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Société - Page 806

  • L'Eglise face aux violences sexuelles en Inde

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    Un cardinal indien lance une journée pour la justice et l'égalité des sexes après des cas de viols collectifs (Radio Vatican en anglais, trad. par nos soins)

    Le cardinal Oswald Gracias, archevêque de Bombay, organise une journée de sensibilisation et de solidarité pour la Justice et l'égalité des sexes, le dimanche 27 janvier. La décision a été prise à la suite de la récente affaire de viol brutal à New Delhi qui a suscité des manifestations généralisées et un débat houleux sur la violence et la discrimination à l'égard des femmes en Inde.

    Le cardinal Gracias affirme que le viol et le meurtre de jeunes femmes à Delhi «a réveillé la conscience de l'ensemble du pays » et c'est pour cette raison qu'il a décidé que l'Eglise devait prendre des « mesures proactives » en organisant cette journée spéciale de solidarité et de sensibilisation pour tenter de stimuler le développement d'un « plus grand respect » à l'égard des femmes et de tous les êtres humains. « C'est une question importante, » dit-il, « et qui nous concerne tous. »

    On lui demande s'il n'appréhende pas que l'on revienne ensuite à la routine, une fois que les souvenirs de ces viols se sera estompé, Le cardinal Gracias admet qu'il s'agit d'un vrai souci pour lui. « C'est précisément ce dont j'ai peur pour la suite et c'est pourquoi j'ai pensé que nous devions saisir cette occasion... pour essayer de changer la mentalités des gens. » Le cardinal affirme qu'afin d'atteindre cet objectif, un rôle clé revient aux institutions et aux écoles, en particulier catholiques. "J'ai demandé à nos écoles que l'on y éduque nos enfants afin d'enseigner aux familles le respect des petites filles, et j'espère que cela aura un effet d'entraînement".

    Bien que le père de la victime du viol collectif et bien d'autres en Inde aient appelé à la peine de mort pour les personnes accusées du meurtre de la jeune femme, le cardinal Gracias a réaffirmé que l'Eglise s'oppose à la peine de mort pour tous les crimes, peu importe leur brutalité.

  • La religion musulmane serait-elle intolérante ?

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    Pour 74% des Français, l’islam est une religion "intolérante";

    source : radinrue


    Dans une enquête Ipsos/Le Monde, intitulée "France 2013 : les nouvelles fractures" (réalisée par Internet, du 9 au 15 janvier, auprès de 1.015 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas), et portant sur les religions trois français sur quatre ont estimés que l’Islam était intolérant et non compatible avec les valeurs de la République Française.Ce sondage commandé par le quotidien “Le Monde” démontre le fossé entre les valeurs de l’Islam et ce qu’en perçoivent les français, ainsi “Le Monde” souligne que "8 Français sur 10 jugent que la religion musulmane cherche à imposer son mode de fonctionnement aux autres. Enfin, plus de la moitié pensent que les musulmans sont ’en majorité’ (10%) ou ’en partie’ (44%) intégristes, sans que l’on sache ce que recouvre ce qualificatif".

    Dans la partie portant sur la tolérance et les religions ( en France ), le sondage fait apparaître que 24% des personnes qui se sont exprimées estiment que la religion catholique est "tout à fait tolérante", contre 13% pour la religion juive et 3% pour la religion musulmane. A la question sur les religions "pas tolérante du tout" 7% jugent que c’est la religion catholique qui l’est, 10% que c’est la religion juive et 39% estiment que c’est la religion musulmane n’est pas tolérante du tout.Pour 89% des personnes interrogées, la religion catholique est compatible avec la République Française, pour 75% la religion juive l’est et seulement 26% estiment que la religion musulmane est compatible avec la République. radinrue.com

  • Le cardinal Sarah dénonce les modèles éthiques imposés aux pays pauvres

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    2011-01-30_Card_Sarah_21.jpg

    Le cardinal Robert Sarah, président du Conseil pontifical « Cor Unum », a condamné l’imposition par certains organismes internationaux de modèles éthiques « destructeurs » aux pays pauvres. Il s’exprimait à Rome, le 17 janvier, inaugurant les travaux de l’assemblée plénière de son dicastère.

     

    Le cardinal Sarah a dénoncé la vision négative et destructrice de l’homme et de la femme, véhiculée par certains organismes internationaux aux pays en voie de développement, a rapporté « L’Osservatore Romano ». A ses yeux, la mentalité contraceptive occidentale en constitue un cas typique, tout comme l’idéologie du ‘gender’. Certaines structures humanitaires imposent « des idéologies et un laïcisme agressifs, intolérants et destructeurs », a souligné le prélat guinéen. Elles contrastent avec le thème de l’assemblée, à savoir le lien entre l’évangélisation, la foi et la charité d’une part, et la comparaison entre anthropologie chrétienne et nouvelle éthique mondiale de l’autre.

    Ne pas se laisser séduire par l’éthique laïque

    Certains membres de l’Église qui travaillent dans le domaine de la charité se sont laissés séduire et formater par l’éthique purement laïque des agences d’aide au niveau mondial, a regretté le cardinal Sarah. Elles établissent des partenariats inconditionnels et adoptent les mêmes objectifs de déstructuration anthropologique, les mêmes langages et les mêmes slogans.
    La veille, dans un entretien accordé au quotidien du Vatican, le cardinal Sarah avait déjà critiqué les conditions des agences d’aide au développement, « souvent liées au contrôle des naissances ou à la promotion de ce que l’on appelle ’les nouveaux droits’ ». Il a pointé du doigt les conséquences terribles, en particulier sur les jeunes, qui sont divisés entre les modèles de vie hérités de leur contexte culturel et les modèles de vie consuméristes occidentaux.

    Autres informations ici : Liège, 30 janvier : institutions internationales et éthique nouvelle  et là : Cycle 2012 – 2013 Les droits de l’homme en péril

  • Pologne : pas d'union reconnue pour les couples de même sexe

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    "La Diète, chambre basse du Parlement polonais, a rejeté vendredi trois projets de lois destinés à introduire en Pologne, pays à majorité catholique, l'union civile pour les couples homosexuels et hétérosexuels."

    C'est ICI

  • Paris : une curieuse éducation scientifique au Palais de la Découverte

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    L'Homme Nouveau décrit cette curieuse exposition intitulée "Bêtes de sexe, la séduction dans le monde animal" :

    La scène se passe au Palais de la découverte (Paris) où se tient l'édifiante exposition « Bêtes de sexe, la séduction dans le monde animal » depuis le 23 octobre et jusqu'au 25 août prochain...

    « Les humains doivent-ils être monogames ? Oui, non, parfois ? » Une quinzaine de lycéens, sous le regard amusé de leur professeur, se pressent pour appuyer sur le bouton qui enregistrera leur vote. « C'est trop cool d'avoir plein de meufs », ricanent grassement les jeunes garçons tandis que les filles se forcent à glousser, sans pourtant pouvoir retenir une expression de dégoût : «  Ah non, c'est dégueu d'avoir plusieurs femmes ». Stéréotype d'une société hétéronormée ? Réalité surtout de la différence d'appréhension de la sexualité entre garçons et filles.

    Dans cette vaste salle d'exposition la lumière est tamisée, les murs sont noirs, ornés seulement de lourdes tentures rouges. Le décor est planté.

    Lire la suite de cette note sur le site de l'Homme Nouveau

  • Michel Lelièvre, une rédemption dans la foi ?

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    La Libre de ce jour relaie une dépêche de l'Agence Belga intitulée, très approximativement : "Michel Lelièvre veut aussi entrer dans les ordres". 

    En fait, on y apprend que "Michel Lelièvre, l'ex-complice de Marc Dutroux, s'est converti au protestantisme et a écrit à plusieurs couvents afin d'y être accueilli"; ce qui ne signifie évidemment pas qu'il veuille "entrer dans les ordres". D'après cette dépêche, Michel Lelièvre se serait "également adressé à l'archevêque Léonard (sic)" mais aurait essuyé une fin de non-recevoir.

    "Michel Lelièvre, 41 ans, est en prison depuis 1996. En 2004, il a été condamné à 25 ans de prison. Depuis huit ans, il entre déjà en considération pour une libération conditionnelle. Toutes ses tentatives ont jusqu'à présent été torpillées par le fait qu'il a été attrapé en prison en possession de drogue." Il serait aujourd'hui désintoxiqué. 

    "A partir du 26 février, cela fera un an que sa dernière demande de libération conditionnelle aura été introduite. Il pourra dès lors en faire une nouvelle. Il viserait également un congé pénitentiaire sous l'accompagnement de l'aumônier de la prison d'Ittre. Actuellement, il ne sortirait plus de sa cellule que pour participer à la messe du jeudi et aux chants gospel, selon son dossier."

  • Belgique : des prisonniers demandent l'euthanasie

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    C'est la très vigilante Jeanne Smits qui relève ce fait :

    Cinq détenus ont déposé une demande d'euthanasie qui est en voie d'examen, a répondu le ministre belge de la Justice à une question orale au Sénat. Ces demandes n'ont donc pas été rejetées d'office.
    Il semble s'agir de détenus de longue durée. Pour le ministre, la réponse à leur demande passe avant tout par une meilleure prise en charge psychiatrique des prisonniers afin que ceux-ci ne perçoivent plus leur situation comme source de souffrances insupportables et sans espoir d'amélioration. Ces souffrances, même si elles sont seulement d'ordre psychique, ouvrent droit en effet à l'euthanasie en Belgique…
  • Russie : la Douma proscrit la propagande homosexualiste

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    Nous lisons sur Le Vif : 

    Les députés russes ont adopté vendredi en première lecture une proposition de loi controversée punissant tout acte public constituant une "propagande de l'homosexualité auprès de mineurs".

    Le texte a été voté par 388 voix pour, une contre et une abstention. La proposition de loi a été déposée en mars 2012 à la Douma par le Parlement de la région de Novossibirsk, en Sibérie, qui l'a déjà adopté au niveau local et veut le généraliser à l'ensemble du pays. Outre Novossibirsk, d'autres villes, notamment Saint-Pétersbourg, deuxième ville du pays, ont adopté des textes similaires, suscitant des critiques en Occident et celles des associations qui dénoncent une loi homophobe et liberticide. Selon le texte adopté par la Douma, une personne physique risque de 4.000 à 5000 roubles d'amende (100-125 euros), une personne dépositaire de l'autorité publique, de 40.000 à 50.000 roubles (1.000-1.250 euros) et une entité juridique, de 400.000 à 500.000 roubles (10.000-12.500 euros).

    En introduction des débats vendredi, un député du parti au pouvoir Russie Unie a déclaré qu'il fallait "protéger les mineurs des conséquences de l'homosexualité", tout en assurant que le texte ne condamnait pas l'homosexualité en tant que telle. Une députée de Russie Juste (centre gauche) a pour sa part estimé que la propagande de l'homosexualité limitait "le droit des mineurs à se développer librement" et à choisir librement leur orientation sexuelle. (...)

  • Avortement : le témoignage saisissant de l'archevêque de Denver

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    Sur le site de Campagne Québec-Vie (via le salon beige) :

    40 ans de culture de mort : une magnifique lettre pastorale à l’occasion de l’anniversaire de Roe vs Wade


    Un article de l’archevêque de Denver, Samuel J. Aquila (traduction CQV)
    Chers frères et sœurs dans le Christ
    Je suis allé à l'université en 1968 avec l'idée de devenir médecin, comme mon père. Les Campus à la fin des années 60 et tout au long des années 70 étaient des lieux de tourmente. Je n'ai pas bien pratiqué ma foi au cours des trois premières années de collège et je n'ai certainement jamais imaginé que le Seigneur, un jour, ferait de moi un évêque.
    J'ai passé mes trois premières années de collège à travailler comme infirmier hospitalier, aidant à la salle d'urgence, à un centre universitaire de santé des élèves et dans un hôpital de Californie, pendant les vacances d'été.
    Quand j'ai commencé ce travail, je n'avais pas beaucoup réfléchi à la souffrance humaine, ou à la dignité humaine.
    Mais au cours de mon emploi dans les hôpitaux, quelque chose a changé. À cette époque, certains États ont approuvé des lois sur l’avortement et je n'étais même pas au courant. En raison de ces lois, quand j'étais au collège, j'ai vu les résultats de deux avortements.
    Le premier était dans un service de chirurgie. Je suis entré dans une salle extérieure et dans l'évier, sans surveillance, était le corps du petit enfant à naître qui avait été abandonné. Je me souviens avoir été assommé. Je me souviens avoir pensé que je devais baptiser l'enfant.

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  • Liège, 30 janvier : institutions internationales et éthique nouvelle

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    Cycle de Débats 

    LES DROITS DE L'HOMME EN PERIL

    Dialogue entre Religions et Philosophies non confessionnelles

     Mercredi 30 janvier 2013 à 18h00  

      le rôle des Institutions internationales

    et l'émergence d'une éthique nouvelle    


    présentation par 

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    Anne-Marie LIBERT 

     

          Licenciée en philosophie et en science religieuses, chargée de cours au Séminaire de Namur 

     

    La rencontre se tient à la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, Place du XX août, 7, 1er ét. (accès par la grande entrée : parcours fléché)

    Horaire : apéritif à 18h00 ; exposé suivi du lunch-débat : de 18h15 à 20h30. P.A.F : 10 €  (à régler sur place). Inscription obligatoire trois jours ouvrables à l’avance par e-mail adressé à  info@ethiquesociale.org


    RSVP  avant le  28   janvier  2013      

    e-mail : info@ethiquesociale.org 

    internet :  http://www.ethiquesociale.org/ - 

    Tel 04.344.10.89

  • ZENIT.org informe... (24/1)

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    Vietnam: refonte de la Constitution, décryptage de EDA
    Déjà 800 signatures pour une lettre ouverte

    Réseaux sociaux: présentation du Message de Benoît XVI
    "Dans la dynamique de la nouvelle évangélisation"

    Jordanie : plus de 10.000 réfugiés syriens en danger dans le désert
    Secourus par les soeurs comboniennes

    Pologne : le card. Glemp s'est éteint
    Benoît XVI salue "un homme juste dans l'esprit de saint Joseph"

    Réseaux sociaux : Benoît XVI positif mais pas naïf
    Analyse du message du pape par Mgr Celli

    Evangéliser le numérique : authenticité, cohérence, discrétion
    Expertise de Benoît XVI sur les réseaux sociaux

    Benoît XVI rend hommage à un entrepreneur chrétien
    La foi profonde de Giovanni Agnelli

    Emirats Arabes Unis : une loi sur la protection des enfants
    Après la fin tragique d'une petite fille de 8 ans

    Turquie: 15 ans de prison pour l'assassin de Mgr Padovese
    Un geste encore inexpliqué

    Zenit.org a besoin de votre soutien : https://donations.zenit.org/fr/whydonate/

  • Belgique : quand on s'en prend à la monarchie

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    Dans le Courrier du Beffroi, notre ami Pascal de Roubaix dénonce la campagne menée contre la famille royale visant à affaiblir l'institution monarchique :

    Ils déconsidèrent le Roi et sa famille pour mieux saper la monarchie.

    Depuis des années, mais à un rythme qui s’accélère de telle sorte qu’on ne peut plus croire à un libre concours de circonstances, nous assistons à la destruction progressive et systématique de l’image du Roi et de la monarchie dans l’opinion des Belges.

    Nous avons déjà plusieurs fois fait remarquer la curieuse vacuité des attaques de plus en plus odieuses que doit supporter chaque membre de la famille royale depuis ces dernières années. Chacun à son tour est mis en cause par des gens qui se drapent farouchement dans le manteau de la transparence pour justifier l’absurdité de leurs allégations, et surtout l’inconcevable méchanceté de leurs calomnies.  De bons esprits me diront : « Il y aura toujours des putrides pour calomnier, comme des crapauds pour baver ou des hyènes pour mordre ; n’en faisons pas un drame ». Et ils auront raison !

    Moi, ce n’est pas la méchanceté humaine qui m’alarme mais bien l’écho qu’ «on » lui fait. Vous aurez en effet remarqué ces derniers mois, qu’au moindre geste, au moindre mot d’un des membres de la famille royale, se trouve comme par hasard un esprit tordu pour y voir malice et, instantanément, des journaleux pour y faire écho, gonfler la rumeur en vague calomnieuse,  puis céder le porte-voix à des politiciens de bas étage et à des commentateurs stipendiés. Ceux-ci se font alors une gloire de salir sans risque la réputation de l’un des membres d’une famille qui a le noble devoir de ne pas se plaindre.

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