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BELGICATHO - Page 1790

  • Un traité mal traité

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    De notre ami Jean-Pierre Snyers :

    Je dois vous avouer que j'ai lu, en son temps, le « Traité d'athéologie » signé Michel Onfray. Autant vous le dire tout de suite, celui-ci m'a convaincu... convaincu que je fais bien de rester catholique. Outre le fait que l'auteur s'improvise historien, exégète et théologien, outre le ton délibérément méprisant à l'égard de ceux qui ont l'audace de ne pas penser comme lui, on ne comprend toujours pas sur quoi repose son athéisme. Sur l'indémontrabilité de l'existence de Dieu ? Autant affirmer que la réalité d'un Etre suprême repose sur l'indémontrabilité de son inexistence ! Si M.Onfray était agnostique, on le comprendrait. Seulement voilà, il est athée et, ce faisant, il quitte le terrain de la raison (cette raison qu'il déifie) pour rejoindre celui de la croyance. Affirmer de façon dogmatique l'inexistence de Dieu sans pouvoir la démontrer relève d'un acte de foi. Paradoxalement, voici l'auteur dans le rang des croyants. Dès lors vient une question : le procès qu'il ne cesse de faire aux déistes et aux théistes, pourquoi ne le fait-il pas à tous ceux qui, comme lui, se contentent de nier l'existence de Dieu sans en apporter la moindre preuve ? Libre à lui de croire que l'univers est une horloge sans horloger, ou un tableau sans peintre. Libre à lui également de refuser le miracle d'une création voulue par Dieu et de préférer croire en un nombre incalculable de miracles produits par le hasard. Personnellement, j'ai fait mon choix. Et ce n'est pas après avoir lu son livre que j'aurai assez de foi pour être athée !...

    Jean-Pierre Snyers - Blindef 2 - 4141 Louveigné

  • Pakistan : quand les manuels scolaires incitent à la haine

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    Lu sur "Eglises d'Asie" :

    Une fois de plus, l’Eglise catholique dénonce les contenus incitant à la haine présents dans les manuels scolaires

    C’est un combat plusieurs fois mené et toujours recommencé, année après année, et qui ne semble pas couronné de succès. Pourtant, le 10 juillet dernier, en prenant la parole à Karachi lors d’un colloque consacré à « l’éducation pour la paix », Mgr Joseph Coutts, archevêque catholique de Karachi, a encouragé les membres de l’Eglise à ne pas baisser les bras. « J’invite toutes les personnes de la société pakistanaise, laquelle est pluri-religieuse, pluriethnique, multiculturelle et multilingue, à prendre les initiatives nécessaires pour faire comprendre à tous que le fanatisme et l’intolérance n’ont pas leur place dans les manuels scolaires », a déclaré l’évêque, qui préside la Conférence épiscopale catholique pakistanaise.

    La présence dans les manuels scolaires du Pakistan de contenus présentant en termes négatifs et péjoratifs les non-musulmans, l’Inde et l’Occident est une réalité ancienne et bien documentée. Toutefois, de récents travaux de la Commission nationale ‘Justice et Paix’ (NCJP), instance rattachée à la Conférence épiscopale catholique, montrent que la tendance n’est pas à l’atténuation de ces travers mais à leur accentuation.

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  • Neuvaine de prière aux intentions du pays et de la dynastie

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    Chères amies et chers amis de la Belgique,

    Nous l’avons tous appris: le Roi des Belges, Albert II abdique le 21 juillet 2013 en faveur de son fils, le Prince Philippe.

    Ayant un âge avancé, Le Roi a en effet jugé bon de se retirer après avoir servi la Belgique et ses citoyens pendant 20 ans ! Durant son règne, le Roi a été un incontestable élément d’unité entre les
    Communautés, continuant ainsi sur les traces de son frère le Roi Baudouin.

     

    Tournés vers l’avenir, nous voulons manifester notre joie, notre confiance et notre espérance en la personne du Prince Philippe, notre futur Roi. Conscients que son règne ne sera pas simple, nous tenons à lui adresser tout notre soutien, nos encouragements et surtout nos prières.

    Nous vous proposons donc de vous joindre à une grande Neuvaine  (ci-joint) qui débutera le samedi 13 et se terminera le dimanche 21 juillet, jour de la Fête Nationale, aussi jour de l'abdication du Roi Albert IIet de l’intronisation du Prince Philippe.


    textes et prières en pdf accessible ICI


    Nous vous encourageons de tout coeur à être nombreux à la prier. Elle ne prend pas beaucoup de temps, et nous sommes certains que ces prières porteront la Belgique en cette période de transition.

     

    Prions, par l’intercession du Roi Baudouin, pour que cette transition se fasse dans la paix, la joie, le respect et l’espérance, en incluant dans nos prières tout spécialement le Roi Albert et la Reine Paola, ainsi que le Prince Philippe et la Princesse Mathilde et leurs enfants.

    Nous vous invitons dès maintenant à transférer la neuvaine à tous vos proches. Le plus nombreux nous sommes, le mieux!

    L'Union fait la Force!

    Le Comité de "Prier pour la Belgique avec le Roi Baudouin"

    PS: Flemish and English Version will follow shortly
    PPS: Pour les 20 ans de la mort du Roi Baudouin, Messe le 31 juillet à
    11h, à la cathédrale Ste. Gudule, en présence de la famille royale.

  • Le nouvel évêque de Liège interviewé sur RTC

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    C'est ICI

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    Rappelons que le nouvel évêque sera consacré en la cathédrale de Liège ce dimanche 14 juillet à 15H00.

  • Bulletin de l'Institut Européen de Bioéthique (10/7/2013) : Fin de vie / Euthanasie / Mourir à la maison

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    header_fr.jpgSommaire

  • Pour en finir avec le Moyen Âge

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    De Michel Hébert sur le site Contre-info.com (l’information alternative), 12 juillet 2013 :

    « Encore un mythe à détruire, concernant l’horrible « Moyen-Age » chrétien.

    « Présentation : Christophe Colomb n’a jamais eu à démontrer que la Terre était ronde. Car tout le monde le savait déjà. Et depuis longtemps ! C’est ce que confirme l’ouvrage d’un historien américain, Jeffrey B. Russel, qui met à mal bon nombre d’idées reçues sur les géographes du Moyen Age et de l’Antiquité. Il commence par constater que les auteurs médiévaux affirment la rotondité de la Terre, comme le faisait Platon. Il examine ensuite l’apparition du mythe moderne selon lequel le Moyen-Age croyait la Terre plate. En fait ce sont des évolutionnistes libéraux américains qui ont créé de toutes pièces ce mythe aujourd’hui repris dans la presse et dans les manuels scolaires.

    En cette année anniversaire de la découverte du Nouveau Monde, c’est un véritable déluge de publications qui s’abat sur nous ; à cette occasion, nombre d’idées reçues sont remises en question. L’une d’elles, selon laquelle les contemporains de Christophe Colomb croyaient que la Terre était plate, a trouvé son historien, Jeffrey B. Russel, dans un petit ouvrage décapant qui vient d’être publié aux Etats-Unis.

    Considérons le cas de Christophe Colomb : les historiens ont depuis longtemps dénoncé la fable selon laquelle il aurait dû affronter les foudres des docteurs de Salamanque pour avoir osé prétendre que la Terre était ronde – sans quoi le passage des Indes par l’ouest était inconcevable. Certes, le découvreur a eu ses détracteurs et ses opposants, mais leurs arguments tenaient aux probabilités d’échec de l’entreprise.

    Et ils avaient raison, puisque la distance qui sépare les îles Canaries du Japon est de deux cents degrés de longitude, là où Colomb, pour avancer son projet, voulait n’en voir que soixante. Mais nulle part dans ces discussions il ne fut question d’une sphéricité que le navigateur aurait dû démontrer.

    Déjà au XVème siècle, l’affaire était entendue. La Géographie du Grec Ptolémée (90-168) est traduite en latin en 1410. Or cet ouvrage ne laisse subsister aucun doute sur la rotondité de la Terre : il est tout entier fondé sur le quadrillage de la sphère en degrés de latitude et méridiens de longitude.

    Et le cardinal Pierre d’Ailly en a bien retenu toutes les leçons dans son Image du monde écrite en latin dès 1410. Mais avant ? Là où les médiévistes ont souvent été plus évasifs, Jeffrey Russell nous invite à voir partout et toujours la même représentation, les mêmes comparaisons.

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  • A lire, sur ZENIT.ORG (13.07) :

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    Finances du Vatican : tolérance zéro

    Les comptes de Mons. Scarano gelés

    (12 juillet 2013) 

    Née grâce à la prière de Maria Goretti

    Témoignage du Canada

    (12 juillet 2013)

     
     
     

    Une loi éthiquement inacceptable et scientifiquement injustifiée

    Recherche sur l'embryon : passage en force

    (11 juillet 2013)

    Suisse: tragédie de l'euthanasie, sur erreur de diagnostic

    Un magistrat italien se croyait incurable, mais il n'avait rien

    (11 juillet 2013)

     
     

    Soudan du Sud : prière nationale pour la réconciliation

    2ème anniversaire de l'indépendance le 9 juillet

    (11 juillet 2013)

  • Syrie : l'embargo sur les vivres frappe Alep

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    Syrie : Alep affamée, embargo sur les vivres
    L'agence vaticane Fides dénonce la crise humanitaire

    (Zenit.org) - Un arrêt des fournitures et des marchandises, y compris les denrées alimentaires constituant un véritable « embargo alimentaire » prend actuellement à la gorge la population civile d’Alep, rapporte l’agence vaticane Fides.

    Cet état de fait, qui en est maintenant à son septième jour, a été imposé par les groupes rebelles qui contrôlent la zone nord-est de la ville et menacent maintenant également d’interrompre l’approvisionnement en eau, précise l’agence.

    Frère Bernard, l’un des cinq franciscains demeurés dans la ville au couvent Saint-François, explique: « La famine menace. Les gens ont peur. Ils sont réduits à la pauvreté et pleurent. Nous faisons tout notre possible afin d’aider les familles et les réfugiés. Les quartiers chrétiens se trouvent exactement entre la zone contrôlée par l’armée et celle contrôlée par les groupes armés. La souffrance de la société civile de toute religion est immense. L’arrêt des arrivées de denrées alimentaires est contraire à tout droit humanitaire de base. »

    « La population a même des difficultés à se procurer du pain » : « A Alep, une crise humanitaire s’annonce en cas de poursuite du blocus », estime le religieux.

    Selon la même source, les rebelles sont répartis en de nombreux groupes et factions, certains de matrice islamique et djihadiste, comme Jubhat al nosra, Liwaa al tawhid, Aasifat al shimal, Souqqour al shahba et d’autres encore, au sein desquels s’engagent des guérilleros provenant d’Afghanistan, de Libye, du Caucase, des anciennes Républiques soviétiques d’Asie centrale et d’autres pays.

    La ville, devenue un « champ de bataille », demeure divisée en deux, une partie se trouvant sous le contrôle de l’armée – le sud-est – et l’autre sous celui de groupes armés – le nord-est.

    Les rebelles ont aussi pris le contrôle de la route qui relie Alep à Hama, par le biais de laquelle transite la majeure partie des marchandises destinées à la ville. Le ravitaillement alimentaire est faible et les prix ont connu une violente augmentation. Les produits végétaux sont introuvables parce qu’il est interdit aux agriculteurs d’entrer dans les quartiers ouest d’Alep.

  • Le pape et le journaliste

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    Lu sur Zenit.org :

    Le pape m'a téléphoné. Ou plutôt il m'a retéléphoné...

    Et s'est lamenté de ma lettre de douze pages

    Jorge Milia

    ROME, 12 juillet 2013 (Zenit.org) - Le pape m’a téléphoné. Ou plutôt il m’a retéléphoné. Je sens bien que cela ne fait pas très humble de dire ça, mais pour dire ce genre de chose, il n’existe pas d’euphénisme…

    … C’est un privilège qui est tombé sur moi, et c’est peut-être pour cela que je dois le partager avec ceux qui sauront l’apprécier parce que, quand on met le bien en commun, il se multiplie.

    « Douze pages. Une lettre de douze pages ! », s’est-il lamenté à propos d’une lettre que je lui avais écrite.

    « Mais tu ne peux pas nier que je t’ai fait rire… », lui ai-je répondu.

    Il a ri. Pour des raisons que personne ne peut expliquer, pas même moi, il tolère encore ma prose, comme il y a longtemps, quand nous étions professeur et étudiant. Je lui ai dit que j’avais commencé à lire l’encyclique Lumen Fidei et il a décliné tout mérite personnel. Il a commenté en disant que Benoît XVI avait fait la plus grande partie du travail, qu’il était un penseur sublime, inconnu ou incompris du plus grand nombre.

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  • A propos des gay pride

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    Lu avec intérêt sur "le soupirail et les vitraux" :

    La Fabrique des homophobes

    Petite leçon LGBTQ à travers la Gay Pride de Lyon

    Au-delà de ce que j’ai ressenti comme une fête industrielle, débordante d’une joie factice, banale et triste, aux rythmes saturés, je crois discerner dans le phénomène de la Gay Pride un fait politique décisif. La mise en valeur de "fiertés" particulières dues à certaines pratiques sexuelles juxtaposées à la lutte proclamée contre les "phobies" correspondantes, elle-même mêlée à des réclamations de "droits" particuliers (en l’occurrence la PMA pour les couples de lesbiennes), tel est le principe étrange – et pour le moins paradoxal – de cette manifestation. Et c’est justement cet amalgame douteux qui est à mon sens le facteur le plus générateur d’"homophobie"…

    Fier d’être normal ou d’être marginal ?

    Chaque Gay Pride repose sur une contradiction fondamentale. Il s’agit de donner une visibilité à l’homosexualité, à la culture qu’elle est censée produire, mais surtout de faire de la pub au business gay-friendly qui ne manque jamais de déployer son "arsenal commercial" (Jean-Sébastien Thirard, ancien président de l’association Lesbian & Gay Pride Paris). Cette entreprise de "visibilisation" apparaît traversée par deux tensions contraires : la prétention à la normalité et l’affirmation d’une singularité. Proclamer une "fierté", c'est nécessairement poser un acte clivant, car qui dit fierté" dit "appartenance", c’est-à-dire distinction, voire exclusion, ce qui tendrait à légitimer les sentiments de "honte", "jalousie", "regret", consécutifs à la non-appartenance.

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  • Former le clergé à la liturgie : encore une priorité après Benoît XVI ?

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    Dans sa dernière lettre, Paix Liturgique a reproduit l’entretien accordé par Mgr Nicolas Brouwet  (évêque de Tarbes et Lourdes) dans le numéro 1849 de l’hebdomadaire Famille chrétienne :

    1)      Quels changements percevez-vous dans la relation des jeunes prêtres et des séminaristes à la liturgie ?

    Je perçois une triple prise de conscience. En premier lieu, les jeunes semblent réaliser davantage que la liturgie s’adresse à Dieu, que son but est de Le louer, L’honorer, Le glorifier ; et que c’est vers Lui que tend toute l’action liturgique. Ils redécouvrent aussi que Dieu est l’acteur principal de la liturgie : c’est l’Esprit Saint qui nous apprend à prier, qui « anime » la liturgie.

    Ce n’est donc pas le prêtre ou la communauté locale qui « se saisissent » de la liturgie. Ils la reçoivent de l’Église. C’est le sens d’une attention plus grande aux rubriques. Les jeunes prêtres perçoivent enfin, avec une acuité renouvelée, que la liturgie n’est pas seulement une œuvre de la raison, mais qu’elle passe par la beauté, le ravissement.

    2) Qu’est-ce que cela modifie dans la pratique ?

    Dans les faits, on sort d’un état d’esprit trop rationalisant et on tourne progressivement le dos à une sorte de minimalisme liturgique. On réalise que, pour louer Dieu et contempler l’invisible, l’expérience de la beauté est nécessaire à l’assemblée. Le prêtre, enfin, se perçoit moins comme animateur de la liturgie que comme celui qui célèbre au nom du Christ, en prenant de la distance vis-à-vis de lui-même et en évitant la tentation de l’autocélébration. Il y a des liturgies où le risque est de mettre l’assemblée en avant, de célébrer les personnes présentes, plus que le Seigneur Lui-même.

    3) Comment expliquer que cette prise de conscience ait lieu aujourd’hui ?
     
    C’est un mouvement qui a été amorcé il y a une bonne vingtaine d’années. Au moment où j’ai commencé à célébrer la messe, j’avais déjà l’impression de ne pas célébrer comme mes aînés. Certains diront que c’est un mouvement de balancier. Je pense que c’est plutôt un mouvement de fond où l’on retrouve, après les expériences des années soixante-dix et quatre-vingt, ce qui est central dans la liturgie.

    4) Quel est le rôle de Benoît XVI dans cette évolution ?

    Le pontificat de Benoît XVI a joué une influence déterminante sur les séminaristes de cette génération. Ils ont trouvé en lui un modèle. Car si Benoît XVI a parlé de la liturgie, il a aussi donné l’exemple en la célébrant. Ces jeunes ont également été impressionnés par la possibilité de célébrer dans la forme extraordinaire, avec, en arrière-plan, l’idée d’une influence réciproque et le désir d’une plus grande unité dans la liturgie. Cela a eu des conséquences sur la manière de célébrer dans la forme ordinaire.

    5) Tout évêque n’est-il pas appelé à avoir ce souci de la liturgie ?

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  • Allez, les Belges, réveillez-vous !

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    Un de nos amis attire notre attention sur deux initiatives importantes sur le plan éthique :

    1. Pétition "Un de nous" www.oneofus.eu .

    Cette pétition demander d'arrêter le financement de la recherche sur l'embryon par la Commission européenne.

    Pour qu'elle contraigne la CE à prendre une initiative, il faut obtenir plus d'un million de signatures avant le 1er novembre 2013 et il faut qu'au moins 7 pays aient plus que leur quota de signatures.

    Trois quart de l'objectif est atteint. L'Italie est le pays qui a recueilli le plus de signatures, suivi par l'Autriche, la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie.

    Toutefois, la Belgique n'a recueilli que 15% des signatures nécessaires à son quota et Bruxelles est la capitale de l'Europe...

    Retroussons nos manches !

    2. Le site d'information http://www.euthanasiestop.be/ Ce site permet une expression publique de voix 'discordantes' par rapport à la tendance visant l'extension du champ de la loi sur l'euthanasie.