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Idées - Page 124

  • L'enseignement social de l'Eglise : Thème privilegié du dialogue entre foi et raison

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    sur lepost.fr

    Afin de préparer utilement et efficacement les échanges Parvis des Gentils, qui se dérouleront les 24 et  25 mars prochains à Paris, à l'initiative du Conseil pontifical de la culture, voici une tribune de Jean-Yves Naudet

    L’enseignement social de l’Eglise, avait dit un jour le cardinal Martino, est « le secret le mieux gardé de l’Eglise ». Au-delà de la formule, il y a là une part de vérité ; les chrétiens eux-mêmes connaissent souvent mal ce que l’on appelle aussi « Doctrine sociale de l’Eglise » et les croyants des autres religions, comme les agnostiques et les athées, encore moins bien. Pourtant, cet enseignement peut être un lieu privilégié du dialogue entre croyants et non croyants.

     

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  • Ecoutez Fabrice Hadjadj sur RCF

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    rcf_logo_sup.gifLors de son passage à Bruxelles, le 21 février dernier, pour y donner une conférence consacrée au "Paradis pour les nuls", Fabrice Hadjadj a eu l'occasion de rencontrer Véronique Bontemps pour un entretien sur RCF. Cet entretien, consacré à "la profondeur des sexes" est "podcasté" sur RCF et accessible ici :

    25/02/11 Chronique de la vie chrétienne
    avec Fabrice Hadijadj - Présentation : Véronique Bontemps.

    à découvrir ici (tout au bas de la page)
  • L'idéologie du genre ("gender")

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    Sous-jacente à toute une série de revendications, de réformes, de "programmes de développement", de circulaires adressées aux écoles, l'idéologie du genre tend à s'imposer dans la culture occidentale et à devenir normative au niveau mondial. De quoi s'agit-il? Est-ce compatible avec la foi chrétienne? Nous cédons la place à une spécialiste dans ce domaine qui s'en est expliquée, il y a quelque temps, lors d'une interview accordée à ZENIT.

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  • J.-C. Guillebaud : posthumanisme et haine du corps

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    J.-C. Guillebaud : posthumanisme et haine du corpsLa Vie publie des extraits de La Vie vivante. Contre les nouveaux pudibonds, le nouveau livre de Jean-Claude Guillebaud dénonçant les excès et dangers du courant "posthumaniste" qui vise à une "amélioration" de l'espèce humaine grâce aux progrès des sciences et techniques.

    la suite sur genethique.org

    cfr aussi notre note parue hier : Qui serons-nous demain?

  • Qui serons-nous demain ?

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    Cyborg.jpgLaLibre publie, sur sa page débats-opinions, une réflexion fort intéressante sur les "vertiges posthumanistes" : "Les nanotechnologies, les biotechnologies, l'informatique et les sciences cognitives prennent petit à petit possession de l'homme. On ne peut abandonner l'avenir de la nature humaine aux industries de pointe."

    Vous découvrirez ici le contenu de cette réflexion du Professeur Mark HUNYADI, Professeur à l’Institut supérieur de Philosophie de l’UCL, Directeur du Centre de recherche Europé.

    L’institut supérieur de Philosophie de l’UCL organise un cycle de conférences sur le posthumanisme, du 7 au 28 mars. Conférences tous les lundis à 20h, à l’Auditoire Socrate 21. Infos : www.uclouvain.be/isp.

  • Crise : pourquoi ne pas s'inspirer du "modèle" politique suisse ?

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    Michel Janva, dans le Salon beige, reproduit un article de Alain Dumai dans Les 4 vérités.

    Et pourquoi pas une Belgique fonctionnant sur la base d'une douzaine d'entités : dix provinces, Bruxelles, la Communauté germanophone?

    Le modèle politique suisse

    S "Au début du XXe siècle, la Suisse était en Europe l’un des pays les plus pauvres. Il n’avait à offrir que ses montagnes et ses glaciers. Aujourd’hui, cent ans plus tard, la Suisse, avec près de huit millions d’habitants, affiche une prospérité insolente, avec un niveau de vie individuel près de deux fois supérieur à celui de la France. Quelques éléments du succès suisse laissent tout observateur français songeur : équilibre budgétaire, excédent de la balance commercial (y compris avec la Chine…), modération des dépenses publiques et des impôts, chômage à 2 ou 3 %, position de leader mondial dans de nombreux secteurs, et pas seulement pour le chocolat et le fromage de gruyère, mais aussi pour l’horlogerie, le tourisme, la chimie fine, la mécanique de précision, la pharmacie et l’agro-alimentaire. On dira, bien sûr, « les Suisses sont les Suisses, et nous ne sommes pas des Suisses ».

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  • « Les Raisons de croire »… Monseigneur Léonard

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    La réédition de cet ouvrage de Mgr Léonard  par les Editions du Jubilé est une heureuse initiative. Lors de sa sortie de presse initiale en 1987, il avait fait un « tabac » devant près de mille personnes réunies à l’Université de Liège, où l’auteur (alors professeur de métaphysique et de morale à l’U.C.L.) était venu le présenter, à l’initiative d’un groupe d’étudiants et de jeunes catholiques liégeois.

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  • Judicieux, n'est-il point ?

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    “Nous assistons à une démission de l’intelligence modérée”

    "Dans votre dernier livre, vous estimez que, face à cette dérive politique (en France!), le problème majeur est l’indifférence des citoyens. Quels signaux vous permettent de faire ce constat ?

    Voyez la situation de la Belgique. La radicalisation des passions identitaires qui conduisent, sans recours à la violence, sans guerre civile, nos voisins belges au bord de la rupture est une manifestation limite de ce phénomène de sidération réactive qui me plonge dans la… sidération. Nul, parmi les élites, ne s’aveugle sur ce processus; ses causes sont évidentes – au premier chef, le primat donné aux appartenances sur l’autonomie de l’individu; chacun sait bien que, au départ, seules des minorités extrémistes ont souhaité la scission du pays, et pourtant tout se passe comme si l’enchaînement des effets et des causes échappait à toute maîtrise."

    Alain-Gérard Slama, dans le "Spectacle du Monde" - février 2011 - à propos de son livre "La Société d'indifférence", Plon, "Tribune Libre".

  • Une exégèse scientifique du Coran

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    "Bruno Bonnet-Eymard est un savant qui a entrepris une traduction et une exégèse scientifique du coran. Son approche se démarque de manière très nette de celles de ses prédécesseurs, tant musulmans que non-musulmans, en ce qu'il se base uniquement sur le texte du coran lui-même, et ce, sans se référer à la biographie de Mahomet (de nature légendaire), cette dernière dépendant elle-même du coran! Bref, Bonnet-Eymard a voulu sortir de ce cercle vicieux, non scientifique, qui veut que les traductions du coran dépendent du récit de la vie de Mahomet (tel que raconté par les biographes), alors que la biographie elle-même dépend du coran! Les découvertes de Bonnet-Eymard sont très surprenantes et remettent en cause une somme impressionnante d'idées reçues."

    Bruno Bonnet-Eymard appartient à une communauté religieuse en farouche opposition avec la réforme initiée par Vatican II; cette appartenance que l'on peut bien sûr discuter ne permet pas de disqualifier son travail scientifique extrêmement rigoureux et qui recoupe les conclusions des recherches menées par Christoph Luxenberg, un philologue allemand, analyste du Coran.

    A découvrir ici, avec de nombreuses vidéos

    Article de présentation de ses travaux par Catherine Segurane sur Agoravox

  • Le christianisme contre l’animisme des pays développés

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    Nous "empruntons" cette réflexion intéressante au site "Le temps d'y penser"

    L’animisme que l’on rencontre dans de nombreuses sociétés dites traditionnelles est un ensemble de croyances qui varient beaucoup selon les climats.

    Mais toutes ont en commun la conviction que l’homme n’est pas libre de son destin et que sa vie est déterminée par des esprits et des forces surnaturelles plus puissants que lui : le destin, les esprits de la forêts, les zombies, les sortilèges, le soleil, les astres, les âmes des disparus etc.

     

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  • Nicolas Berdiaeff, une approche autobiographique et anthropologique

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    n36385603074_1648320_5433614.jpgL’émission de radio Orthodoxie, sur France culture, du dimanche 27 février, à 8 heures, aura pour thème: "Nicolas Berdiaeff, une approche autobiographique et anthropologique".

    Présentation: "Entretien avec Pierre Aubert, aumônier-pasteur auprès des Hôpitaux universitaires genevois, auteur du livre Nicolas Berdiaeff, Une approche autobiographique et anthropologique, paru en janvier dernier aux éditions du CERF. Après l'évocation de la vie et de l'œuvre de N. Berdiaeff (1874-1948), philosophe russe orthodoxe, la discussion porte essentiellement sur l'actualité de l'anthropologie de celui-ci : l'homme qui ne se définit plus aujourd'hui dans son rapport à Dieu ou la nature, mais par rapport  à la technique et à l'économie."

    L'émission pourra être écoutée en direct par l’Internet sur le site de France culture, puis, pendant les deux semaines qui suivront sa diffusion radiophonique, sur cette page.
    Sur Orthodoxie.com

  • Islam et démocratie

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    UNE MISE EN QUESTION radicale est en train de surgir dans le monde arabo-musulman et touche aux fondements mêmes du système islamique, basé tout entier sur la sacralisation de la soumission (c’est-à-dire de l’islâm en arabe) et de son corollaire, la domination. Elle prend l’Occident de court, tout comme en 1989, les « analystes » n’avaient rien vu venir de la chute du mur de Berlin.

    (...) Quelque chose est vraiment en train de bouger dans tous les pays arabo-musulmans. Il serait temps d’ouvrir les yeux, même si le « mur de Berlin » islamique, qui est dans les esprits, mettra du temps à tomber, et d’autant plus de temps que nos « analyses » marquées par le sécularisme contribuent à l’entretenir. Le temps qui s’annonce sera un temps d’épreuve et de chance pour la vraie foi.

    La pensée occidentale dominante voit dans la chute du président tunisien Ben Ali l’espérance d’une avancée démocratique dans l’un des « pays islamiques » (la Tunisie en fait officiellement partie en effet). Nombre de Tunisiens l’espèrent également. Néanmoins, on ne peut pas éviter un certain rapprochement avec ce qui fut dit du régime du Shah d’Iran lors de son renversement, un régime autocrate certes mais beaucoup moins sanguinaire et terroriste que celui qui suivit et qui avait été salué d’abord comme une avancée démocratique. Se défaire d’un clan au pouvoir est une chose ; établir un État démocratique et de droit en est une autre.

    En Tunisie, le mieux que l’on puisse espérer est qu’un nouveau système autoritaire opposé à l’islamisme succédera au précédent. Le pire serait que se mette en place un système encore plus corrompu s’appuyant sur l’islam, et terroriste, qui étendrait alors son action destructrice au delà des frontières. (...)

    Il apparaît ainsi que l’Islam n’est pas une culture qui, comme culture, serait intégrable à un État démocratique ; il s’agit d’un programme politico-religieux qui sape les bases mêmes de tout État de droit. Les Tunisiens veulent tourner la page du système autocratique et corrompu de Ben Ali, et c’est le mieux qui puisse être fait ; le plus probable est qu’il sera chargé bientôt de tous les maux, par les nouveaux maîtres de la Tunisie qui s’en serviront pour justifier leur pouvoir.

    Quel sera-t-il ? Sera-t-il entre les mains de Tunisiens ayant le sens de l’État de droit, ouvert à tous et à l’avenir ? Le poids du conditionnement islamique va inévitablement peser. Il n’existe guère de chance que la conviction du Père Antoine Moussali soit infirmée : le système politique le moins mauvais qui puisse s’imposer à une population majoritairement musulmane est celui d’une tyrannie qui empêche toute contestation par un contrôle policier sans faille, qui se méfie de l’Islam, qui prévient la population de la misère en lui laissant quelques activités libres, et qui fait des largesses à ceux qui le soutiennent.

    Quant au pire possible, il est presque déjà sous nos yeux en divers lieux du globe.

    25 Février 2011 | Fr. Édouard-M. Gallez, f j  dans Liberté politique.com où l'on découvrira l'entièreté de cette analyse