IVG : LE TEXAS RÉAGIT SUITE AUX DÉCISIONS DE LA COUR SUPRÊME, L’INDIANA DE NOUVEAU ATTAQUÉ PAR LE PLANNING FAMILIAL
synthèse de presse bioéthique de genethique.org
Suite à la décision de la Cour Suprême annulant une loi texane limitant l’avortement (cf. États-Unis : La Cour suprême rejette une loi texane limitant l'avortement), le département santé du gouvernement vient de proposer de nouvelles règles, obligeant les cliniques d’avortements à« éliminer les tissus fœtus avortés par inhumation ou par crémation » dans des maisons funéraires, et interdisant le « broyage ou l’élimination dans un système d’égout sanitaire ». Ces règlements pourraient prendre effet dès septembre.
Bryan Black, porte parole de la Commission santé et services sociaux, a déclaré que ces nouvelles règles visaient à maintenir des « normes de dignité humaine ». Le gouverneur républicain Greg Abbott a précisé que ces règlements pourraient faire l’objet d’une loi l’an prochain. Les « tissus de fœtus avortés ne devraient pas être traités comme des déchets médicaux, ces changements de règles affirment la valeur et la dignité de toute vie », a-t-il déclaré par voie de communiqué.
Dans l’Etat d’Indiana, également concerné par une décision de justice fin juin sur l’IVG (cf. Indiana : Blocage de la loi interdisant les avortements d’enfants porteurs de trisomie 21 ), le Planning familial remet à présent en question l’échographie obligatoire 18 heures avant un avortement. Selon le Planning familial américain, qui « ne peut se permettre d’investir dans les équipements nécessaire aux échographies », « cette exigence n’a pas de justification médicale et créée un obstacle important pour les femmes qui veulent avorter ». Une plainte a été déposée jeudi.
Sources: Reuters, Jon Herskovitz (7/07/2016) ; Indystar, Kristine Guerra (7/07/2016)
« Le diocèse de Versailles a publié aux Editions MAME (112 pages 9,90 €) un ouvrage d’accompagnement pour favoriser le dialogue de foi entre chrétiens et musulmans.



« Ils font leur travail et je fais le mien »
« Francesca Chaouqui, la principale accusée dans ce procès devant le tribunal de l’État de la Cité du Vatican, a été considérée « l’inspiratrice et la responsable des conduites contestées »: le ministère public a requis trois années et neuf mois de réclusion pour cette ancienne consultante en communication. Contre Mgr Vallejo Balda, un autre membre du personnel du Vatican, ont été requis trois ans et un mois de prison. Le prêtre espagnol, qui siégeait comme Francesca Chaouqui dans la commission constituée par le pape François pour proposer une réforme de la gestion du Vatican, a déjà été incarcéré depuis le début de l’affaire qui a éclaté fin octobre 2015.