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Témoignages - Page 315

  • Pie XII aurait sauvé des juifs sous l'habit franciscain

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    Dans "la matinale chrétienne" de ce 9 novembre, Natalia Trouiller rapporte ce nouveau témoignage en faveur de l'action de Pie XII pour porter secours à la communauté juive :

    "C'est ce qu'affirme Gary Krupp, un juif new-yorkais fondateur de Pave the Way, une fondation de recherche historique qui veut réhabiliter Pie XII, pontife dont une légende tenace en Occident affirme qu'il n'a jamais rien fait pour tenter de sauver les juifs de la barbarie nazie. Il s'appuie sur la lettre d'une femme vivant dans le nord de l'Italie, qui raconte comment, avec son oncle, sa mère et quelques autres membres de sa famille elle a été reçue en audience par le pape. "Son oncle a immédiatement regardé le pape et lui a dit: 'vous étiez habillé en franciscain', puis regardant le secrétaire d'Etat Mgr Montini (futur Paul VI): 'et vous en simple prêtre. Vous m'avez sorti du ghetto et conduit au Vatican'. Montini a immédiatement dit: 'Silence, ne parlez jamais de cette histoire'". Sur son site internet, la fondation Pave the Way a mis en ligne plus de 46.000 pages de documentation qui accrédite la thèse de l'historien juif Pinchas Lapide, selon lequel les actions directes de Pie XII et du Vatican auraient permis de sauver 897.000 juifs pendant la guerre."

  • Destructeur, l'amour du "Metal" ?

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    "Il y a 6 ans je me suis converti à la religion catholique et j'ai pris conscience de la violence de la haine qu'inspiraient certains groupes de Métal. Ils sont capable juste avec leurs musique de détruire un jeune non-averti en le plongeant dans une culture de mort, et le mener petit à petit vers la pornographie, les drogues, la perversion, la dépression, la haine de l'autre, le suicide...

    J'ai baigné dans cette culture pendant des années et j'ai été détruit au plus profond de mon être. Le souvenir de cette souffrance est encore présent en moi et on n'imagine pas à quel point l'amour du Métal peut être destructeur. On ne voit pas la chose venir et un jour la destruction est si complète qu'il ne reste que le suicide. La foi catholique et ma conversion m'ont permis de sortir de cet engrenage et de tout reconstruire.

    Aujourd'hui, je suis marié, j'ai deux enfants de 1 et 2 ans et je travaille comme Ingénieur."

    Ce témoignage, reproduit par "le Barde" ici, suscite de graves questions au sujet de certaines formes de "culture jeune". Il figure dans la conclusion d'une réflexion menée en dix étapes et dont on trouvera le "fil" ici : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.html

  • Assise. Il y en qui n'ont toujours pas compris

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    a-assise-le-pape-denonce-le-terrorisme-religieux.jpgC’est à notre excellente consoeur de Benoît et moi que nous devons la traduction d’un article de réflexion de Massimo Introvigne à propos de la dernière rencontre d’Assise, voulue par le Saint-Père. Source :

    http://benoit-et-moi.fr/2011-III/0455009f700cc020c/0455009f8f08b7c01.html

     Recevant au Vatican les participants à la rencontre d'Assise, le Pape, le 28 Octobre, a encore eu l'occasion de clarifier la signification de l'événement.

    A en croire les vaticanistes, Benoît XVI lit quotidiennement une revue de presse, et s'il l'a fait après Assise, il doit avoir été plutôt déprimé. Il y a beaucoup d'exceptions louables, mais un certain type de presse - faisant partie d'un circuit où tout le monde connaît tout le monde, de la «Repubblica» au «New York Times» - a souligné presque exclusivement la «honte» exprimée par le Pape pour la contribution que les chrétiens eux aussi ont parfois apportée dans l'histoire à l'usage de la violence justifiée par la religion.

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  • Castellucci : un "malentendu épouvantable" ?

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    De la pesanteur à la grâce : compte-rendu de Sur le concept du visage du fils de Dieu

    Tribune libre de Myriam Picard* pour Nouvelles de France

    "J’ai 26 ans, je suis catholique et je sors du Théâtre de la Ville.

    J’en sors troublée, infiniment. J’ai pris une claque dans la gueule. Pas une claque de génie, non. Castellucci n’est ni Claudel ni Dostoïevsky. Il se contente de mettre sous nos yeux une scène, une scène infiniment banale et brutale, quotidienne, atrocement classique et sordide : un fils s’occupe de son père qui se souillera trois fois. C’est tout. Le texte ? Rien du tout, un échange basique qu’un adolescent rédigerait aisément. Le seul intérêt de la pièce : le visage du Christ s’y trouve en permanence, interrogation et réponse silencieuse dans ce face à face du vieillard qui se venge sur Dieu de sa déchéance, et de ce Christ qui porte les stigmates, sur son visage, du péché de cet homme. Merde ou crachats, peu importe : le Christ endosse ce désespoir et cette solitude et prévaut du début à la fin de la pièce..."

    Lire la suite ici : http://www.ndf.fr/

  • Monseigneur Rey, un évêque entreprenant et atypique

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    Nous trouvons ici ces extraits d'un article de l'Homme Nouveau consacré à l'évêque de Fréjus-Toulon :

    "L’Homme Nouveau a tracé un portrait de Mgr Dominique Rey, évêque actuel du diocèse de Fréjus-Toulon, qui pourrait être nommé prochainement à un poste plus prestigieux :

     Mgr Rey est né à Saint-Étienne en 1952. Il a fait des études très pointues de fiscalité et d’économie (maîtrise en économie politique, doctorat en économie fiscale), et a été inspecteur des finances durant trois ans. II s’est alors orienté vers le sacerdoce et est entré au séminaire de Paris, comme membre de la Communauté de l’Emmanuel, au cours de ce qu’il est convenu de qualifier « les années de plomb ». C’est le couvent des dominicains de la rue du Faubourg-Saint-Honoré qui l’a accueilli, avec d’autres séminaristes de même « profil ». Il obtint une licence de théologie et un diplôme en droit canonique (il obtiendra plus tard un doctorat en Droit canonique) à l’Institut catholique de Paris, et a été ordonné en 1984 par le cardinal Lustiger, pour le diocèse de Paris. D’abord aumônier à Stan (le lycée Stanislas, rue Notre-Dame-des-Champs), il devint ensuite vicaire à Sainte-Marie-des-Batignolles. Puis il quitta Paris de 1986 à 1988, pour devenir supérieur des chapelains de Paray-le-Monial, sanctuaire confié à sa Communauté. Il est ensuite rappelé à Paris, pour devenir curé de la très vivante paroisse de La Trinité, elle aussi confiée à l’Emmanuel, de 1995 à 2000.

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  • Un hommage rendu à une religieuse belge qui a caché de nombreux enfants juifs

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    C'est sur info.catho.be :

    Le 3 novembre prochain, au Mémorial Yad Vashem de Jérusalem, la Médaille des Justes sera remise aux Sœurs du Saint-Cœur de Marie de La Hulpe, en mémoire de Mère Marie-Véronique Smeerts, la supérieure générale qui, durant la Deuxième guerre mondiale, n’hésita pas, dès 1941, à cacher de nombreuses enfants juifs au Pensionnat de Malaise-Overijse.

    Lire la suite ici : http://info.catho.be/2011/10/26/la-medaille-des-justes-attribuee-a-mere-marie-veronique-smeerts/

     

  • De la mort à la Vie

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    tombeau_vide.jpgLa fête de la Toussaint est celle de toutes les âmes sanctifiées qu’après la mort Jésus récapitule en Lui, jusqu’à ce que viennent les cieux nouveaux et la terre nouvelle du monde eschatologique: à la célébration de cette foi est aussi intimement liée la commémoration des défunts qui a lieu le lendemain.

    Comment accueillir ce mystère de la mort qui frappe toutes les formes éphémères de ce monde? Le site du magazine  "la Vie" nous invite aujourd’hui à y réfléchir. (lire la suite)

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  • Pakistan : Paul Bhatti demande à la presse de se faire discrète sur le cas d'Asia Bibi

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    « Je lance un appel aux moyens de communication afin que, à partir de maintenant, ils cessent de publier des nouvelles relatives au cas d’Asia Bibi. Cela est nécessaire non pas pour cacher la vérité ou faire taire les organes d’information mais afin d’agir réellement en faveur du salut de la jeune femme, loin des projecteurs et de l’attention des groupes fondamentalistes. Je m’adresse à la conscience et à la responsabilité de tous » : tel est l’appel lancé, par l’intermédiaire de l’Agence Fides, par Paul Bhatti, frère du Ministre assassiné, Shabhaz Bhatti, et Conseiller spécial du Premier Ministre pour les affaires des Minorités religieuses.

    « Le cas d’Asia Bibi – explique Bhatti à Fides – est tragique mais ce n’est pas le seul. Il existe des centaines d’autres personnes qui souffrent suite aux abus de la loi sur le blasphème. En tant que gouvernement, nous sommes convaincus que la loi doit être amendée ou abolie. Mais il faut trouver la modalité adaptée et le bon moment pour le faire ».

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  • Le 26 octobre 1440 : l'exécution de Gilles de Rais

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    Pourquoi relever aujourd'hui cet évènement historique plutôt qu'un autre? Peut-être parce qu'il nous livre quelque chose d'intéressant sur le sentiment religieux qui environne cette exécution :

    "Gilles réitère son repentir le 26 octobre. Il se confesse et communie dans une tenue. Le jour de son exécution, à 9 heures, une foule nombreuse attend sur le parvis de la Cathédrale Saint-Pierre. Munis de cierges, parents et amis des petites victimes, paysans et inconnus sont là, taisant leur colère et leur
    désir de vengeance, faisant acte d'humilité en chantant le De Profundis. Autant de gestes classiques pour un homme ou une femme du XVème siècle.

    Le cortège est conduit par Jehan de Malestroi, suivi de Jean V, Pierre de L’Hospital, les juges puis les trois condamnés. Sur la prairie de Biesse sont dressés trois gibets et trois bûchers. La tribune est recouverte d'une draperie noire et blanche, frappée des armes de Bretagne. Y prennent place le duc, l’évêque de Nantes, le chancelier, le président de Bretagne et les Juges.

    Alors que la foule entonne des cantiques, Gilles se dirige vers le bûcher en encourageant ses deux compagnons, "leur disant qu'ils fussent forts et vertueux contre les tentations dyaboliques (…) qu'ils eussent telle ardeur et amour de Dieu (…) qu’ils ne craignissent en rien la mort (...) et qu'ils
    dévoient bien désirer estre hors de ce monde, où n'y avoit que misère, pour aller en gloire perdurable."

    Laissons Jean de Touscheronde, secrétaire de Pierre de l'Hospital, rapporter les derniers instants de l'exécution : "Gilles de Rais mourut dans ce repentir. Et avant que le feu n'eût ouvert son corps et ses entrailles, il en fut tiré et le corps fut placé dans un cercueil et porté dans l'église des Carmes de Nantes où il fut enseveli. Et aussitôt Henriet et Poitou furent pendus et brûlés, de telle sorte qu'ils furent réduits en poudre. Et ils eurent beaucoup de contrition et de regrets de leurs méfaits, et dans cette contrition et ce regret, ils persévérèrent jusqu'à la fin."

    source : http://leblogdebrunochiron.hautetfort.com/media/02/02/768545160.pdf

  • Le colloque sur " la fragilité humaine dans la société européenne contemporaine "

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    "Un très intéressant colloque s’est tenu ce 21 octobre au Parlement européen sur le thème de « la fragilité humaine dans la société européenne contemporaine». Organisé par la Fédération européenne des associations médicales catholiques, le sujet fut abordé non seulement sur un plan médical mais aussi philosophique,  économique, social et anthropologique."

    Lire la suite ici : http://info.catho.be

  • Le pape pourrait-il sauver le monde de la crise économique ?

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    ...Le pape "ne va certes pas dicter aux spécialistes des règles miraculeuses permettant d’assainir le système monétaire et financier, voire de le reconstruire. A chacun sa spécialité. La sienne, c’est de faire connaître aux hommes un être, à la fois humain et divin, qui s’est identifié à la vérité. C’est de faire connaître un livre, la Bible, qui montre comment les hommes ont pris progressivement conscience du respect qu’ils se doivent les uns aux autres comme enfants d’un même Père. Or le respect du prochain, l’amour du prochain, requièrent la recherche de la vérité. Il se trouve que le Pape actuel, Benoit XVI, a justement écrit un beau texte à ce sujet : « La charité dans la vérité ».

    Jésus, et les Papes qui lui ont été fidèles, n’ont jamais rien imposé : le respect de la liberté de l’homme est un principe pour lequel Jésus a accepté le supplice de la Croix. Mais ils proposent aux hommes une forme de changement qui vient de l’intérieur : la conversion. Le monde de la finance a besoin de se convertir."

    Cet extrait d'une note parue sur Atlantico.fr sous la plume du trés sérieux Jacques Bichot montre que l'éclairage de la doctrine sociale de l'Eglise sur l'économie mériterait d'être davantage connu et médité.

  • Rome : trois modèles de la mission canonisés ce dimanche

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    ...par Benoît XVI sur l'esplanade de la basilique Saint-Pierre

    Trois bienheureux seront proclamés saints par Benoît XVI lors d’une messe célébrée, dimanche 23 octobre, à 10h00, sur l'esplanade de la basilique Saint-Pierre à Rome, à l’occasion de la Journée missionnaire mondiale. Ce sera le point d’orgue des célébrations du « mois des missions ».

    Les trois nouveaux saints sont les italiens, Guido Maria Conforti, fondateur de la Congrégation de saint François Xavier pour les Missions étrangères, béatifié en 1964, Luigi Guanella, apôtre des pauvres et des souffrants, fondateur des Serviteurs de la Charité et des Filles de Sainte-Marie de la Providence, béatifié en 1996, et une religieuse espagnole, Bonifacia Rodriguez de Castro, fondatrice des Servantes de Saint-Joseph, béatifiée en 2003.

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