photo : The Catholic Sun
"Le serial-prophète Emmanuel Todd triomphait il y a quelques semaines sur France Culture en déclarant que les révolutions arabes étaient une catastrophe pour les islamophobes. C’est parfaitement faux, à moins qu’il ait voulu dire que ceux qui redoutaient de voir l’islam politique des islamistes prendre trop d’importance dans le processus de démocratisation des pays arabes risquaient de voir leurs pires craintes se confirmer. À vrai dire, on préférerait que les révolutions arabes soient une catastrophe pour les islamistophiles, mais elles n’en prennent guère le chemin. C’est bien autour de l’islam que paraissent s’organiser les forces politiques les plus dynamiques dans les pays arabes touchés par ce Printemps tant célébré de ce côté-ci de la Méditerranée.
Les chrétiens d’Orient, bien qu’ils soient dans l’ensemble eux aussi plus éduqués que leurs compatriotes, sont plus circonspects. Selon Georges El-Choueifati, un chrétien maronite libanais, fondateur de l’association du Frère Estephan Nehme, « si les chrétiens d’Orient, plus occidentalisés que leur compatriotes, aspirent pour la plupart à la liberté politique que promettent ces mouvements populaires, ils redoutent aussi l’avènement de régimes dont les leaders afficheraient ouvertement leurs convictions islamistes »...
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La Banque de cellules souches adipeuses de Saint-Luc propose l’autotransplantation aux patients atteints de non-consolidation osseuse (post-traumatique, après exérèse d’une tumeur) ou plaies après radiothérapie. Cette technique consiste à prélever de la graisse sur le patient puis d’en extraire des cellules souches (adultes) qui permettront de reconstruire les os et de guérir les plaies. Six patients à ce jour ont déjà bénéficié d’une autogreffe de cellules souches adipeuses. Ce programme est unique en Belgique et en Europe. L’unité de thérapie cellulaire ne délivre actuellement ses greffes qu’aux patients des Cliniques Saint-Luc.
Dans un entretien exclusif accordé à l’hebdomadaire Famille Chrétienne, le cardinal Raymond Leo Burke (photo), préfet du Tribunal suprême de la Signature apostolique (sorte de cour de cassation prévue par le code de droit canonique) confirme que le motu proprio Summorum Pontificum sur l’usage actuel des livres liturgiques en vigueur à l’ouverture du concile Vatican II n’entre pas dans le cadre d’une exception (« indult ») mais possède bien valeur de loi.
C'est
Deux journalistes belges, l’un francophone, Martin Buxant (dans la mouvance de « La Libre Belgique »), l’autre flamand, Steven Samyn (dans celle du « Morgen ») publient un livre vanté ici