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BELGICATHO - Page 1643

  • France : succès des candidats « pro-famille » aux municipales

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    Lu dans « Famille Chrétienne » sous la signature d’Antoine Pasquier :

    Difficile de rendre compte de manière exhaustive sur les résultats des candidats aux municipales connus pour leurs positions en faveur de la famille ou pour leur soutien explicite à la Manif pour tous. Malgré la limite de cet exercice, force est de constater qu’une large majorité de parlementaires et de maires sortants opposés à la loi Taubira ont passé le premier tour avec succès. De Paris à Vienne en passant par Fontgombault, tour d’horizon de la France des familles.

    Les parlementaires réélus

    Qu’ils appartiennent ou non à l’Entente parlementaire pour la famille, un grand nombre de députés et de sénateurs pro-famille ont été confirmés et confortés dans leur siège d’élu local dès le premier tour des municipales. Avec des scores parfois bien supérieurs à ceux enregistrés en 2008.

    C’est le cas de Jean-Christophe Fromantin (UDI) à Neuilly-sur-Seine en Hauts-de-Seine (66,55 % contre 61,67 % en 2008, soit + 4,88 points), de Nicolas Dupont-Aignan (DLR) à Yerres dans l’Essonne (77,15 %), d’Hervé Mariton (UMP) à Crest dans la Drôme (57,08 % contre 56.02 % en 2008), de Valérie Lacroute (UMP) à Nemours en Seine-et-Marne, de Yannick Moreau (UMP) à Olonne-sur-Mer en Vendée, de Jacques Bompard (Ligue du sud) à Orange dans le Vaucluse, de Charles de Courson (UDI) à Vanault-les-Dames dans la Marne, de Laurent Wauquiez (UMP) au Puy-en-Velay en Haute-Loire, de Philippe Marini (UMP) à Compiègne et d’Éric Woerth (UMP) à Chantilly dans l’Oise, de Céleste Lett (UMP) à Sarreguemines en Moselle, de Claude Goasguen (UMP) dans le XVIe arrondissement de Paris, de Véronique Besse (UMP) aux Herbiers en Vendée, de Lionnel Luca (UMP) à Villeneuve-Loubet et de Jean Leonetti (UMP) à Antibes dans les Alpes-Maritimes, ou de Georges Fenech (UMP) à Lyon et de François-Noël Buffet (UMP) à Oullins dans le Rhône.

    Les maires sortants

     MAIRES POUR L’ENFANCE. Le collectif des maires pour l’enfance a de quoi se réjouir. Dimanche soir, trois de ses piliers ont passé le premier tour des municipales sans encombres : Philippe Brillault, porte-parole de La Manif pour tous, garde son siège au Chesnay dans les Yvelines avec 59,4 % des suffrages ; le porte-parole du collectif, Franck Meyer, est réélu dans sa petite commune de Sotteville-sous-le-Val (Seine-Maritime) ; et le fondateur du collectif, l’ancien parlementaire Jean-Marc Nesme, remporte haut la main le scrutin (78,86 %, + 14 points) dans sa ville de Paray-le-Monial en Saône-et-Loire.

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  • L'Opus Dei : une grande catéchèse

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    Une illustration exemplaire : l’université de la Sainte-Croix à Rome (voir le site web http://www.opusdei.be/fr-be/video/mailys/

     

  • Royaume-Uni : des foetus utilisés comme matériau de chauffage dans des hôpitaux

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    De la synthèse de presse quotidienne de gènéthique.org :

    RU: des foetus utilisés comme matériau pour chauffer les hôpitaux

    Une émission de TV sur la chaîne Channel 4 vient de révéler au Royaume-Uni que des milliers de fœtus morts, soit par IVG soit par fausse couche, ont été utilisés en tant que"carburant pour chauffer des hôpitaux britanniques". Il s’agirait d’environ 15 500 fœtus dans 27 hôpitaux. Le Département de la santé du Royaume-Uni a immédiatement ordonné l’interdiction de cette pratique.

    source : International Business Times (Reissa Su) 24/03/2014.

  • Malgré un cancer à l'uterus, elle refuse d'avorter et met son bébé au monde

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    Lu sur ladepeche.fr :

    Atteinte d’un cancer de l’utérus, elle refuse d’avorter et met au monde son bébé

    C’est une belle histoire que rapporte le site Metronews ce lundi matin. Diane Mullineux, jeune britannique, a réussi à donner naissance à une petite fille alors qu’elle souffrait d’un cancer de l’utérus.

    Diane Mullineux a appris qu’elle était atteinte d’un cancer de l’utérus peu de temps après avoir découvert sa grossesse. La nouvelle a été comme une douche froide pour la jeune femme : les médecins lui ont aussitôt recommandé l’avortement, ainsi qu’une hystérectomie, soit l’ablation de l’utérus.

    Déjà maman de deux enfants nés d’une précédente union, Diane Mullineux a voulu croire au miracle. Bien décidée à garder son bébé, elle change de médecins pour obtenir d’autres avis médicaux. Finalement, c’est le Dr Jonathan Herod qui lui redonne espoir. A onze semaines de grossesse, le chirurgien l'opère, amputant une grande partie du col de l’utérus afin de stopper l’évolution de la tumeur cancéreuse, mais tout en préservant le fœtus. Une opération inédite qui a fonctionné.

    Après plusieurs mois de grossesse vécus sous la menace d’une fausse couche, Diane Mullineux a subi une césarienne programmée, le 20 février dernier. La petite Nancy est née prématurée, à 33 semaines de grossesse. Elle se porte comme un charme. Aussitôt l’accouchement réalisé, la maman a quant à elle été opérée afin que la totalité de son utérus soit enlevée. Aujourd’hui, elle semble en voie de rémission.

  • BXL, 29 mars, veillée de prière avant la Marche pour la Vie

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    à 20:15 - 22:15

     

    Eglise Sainte Marie-Madeleine, Rue de la Madeleine 1, 1000 Bruxelles (Gare Centrale)

  • Marche pour la Vie du 30 mars : appel aux volontaires

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  • Le césaropapisme russe contre le nationalisme ukrainien

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    51159_patriarche-kirill-cyrille-moscou-orthodoxe-russe_440x260 (1).jpgSur le site de « La Vie », Antoine Arjakovsky, directeur de recherche au Collège des Bernardins, spécialiste de l'orthodoxie, répond aux questions de Marie-Lucile Kubaki :

     Quel impact la situation de crise en Ukraine a-t-elle eu sur les relations entre les Eglises ?

    D'un côté, les Eglises orthodoxes ukrainiennes (Patriarcat de Moscou – PM - et Patriarcat de Kiev - PK), qui avaient résisté ensemble pendant trois mois, ont voulu aller plus loin en reposant la question de la réunification depuis leur séparation en 1991. Le patriarche Philarète a fait des annonces et il y a eu un synode du patriarcat de Kiev. De l'autre, assez rapidement, le patriarche Cyrille de Moscou (photo) qui ne veut pas que l'Eglise ukrainienne relevant de sa juridiction se réconcilie avec le patriarcat de Kiev, a changé la tête de l'Eglise orthodoxe ukrainienne. Le 2 mars, il a ainsi remplacé Vladymyr Sobodan par Onufri de Tchernivtsi. Le métropolite Onufri est un proche de Cyrille, pro-moscovite. Certains ont apprécié malgré tout que ce soit un évêque ukrainien plutôt qu'un évêque russe. En effet, au mois de décembre dernier, le chef de l'Eglise orthodoxe en Biélorussie, le métropolite Philarète (à ne pas confondre avec Philarète de Kiev) n'a pas été remplacé par un évêque orthodoxe de Biélorussie mais par un proche de Cyrille, un évêque russe. Les Ukrainiens craignaient que Cyrille ne fasse la même chose et des noms dont celui du métropolite Hilarion Alfeyev, numéro deux du patriarcat de Moscou, commençaient à circuler.

    La suite ici : "Le patriarche Cyrille est en train de perdre l'Eglise orthodoxe ukrainienne"

  • Ne pas succomber au défaitisme

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    41yAqjPHhCL._.jpgEst-il moderne de croire en Dieu ? Croire à une seule vérité est-il intolérant ? Les chrétiens sont-ils ringards ? Le père Matthieu Rougé, qui vient de faire paraître L'Eglise n'a pas encore dit son dernier mot ! (Robert Laffont) est l'ancien responsable du Secrétariat pastoral d'études politiques du diocèse de Paris. Aujourd'hui, curé de Saint-Ferdinand-des-Ternes, il secoue les chrétiens de leur torpeur et nous propose une petite leçon d'optimisme face au défaitisme ambiant. Mais, pour changer le cours des évènements, "les chrétiens doivent se former humainement, politiquement et spirituellement"...

    Pour en savoir plus : http://www.famillechretienne.fr/

  • Le mariage, une vérité, pas un "idéal"

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    img_123601485635638.jpegCardinal Caffara : "Le mariage n'est pas un "idéal" mais une vérité"

    (Source : Liberté Politique)

    Deux semaines après le consistoire sur la famille, le cardinal archevêque de Bologne, Mgr Carlo Caffarra, aborde avec Il Foglio (15 mars) les thèmes à l'ordre du jour du Synode extraordinaire d'octobre prochain et du Synode ordinaire de 2015 : mariage, famille, doctrine de Humanae Vitae, pénitence. Homme de confiance du pape Jean Paul II qui en avait fait le premier président de l'Institut Jean-Paul II pour le mariage et la famille, il intervient dans le débat lancé par le pape François à propos de l'accès à la communion des personnes qui vivent en situation d'adultère (appelés abusivement « divorcés-remariés »). Rappelant le travail indépassable qu'avait effectué Jean-Paul II, son intervention est une réponse de fait aux réflexions controversées du cardinal Kasper (cf. encadré, infra). Traduction de Laetitia Pouliquen pour Liberté politique.

    IL FOGLIO. — Familiaris consortio de Jean-Paul II est l’objet d’un tir croisé. D'une part on dit de cette exhortation apostolique qu’elle fonde l'Évangile de la famille, de l'autre que c’est un texte dépassé. Son actualisation est-elle concevable ?

    CARD. CAFFARA — Si l’on parle du gender et du soi-disant mariage homosexuel, il est vrai qu'au temps de Familiarisconsortio on n'en parlait pas. Mais de tous les autres problèmes, surtout celui des divorcés remariés, on en parle depuis longtemps. J’en suis un témoin direct, puisque que j'étais l’un des consultants du Synode de 1980. Dire que Familiaris consortio est née dans un contexte historique complètement différent de celui d'aujourd'hui est erroné. Cette précision étant faite, je dis qu'avant tout Familiaris consortio nous a enseigné une méthode avec laquelle on doit affronter les questions du mariage et de la famille. À l’utilisation de cette méthode est associée une doctrine qui reste un point de référence inéliminable.

    Quelle est cette méthode ? Lorsqu’il fut demandé à Jésus à quelles conditions le divorce était licite, la licéité comme telle ne se discutait pas à cette époque. Jésus n'entre pas dans la problématique casuiste dont émanait la question, mais indique dans quelle direction on doit regarder pour comprendre ce qu'est le mariage et par conséquent la vérité de l'indissolubilité matrimoniale. C’était comme si Jésus avait dit : « Voyez-vous, vous devez sortir de cette logique casuiste et regarder dans une autre direction, celle du Principe. » C'est-à-dire : vous devez regarder là où l'homme et la femme viennent à l'existence dans la pleine vérité de leur être d’homme et de femme appelés à devenir une seule chair. Dans une catéchèse, Jean-Paul II expliquait : « Survient alors, lorsque l'homme se trouve pour la première fois face à la femme, la personne humaine dans la dimension du don réciproque dont l'expression (qui est l'expression même de son existence en tant que personne) est le corps humain dans toute la vérité originaire de sa masculinité et de la féminité ». Ceci est la méthode du Familiaris consortio.

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  • 3e dimanche de carême : la rencontre de deux soifs

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    samaritaine.jpgCarême : la rencontre de deux soifs
    Lecture du dimanche 23 mars

    Mgr Francesco Follo (Zenit.org)

    1) Un pauvre qui demande pour pouvoir donner

    Dans son exode, Jésus passe par la Samarie et s’arrête au puits de Jacob dans les environs de la ville de Sichar. Il s’assied sur le petit mur qui entoure le puits parce qu’il est fatigué de marcher, il a soif, mais il est pauvre et n’a pas de quoi puiser l’eau. Il attend que quelqu’un vienne puiser l’eau pour lui et le désaltérer, mais son humble requête est un « prétexte » pour pouvoir se donner lui-même.

    Le Christ est tellement assoiffé de nous qu’il n’hésite pas à demander de l’eau pour son corps et pour pouvoir ainsi s’offrir lui-même comme la source d’eau qui désaltère à jamais, parce qu’il sait que ceux qui viennent chercher de l’eau au puits ont soif d’une autre eau, même s’ils croient qu’ils n’en ont pas besoin.

    Le Christ a soif, pas seulement une soif physique mais une soif spirituelle : il a soif de nous qui sommes représentés, aujourd’hui, par la Samaritaine. Jésus se fait bon Samaritain pour la Samaritaine et, en lui proposant une soif qui désaltère aussi le cœur, il l’invite à la conversion…

    Au fond, que signifie « conversion » ? Ce n’est pas seulement un acte de la volonté, mais c’est une réponse à l’amour de Dieu qui s’est fait la voie dans notre mode de vie souvent compliqué, confus ou désordonné, qui nous rend assoiffés de tout. Demandons au Christ de verser aussi dans nos cœurs le véritable amour pour que nous ayons un désir constant de lui, et de notre désert fleurira la vie et nous serons toujours dans ses mains amoureuses et fermes.

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  • La désinformation, pire péché des médias

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    De Radio Vatican :

    Le pire péché des médias, la désinformation

    (RV) « Je considère que les péchés les plus graves que commettent les médias sont ceux qui concernent les contre-vérités et les mensonges, et ils sont trois : la désinformation, la calomnie et la diffamation ». Voilà ce qu’a déclaré le Pape François durant l’audience de ce samedi matin accordée aux radios et télévisions d’inspiration catholique du réseau Corallo. « La calomnie et la diffamation sont graves, mais le plus grave c’est la désinformation », a tenu a ajouté le Pape. « La calomnie c’est un péché mortel, mais l’on peut toujours arriver à clarifier les choses, et à faire valoir finalement que c’est une calomnie ». « La diffamation c’est un péché mortel, mais on peut réussir à dire que c’est une injustice». « Mais la désinformation, a ajouté le Pape, c’est ne dire que la moitié des choses, celles qui me conviennent, et ne pas dire l’autre moitié : de sorte que celui qui regarde la télévision ou écoute la radio ne peut bien juger les choses parce qu’ils n’a pas tous les éléments, car ils ne lui ont pas été livrés ». « Evitez ces trois péchés : la désinformation, la calomnie et la diffamation », a conseillé le Pape François à son auditoire. 

  • Belgique : un nouveau parti "de philosophie chrétienne"

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    Communiqué de presse :

    Création d’un nouveau parti politique  de philosophie chrétienne :

    l’ « Union Chrétienne Démocrate »

    Qui  sommes-nous ?

    Des hommes et des femmes qui ont vécu dans des mouvements de jeunesse, qui ont animé des associations, ont  participé parfois ,de près ou de loin, à des partis politiques divers mais sans y  rencontrer naturellement , le sens du bien commun, la générosité, la fraternité entre les âges ou les milieux de vie, qu’ils recherchent parce qu’ils sont  épris des valeurs chrétiennes d’égalité, de liberté de fraternité et de progrès par leur éducation et leurs contacts dans leur vie quotidienne.

    Que voulons-nous ?

    Aucun parti politique wallon ou francophone bruxellois ne présente les valeurs chrétiennes come base de son action. 

    Ces citoyens se sont réunis pour mener une action politique concrète et efficace avec ces références et ont voulu donner à ce courant philosophique, culturel et social l’expression et les moyens d’action qu’il leur semble mériter dans notre société. Ces valeurs de respect et de fraternité sont si universelles que des citoyens ayant d’autres convictions  s’y retrouvent également. Ces valeurs sont pour tous des repères.

    Notre modèle économique et social actuel est épuisé face à une triple dette, économique, écologique et humaine (stress, inégalités…).

    L’heure n’est pas à la défense de ce modèle dépassé, mais à la mise  en avant de réformes susceptibles d’apporter des réponses aux défis démographiques, écologiques et économiques du XXIème siècle et ce au delà  des clivages dépassés de la gauche et de la droite

    Nous avons donc décidé de nous rassembler dans un parti qui présenterait aux gens des solutions et des orientations, non seulement efficaces au point de vue économique et respectueuses de l’environnement, mais surtout respectueuses des hommes et des femmes pour  une société qui leur permette de vivre ensemble.

    Nous avons donc fondé «  l’Union  Chrétienne Démocrate »

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