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BELGICATHO - Page 2176

  • L’Eglise catholique, arbitre de la situation post-électorale en RDC

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    CENCO-et-Kabila1.jpgLu sur Cathobel (extraits) :

    Pour tenter d’atténuer les tensions nées de la contestation des résultats de l’élection présidentielle du 28 novembre dernier en République démocratique du Congo, les évêques congolais se posent désormais en arbitres et conciliateurs entre la majorité présidentielle et l’opposition. Ils ont rencontré et écoutés les différents acteurs politiques.

    Une délégation des évêques, conduite par le président de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO), Mgr Nicolas Djombo, archevêque de Tshumbe, a été reçue le 5 mars par le président Joseph Kabila, a rapporté la  radio onusienne Okapi. L’examen de la situation politique et sociale de la République démocratique du Congo a été au centre de l’entretien.(…).L’abbé Léonard Santedi, secrétaire général et porte-parole de la CENCO, a déclaré à la presse que la visite de la délégation de la CENCO auprès du Chef de l’Etat s’inscrit dans le cadre du dialogue qui « doit toujours exister entre l’Eglise et les dirigeants du pays, en vue de prouver que l’Eglise a toujours œuvré pour les bonnes relations avec l’Etat afin que son message soit un message de paix, d’amour et de fraternité ».(…). Le secrétaire général de la CENCO a aussi précisé que le président Kabila avait apprécié la démarche des évêques et leur avait promis de continuer à toujours travailler pour le bien-être de la population. Les évêques, en tant que pasteurs, ont aussi promis au Chef de l’Etat de poursuivre leur mission d’œuvrer à la base pour une paix véritable. Un memo des évêques, dont la teneur n’a pas été révélée, a été remis au chef de l’Etat à cette occasion.

     Favoriser le dialogue entre les parties

     Les évêques se sont ensuite rendus chez Etienne Tshisekedi, qui conteste toujours la victoire de son adversaire Joseph Kabila, réélu pour cinq ans à la tête de la RDC. Ils lui ont remis un mémorandum dans lequel ils déclarent : « La CENCO, attachée aux valeurs de justice et de vérité, a dénoncé et condamné les irrégularités qui ont marqué le dernier processus électoral ». Ils ont ensuite exhorté le gouvernement à privilégier « la voie du dialogue pour l’intérêt supérieur de la nation congolaise ».

    Enfin, la délégation de la CENCO a rencontré Vital Kamerhe, ancien président de l’Assemblée nationale, passé à l’opposition, arrivé en troisième position de la présidentielle, et le délégué du candidat Léon Kengo, ancien premier ministre de Mobutu et arrivé en quatrième position du scrutin.

    Les évêques congolais estiment que le dialogue des acteurs politiques et de toutes les forces vives de la société pour le service du bien commun et de l’intérêt supérieur de toute la nation congolaise reste l’unique voie pour résoudre le malaise sociopolitique actuel en RDC. Et d’ajouter : « Dans cet esprit, nous avons tenu à rencontrer les principaux acteurs politiques pour nous mettre à l’écoute des uns et des autres, afin de voir comment reconstruire ensemble notre pays dans la paix, la justice et la vérité ».Voir ici  L’Eglise catholique, arbitre de la situation post-électorale en RDC

     Au Congo, l’Eglise -telle que nous l’y avons déjà connue autrefois-  n’a aucun état d’âme sur la question de savoir si elle a ou non le droit (et même le devoir) d’intervenir au nom du bien commun dans la « sphère publique » (pour reprendre la terminologie idéologique convenue en Occident). Il est vrai qu’elle s’adresse à une société naturellement croyante et ouverte au message évangélique. Une société qui collectionne sans doute beaucoup de péchés individuels ou collectifs, sauf un : le péché contre l’Esprit. Autres cieux…   

  • Tunisie: des déclarations qui sèment le trouble

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    C'est une série de mots choisis qui mettent la Tunisie en émoi. Un glissement sémantique, d'abord: dans le cadre des discussions sur la place de la femme dans la nouvelle Tunisie, les députés du parti islamiste Ennahda, vainqueur des premières élections libres, ne parlent plus désormais d'égalité entre l'homme et la femme, mais de "justice". Dans un pays qui a longtemps fait figure de modèle en matière d'émancipation de la femme - émancipation relative, car si la femme tunisienne était plutôt protégée dans le code civil sous l'ère Ben Ali, elle ne pouvait, par exemple, prétendre à la même part d'héritage qu'un homme - ce glissement n'est pas passé inaperçu.
     Il a été suivi d'un certain nombre de petites phrases. Le leader d'Ennahda lui-même, Rached Ghannouchi, a fait le 29 octobre dernier une déclaration qui est passée à peu près inaperçue en Occident: il a proposé d'abroger les dispositions permettant l'adoption, interdit en islam, pour y substituer la kefala prônée par la charia - une sorte de tutelle bénévole dans laquelle l'absence de liens du sang est clairement exprimée. Outre le fait que cela représente une islamisation du droit actuel, l'emploi par Ghannouchi du terme laqit ("bâtards') pour qualifier les enfants abandonnés a choqué.
     En novembre, la déclaration de l'une des figures modernistes du parti Ennahda, la députée Souad Abderrahim, a provoqué là encore une vive émotion. "Les mères célibataires sont une infâmie, et elle ne devraient pas aspirer à un cadre légal qui protège leurs droits", a-t-elle déclaré sur la radio arabophone Monte-Carlo Doualiya. Il y a quelques jours, la déclaration de la ministre des affaires de la femme et de la famille Sihem Badi a provoqué un nouveau tollé. En déclarant que le mariage coutumier (orfi) était "de la responsabilité personnelle de chacun", elle a semblé cautionner une pratique jusque-là interdite et qui dispense surtout l'homme de la moindre responsabilité envers sa femme. Interrogée hier à ce sujet par les internautes du Monde, elle a fait machine arrière. Pendant ce temps, la tension ne retombe pas dans l'université de la Manouba, théâtre depuis des semaines d'un blocus par des étudiantes salafistes réclamant le droit de suivre les cours voilées. Mercredi, des affrontements entre universitaires et salafistes ont fait cinq blessés, de nombreux dégâts matériels et une image a choqué: celle de jeunes gens arrachant le drapeau tunisien et le piétinant, pour le remplacer par le drapeau islamique. Référence: Tunisie: les laïcs de plus en plus inquiets

    Non, en Tunisie non plus les partisans de la laïcité de l’Etat n’ont pas le vent en poupe. Et l’idéologie de la post-modernité c’est bon pour la démocratie libérale avancée des occidentaux.

  • La plus délicieuse figure de la geste de Don Bosco

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    Source : abbaye-saint-benoit.ch

    "Dominique est la plus délicieuse figure de la geste de don Bosco" (Daniel-Rops). C'est le deuxième enfant d'une famille qui devait en compter dix. Domenico naît en 1842 à Riva presso di Chieri, à une vingtaine de km à l'est de Turin. Sa famille est pauvre, ce qui oblige son père à exercer à tour de rôle les métiers de forgeron ou de paysan suivant les nécessités et à changer plusieurs fois de lieu d'habitation. Deux ans après la naissance de Dominique, ses parents retournent dans leur pays d'origine, le hameau de Murialdo, village natal de Don Bosco. Dès l'âge de cinq ans, Dominique suit la messe quotidiennement et lorsque, parfois l'église n'est pas encore ouverte, il s'agenouille à la porte et prie, quel que soit le temps. Le curé raconte: "Encore très jeune et de petite taille, il ne pouvait transporter le missel; c'était curieux de le voir s'approcher de l'autel, se hausser sur la pointe des pieds, tendre les bras tant qu'il pouvait, faire tout son possible pour atteindre le porte-missel. Si le prêtre ou quelqu'un d'autre voulait lui faire un plaisir immense, il devait, non pas transporter le missel, mais le lui rapprocher suffisamment, et alors, tout joyeux, il le portait de l'autre côté de l'autel." Il n'est pas étourdi et dissipé comme les garçons de son âge. Très pieux, on n'a pas besoin de lui rappeler ses prières. C'est plutôt lui qui les rappelle à ses parents quand, pressés par la tâche, ils les oublient.

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  • Belgicatho en roue libre pour quelques jours

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    L'activité de belgicatho a connu un rythme assez soutenu ces derniers jours. Il n'en ira pas de même durant les dix prochains jours où le blogue sera alimenté de façon plus parcimonieuse, mais non moins intéressante!

  • Sri Lanka : un évêque menacé d'arrestation par le parti boudhiste au pouvoir

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    L’évêque catholique de Mannar menacé d’arrestation par le parti bouddhiste au pouvoir (Source : Missions Etrangères de Paris / EDA)

    Mgr Rayappu Joseph, évêque de Mannar, suivi par une trentaine de prêtres, a lancé un appel aux Nations Unies leur demandant de faire pression sur le gouvernement sri-lankais afin qu’il reconnaisse ses crimes de guerre. Une initiative qui a fortement irrité le parti bouddhiste nationaliste Jathika Hela Urumaya (JHU), membre de la coalition au pouvoir, lequel a demandé l’arrestation de l’évêque catholique.

    Le 1er mars, l’évêque de Mannar, un diocèse situé dans la partie tamoule de l’île, a signé avec trente autres prêtres issus de différentes parties du Sri Lanka, une lettre adressée au Conseil des droits de l’homme de l’ONU (UNHRC) qui siège actuellement à Genève pour sa 19ème session (du 27 février au 23 mars). Dans cet appel, il a demandé aux Nations Unies d’intervenir auprès du gouvernement de Mahinda Rajapaksa afin que ce dernier « assure la protection des droits de l’homme » et « mette en œuvre le processus de réconciliation ».

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  • Sainte Catherine de Sienne à la Une sur Wikipedia pour la Journée de la Femme

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    "C'est Sainte Catherine de Sienne qui fait la Une de la page d'accueil de Wikipédia aujourd'hui. Chaque jour, en effet, les contributeurs de l'encyclopédie participative sont invités à voter pour choisir quel article, parmi les nouvelles entrées proposées, sera mis en exergue sur la page d'accueil. Le même contributeur, qui signe du pseudonyme de Babouba, a réussi de même à propulser Saint Jean de la Croix en Une... demain 9 mars.

    Source : Matinale chrétienne (La Vie)

     
     
  • Un débat sur l'avortement à la radio

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    Un débat radio sur la RTBF sera diffusé sur La Premiere de 11h a 12h, le dimanche 18 mars (émission "Et Dieu dans tout ça")
     
    Les intervenants seront :
    •  Dr Françoise Kruyen, gynécologue, pionnière de la lutte pour la dépénalisation de l'avortement ;
    • Julia Laot, porte-parole de la Plateforme pour l'avortement ;
    • Carine Brochier, membre de l'Institut Européen de Bioéthique ;
    • Antony Burckhardt, président de « Génération pour la vie »

  • Un pasteur protestant poignardé au Pakistan

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    ASIE/PAKISTAN - Pasteur protestant poignardé par des extrémistes islamiques, vivant par miracle

    (Agence Fides) – Le pasteur chrétien évangélique John Pervaiz a été agressé et poignardé par un groupe d’extrémismes islamiques qui voulaient le tuer. L’agression a eu lieu ces jours derniers pour des raisons totalement inconnues à Kashur, dans la province du Punjab, où le pasteur réside. Ainsi que cela a été indiqué par l’ONG pakistanaise LEAD (« Legal Evangelical Association Development »), le pasteur a reçu différents coups de couteau et, conduit à l’hôpital, il y est resté suspendu entre la vie et la mort pendant plusieurs jours. Il semble désormais hors de danger, « vivant par miracle ». De telles attaques privées de motif, remarquent des sources de Fides, « interviennent par haine religieuse, suite à des accusations de prosélytisme ou parce que les chrétiens sont mal vus par les fondamentalistes islamiques ».

    Le pasteur Pervaiz est membre de « l’église du Pakistan », dénomination chrétienne protestante au profit de laquelle, depuis 14 ans, il guide le culte à Kashur sous la responsabilité de l’évêque Robert Azraiya, militant pour la paix, l’harmonie et les droits des minorités bien connu. Ainsi que cela a été indiqué par un certain nombre de fidèles du lieu, les deux agresseurs se sont présentés comme étant Ghulam Muhammad et Ashfaq Rassol, mais ils se sont enfuis et n’ont pour l’heure pas été retrouvés. L’organisation LEAD a déjà déposé une plainte formelle devant la police (First Information Report) afin de demander l’arrestation des coupables alors que la famille du pasteur est terrorisée suite à cette agression. La communauté locale prie incessamment pour le salut du pasteur afin que « sa mission d’annonce de l’Evangile puisse se poursuivre ». Les fidèles demandent le soutien de tous les chrétiens du pays et de l’étranger « afin de soutenir les églises persécutées au Pakistan ». (PA) (Agence Fides 08/03/2012)

  • Le gouvernement afghan et les Ulémas s'entendent pour limiter les droits des femmes

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    L'information qui suit est éclairante. Alors que ceux qui prennent la posture de champions des droits de la femme ne voient d'adversaires que dans les "milieux catholiques rétrogrades", de nombreux pays musulmans piétinent allègrement les droits des femmes. Comment font ces "progressistes" pour concilier leur politique d'ouverture inconditionnelle à l'égard de l'Islam (et de racolage de l'électorat immigré) avec leurs déclarations tonitruantes en faveur des "avancées" féministes et LGBT? Hier encore, les pays musulmans s'opposaient à la tentative d'introduire la notion d'"orientation sexuelle" aux Nations Unies (voir ici). Comment comprendre cette véritable schizophrénie intellectuelle qui consiste à vouloir affranchir les individus à l'égard de toute contrainte morale et, dans le même temps, à se vouloir les meilleurs amis de la religion du Prophète? Inconscience? Malhonnêteté? Opportunisme?

    (Agence Fides) - Le gouvernement afghan du Président Hamid Karzai a apporté son soutien public à un « Code de comportement » qui limite les droits des femmes, émané par l'influent Conseil des Ulémas, organisme islamique qui rassemble les principaux responsables islamiques afghans. Ainsi que l'affirme une note envoyée à Fides par la « Human Rights and Democracy Organisation », ONG de la société civile afghane, cette prise de position est une concession à la charia (la loi islamique) et aux talibans et constitue donc « un énorme pas en arrière » en matière de droits des femmes. Elle représente par ailleurs une violation de la Constitution afghane qui reconnaît l'égalité entre l'homme et la femme.

    Le Code de conduite permet aux maris, dans certains cas, de maltraiter leurs épouses et encourage la ségrégation par sexe, ramenant presque les afghanes à la situation qui était la leur sous le régime des talibans. Le texte indique une série de lignes directrices que « les femmes religieuses devraient observer de leur propre initiative » : les femmes ne sont pas autorisées à voyager sans être accompagnées par un homme et ne peuvent pas parler aux inconnus dans des lieux tels que les écoles, les marchés et les bureaux. Frapper son épouse - affirme le texte - est interdit seulement « dans le cas où ce geste n'est pas accompli conformément à la charia ».

    Selon les observateurs, l'appui publiquement exprimé par le Président Karzai à de telles normes pourrait être une manoeuvre pour obtenir le soutien politique des Ulémas dans le cadre des délicates négociations avec les talibans. Fatana Ishaq Gailani, fondatrice de l'ONG « Afghanistan Women's Council », indique : « Les droits des femmes ont été utilisés comme monnaie d'échange dans un jeu politique », ajoutant que « nous voulons un islam juste et non pas un islam politique ». (PA) (Agence Fides 08/03/2012)

  • Pour que la contribution des femmes au développement de la société soit pleinement reconnue dans le monde entier

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    Sur Radio Vatican :

    Des initiatives sont organisées dans le monde entier à l’occasion de la journée de la femme. Benoît XVI lui-même a choisi de consacrer aux femmes son intention générale de prière pour le mois de mars : « Pour que la contribution des femmes au développement de la société soit pleinement reconnue dans le monde entier ».

    Les femmes sont, aujourd’hui encore, confrontées à de nombreux défis. Interrogée sur notre antenne, Flaminia Giovanelli, sous-secrétaire du Conseil pontifical Justice et Paix invite à demander au Saint-Esprit de nous indiquer de nouvelles voies pour que la contribution des femmes à la société soit reconnue. Pour Flaminia Giovanelli il est juste et nécessaire de continuer à revendiquer le respect des droits des femmes, car les principes désormais reconnus par les chartes constitutionnelles ne sont pas entièrement appliquées.

    Jean-Paul II parlait de génie féminin, car la femme a une vocation particulière, souligne la sous-secrétaire du Conseil Justice et Paix. Or, cette vocation est ouvertement contestée, notamment par la « Théorie du Genre », ou remise en discussion dans certains milieux féministes, y compris parmi les chrétiens. C’est pourquoi les femmes chrétiennes ont un rôle de premier plan à jouer face à ce défi anthropologique. Elle doivent promouvoir une conception correcte de la personne humaine et du rapport hommes-femmes. En temps de crise, les femmes peuvent aussi contribuer à humaniser l’économie en cultivant le sens de la gratuité et du don. Enfin les femmes savent et peuvent accompagner l’aspiration à la paix par des actions concrètes.

    Flaminia Giovanelli souhaite surtout que les femmes soient heureuses d’être femmes, de leur capacité à jouer sur plusieurs fronts simultanément. C’est une chance qu’elles doivent savoir saisir. Paul VI avait confié aux femmes la tâche de réconcilier les hommes avec la vie : « Retenez la main de l’homme qui, dans un moment de folie, tenterait de détruire la civilisation humaine ».

     

  • Défendre la femme, est-ce promouvoir l'avortement ?

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    La "Journée de la Femme" est surtout prétexte à des discours féministes outranciers, en particulier en ce qui concerne ce "droit inaliénable" qu'est l'accès à l'avortement. La RTBF, qui n'est jamais en reste, en remet une couche ce matin, profitant de la parution d'un éditorial en Suisse pour s'étendre longuement sur le sujet. Vous avez dit "matraquage"?

  • Le numéro 1513 de l'Homme Nouveau (10 mars 2012)

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    Au sommaire du numéro 1513 daté du 10 mars 2012 (commande) :

    Evénement : Présidentielles françaises : Un juste vote ?

    Quelques réflexions sur le programme de divers candidats à l'aune de la doctrine catholique.

    Dossier : Liturgie

    Des évêques réagissent au sujet des traductions liturgiques.

    Actualités : Aux frontières de l'humain.

    Un congrès s'est tenu à Rome sur la personne humaine à l'heure de la révolution biotechnologique. Éclairant !

    Kevin Ford, un jeune fermier en Amérique.

    La contraception accessible à tous : Un rapport demande l'accès gratuit à toute contraception pour les mineur(e)s. Il montre en effet que ces derniers ne l'utilisent guère.

    Culture : Le père Frederick William Faber, avocat de l'Église et chantre du Salut.

    Saint François d'Assise selon les écrits de Padre Pio.

    Figure spirituelle : Catherine Drexel, mère et servante des Indiens et des Noirs.

    Magistère : Le Pape invite les cardinaux à avoir saint Pierre pour modèle.

    Tribune : Le frère Marie-Angel, soldat du feu, soldat de Dieu.