saïd Abdallah, les kids de Pascale Clark. Ces thèmes sont au rendez-vous de la soirée d’informations du 28 février 2017.
Lire la suite sur le site de l'OJIM
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France : les églises sont l'enjeu de tous
De RCF :
En France, les églises sont l'enjeu de tous
Les églises font partie de notre paysage, de notre patrimoine. Pourtant faute de fidèles, et de prêtres, les portes de certaines d’entre elles restent souvent fermées.
Petites, grandes, imposantes, gothiques romanes contemporaines, les églises font partie de notre paysage, de notre patrimoine. Au détour des régions, leurs clochers se dressent et pourtant faute de fidèles, de prêtres, les portes de certaines d’entre elles restent souvent fermées. D’autres sont même parfois désaffectées.
Alors comment redonner vie à ces églises, se les réapproprier ? Comment dialoguer, travailler avec les différents acteurs qui gravitent autour de ces lieux de culte ? C’est pour répondre à ces questions que les évêques de France ont mené depuis 2014 une réflexion sur le sujet. Une réflexion qui s’achève vendredi 10 mars par un colloque au Collège des Bernardins sur le thème, "Les églises, un enjeu pour tous". Au programme des conférences, tables rondes avec des élus, des personnalités du monde de l’Eglise, du patrimoine, de l’architecture et des médias.
C'est Mgr Jacques Habert, évêque de Séez, qui a présidé ce groupe de travail mis en place par la CEF. Un groupe de travail et de réflexion, composé d'évêques et de responsables de l'art sacré, qui a porté de nombreux fruits, comme l'explique Mgr Habert, à Pauline de Torsiac.
L’avenir des églises, un sujet de préoccupation pour les évêques mais aussi pour les communautés chrétiennes, les élus, le monde de la culture et du patrimoine. De quoi s'interroger sur la coordination de tous ces acteurs, sur ce sujet commun. Par ailleurs, l’un des défis pour les communautés chrétiennes, c’est de se réapproprier sur le plan pastoral ces églises de les faire vivre alors même que le nombre de prêtres est passé de 40 000 dans les années 60 à 15 000 aujourd’hui.
Illustration en fin d'émission avec l’opération "Un jour, une église" lancé en 2012 dans l’Aube. L’idée est simple : faire découvrir ce qui fait le charme et la singularité d’un édifice dans le plus grand respect des bâtiments et évidemment en accord avec les prêtres du secteur, qui encouragent cette initiative.
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P. Simon Noël, osb : contra spem in spe
«Contra spem in spe », dit saint Paul : contre l'espérance dans l'espérance. Le P. Simon Noël (Chevetogne) a posté ce billet sur son blog, au retour d’une session charismatique, marquée par la crise qui ébranle l’Eglise en Belgique et ailleurs en Europe :
« Je reviens de deux journées d'une session charismatique de louange et de guérison pour enfants et leurs parents. Cela m'a permis de prendre un peu la température de notre Église. La session avait lieu dans un lieu où vivent des religieux âgés ou malades. J'ai eu des contacts avec ceux-ci aussi bien qu'avec les participants de la session.
Quelles conclusions tirer des conversations auxquelles j'ai pris part ? D'abord beaucoup de témoignages désabusés sur la situation actuelle de l’Église de la part des religieux qui nous accueillaient : plus de vocations, une pratique religieuse vieillissante et en baisse constante. La sécularisation ne cesse de s'affirmer. Ainsi un home proche pour personnes âgées, qui portait un nom chrétien, y a renoncé récemment pour adopter un nom plus neutre. Pax Christi vient aussi de changer son nom en Be.Pax. Les religieux en question craignent eux-mêmes de devoir aller bientôt dans une maison de repos, où, semble-t-il, ils ne disposeront plus d'une chapelle. Et tant d'autres choses furent dites qui vont dans le sens d'une apostasie qui se généralise et d'une confusion au sein même de l’Église.
Et puis, il y eut tant de belles choses, prometteuses d'un avenir meilleur, dans la session des enfants et de leurs parents. Des petits et des grands qui vivent en profondeur le sacrement de la réconciliation. Des enfants initiés à l'adoration du Saint Sacrement et à la prière du rosaire. Des adultes qui se sont relayés jour et nuit devant le Saint Sacrement pour la louange et l'intercession. De nombreuses grâces de délivrance et de guérison. Une écoute patiente et priante de tant de souffrances humaines, de la part des accompagnateurs, prêtres, religieuses et laïcs.
Alors que dire ? La situation est bien contrastée. D'une part, la mort spirituelle, d'autre part, la vie de l'Esprit. Oui la crise est réelle mais l'avenir de l’Église est entre les mains de Dieu.
Je conclus par ce que m'a dit un des prêtres accompagnateurs de la session. La crise est grave, et pourrait s'aggraver, au point qu'à un moment donné, tout humainement semblera perdu. Alors ce sera l'intervention directe, inattendue et miraculeuse de Dieu, qui semble dormir pour l'instant au fond de la barque de Pierre. Un renouveau extraordinaire s'ensuivra et fera notre émerveillement.
Par notre prière, notre silence et notre fidélité, que soit hâtée la venue de ce jour. Gardons confiance et restons calmes. »
Ref. Une session charismatique
Volens nolens, l’Europe passera aux « barbares », en fait des peuples souvent plus religieux que le monde aux cheveux blancs qui s’étiole sous nos yeux. Les chrétiens ne sont pas absents de ces migrations venues d’outre mers : déjà, dans nos paroisses et communautés, ils partagent la jeunesse et la conviction de leur foi vivante avec les minorités de souche restées fidèles. Quelqu’un a dit « noli timere, pusillus grex », n’aie pas peur, petit troupeau: j’ai vaincu le monde. L’identité qui nous intéresse c’est celle du Christ.
JPSC
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Rome : premières rencontres de chant grégorien avec une large participation belge
L’Académie de Chant grégorien de Belgique (Communauté Wallonie-Bruxelles) a proposé, en collaboration avec la Chorale Cum Jubilo de Watou (Flandre occidentale), une session à Rome à l’occasion de l’entrée en Carême. Le succès de la manifestation a surpris les organisateurs: 80 chanteurs, venus de 12 pays ont participé à l’événement. Lu sur "cathobel" le site interdiocésain francophone de Belgique, ce 13 mars 2017 :« Au cours de cette session de 5 jours, les participants ont préparé le répertoire grégorien du Mercredi des Cendres. Les différents Offices de la journée, laudes, tierces, sextes, nonnes ainsi que la messe ont été chantés dans différentes basiliques de la ville, notamment Sainte Marie Majeure et Saint Paul hors les murs ainsi que Saints Jean et Paul al Celio, dont Mgr Joseph De Kesel est le Cardinal-prêtre. Ce fut donc une journée de pèlérinage chantant à travers toute la Ville Sainte. Une expérience inoubliable.
Un des grands moments du séjour romain, fut aussi la messe du lundi 27 février que les grégorianistes ont chantée en la Basilique Saint-Pierre à 17h.
Les portes de toutes ces belles églises se sont ouvertes grâce à l’aide précieuse de Monseigneur Dirk Smet, recteur du Collège pontifical belge à Rome, qui accepta de célébrer lui-même certains des offices.
La Schola était composée de chanteurs venus de toute l’Europe, Belges francophones et néerlandophones, Lituaniens, Estoniens, Hollandais, Hongrois, Français, Allemands, Anglais, Polonais, Espagnols et Suisse, dirigés par le chef estonien Jaan-Eik-Tulve.Le séjour fut aussi l’occasion de s’intéresser au rôle de l’Eglise dans le monde. Gérald Messiaen, Président de l’Académie de chant grégorien , avait choisi comme thème de la session « Loquetur pacem gentibus » (Za. 09,10) (Il annoncera la paix aux nations) dans la cadre du centenaire de la guerre 1914-1918. C’est ainsi que Philippe Chenaux, professeur d’histoire de l’Église moderne et contemporaine à l’Université du Latran a parlé des «Tentatives de paix de Benoît XV et de Mgr. Pacelli (le futur pape Pie XII) en 1917» lors d’une brillante conférence qui s’est tenue à la Résidence de l’ambassade de Belgique auprès du Vatican, rehaussée par la présence de l’Ambassadeur, Monsieur Jean Cornet.
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Verviers (Sainte-Julienne), dimanche 19 mars : messe et concert par l'ensemble Cantabile (Eupen)
Nous avons le plaisir de vous inviter à la messe
suivie d'un moment musical,
le dimanche 19 mars 2017 à 11H00
à l'église Sainte-Julienne (Verviers)
L'ensemble vocal Cantabile d’Eupen
interprètera
des oeuvres de Thalis, Dubra, Duruflé,
Hogan, Gjeilo et Nees