Lieu : Horion-Hozémont (4460), place du Doyenné, 24
Procession en l'honneur du Saint-Sacrement et de Notre-Dame du Mont-Carmel
10h30 : Procession
11h45 : Bénédiction finale et apéritif sur le parvis de l'église.
rue de la source - rue du Sart-Thiri.
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Lieu : Horion-Hozémont (4460), place du Doyenné, 24
Procession en l'honneur du Saint-Sacrement et de Notre-Dame du Mont-Carmel
Les archives du cardinal Gomá et la Guerre civile espagnole et le refus du nazisme par le futur pape Pie XII (Nieves San Martín -Traduction d’Océane Le Gall) sur ZENIT.org
Une collection de 13 volumes contenant des documents de la guerre civile en Espagne, tiré des archives du cardinal Isidro Gomá (1869-1940), personnage clef de l’histoire de l’Eglise en Espagne, au XXème siècle, vient d’être présenté au bureau des archives nationales de Madrid.
Une des nouveautés apparues à la lecture de ces volumes : la présence fournie de témoignages sur le refus du nazisme par le futur pape Pie XII.
« Nous ne nous attendions pas à en trouver autant », a déclaré l’historien José Andrés Gallego, un des auteurs de l’œuvre intitutlée « Archivo Gomá. Documentos de la Guerra Civil » (Archives Gomà. Documents de la Guerre Civile »).
Né à Calatayud, en 1944, le Prof José Andrés Gallego, enseigne actuellement au Conseil supérieur pour la recherche scientifique (CSIC en acronyme espagnol).
Rencontre avec Antonia Arslan (Traduction d'Hélène Ginabat, avec Anita Bourdin) sur ZENIT.org
Le génocide des Arméniens perpétré en 1915 par les nationalistes turcs a été commémoré le 24 avril : c’était le premier génocide du XXe siècle. Il a fait au moins un million deux-cent mille victimes.
Malgré le négationnisme présent dans certains milieux turcs, « les recherches sur la vérité historique avancent », déclare Antonia Arslan qui affirme la nécessité de « guérir enfin le pays de la haine ».
C’est un événement tragique connu par peu de monde, mais devenu fameux en Italie grâce à Antonia Arslan et à son premier roman Le Mas des alouettes. Publié en 2004, le livre a obtenu le prix Campiello (2004) et eu un très grand succès auprès du public. (...)
Antonia Arslan, diplômée en archéologie, a enseigné la littérature italienne moderne et contemporaine à l’université de Padoue.
A travers l’œuvre du grand poète Daniel Varujan, dont elle a traduit (avec Chiara Haiganush Megighian et Alfred Hemmat Siraky) les recueils Le chant du pain (1992) et Mari di grano (1995), elle a redécouvert son identité arménienne profonde et jusqu’alors inexprimée (en effet, le véritable nom de sa famille est Arslanian).
"Ma maison n'est plus ma maison et mes voisins ne sont plus mes voisins"
Un témoignage mis en ligne sur le site de l'Oeuvre d'Orient
Les écoles ont cessé les classes et les magasins ont fermé leurs portes, quant aux églises, les prêtres les ont délaissées, confiant leur garde aux laïcs. Un témoignage d'un prêtre syrien.
À Homs, les quartiers de Bustan el-Diwan, el-Hamidiyyé et el-Arzoun, appelés «la région chrétienne», se sont vidés de leurs habitants.
Ceux-ci les ont abandonnés après avoir vécu une bataille sanglante. Ils ont préféré partir vers les montagnes environnantes ou des villes plus éloignées, à la recherche de la tranquillité après une semaine de terreur à la fin du mois de février. Dans notre quartier de Bustan el-Diwan, il ne reste que nous pour garder notre résidence et les maisons de ceux qui sont partis. Les nuits se passent sans que nous entendions les querelles des voisins ou les cris des passants et les chuchotements des enfants. Les écoles ont cessé les classes et les magasins ont fermé leurs portes, quant aux églises, les prêtres les ont délaissées, confiant leur garde aux laïcs. La vue des maisons, des rues, des magasins, des églises et des mosquées fait peur ; pas un seul endroit qui ait été épargné des balles et de la destruction : les lignes d’électricité et de téléphones sont coupées, les conduites d’eau détruites, les réservoirs de mazout et d’eau éventrés. Notre résidence aussi n’est pas épargnée. ( …) Notre maison n’est plus en sécurité, notre quartier et notre ville non plus. (…)
La situation a empiré au début de mars, quand beaucoup de nos concitoyens sunnites ont abandonné leurs quartiers au sud de Homs et se sont dirigés vers les «quartiers chrétiens». Comme la plupart des maisons étaient vides, abandonnées par leurs habitants, les nouveaux arrivants n’avaient qu’à entrer et s’y installer, cherchant un refuge qui les protège du froid glacial de l’hiver de cette année. Des femmes, des enfants, des jeunes et des vieux de toutes les classes sociales sont arrivés dans des camionnettes, qui les ont déchargés pour aller en chercher d’autres. Cela a poussé certains chrétiens à revenir malgré la situation difficile et le danger réel ; ils ont trouvé que la maison n’était plus à eux et que leurs voisins avaient changé!
SAINT RAPHAËL ARNÁIZ BARÓN, Moine (1911-1938) fêté le 26 avril
Raphaël Arnáiz Barón naquit à Burgos (Espagne) le 9 avril 1911, dans une famille d'un niveau social élevé et profondément chrétienne. Il fut baptisé et confirmé à Burgos et commença ses études au Collège des Pères Jésuites de cette ville où, en 1919, il fut admis à la première Communion.
Au cours de ces années, il reçut la première visite de la maladie : des fièvres persistantes dues à de la colibacillose l'obligèrent à interrompre ses études. Une fois guéri, son père, en remerciement de ce qu'il considérait comme une intervention spéciale de la Vierge Marie, le conduisit, à la fin de l'été de 1921, à Saragosse, et là, le consacra à la Vierge del Pilar, fait qui ne manqua pas de marquer profondément l'esprit de Raphaël.
Lorsque la famille se transféra à Oviedo, il poursuivit ses études secondaires au Collège local des Pères Jésuites, obtenant le baccalauréat scientifique, et s'inscrivit à l'École Supérieure d'Architecture de Madrid, où il sut harmoniser ses études avec une fervente et constante vie de piété.
Nous sommes un peu étonnés de voir un célèbre journaliste catholique reprendre à son compte, sur son blog, les déclarations de la Mère Agnès-Mariam de la Croix sur la situation en Syrie. Les positions inconditionnellement favorables au régime de Bachar el-Hassad de cette religieuse qui attise les tensions sont à prendre avec un minimum de précautions et sont loin de refléter le sentiment de l'ensemble des chrétiens syriens. Elles risquent en outre, en amalgamant la défense de la minorité chrétienne avec le soutien au régime, de compromettre les chrétiens qui sont ainsi désignés comme des partisans inconditionnels d'el-Hassad. Cela ne signifie pas que ces propos de la Mère Agnès-Mariam soient mensongers ou dénués d'intérêt mais ils doivent être lus et entendus avec la circonspection qui s'impose parce qu'ils semblent ne pas tendre à l'objectivité et alimenter une logique de guerre civile.
Plus crédibles sans doute, ces informations transmises par l'agence Fides :
Montée en puissance du militantisme islamique au sein de l'opposition syrienne
De « Journée de la dignité » à « Vendredi des Armées de l’islam » : de ces titres, choisis pour les manifestations de l’opposition syrienne, il est possible d’appréhender la montée en puissance du militantisme islamique, wahhabite et salafiste, dans les rangs des rebelles syriens. Comme cela a déjà été le cas dans les expériences du Printemps arabe au Yémen, les dissidents ont choisi de donner un titre, variant à chaque fois, aux manifestations de protestation organisées chaque vendredi. La première journée de protestation publique, en mars 2011, celle qui inaugura la révolte, fut appelée « Journée de la dignité » et elle indiquait le désir de renaissance, de dignité, de droits et de démocratie existant chez les révolutionnaires.
Un téléfilm sur Pascalina Lehnert, secrétaire du pape Pacelli, est présenté sur ZENIT.org :
Lumières sur le pontificat (Giovanni Preziosi - Traduction d'Isabelle Cousturié)
« Sœur Pascalina. Au cœur de la foi » : ce téléfilm consacré à sœur Pascalina Lehnert, secrétaire, bavaroise, de Pie XII, a été diffusé le dimanche de Pâques en Italie, attirant plus de 4 millions de téléspectateurs. Très documenté du point de vue historique, le film révèle des détails importants sur Pie XII, sa vie et rôle durant la seconde guerre mondiale.
Le film, produit par la télévision publique allemande ARD, en collaboration avec la chaine italienne RAI et la Maison de production Betafilm, s’inspire de la biographie écrite par l’historienne allemande Martha Schad, « la Dame du sacré palais », retraçant la vie de Pascalina Lehnert qui a été, pendant 40 ans, la proche et fidèle collaboratrice de Pie XII, avant et après son élection.
Sœur Pascalina, née Joséphine Lehnert le 25 août 1894 a Ebersberg, en Bavière, de Georg, un fonctionnaire des postes de religion protestante, et de Marie Dierl, catholique, a vite eu le désir de devenir religieuse mais son père, fortement opposé à cette idée, s’acharnait à entraver sa vocation, n’hésitant parfois pas à utiliser des méthodes plutôt brusques pour l’en dissuader.
Nous prenons la liberté de reproduire cette interview du Directeur de l'Aide à l'Eglise en Détresse (France) parue sur le site de l'Aide à l'Eglise en Détresse (France).
(Cette interview, nous signale M. Hamiche, était destinée au n°3 de la version papier du blogue "L'Observatoire de la Christianophobie" qui sortira ces prochains jours; nous espérons que nous ne commettons aucune indélicatesse en la mettant en ligne.) :
Nigeria : « La force de l’Eglise m’a édifié », raconte Marc Fromager
Marc Fromager s’est rendu au Nigeria au début de la Semaine Sainte.
« J’ai rarement été autant impressionné par ce que j’ai vu là-bas en termes de persévérance dans l’adversité, nombre et qualité des vocations sacerdotales et religieuses, autorité de l’Eglise dans le pays, qui se fait respecter y compris au niveau politique… » a-t-il expliqué à son retour.
Marc Fromager a répondu aux questions de Daniel Hamiche
Vous vous êtes récemment rendu au Nigéria, un pays qui est aujourd’hui à la une de l’actualité. Pourquoi ce déplacement ?
Vous le savez, l’AED soutient l’Eglise dans le monde entier, dans 150 pays pour être précis. L’Afrique recouvre à peu près le quart de notre budget, avec une Eglise en plein développement mais qu’il faut bien sûr aider. Le Nigéria est le pays le plus peuplé d’Afrique et en effet un des pays au cœur de l’actualité récente, notamment à cause des attentats antichrétiens qui se multiplient. Il était donc naturel pour moi de me rendre auprès de nos frères qui souffrent aujourd’hui, d’abord pour leur dire qu’on ne les oublie pas et aussi pour mieux comprendre ce qu’ils endurent là-bas afin de pouvoir mieux les aider.
Fêtée aujourd'hui : la Bienheureuse Marie de l'Incarnation, principale introductrice du carmel en France; un site lui est consacré ici
Voici la biographie proposée par missel.free.fr
Barbe Avrillot naquit à Paris, le 1° Février 1556[1], de Marie Lhuillier et de Nicolas Avrillot, seigneur de Champlâtreux, conseiller-maître ordinaire des comptes de la Chambre de Paris et chancelier de la reine Marguerite de Navarre ; il descendait de Jacques Cœur. Elevée dans une famille riche, catholique et royaliste, Barbe reçut une forte éducation chrétienne[2] et une bonne instruction. A onze ans, elle fut placée à l’abbaye de Longchamp[3] pour y continuer ses études, sous la direction d’une de ses tantes qui y était religieuse et où elle reçut sa première communion à douze ans. Intelligente, vive et gaie, Barbe ressentait de l’attrait pour la vie monastique, mais ses parents qui avaient pour elle d’autres projet, la retirèrent de Longchamp dès 1580. Rentrée dans le monde, elle n’en continua pas moins ses habitudes de piété et conçut le projet d’entrer chez les Augustines de l’Hôtel-Dieu pour servir les malades ; projet que sa mère combattit sévèrement.
Une découverte étonnante dans l'univers médiatique; à faire ici : http://webtvcn.fr/?page_id=33039
Accueil du site : http://webtvcn.fr/
C’est par le pardon que se clôt l’affaire concernant Amaria Masih, la jeune catholique de 18 ans violée et tuée le 27 novembre 2011 par le musulman Arif Gujjar, qui voulait l’épouser et la convertir. Mansha Masih, le père de la jeune fille, qualifiée de « Marie Goretti pakistanaise » (voir Fides 02/12/2011), a pardonné le meurtrier au cours d’une rencontre officielle qui a eu lieu ces derniers jours dans son village, dans les environs de Samundari, dans la province du Punjab. Ainsi que l’a indiqué à Fides la Commission Justice et Paix du Diocèse de Faisalabad, à l’intérieur duquel se trouve Samundari, la question a été résolue pacifiquement lorsque 75 musulmans et 35 chrétiens se sont réunis : la communauté musulmane a présenté des excuses officielles à Mansha Masih, exprimant son regret pour ce qui était arrivé. La famille catholique d’Amaria a répondu par un seul mot : « pardon ».
Lahore (Agence Fides) - Le Pakistan a perdu son « héros national ». Cecil Chaudhry, ancien capitaine des forces armées, catholique fervent engagé en faveur des droits humains et de l'instruction s'est en effet éteint hier (13 avril) à Lahore à l'âge de 72 ans. Chaudhry, touché par une maladie inguérissable, est mort à l'hôpital entouré par ses proches - il laisse quatre enfants - des amis et par les plus hauts responsables de l'Eglise catholique au Pakistan. Au cours des dernières heures de sa vie terrestre, étaient présents à son chevet S.Exc. Mgr Sebastian Shaw, Administrateur apostolique de Lahore, S.Exc. Mgr Joseph Coutts, Archevêque de Karachi et Président de la Conférence épiscopale et le Père Yousaf Emmanuel, Directeur de la Commission Justice et Paix de la Conférence épiscopale avec lequel Chaudhry avait collaboré. Etait également présent Paul Bhatti, Conseiller spécial du Premier Ministre chargé des Mininorités.