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Témoignages - Page 299

  • Michelle Martin et les Clarisses

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    De Christian Laporte dans « La Libre » :

    « Franciscain : "Sache, mon frère bien-aimé que la courtoisie est une des qualités de Dieu qui donne son soleil et sa pluie aux justes et aux injustes, par courtoisie, et la courtoisie est sœur de la charité, elle éteint la haine et conserve l’amour". Cet extrait des "Fioretti" (Petites fleurs) de François d’Assise explique le choix des Clarisses pour l’accueil de Michelle Martin au couvent des disciples de Ste-Claire sur la colline du Tombois à Malonne.

    C’est encore plus évident selon la "Vision - Mission de la famille franciscaine belge" : "suivant ce modèle, la famille franciscaine veut œuvrer au XXIe siècle pour la fraternité entre les personnes, les cultures, les religions et les groupes, en privilégiant le respect du frère et de la sœur dans l’accueil, le dialogue, la défense du plus vulnérable ou du plus méprisé".

    Certes les Clarisses, ce ne sont pas les Dominicaines de Béthanie qui ont toujours eu une politique d’accueil d’anciennes détenues et dont le fondateur le P. Jean-Joseph Lata ste, op a été béatifié le 3 juin à Besançon. Les Sœurs pauvres, selon l’expression de Claire d’Assise ont, elles, opté pour une vie contemplative qui lie pauvreté et fraternité. On compte 17 000 Clarisses dans le monde, réparties en 700 monastères. En Belgique, outre le couvent de Malonne fondé en 1903 après l’expulsion de St-Omer d’un couvent de Clarisses suite aux mesures virulemment anticléricales du "Petit père Combes", il y a encore une (petite) communauté au Chant d’Oiseau à Woluwe-St-Pierre (3 religieuses) et pas moins de 13 lieux d’accueil au nord du pays ! »

    Ici : "La courtoisie éteint la haine"

  • Ce n'est pas en fournissant des armes que la démocratie arrivera en Syrie

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    Mgr Jeanbart : « Ce n’est pas en fournissant des armes que la démocratie arrivera en Syrie »

    Source : Aide à l'Eglise en Détresse (AED-France), le 27 juillet 2012

    « Ce n’est pas en fournissant des armes que la démocratie arrivera en Syrie ». Ainsi s’est exprimé Mgr Jean-Clément Jeanbart, archevêque d’Alep des gréco-catholiques, à l’issue d’une réunion des évêques catholiques de Syrie ayant eu lieu le 26 juillet 2012.

    Marc Fromager, directeur de l’AED, s’exprime sur la question : « Que le régime de Bachar al-Assad soit dictatorial, tout le monde s’accorde à le dire, même les Russes et les Chinois. Mais la question qui demeure reste de savoir quel est le meilleur scénario pour l’avenir du peuple syrien: des reformes politiques conduites progressivement avec des observateurs internationaux ou le chaos institutionnalisé sur fond de violence extrême? Or, l’unique version matraquée par les médias occidentaux, et particulièrement français, consiste en un parti pris absolu et définitif pour l’ASL (Armée Syrienne Libre), malgré les débordements de l’insurrection populaire et son infiltration par des bandes armées, le tout aux cris de « Allah Akbar », ce qui ne semble choquer personne en Occident. Est-ce vraiment la démocratie qui les mobilise ? Quels gages donnent-ils pour le respect des minorités, quelles qu’elles soient (druzes, alaouites, chrétiens, yazidis) ?»

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  • Une jeune saoudienne convertie au christianisme se réfugie au Liban

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    Une Saoudienne convertie au christianisme aurait trouvé refuge au Liban

    source : http://www.lorientlejour.com

    Les autorités saoudiennes ont arrêté mardi un ressortissant libanais et un Saoudien dans la ville de Khobar pour avoir aidé une jeune Saoudienne à se convertir au christianisme, rapporte le site d’information saoudien Sabak.

    Les deux suspects ont ensuite été relâchés sous caution hier, précise encore le site. Le ressortissant libanais serait toutefois interdit de quitter le territoire saoudien, toujours selon Sabak. Le Saoudien et le Libanais sont accusés d’avoir aidé la jeune fille de 28 ans à fuir le royaume vers le Bahreïn puis le Liban où elle aurait trouvé refuge dans une église », affirme le site, citant les parents de la Saoudienne. Cette dernière aurait rencontré les deux hommes dans la compagnie où elle travaille à Khobar.

    Rappelons que l’Arabie saoudite applique une version rigoriste de l’islam et interdit sur son sol tout autre pratique religieuse

  • Le français Rémi Brague recevra le « Prix Ratzinger » pendant le prochain synode sur la nouvelle évangélisation

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    C’est Sandro Magister qui l’annonce sur le site « Chiesa » :

    CITÉ DU VATICAN, le 27 juillet 2012 – La désignation des destinataires de la seconde édition du “Prix Ratzinger”, créé par la Fondation Vaticane Joseph Ratzinger-Benoît XVI, est attendue avec impatience.

    Le prix sera remis par Benoît XVI le 20 octobre prochain, au cours du synode des évêques consacré à la "nouvelle évangélisation".

    Les noms des lauréats – que nous donnons plus bas en avant-première – ont été choisis par un comité scientifique présidé par le cardinal Camillo Ruini (vicaire général émérite de Rome et ancien président de la conférence des évêques d’Italie) et dont font partie les cardinaux italiens Tarcisio Bertone (salésien, secrétaire d’état) et Angelo Amato (salésien, préfet de la congrégation des causes des saints), ainsi que les archevêques Jean-Louis Bruguès (dominicain français, archiviste et bibliothécaire de la Sainte Église Romaine) et Francisco Ladaria Ferrer (jésuite espagnol, secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi).(…)

    Ce dernier a expliqué, lors d’une interview accordée à Radio Vatican, que le "Prix Ratzinger" avait été institué par la Fondation "afin de stimuler la réflexion théologique surtout dans les domaines les plus étudiés par Joseph Ratzinger en tant que théologien, cardinal et maintenant pape : le domaine de la théologie fondamentale, le domaine de l’histoire de la théologie, tout spécialement celle de la théologie patristique, le domaine de l’exégèse biblique, mais également la théologie dogmatique".

    L’archevêque Ladaria a également indiqué quels étaient les critères utilisés pour sélectionner les candidats : "Le comité scientifique s’efforce de tenir compte de divers facteurs : avant tout, la rigueur théologique et la profondeur scientifique des candidats possibles". De plus, "on cherche à avoir également une variété de langues, de cultures, pour éviter que les prix n’aillent pas à des théologiens qui soient tous de langue anglaise, par exemple, ou tous de langue italienne", afin d’assurer "un équilibre entre les grandes langues du monde, entre les grands groupes catholiques du monde, de telle sorte que – dans la mesure du possible, même si ce n’est pas toujours facile – tout le monde puisse se sentir représenté".

    Et en effet – a rappelé Ladaria – "l’année dernière il y a eu un Italien, un Espagnol et un Allemand", à savoir le professeur Manlio Simonetti, le père Olegario Gonzalez de Cardedal et le père cistercien Maximilian Heim.Tandis que cette année – a-t-il ajouté – "il y aura un Français et un Américain du Nord".

    Le secrétaire de la congrégation pour la doctrine de la foi n’a pas donné les noms des futurs lauréats, sur lesquels plane jusqu’à présent un silence officiel.

    Mais le Français à qui sera remis ce que l’on a appelé – avec exagération – le “Prix Nobel de théologie” est le philosophe Rémi Brague. Tandis que l’Américain du Nord est Brian E. Daley, spécialiste de la patrologie.

    Brague est professeur de philosophie grecque, romaine et arabe à la Sorbonne, à Paris, et à la Ludwig-Maximilian Universität, à Munich. C’est un universitaire polyglotte à la très vaste production scientifique. Mais il se montre également très combatif dans les polémiques actuelles, contre les axiomes "politiquement corrects", qu’ils soient progressistes ou "théo-conservateurs". (…) Par exemple dans cette interview accordée en 2004 à "30 Jours" :Chrétiens et "christianistes".

    Daley, jésuite, est, quant à lui, un spécialiste des Pères de della Chiesa. Il enseigne à la Notre-Dame University, dans l'Indiana, et est consulting editor de l'édition en anglais de la revue "Communio", dont Ratzinger est l’un des cofondateurs.En 2003 il a publié dans la revue progressiste "America", appartenant aux jésuites de New-York, un article à contre-courant, dans lequel il valorisait la pratique de l'adoration eucharistique

    (…) Comme déjà lors de la précédente édition du "Prix Ratzinger", l’un des lauréats donnera, cette fois encore, une "lectio" en présence du pape, dans la Salle Clémentine du Palais Apostolique. Mais il est prévu que Benoît XVI lui-même prenne la parole. Comme il l’avait fait le 30 juin 2011, avec la mémorable allocution, indiscutablement rédigée en totalité par lui (…)".

    Tout l’article ici : Ceux qui vont recevoir le Nobel de théologie

  • Des martyrs très contemporains

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    Le 27 juillet 852, deux couples, Nathalie et son mari Aurèle, Félix et sa femme Liliane, accusés d’avoir renié l’Islam sont exécutés sur ordre du calife Abderrahman II. Cette histoire ne manque pas de concordance avec l'époque actuelle.

    L’émirat de Cordoue (756-1031) en Andalousie est souvent décrit comme un symbole de la tolérance entre Musulmans, Chrétiens et Juifs. Les relations étaient souvent bonnes mais à condition que les Chrétiens acceptent leurs positions de dhimmis ou protégés, qu’ils n’épousent pas de musulmanes, et surtout qu’ils ne renient pas l’Islam s’ils avaient à un moment ou l’autre changé de religion.

    Les dhimmis étaient 'protégés' moyennant l'acquittement d'un lourd impôt de capitation (jizya), d'un impôt foncier (kharâj), d'une certaine incapacité juridique et du respect de certaines règles édictées dans un "pacte" conclu avec les autorités. Ils ont une liberté de culte restreinte (interdiction de construire de nouveaux lieux de culte ou l'interdiction du prosélytisme)...

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  • La victoire de Chiara

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    Chiara Birilli, trisomique, et maître ès économie et commerce

    Une "victoire de la civilisation"

    ZENIT.org - Antonio Gaspari - Traduction d’Hélène Ginabat

    Faire en sorte que « le handicap ne soit pas une différence », accueillir tout le monde pour que « tous puissent atteindre les mêmes résultats » : c’est l’objectif atteint par l’université de Cassino, en Italie. Pour le recteur de cet établissement universitaire, Ciro Attaianese, c’est une marque de civilisation.

    Chiara Birilli, une jeune fille de 26 ans atteinte de trisomie 21, a passé sa maitrise d’économie et de commerce à l’université de Cassino, jeudi dernier, 19 juillet.
    C’est une belle et grande nouvelle, parce que Chiara a montré au monde que la diversité enrichit l’humanité et qu’il est vrai que les personnes trisomiques ne sont pas moins intelligentes. Chiara a brillamment défendu son mémoire sur  :« La valeur du positionnement correct d’une marque dans le temps : les cas de Coca Cola et de Nutella ».

    Avec une note de quatre-vingt sur cent, elle fait partie des premières personnes atteintes de trisomie 21, en Italie, qui obtiennent une maîtrise. Le professeur Raffaele Trequattrini, président de la Commission, a dit que « son travail a été très apprécié ». Son directeur de maîtrise, le M. Marcello Sansone a parlé d’un « mémoire très intéressant ; elle a produit un travail de qualité d’un profil très élevé ». Le recteur de l’université, Ciro Attaianese, a souligné au quotidien « Il Messaggero » : « Notre université s’est distinguée depuis toujours et s’efforce de faire en sorte que le handicap ne soient pas une différence. Nous essayons d’aller au devant de tout le monde afin que tous puissent atteindre les mêmes résultats. C’est un aspect des grandes civilisations ».

    Les media locaux rapportent cet événement un grand enthousiasme. Chiara Birilli, de son côté, a expliqué qu’elle avait dédié son mémoire à sa famille : « A mes parents, à ma sœur, à mes grands-parents et surtout à ceux de mes grands-parents qui sont déjà morts car, étant donné qu’ils ne sont plus parmi nous, je les ai sentis encore plus proches ».

    Lucia, sa mère, a dit au « Messaggero » : « Elle a été très bonne. J’avais la gorge nouée pendant qu’elle parlait. Nous nous sommes beaucoup battus, mais maintenant, ce que je désire et qu’elle puisse continuer sur sa lancée ». Son père, Alfredo, a raconté que la veille de la soutenance, « la route qui mène à Cassino n’avait jamais semblé aussi longue, j’avais l’estomac noué et aucune parole ne sortait de ma bouche ». « Le trajet semblait très long, a-t-il poursuivi, quand nous sommes partis, nous étions extrêmement émus mais maintenant, nous sommes tellement heureux ; c’est la journée de Chiara, c’est sa victoire, et je souhaite que ce soit un grand point de départ ». La grand-mère, Concetta, qui a aussi assisté à la soutenance, a déclaré avec fierté : « C’est ma petite-fille ; j’ai toujours été contente qu’elle décide d’étudier et quand ma fille m’a dit que le jour de la maîtrise était arrivé, j’étais aux anges ; ma petite-fille est forte, elle ira loin ».

  • Syrie : une religieuse témoigne

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    ASIE/SYRIE - Témoignage d'une religieuse de Damas : « Nous prions pour que tout finisse, nous ne faisons pas confiance à la révolution » (Agence Fides)

    Damas (Agence Fides) - Les évacués continuent à frapper à la porte du Sanctuaire de Tabbaleh, dédié à la Conversion de Saint Paul, à Damas. Les frères franciscains de la Custodie de Terre Sainte et les Soeurs franciscaines missionnaires du Coeur Immaculé de Marie, qui gèrent l'église, ont accueilli de manière stable huit familles et assurent la subsistance de 45 autres, chrétiennes et musulmanes. Il s'agit d'évacués de Damas, de civils victimes des affrontements entre l'armée régulière et les groupes révolutionnaires qui, au cours des derniers jours, ont mis la ville à feu et à sang.

    « Nous cheminons dans l'espérance et nous cherchons à les consoler tous, en ces heures tragiques » déclare à Fides le Frère Romualdo Fernandez OFM, Recteur du Sanctuaire, indiquant qu'une foule de personnes vient chaque jour prier à l'église et que des cénacles spontanés de chrétiens et de musulmans prient ensemble pour la paix et demandent la protection de Dieu et de la Vierge Marie ».

    Soeur Yola, l'une des religieuses franciscaines qui aident chaque jour les familles des évacués raconte à Fides : « Nous faisons de notre mieux pour aider les familles des évacués. Les gens pleurent et espèrent des jours meilleurs. Le coût de la vie est très élevé. On ne trouve plus de médicaments. L'impact de l'embargo que nous subissons se répercute entièrement sur la population civile et sur les plus pauvres. Nous espérons et nous prions afin que cette souffrance finisse rapidement. Nous ne faisons aucune confiance aux prétendus révolutionnaires. Quels sont les révolutionnaires qui font du mal au peuple ? Ils ont fait du mal à tous, chrétiens et musulmans. De nombreuses familles ont tout perdu ».

    « La religion- poursuit la religieuse - n'a rien à voir avec ces actions armées et cette souffrance. Nous avons toujours vécu côte à côte avec les musulmans et nous continuerons à le faire. Le gouvernement syrien a jusqu'ici été laïc, il a garanti à la Syrie sécurité et stabilité. Aujourd'hui, nous vivons seulement dans le désordre, l'insécurité, le chaos et la souffrance. Et qu'en sera-t-il demain ? Mais nous savons, en tant que chrétiens, que Dieu nous protège et notre espérance est vivante. Et, en tant que chrétiens, nous avons une certitude : nous n'abandonnerons jamais la Syrie ». (PA) (Agence Fides 21/07/2012)

  • avec "F", comme fierté...

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     media_xl_3678552.jpgLa fierté, un sentiment qui, en dehors des cercles sportifs, fait aujourd’hui cruellement défaut et dont l’absence participe au désenchantement de nos sociétés en déclin.

    Dois-je vous avouer, sans honte, que j’ai pourtant renoué avec elle, hier, 21 juillet ? L’espace d’un instant, je me suis senti fier et heureux. C’était à la cathédrale de Liège où s’était rassemblée une foule fervente pour y célébrer la Fête nationale.

    Oubliées les frasques d’un prince pour ne voir en lui que le représentant, sympathique, d’une famille royale aimée, oubliées les considérations mesquines et partisanes pour ne voir dans les premiers rangs de l’assemblée que les dignes représentants du bon peuple et de ses corps constitués, temporairement oubliés aussi nos griefs contre les pasteurs qui sont aujourd’hui l’évêque et le chapitre de cette vénérable cathédrale, comme sont oubliés également le nouvel ameublement liturgique de style IKEA - ou ces tristes ornements de toile écrue - pour succomber aux charmes de ce beau gothique flamboyant…

    Les esprits désabusés évoqueront tout ce qui porte à sourire en ces circonstances mais on ne leur emboitera pas le pas, nous réjouissant de la qualité de cette cérémonie et des prestations musicales qui l'ont accompagnée. Joëlle Sauvenière est une organiste hors pair, la chorale de Sainte-Julienne (Verviers) a été remarquable, et la Cité Ardente n'a pas à rougir de cette manifestation.

    Pour ma part, j'ai simplement goûté le bonheur d’être là avec ce sentiment d’un ordre harmonieux rétabli le temps d'une éclaircie. Harmonie du temporel et du spirituel, du présent et du passé, du solennel et du spontané, de la joie et de la gravité, de la grandeur et du familier… Les chants du Te Deum et de la Brabançonne ont gentiment chatouillé ma fibre religieuse et patriotique, réveillant tant de souvenirs, mais surtout, j’insiste, cette fierté que l'on n'inculque plus aux générations nouvelles qui souffrent d'un réel déficit identitaire.

  • Une session au coeur de la Belgique, dans le Coeur de Jésus

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    Le Renouveau vous invite, nous relayons :

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    La session va bientôt commencer à Koekelberg!

     Vous êtes tous bienvenus, même si vous n'êtes pas inscrits...

    Vous pouvez passer une matinée, une après-midi, une soirée avec nous.

    GRAND PARKING GRATUIT  (1000 places) autour de la Basilique.

    Session au coeur de la Belgique

    Dans le coeur de Jésus

    Depuis si longtemps, le Seigneur nous presse à aller sur les places, dans les carrefours, dans les villes pour annoncer sa Parole !

    Cette année, nous voulons répondre à cet appel.

    En même temps, il nous invite au repos et à la paix. 

    Il désire faire jaillir au sein de la basilique dédiée à son coeur sacré une fontaine de pardon et de guérison.

    Que tous ceux qui désirent rencontrer l'Amour, viennent s'y plonger.

    Viens...

     Voici ce coeur qui a tant aimé le monde !

    Session renouveau A.S.B.L. 

    cliquer ici pour accéder au site

  • Un témoin comme il nous en faudrait beaucoup...

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    Un pasteur qui a suscité de nombreuses vocations sacerdotales et qui a réorienté opportunément le Conseil pontifical "Justice et Paix" :

    Source : ZENIT.org / Anne Kurian

    Dix ans après le décès du cardinal Van Thuân, M. Waldery Hilgeman, postulateur de sa cause de béatification, fait le point pour Zenit sur la phase diocésaine du procès, promue par le Conseil pontifical « Justice et paix » et ouverte depuis le 22 octobre 2010 (cf. Zenit du 24 octobre 2010). Des propos recueillis par José Antonio Varela Vidal.

    Le cardinal vietnamien François-Xavier Nguyên Van Thuân, décédé à Rome à l'âge de 74 ans, en 2002, a été vice-président du Conseil pontifical « Justice et Paix » de 1994 à 1998 puis président de 1998 à 2002.

    Avant d’être accueilli à Rome en 1991 par Jean-Paul II, le cardinal a été évêque auxiliaire à Ho Chi Min Ville (Saïgon), où il a été arrêté par le régime communiste et a passé 13 ans en prison, de 1975 à 1988, sans aucun procès.

    Le procès de béatification ayant été ouvert dans le diocèse de Rome, il se déroule au tribunal du vicariat de Rome. Etant donné que le cardinal a « beaucoup voyagé », sur tous les continents, le travail est « immense », affirme Waldery Hilgeman en évoquant les nombreux déplacements de l’enquête : en Australie, aux Etats-Unis, en Allemagne, en France.

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  • Sauve qui peut à Damas

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    Sur le site du diocèse de Lyon, nous trouvons une lettre émouvante au sujet de la situation tragique à Damas. Mais ici, ce qui nous préoccupe, c'est le temps qu'il fait...

    "A notre tour de souffrir et de mourir"

    Mgr Samir Nassar, évêque maronite de Damas, grand ami du diocèse de Lyon, nous donne des nouvelles tragiques de ce qui se passe à Damas. Le cardinal Barbarin, archevêque de Lyon, le recommande, lui est les siens, à la prière de tous. Sa lettre ci dessous.

    Chères amies,

    Chers amis,

    Je vous écris tant que je vis et tant que l’accès à l’Internet reste possible...
    Depuis mardi 17 juillet 2012 matin, les combats gagnent la capitale Damas, utilisant les armes lourdes, chars et hélicoptères dans une ville surpeuplée. Les destructions sont énormes. Quel calvaire !

    Les affrontements se déroulent dans les rues et passent d’un quartier à l’autre. Impossible de dormir avec la peur et au son des bombes et des tirs de canons. Les températures d’été de 42’ à 56’ et les coupures de courant sont assommantes.

    Damas coupée du reste de la Syrie accuse des pénuries multiples. Les ravitaillements n’arrivent plus. Nous sommes à court de pain, de légumes, de vivre, de gaz domestique et du fuel pour les boulangeries...

    Sauve qui peut... Les familles quittent en grand nombre les quartiers chauds pour constituer un fil interminable sur la route du Liban. Les autres routes de Jordanie, d’Irak et du nord vers Homs-Alep sont fermées.
    L’exode vers le Liban se fait dans une panique générale. J’espère qu’ils y trouveront l’accueil convenable... Car les Syriens ont si bien accueilli les réfugiés Palestiniens, Libanais et Irakiens...

    Le peu de fidèles qui ont osé venir chercher du courage à la Messe ont brûlé beaucoup de cierges devant la tombe des Bienheureux Martyrs de Damas. Ils ont échangé des adieux et des larmes avant de rentrer en courant chez eux au son des tirs et des explosions...

    Damas fut épargnée depuis 16 mois des violences qui déchiraient les autres villes de Syrie…
    A notre tour de souffrir et de mourir.
    Nous venons d’aménager un coin sous l’escalier pour s’abriter avec les voisins des obus, les caveaux de la paroisse viennent d’être nettoyés...
    Pourvu que la Résurrection ne soit tardée après tant de souffrance....

    Damas le 20 Juillet 2012 + Samir NASSAR Archevêque Maronite de Damas

    Effectivement, en lisant cette dépêche de l'Agence Fides, on se rend compte combien la situation est dramatique :

    ASIE/SYRIE - Appel de Damas : « Evacuons les civils - Non aux vengeances sectaires »

    Damas (Agence Fides) - « Il faut urgemment protéger les civils. Le danger est grand que s'ouvre une époque de vengeances et que les civils de Damas soient traités comme des traîtres pour ne pas avoir pris une part active à la révolution » : c'est l'alarme qui

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  • Bressoux : un loyalisme émouvant

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    Un communiqué du Conseil de quartier de Bressoux Droixhe :

    Cérémonies d’Hommage à l’occasion du 19ème Anniversaire du décès de Sa Majesté le Roi Baudouin

    Les marques d’affection et de sympathie avaient été nombreuses à Bressoux Droixhe lors du décès de Sa Majesté le Roi Baudouin.  Deux jours après l’annonce de la triste nouvelle, le Conseil de quartier faisait imprimer des photos du défunt souverain afin que les habitants du quartier qui le souhaitaient puissent les placer à leur fenêtre en hommage silencieux.   En deux jours, 1600 demandes furent enregistrées -c’est dire l’émotion des bressoutois-.

    Quelques jours plus tard, les habitants et personnes âgées du quartier qui ne pouvaient se déplacer à Bruxelles avaient la possibilité de signer le livre de condoléances ouvert dans le quartier.

    Fidèle au souvenir du défunt Roi Baudouin, et à l’occasion du 19e anniversaire de sa disparition, le Conseil de quartier de Bressoux Droixhe organise le jeudi mardi 31 juillet 2012, dès 17H00, des cérémonies commémoratives.  D’abord, un Office Religieux sera célébré en l’église N.D. du Saint Rosaire, rue Foidart. Ensuite suivra un dépôt de fleurs à la stèle commémorative, place de la Résistance par le Représentant du Ministre de la Défense Pieter De Crem et Patrice Lempereur, Président du Conseil de quartier, en présence des Associations Patriotiques.

    A l'issue de cette cérémonie, un vin d'honneur sera offert par la Ville de Liège.

    La Reine Fabiola vient de faire savoir au Président du Conseil de quartier de Bressoux Droixhe « qu’Elle venait d’apprendre avec émotion que le quartier organisait à nouveau une cérémonie d’hommage ». Sa Majesté s’y associera en pensées.  Elle a fait part de ses sincères remerciements pour ce nouveau témoignage de fidèle et affectueux attachement  des Bressoutois à leur défunt Souverain.  « Le 31 juillet prochain, la Reine Fabiola sera avec vous en union de prière » déclare le Conseiller à la Maison de la Reine Fabiola.

    Bressoux fut le premier quartier de Belgique à avoir inauguré, une plaque commémorative et un Monument à la Mémoire du Roi Baudouin. C’était en 1993, le 7 septembre 93, jour de la naissance du Roi Baudouin.

    Cette initiative avait aussi touché la Reine Paola et le Roi Albert II et l'ensemble de la famille Royale.

    Conseil de quartier de Bressoux Droixhe

    Rue Général de Gaulle, 117 - 4020 BRESSOUX (Liège)

    Tél : 0477 / 87.12.63 - Skyblog : www.bressouxdroixhe.skyblog.com