Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Culture - Page 237

  • Regards chrétiens sur la culture : lancement d'un nouveau blog

    IMPRIMER

    Lancement de http://critiquesdepresse.com/

    Regards chrétiens sur la culture

    http://critiquesdepresse.com/ offre des regards chrétiens sur la culture. Ces regards chrétiens sur la culture proviennent des critiques et des recensions publiées dans les médias chrétiens (catholiques, orthodoxes, protestants), de médias non confessionnels qui critiquent ou recensent la culture chrétienne, de blogs chrétiens, de blogs non chrétiens parlant de culture ou encore de contributeurs sélectionnés par nos soins.

    Nous employons le terme de  « culture » pour désigner la réflexion sur la culture ou les parties de la culture : cinéma, livre, BD, télé, exposition, peinture, sculpture, théâtre…

    Quatre avantages à http://critiquesdepresse.com/ : 

    • L’internaute est aidé dans son jugement et dans son achat en trouvant ici les meilleures critiques chrétiennes sur la culture
    • L’acteur de la culture (éditeur, exposant, cinéaste, peintre…) voit ainsi rassemblées les meilleures critiques chrétiennes le concernant
    • Le média d’origine dévoile la pertinence de ses critiques et invitent à naviguer sur son site. Mieux, les articles publiés sur notre blog renvoient très souvent sur le site d’origine. Sa critique n’est donc pas « volée » mais mise en valeur
    • Les VIP Contributeurs peuvent proposer leurs articles et critiques

    Il s’agit donc d’un blog très qualitatif qui sélectionne les critiques selon un critère simple : l’acuité de la recension. En effet, il n’est pas très intéressant de reproduire une critique qui ne fait que reprendre la « page 4 » - ce qui parfois, malheureusement, arrive.

    Nous sommes déjà partenaires avec Virginie Larousse (Le Monde des Religions), Françoise Caron (Associations Familiales Protestantes), François Vercelletto (Ouest France), Laurent Dandrieu (Valeurs Actuelles), Artège, EDB, France Catholique, Ed. Nouvelle Cité, Radio Notre Dame, Yves Viollier (La Vie), AED, diocèse de Vendée, diocèse d’Alsace,journalchretien.net, CineRegards, Dominique Greiner (La Croix), chretiensdegauche, La Nef, Pierre Téqui éditeur, Enseignement Catholique Actualités, Cinecure.be, Eglise d’Asie MEP, éditions du Centurion…

  • Le transhumanisme contre l'humanité (Jacques Testart)

    IMPRIMER

    https://www.youtube.com/watch?v=AcOKL-eU_Wk&feature=youtu.be

  • Samedi 19 mars 2016 à 20 heures à la Cathédrale de Liège : Passions de Choeur

    IMPRIMER

    PASSIONS.jpg

    19 mars 2016 à 20h à la Cathédrale de Liège

    Passions de Chœur
    les plus belles pages d’oratorios de
    Bach, Brahms, Haendel, Mozart, Vivaldi, Verdi…

    Le Chœur Universitaire de Liège

    avec Julie Mossay et Pierre-Luc tremblay
    avec l’Ensemble Darius
    Patrick Wilwerth à la direction

    avec la participation exceptionnelle de
    Armel Job, écrivain, Yaël Nazé, astrophysicienne et Jean-Marc Onkelinx, musicologue

    cliquez ci-dessous pour réserver:

    RÉSERVEZ

     

    JPSC 

  • L'Université de la Sainte-Croix propose un dossier pour approfondir "l'Affaire Galilée"

    IMPRIMER

    D'Anita Bourdin (traduction de Constance Roques) sur zenit.org :

    Cas Galilée: dossier de l’Université de la Sainte-Croix

    Le 3 mars, IVème centenaire

    Un dossier consacré à la publication du Décret de 1616 sur le copernicianisme, promulgué par la Congrégation de l’Index des livres interdits, a voulu mettre en lumière des détails importants du cas Galilée, à l’occasion du IVème centenaire de ce décret, samedi dernier, 5 mars 2016.

    Le centre de recherche « Documentation interdisciplinaire de science et foi » (DISF) de l’Université pontificale de la Sainte-Croix le propose en ligne ici.

    Le cas Galilée et la question copernicienne ont marqué les derniers siècles, avec un grand nombre de prises de position en la matière et d’études, indiquent les promoteurs de l’initiative.

    Aujourd’hui encore, il s’agit d’un thème « d’une grande actualité avec des prolongements scientifiques, historiques, philosophiques et religieux », jusqu’à devenir parfois l’image de la problématique du dialogue entre science et religion ou, carrément, le symbole d’une difficulté constitutive de l’Église à se situer par rapport aux sciences, estime la même source.

    Le dossier cherche à répondre à certaines questions qui, aujourd’hui encore, se posent de manière urgente : sommes-nous certains d’avoir compris la vérité des faits de cette très délicate histoire ? Le cardinal Bellarmino a-t-il effectivement interdit à Galilée de mener son activité scientifique ? Certaines « vérités » sur ce cas semblent encore confuses aujourd’hui, au détriment de l’objectivité. L’inscription des livres coperniciens à l’Index des livres interdits fut-elle une condamnation doctrinale et dogmatique ? Une analyse attentive du texte du Décret de l’Index semble révéler de nouveaux détails…

    Pour offrir de nouveaux éléments de réflexion aux chercheurs et à ceux qui s’intéressent à l’aventure de Galilée, le dossier dédié de la page d’accueil de disf.org propose la lecture intégrale du Décret de l’Index dans sa traduction italienne, ainsi que deux études d’experts du « cas Galilée ».

    Le commentaire historique et philosophique de Rafael Martinez, intitulé Ce qu’il savoir sur le Décret de 1616 (« Cosa c’è da sapere sul Decreto di 1616 ? »).
    L’article de Luca Arcangeli, À la racine du Décret de 1616 : la lettre de Roberto Bellarmino à Paolo Foscarini (« Alle radici del Decreto del 1616: La lettera di Roberto Bellarmino a Paolo Foscarini »).

    Un texte extrait de l’Apologia per Galileo, publié par Tommaso Campanella la même année (1616), suggère finalement une relecture des pages du classique d’Annibale Fantoli, Galilée, pour les théories coperniciennes et pour l’Église (« Galileo, per il copernicanesimo e per la Chiesa », 2010).

    Ce dossier dédié se conclut par une bibliographie spécialisée, utile pour continuer d’approfondir cette affaire « si importante pour les rapports entre science, histoire et religion ».

  • Faut-il confier l’homélie aux femmes ?

    IMPRIMER

    pretre-une.jpgPour la « journée de la femme » (8 mars), c’est ce que  suggère le journal du pape, "l'Osservatore Romano" ,dans son supplément féminin.

    Notre confrère « Diakonos.be » observe que, ce faisant, «  il faudrait que François se mette en contradiction non seulement avec la tradition séculaire de l’Église mais également avec lui-même. Parce que lui aussi, il y a deux ans, a interdit aux femmes de prêcher pendant la messe:

    En effet on peut lire, aux paragraphes 4 et 5 de la "Directive relative à l’homilétique" promulguée en 2014 sous la forme d’un décret de la congrégation pour le culte divin, avec l'approbation du pape :

    "En raison de sa nature liturgique, l’homélie comporte également une signification sacramentelle : le Christ est présent à la fois dans l’assemblée qui est réunie pour écouter sa parole et dans la prédication du ministre, par l’intermédiaire de qui le Seigneur lui-même, qui s’est exprimé un jour à la synagogue de Nazareth, instruit maintenant son peuple. […] En tant que partie intégrante du culte de l’Église, l’homélie doit être prononcée uniquement par les évêques, par les prêtres ou par les diacres, […] ou, en tout cas, par quelqu’un qui a reçu les ordres sacrés pour présider ou pour se tenir à l’autel". ... See Less

    Pas de femmes prêtres. Mais alors qu’elles aient au moins la possibilité de prononcer l’homélie

    chiesa.espresso.repubblica.it »

    Ref. Faut-il confier l’homélie aux femmes ?

    Cléricalisation et désacralisation ont encore de beaux jours devant elles dans l’Eglise postconciliaire.

     JPSC

  • Les femmes, victimes du christianisme et de l'Eglise ?

    IMPRIMER

    A signaler, deux articles parus récemment sur le site aleteia.org :

    Le christianisme a-t-il favorisé l'émancipation des femmes ...

    fr.aleteia.org/.../le-christianisme-a-t-il-favorise-lemancipation-des-femme...
    27 janv. 2016 - Le christianisme apporta une toute nouvelle façon de considérer lafemme. Les signes et les paroles de Jésus-Christ s'adressaient aux ...
    fr.aleteia.org/2016/02/16/leglise-a-t-elle-meprise-les-femmes/
    16 févr. 2016 - 1. Dès les origines du christianisme les femmes ont été impliquées dans la transmission de la foi chrétienne. Très présentes autour du Christ, ...
  • L'époque médiévale, douce pour les femmes ?

    IMPRIMER

    D'Eugénie Bastié sur Figaro Vox (lefigaro.fr) :

    Les Filles au Moyen Âge: c'est toi l'obscurantiste ! 

    XVM2bec849c-cda3-11e5-85f1-b52fa717e71f-300x300.jpgFIGAROVOX/CRITIQUE: Le film d'Hubert Viel, avec Michael Lonsdale, est un chef-d'œuvre de douceur et de poésie. Il vient rétablir une vérité historique: l'époque médiévale était douce pour les femmes.

    Depuis Les Visiteurs, l'image moyenne et vague que nous avons du Moyen Âge est celle d'une vaste fosse à purin, où surnagent des mages noirs, des gueux édentés et des seigneurs très méchants. Quant aux femmes, les pauvres, elles étaient soit des sorcières vouées au bûcher par des curés sales et malveillants, soit des princesses godiches prisonnières dans leurs tours, attendant désespérément un valeureux chevalier. C'est après, bien plus tard qu'est arrivé la Libération, avec Simone de Beauvoir, qui d'un coup de baguette magique a libéré la femme de l'esclavage, passée «de l'ombre à la lumière» grâce à la pilule, au chéquier et à l'IVG. Tel est, en substance, le conte qu'on nous raconte.

    Le film, Les Filles au Moyen Âge, vient sonner le glas de ces idées reçues. Dans un petit pavillon de la France périphérique, entre une rocade encombrée et une zone industrielle, trois petites filles exaspérées parce que les garçons préfèrent jouer à la console qu‘avec elles, vont voir leur grand-père. Celui-ci, incarné par l'immense Michael Lonsdale, commence à leur raconter une histoire: celle des filles au Moyen-âge. Les petites saynètes, tournées en noir et blanc dans des paysages bucoliques, des décors et des déguisements extrêmement simples s'enchaînent, ponctuées par la voix douce de Lonsdale.

    Lire la suite

  • A Liège, le dimanche des Rameaux 20 mars 2016 à 16h : concert spirituel à l’église du Saint-Sacrement (entrée libre)

    IMPRIMER

    2016.03.20 Liège - Schola Leodiensis News.gif

    Plus d’information : sursumcorda@skynet.be ou  tel 04.344.10.89 

    JPSC 

  • En guise d'hommage à Nikolaus Harnoncourt qui vient de nous quitter

    IMPRIMER

    (Bien-aimé Emmanuel, prince des croyants)
    Cantate composée à Leipzig en 1725 pour l'Épiphanie.
    Tölzer Knabenchor - Gerhard Schmidt-Gaden - Concentus musicus Wien - Nikolaus Harnoncourt


    Chœur d'entrée :
    Liebster Immanuel, Herzog der Frommen, du, meiner Seele Heil, komm, komm nur bald! Du hast mir, höchster Schatz, mein Herz genommen, so ganz vor Liebe brennt und nach dir wallt. Nichts kann auf Erden mir liebers werden, als wenn ich meinen Jesum stets behalt.

    Bien-aimé Emmanuel, prince des croyants, ô toi salut de mon âme, viens, ne tarde-pas ! Trésor suprême, tu m’as pris mon cœur qui brûle tout entier d’amour et aspire à toi ! Rien ne saurait sur cette terre m’être plus cher que de conserver Jésus à jamais.

  • "Veilleur, où en est la nuit ?"

    IMPRIMER

    9782204109109-56d0724c7bb6f.jpgVeilleur, où en est la nuit ? by Koz

    Rien n’est moins chrétien que de serrer sans fin dans ses bras le cadavre de la vieille chrétienté : il faut laisser les morts enterrer leurs morts, et regarder le monde en face. Jérusalem est tombée, et ses murailles ne seront pas reconstruites.

    C'est dire s'il ne faut pas lire ce livre  en quête d'un édredon ouaté, d'un propos rassurant à bon compte sur l'avenir du pays et des chrétiens. Nous ne manquons pas de trouver les moyens d'écarter la froide réalité statistique qui, pourtant, nous éclate au visage. Nous invoquons, et cela recèle, je le crois, tout de même, une part de vérité, la qualité des vocations, l'authenticité de la pratique dans un monde où elle ne saurait apporter un quelconque surcroît de rayonnement social. Mais la réalité, nous la connaissons tous, nous la vivons, est bien celle d'un pays déchristianisé. Étonnamment, ou non, Veilleur, où en est la nuit ?, du Frère Adrien Candiard (op)  fait écho à un autre ouvrage paru ces derniers jours aux éditions du Cerf, Etrangers dans la Cité, première édition en langue française d'un livre paru il y a vingt-cinq ans aux Etats-Unis. Pour leur part, les auteurs ont localisé et daté précisément la fin de la chrétienté : c'était en 1963 un dimanche soir, à Greenville en Caroline du Sud. "Ce jour-là, à Greenville en Caroline du Sud, au mépris des vénérables Blue Laws, le cinéma de la Fox ouvrit un dimanche (...) La Fox défia frontalement l'Eglise pour décider de qui offrirait une vision du monde aux jeunes. Cette nuit de 1963, la Fox remporta la bataille." Ne laissez pas filer votre imagination et n'allez pas faire de Stanley Hauerwas, de William Willimon, du Frère Adrien Candiard, de sombres millénaristes, comme nous en comptons bien trop. Ils n'annoncent pas la fin du monde. Ils constatent la fin d'un monde, bien décidés à regarder suffisamment dans les yeux celui qui vient pour nous proposer une voie, un chemin.

    Lire la suite

  • Le discours du pape aux membres de l'Académie pontificale pour la Vie

    IMPRIMER

    De Constance Roques sur zenit.org :

    Académie pontificale pour la vie: discours du pape François (traduction complète)

    «La vertu est la plus haute expression de la liberté humaine», explique le pape François qui indique la pratique des vertus par celui qui promeut la vie comme condition de la fécondité de son action.

    Le pape François a en effet reçu les membres de la XIIème assemblée plénière de l’Académie pontificale pour la vie, ce jeudi matin, 3 mars, dans la Salle Clémentine du Palais apostolique du Vatican. Cette assemblée, qui a pour thème «Les vertus dans l’éthique de la vie», s’achève samedi, 5 mars.

    « Ce sont les vertus de celui qui agit pour la promotion de la vie qui sont l’ultime garantie que le bien sera réellement respecté », déclare le pape.

    « Parler de vertu signifie, explique-t-il, affirmer que le choix du bien implique et engage toute la personne ; ce n’est pas une question de « cosmétique », un embellissement extérieur qui ne porterait pas de fruit : il s’agit de déraciner du cœur les désirs malhonnêtes et de chercher le bien avec sincérité. »

    Il précise : « Dans le domaine de l’éthique de la vie, bien qu’elles soient nécessaires, les normes qui garantissent le respect des personnes ne suffisent pas, seules, à réaliser pleinement le bien de l’homme. »

    C’est pourquoi le pape invite à «cultiver» les vertus, grâce à un « discernement continuel » et un « enracinement en Dieu, source de toutes les vertus ».

    Voici notre traduction complète de ce discours prononcé en italien :

    Lire la suite

  • Des propos percutants du pape François sur l'Europe, la laïcité, les idéologies et le culte de l'argent

    IMPRIMER

    Jean-Pierre Denis, sur le site de La Vie, rapporte les propos tenus par le pape avec une délégation française le mardi 1er mars (extraits) :

    Conversation politique avec le pape François

    (...) Mardi 1er mars à 16h30, au rez-de-chaussée de la fameuse Casa Santa Marta qui lui sert de résidence et de bureau, sur le flanc écrasant de la basilique Saint-Pierre, François a accordé une étonnante audience à une trentaine de catholiques engagés dans le christianisme social. J’ai eu la chance de faire partie de l’équipée et de saisir au vol l’essentiel d’une conversation informelle qui n’est en rien une interview. Mais l’initiative en revenait à Philippe de Roux, le fondateur des Poissons roses, un petit courant de pensée né au sein du parti socialiste au moment des débats sur le mariage pour tous, rejoint pour l’occasion par un laboratoire d’idées d’inspiration personnaliste, Esprit civique. (...)

    Sur la mondialisation :

    « Il y a quelque chose qui m’inquiète », dit le pape. « Certes, la mondialisation nous unit et elle a donc des côtés positifs. Mais je trouve qu’il y a une bonne et une moins bonne mondialisation. La moins bonne peut-être représentée par une sphère : toute personne se trouve à égale distance du centre. Ce premier schéma détache l’homme de lui-même, il l’uniformise et finalement l’empêche de s’exprimer librement. La meilleure mondialisation serait plutôt un polyèdre. Tout le monde est uni, mais chaque peuple, chaque nation conserve son identité, sa culture, sa richesse. L’enjeu pour moi est cette bonne mondialisation, qui nous permet de conserver ce qui nous définit. Cette seconde vision de la mondialisation permet d’unir les hommes tout en conservant leur singularité, ce qui favorise le dialogue, la compréhension mutuelle. Pour qu’il y ait dialogue, il y a une condition sine qua non : partir de sa propre identité. Si je ne suis pas clair avec moi-même, si je ne connais pas mon identité religieuse, culturelle, philosophique, je ne peux pas m’adresser à l’autre. Pas de dialogue sans appartenance. »

    Lire la suite