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Société - Page 804

  • Les Français dépriment

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    Nous lisons sur Valeurs Actuelles :

    (...) Huit mois après son élection, seuls 12 % des Français, selon notre sondage exclusif Ifop-Valeurs actuelles , pensent que leur “situation personnelle se sera améliorée à la fin du mandat de François Hollande”. Contre 44 % qui estiment qu’elle va se dégrader et le même nombre qui juge qu’elle ne va pas évoluer. À ce terrible désaveu pour le chef de l’État s’en ajoute un autre : c’est parmi les catégories populaires que la défiance est la plus forte : 9 % des ouvriers et 10 % des employés — moins de un sur dix au total — jugent que son action aura un impact positif sur leur vie quotidienne.

    « Seuls 24 % de ses électeurs de 2012 croient à une amélioration de leur situation », relève aussi Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’Ifop. Entre le président de la République et ceux qui constituaient, autrefois , le socle électoral de la gauche, c’est un véritable abîme qui s’est creusé. Le combler relève, pour l’heure, d’une mission quasi impossible. Au-delà de cette défiance record vis-à-vis de l’action de Hollande, c’est en effet le pouvoir lui-même et sa capacité à agir qui sont mis en doute dans des proportions jamais atteintes. Selon une autre étude, publiée à la mi-janvier par le Centre de recherches politiques de Sciences Po, 85 % des Français considèrent que leurs représentants ne se préoccupent pas d’eux. Au point, affirme un sondage CSA pour la Macif, d’être moins de un sur cinq (17 %), s’ils se retrouvaient en “situation de précarité économique et sociale”, à prévoir de “demander de l’aide” à l’État. Contre trois fois plus (58 %) qui feraient d’abord appel à leur famille, 40 % à une association et 23 % aux amis… (...)

    Lire tout l'article : La sourde colère des "invisibles"

  • Mariage : les évêques des Etats-Unis sur le rempart

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    Selon les évêques américains, la redéfinition du mariage crée "un moteur de conflit". (D'après le National Catholic register)
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    Les évêques mettent en garde contre les problèmes découlant de la redéfinition incluant les relations homosexuelles. Dans les deux derniers mémoires juridiques déposés auprès de la Cour suprême, les évêques des États-Unis ont averti que la redéfinition du mariage créerait un «moteur du conflit» qui menace la liberté de religion, d'expression et d'autres libertés.

    «Le mariage, entendu comme l'union d'un homme et d'une femme, n'est pas une reliquat de l'histoire, mais une institution essentielle et fondamentale de la société civile d'aujourd'hui», a déclaré la Conférence américaine des évêques catholiques dans une note adressée le 29 janvier en soutien au vote de la "Proposition 8" en Californie. Cette Proposition infirme une décision d'un tribunal visant à imposer le mariage homosexuel à cet Etat. (...) Les Electeurs californiens ont adopté la Proposition 8 en 2008, infirmant la décision du tribunal qui imposait le mariage de même sexe à l'État. Toutefois, cet effort a été annulé par un juge fédéral en Californie en août 2010, affirmant qu'il ya un "droit fondamental de se marier." Sa décision a été confirmée par une Cour d'appel en février 2012. Cette décision est actuellement en appel devant la Cour suprême américaine. (...)

    Pour les évêques, il s'agit de l'intérêt légitime de l'État parce que l'union entre un homme et une femme est seule capable de créer une nouvelle vie. Le document ajoute qu'il est raisonnable de croire qu'un foyer avec une mère et un père constitue «un environnement idéal pour élever des enfants." (...) En outre, la conférence des évêques a mis en garde sur une redéfinition du mariage qui porterait atteinte aux droits constitutionnels comme la liberté de religion, de conscience, d'expression et d'association. Elle dénonce des cas déjà survenus où des entreprises ou des fonctionnaires ont été contraints d'avaliser des situations alors que leur conscience s'y opposait. Elle fait également référence à des organismes religieux sans but lucratif qui sont confrontés à la perspective de procès à cause de leurs croyances et de leur refus de reconnaître des "époux" de même sexe.

  • 1er février : femmes, à vos voiles !

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    Nous lisons ICI :

    Le premier World Hijab Day, la Journée mondiale du hijab, aura lieu le 1er février. 

    Pour l’occasion, toutes les femmes du monde, musulmanes ou non musulmanes qui ne portent pas le voile, sont invitées à se couvrir les cheveux, le temps d’une journée pour entrer dans la peau d’une femme portant le hijab (voile). 

    Cette expérience leur permettra de répondre à la question suivante : « Le hijab est-il oppressant ou libérateur ? »

    « Nous espérons que vous apprendrez de cette expérience et que vous découvrirez une nouvelle définition de "liberté" », commente les initiatrices américaines du World Hijab Day sur leurs affiches traduites en 22 langues, dont le français, le hindi et le finnois. 

    Avec cette initiative relayée sur les réseaux sociaux, le collectif World Hijab Day espère convaincre le plus de femmes à tenter l’expérience. (...)
  • La pilule contraceptive de plus en plus incriminée

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    (Institut Européen de Bioéthique) Les pilules contraceptives de 3e et 4e générations font de plus en plus de victimes.

    En France, plus de 350 témoignages ont déjà été enregistrés en quelques semaines. L’avocat qui a représenté Marion Labat pour sa plainte contre le laboratoire Bayer et contre le directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM),  constate que chaque jour 15 à 20 témoignages nouveaux arrivent.

    Le plus ancien date de 1984 et d’autres très récents en janvier 2013, mais la majorité des accidents s’est produite entre 2009 et 2012. Toujours d’après l’avocat interrogé par "Le Point", il s’agit essentiellement de pilules de la 3e et de la 4e génération ainsi que de la Diane 35 et quelques cas de pilules de 2e génération.   " La 4e génération, qui représente un tiers des cas, semble encore plus dangereuse au vu des dossiers que nous avons recueillis ", explique encore Me Coubris. De quoi souffrent exactement les victimes ? "Environ 70 % ont eu une embolie pulmonaire et 30 % un accident vasculaire cérébral. Et malheureusement, parmi les plaintes que nous avons reçues, on déplore onze décès, majoritairement des jeunes filles âgées de 16 à 20 ans. L’âge moyen de toutes les femmes est globalement très jeune au moment de l’accident et très peu d’entre elles fumaient."

    Et en Belgique ?
    Contrairement aux mesures décidées en France, les modalités de remboursement ne seront pas modifiées, a indiqué la ministre de la Santé, Laurette Onkelinx, estimant que "ces pilules ne sont pas à proscrire mais à utiliser avec précaution et il n’y a pas de raison de pénaliser les patientes qui les utilisent actuellement." Les pilules prescrites dans notre pays sont dans plus de 75 % des cas des pilules de 3e ou de 4e génération. Commentaire d’une lectrice : « Accepterions-nous d’avaler un aliment si nous savions que 3 ou 4 personnes sur 10 000 risquaient une embolie pulmonaire? »

  • La KUL recherche des donneurs de sperme

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    Appelez la KUL (L'université (flamande) "catholique" de Leuven) pour être donneur de sperme (source)

    L'Université catholique de Leuven (KULeuven) invite ses étudiants et son personnel à donner du sperme. De plus en plus, le Centre de fertilité de l'Université reçoit des demandes pour des traitements de fertilité et doit faire face graduellement à une pénurie de sperme.

    Depuis l'an dernier, le Centre traite également des couples de lesbiennes et par conséquent la demande pour les traitements de fertilité a augmenté encore davantage. Pour la première fois, la KUL fait en conséquence appel au personnel et aux étudiants.

    Nous avons l'intention, en nous conformant à Commission éthique de notre hôpital, d'en faire une promotion plus complète, explique le professeur Thomas D'Hooghe de la KU Leuven. La population masculine de 21 à 45 ans est concernée; cela comprend tout membre du personnel de l'UZ Leuven et de la KU Leuven, y compris aussi les étudiants. C'est certainement quelque chose qui doit être à l'ordre du jour.

    Les donneurs de sperme peuvent compter sur des défraiements de 50 euros.

  • Le rapport au père souvent problématique

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    Le pape, lors de l'audience générale de ce mercredi, a évoqué cette réalité :

    (Vatican Information Service - VIS) Le Saint-Père a consacré la catéchèse de la l'audience générale à la définition fondamentale que le Credo donne de Dieu: Père Tout Puissant. Il n'est pas toujours facile, a-t-il dit, "de parler aujourd'hui de paternité". Le rapport avec la figure paternelle peut devenir problématique, ainsi que "la perception de Dieu comme père, par défaut d'un modèle correct. Qui a connu un père trop autoritaire, indifférent, peu affectueux, voire absent, a du mal à envisager sereinement Dieu comme un père, à s'abandonner à lui et à lui faire confiance.

    Or la Bible nous permet déjà de dépasser la difficulté lorsqu'elle décrit un Dieu qui démontre ce qu'être père signifie. Mais c'est surtout l'Evangile qui révèle la paternité de Dieu, de ce Dieu qui aime au point d'offrir son propre Fils pour le salut de l'humanité... Dieu est notre père parce qu'il nous a bénis et choisis dès avant la création du monde. Ils nous a fait ses fils véritables en Jésus, et nous accompagne comme un père au long de notre existence, nous offrant sa Parole, sa grâce et son Esprit... Il est bon au point de faire briller le soleil sur les mauvais comme sur les bons, sur les injustes comme sur les justes, de manière que nous pourrons toujours nous en remettre à son pardon paternel chaque fois que nous prenons le mauvais chemin". L'amour de Dieu est pour toujours, "et il ne fait jamais défaut, ne se fatigue jamais de nous... La foi nous donne la certitude qu'il est un rocher sûr dans la construction de notre existence. A tout moment nous pouvons faire face au danger et aux difficultés, faire l'expérience du doute et de la souffrance, mais nous serons soutenus par le fait certain que Dieu est proche et qu'il ne nous abandonne pas. Il est là pour nous conduire à la vie éternelle".

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  • Expositions parisiennes : quand la culture véhicule des lieux communs sur Dieu

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    Lucetta Scaraffia, dans l'Osservatore Romano, s'attarde sur deux expositions qui se tiennent actuellement et qui sombrent dans les lieux communs du culturellement correct :

    Lieux communs sur Dieu

    Dans le dernier numéro de la revue française « Esprit », consacré à la question de Dieu dans la philosophie contemporaine, on constate un fait : l’expérience que les contemporains partagent la plus intensément est l’absence presque absolue de Dieu dans le quotidien, une non-existence qui se fait presque sensible dans l’espace public ou privé. Ils sont toutefois un certain nombre à avoir la sensation que cette exclusion appauvrit la pensée. Ainsi Dieu retourne-t-il dans l’espace public de la culture d’une grande ville sécularisée comme Paris. Non plus, toutefois, grâce au crible de la théologie, mais à travers celui des plus modernes sciences humaines. Ce sont l’anthropologie et l’histoire, en effet, les lentilles sous lesquelles est affronté le thème de Dieu dans deux expositions : Dieu(x), Modes d’emploi au Petit Palais et Entrée des médiums. Spiritisme et art de Hugo à Breton à la Maison de Victor Hugo.

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  • Inde : un des violeurs bientôt en liberté ?

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    ASIE/INDE - Viol et meurtre d’une jeune indienne de 23 ans : un inculpé mineur bientôt libre

    New Delhi (Agence Fides) – L’un des six inculpés du viol et du meurtre de la jeune indienne de 23 ans qui a bouleversé le monde entier voici un mois, est mineur. C’est ce qu’a démontré le Tribunal des mineurs de Delhi. Ceci, selon la praxis juridique indienne, pourrait lui permettre d’être libre d’ici quelques mois. L’âge de l’inculpé, décrit par la police de Delhi comme le plus brutal des six accusés, a été déclaré comme étant de « 17 ans, six mois et 24 jours », comme le démontre son certificat de naissance. La législation indienne prévoit qu’un mineur d’âge compris entre 16 et 18 ans puisse être, dans le cas où il serait condamné pour un crime, détenu dans une maison de correction pour trois ans au plus avant d’être placé en liberté surveillée. Toutefois, la loi prévoit qu’un mineur ne peut être détenu dans ce type de structure rééducative au-delà de son 18ème anniversaire et qu’il ne peut par la suite être de nouveau jugé, condamné ou placé en détention. Selon cette norme, le jeune inculpé pourrait purger quelques mois de peine avant d’être relâché dès qu’il sera majeur, à savoir le 4 juin prochain.

    Le Père Nithiya Sagayam, OFM Cap, Directeur du Franciscan Peace Centre sis dans l’Etat du Tamil Nadu et Secrétaire exécutif du Bureau pour le Développement humain de la Fédération des Conférences épiscopales d’Asie (FABC) commente ce fait à l’Agence Fides : « Si le jeune a commis des crimes si graves, tels que le viol et l’homicide, comment le fait de le remettre en liberté peut-il constituer une solution ? Il s’agit d’un problème sérieux pour le pays, d’une question qui doit être soulevée de manière urgente en ce qu’elle concerne la légalité et l’impunité. Il faut urgemment se demander : qui peut-on considérer mineur ? Un jeune homme qui viole et tue peut-il être considéré tel ? Le jeune en question a une responsabilité civile et pénale évidente ». L’autre question, remarque le Père Sagayam, est que « les mineurs en Inde sont exposés à une culture, servie par les moyens de communication de masse, qui propage violence et sexe : ceci ne protège pas leur développement psychophysique et augmente la diffusion des crimes au sein de la société ». (PA) (Agence Fides 29/01/2013)

  • Quand Civitas organise une prière devant l'Assemblée Nationale...

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    ...cela donne ceci : huffingtonpost.fr/

    Comme le faisait remarquer un blogueur, il est surprenant que la prière soit présentée comme "une arme". Faut-il mélanger prière et manifestation ? Faut-il risquer qu'intentions de prière et slogans se confondent ? Faut-il exposer Dieu, la Vierge, les saints à l'incompréhension, au dénigrement, à la dérision, voire à la haine d'un public mal disposé ?

    Malaise.

  • Gay gay marions-nous : Madame Jospin prête à manifester contre le mariage homo

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    Contrastant avec l'attitude déplacée de la "compagne" du Président, l'épouse de Lionel Jospin, Sylviane Agacinski se dit prête à manifester contre le mariage homo (sur le Lab - Europe 1) :

    Opposée à l'ouverture du mariage et de l'adoption aux couples de même sexe, Sylviane Agacinski, philosophe et épouse de Lionel Jospin, se dit prête à aller dans battre le pavé si nouvelle manifestation il y avait.


    C'est la teneur des propos qu'elle a tenus au micro de Jean-Michel Aphatie sur RTL ce mardi 29 janvier, à l'heure où le projet de loi mariage homosexuel s'apprête à être débattu à l'Assemblée nationale.


    Quand le journaliste lui demande si elle est prête à descendre dans la rue, Sylviane Agacinski répond : "Absolument !" Et de poursuivre, relancée par Jean-Michel Aphatie : ... lire ici


    Voir également la video : Sylviane-Agacinski-Mariage-le-gouvernement-s-est-fourvoye

    Sylviane Agacinski, philosophe et femme de Lionel Jospin, regrette le manque de courage des élus de gauche "sceptiques" sur le projet de loi Taubira. Pour elle, le gouvernement "méprise le droit des enfants". Les relations entre parents changent aujourd'hui, mais la relation entre la mère, le père et l'enfant, elle, est irrévocable. Elle doit être protégée. La philosophe est favorable à la reconnaissance civile du lien entre homosexuels, mais hostile à sa confusion avec le mariage. Elle était interrogée le 25 janvier sur Europe 1 par Nicolas Poincaré.

  • Résister, oui; se replier, non

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    L’éditorial de Monseigneur Dominique Rey publié dans le mensuel diocésain Eglise de Fréjus-Toulon n° 170 - février 2013 :


    « On doit considérer comme désormais dépassé, même dans les pays d’ancienne évangélisation, la situation d’une société chrétienne qui se réfèrerait explicitement aux valeurs évangéliques », disait déjà Jean-Paul II. L’Eglise ne se trouve plus dans une posture englobante de la société. On assiste à l’effacement programmé du christianisme et à la multiplication des transgressions éthiques et anthropologiques qui fissurent le socle sociétal hérité du judéo christianisme. 

    Face à ces dérives mortifères, les chrétiens ne peuvent pas appliquer leur raison d’être, renier « l’abrupt de la foi » (Guy Coq), perdre la conscience de la différence chrétienne. Mais comment assumer aujourd’hui la rupture évangélique sans s’isoler du monde ? Comment être chrétien « dans le monde » sans être « du monde » ? Comment ne pas sombrer, d’un côté dans le repli identitaire et communautariste en s’érigeant en contre culture et d’un autre côté, subir la dévitalisation du christianisme, parfois jusqu’à son éradication, quand il veut se coller aux attentes du monde ?

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