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BELGICATHO - Page 999

  • L’essentiel de ce qu’un homme de bonne volonté peut croire et espérer quand il se confie à Dieu

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    D'Aleteia.org (Marzena Devoud):

    Cette lettre de saint Ignace d’une incroyable actualité

    Écrite un an avant sa mort, cette lettre de saint Ignace de Loyola étonne par la puissance qui s’en dégage encore. Près de cinq siècles plus tard, le lecteur d’aujourd’hui y trouve résumé l’essentiel de ce qu’un homme de bonne volonté peut croire et espérer quand il se confie à Dieu.

    C’est une lettre pour ceux qui croient que la puissance du Seigneur les accompagne dans tous les actes de leur vie. C’est une lettre pour ceux qui espèrent, parce qu’ils placent leur confiance en Dieu, un Dieu qui sait mieux les combler qu’aucune action humaine. C’est une lettre pour ceux qui veulent apprendre à rechercher en toute chose et à tout moment la lumière de la sagesse de Dieu. Afin qu’elle dissipe nos peurs et pour qu’elle guide nos actes en fructifiant en nous les dons du Christ.

    « Il me semble que vous devriez vous résoudre à faire avec calme ce que vous pouvez. Ne soyez pas inquiets de tout, mais abandonnez à la divine Providence ce que vous ne pouvez accomplir par vous-même. Sont agréables à Dieu notre soin et notre sollicitude raisonnables pour mener à bien les affaires dont nous devons nous occuper par devoir. L’anxiété et l’inquiétude de l’esprit ne plaisent point à Dieu. Le Seigneur veut que nos limites et nos faiblesses prennent appui en sa force et en sa toute-puissance ; il veut nous voir croire que sa bonté peut suppléer à l’imperfection de nos moyens. Ceux qui se chargent d’affaires nombreuses, même avec une intention droite, doivent se résoudre à faire simplement ce qui est en leur pouvoir, sans s’affliger s’ils ne parviennent pas à tout réaliser comme ils le voudraient. À condition toutefois qu’ils aient accompli tout ce que la nature humaine peut et doit faire selon les indications de la conscience. Si on doit laisser de côté certaines choses, il faut s’armer de patience, et ne pas penser que Dieu attend de nous ce que nous ne pouvons pas faire : Il ne veut pas davantage que l’homme s’afflige de ses limites. Pourvu que l’on donne satisfaction à Dieu, — ce qui est plus important que de donner satisfaction aux hommes — il n’est pas nécessaire de se fatiguer outre mesure. Bien plus, lorsqu’on s’est efforcé d’agir de son mieux, on peut abandonner tout le reste à celui qui a le pouvoir d’accomplir tout ce qu’il veut.

    Plaise à la divine Bonté de nous communiquer toujours la lumière de la Sagesse, pour que nous puissions voir clairement et accomplir fermement son bon plaisir, en nous et dans les autres… pour que nous acceptions de sa main ce qu’il nous envoie, en faisant cas de ce qui a le plus d’importance : la patience, l’humilité, l’obéissance et la charité… Que Jésus-Christ soit seulement en nos âmes avec ses dons spirituels ! Amen. » (Saint Ignace de Loyola (1491-1556) – Lettre du 17/11/1555)

  • Mgr Ambongo: «Sans l'Église, le peuple congolais sombrerait dans le désespoir»

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    Lu sur le site web figarovox :

    Mgr-Ambongo.jpg« FIGAROVOX/ENTRETIEN - L'archevêque de Kinshasa (RDC) est engagé depuis des années contre le pouvoir présidentiel. Venu témoigner en France à l'invitation de l'Aide à l'Église en Détresse, il rappelle l'importance du rôle que joue l'Église pour la paix et le développement en Afrique:

    FIGAROVOX.- Depuis plusieurs années, l'Église catholique au Congo s'est engagée en faveur d'une transition politique. Aujourd'hui, l'arrivée au pouvoir de Félix Tshisekedi est un nouveau revers car vous avez contesté son élection. Comment vous positionnez-vous par rapport au pouvoir en place? 

    Mgr Fridolin AMBONGO.- L'Église condamne le déni de vérité qui a permis à Félix Tshisekedi d'accéder au pouvoir et partage la même déception que le peuple. Le peuple a voté massivement pour un changement, il a élu Martin Fayulu mais c'est quelqu'un d'autre qui a été proclamé: Félix Tshisekedi. Cela a créé une frustration dans la population. On ne peut pas fonder l'avenir d'une nation sur un mensonge aussi spectaculaire que celui-là.

    Cela dit, nous pensons que l'histoire ne doit pas s'arrêter au mal qui vient d'être commis. Nous devons regarder vers l'avenir. L'institution «président de la République» doit continuer à fonctionner: nous constatons qu'elle est aujourd'hui occupée par Félix Tshisekedi. Nous n'avons d'autre choix que de composer avec lui.

    Au Congo, l'Église a été amenée à jouer un rôle en raison des défaillances de l'État.

    Notre crainte aujourd'hui, c'est la marge de manœuvre du nouveau président Félix Tshisekedi face à l'ancien régime de Kabila. L'assemblée nationale est dominée à plus des deux tiers par les partisans de l'ancien régime, et, selon la Constitution, le Premier ministre est issu du parti majoritaire. Par conséquent, le Premier ministre sera issu du parti de Kabila qui est majoritaire au parlement.

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  • La Vie des diocèses : Mgr Bonny, évêque d'Anvers sur KTO

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    De KTO :

    A la rencontre des forces vives de l’Église catholique en France et en Belgique. Chaque semaine, un évêque est reçu par Charles François Brejon  pour remettre en perspective la vie et l’actualité de son diocèse. Comment l’Evangile est-il concrètement annoncé ? Quelles sont les priorités pastorales ? Reportages et interviews nourrissent un échange franc et direct.

  • L’accouchée (61 ans) : à la fois grand-mère et mère-porteuse…

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    De RCF via Ecologie Humaine :

    GRAND-MÈRE PORTEUSE

    « J’espérais que c’était un poisson d’avril, mais c’est une histoire vraie que je vais vous rapporter. Accrochez-vous ! » : un billet féministe de Tugdual Derville, co-initiateur du Courant pour une écologie humaine.

    « L’affaire est renversante. Le 25 mars aux États-Unis une petite fille est née. Souhaitons-lui de tout cœur une heureuse vie ! Dire qui est sa maman est compliqué. Car l’accouchée, qui a 61 ans, est à la fois sa grand-mère et sa mère-porteuse… Le père de la fillette, son géniteur, est le fils de cette femme. On a procédé avec son sperme à des fécondations in vitro. Sur la photo prise à la maternité, à côté du géniteur, on voit un autre homme : c’est son mari. Sa sœur a données ovocytes pour concevoir l’enfant. Donc, d’un côté, une tante est la mère génitrice du bébé, et, de l’autre, une grand-mère est sa mère gestatrice. Mais l’enfant n’aura pas de maman éducatrice, seulement deux papas : génétiquement, l’un est son père, l’autre son oncle. Voilà.

    Je récapitule la recette de cette folie : prélever le sperme d’un homme et 12 ovocytes à la sœur de son compagnon… Mélanger le tout. Obtenir sept embryons. Les faire passer au test génétique. Ne garder que les trois meilleurs. En congeler deux. Mettre le troisième dans l’utérus de sa grand-mère. Attendre neuf mois. Servir aux médias. Le tour est joué. Et l’on vante un progrès pour l’humanité !

    L’accouchement par la grand-mère s’est déroulé en présence des deux hommes. Ils disent avoir « tout contrôlé ». Une femme trop âgée pour concevoir naturellement a donc subi une grossesse ultra-tardive qu’on sait risquée ; une autre femme a subi un prélèvement ovocytaire, qui n’a rien d’anodin. Tout cela pour assouvir le désir de deux hommes. Ces derniers contestent déjà l’homophobie de la loi du Nebraska, qui reconnaît la grand-mère porteuse comme mère de sa petite-fille, et son fils comme seul père, tant que la grand-mère porteuse n’a pas fait acte d’abandon pour que l’autre homme puisse adopter.

    Bonjour les repères généalogiques ! Tout ce petit monde est condamné à s’entendre… Compagnons, belle-mère-porteuse et gendre, frère et sœur, pour éviter de compliquer davantage la situation de l’enfant. Ça n’est déjà pas évident pour les couples de tenir et pour les ados de se construire ! Imaginez les binômes invraisemblables que la technique artificielle s’est autorisée à inventer… Faire son enfant avec sa mère ou sa sœur est un fantasme infantile qui n’est digne ni d’une société adulte, ni de l’écologie humaine. Et je pense que si certaines femmes se sacrifiaient un peu moins face aux désirs masculins, le monde tournerait mieux. »

    Sources : Émission RCF du 05 avril 2019
  • Asia Bibi : toujours prisonnière au Pakistan ?

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    Du site m.dw.com :

    Asia Bibi: toujours «prisonnière» au Pakistan?
     
    Asia Bibi, une chrétienne qui a passé près de 10 ans dans le quartier des condamnés à mort pour blasphèmes, a été acquittée par le tribunal suprême du Pakistan en janvier. Mais Asia Bibi n'est toujours pas une personne libre et on ignore où elle se trouve.

    En janvier, le plus haut tribunal du Pakistan a confirmé sa décision d'octobre 2018 d'acquitter Asia Bibi, une femme catholique appauvrie, d'accusations de blasphème. Asia Bibi, une mère de cinq enfants, a été arrêtée en juin 2009 après que ses voisins se soient plaints qu'elle ait fait des remarques désobligeantes à propos du prophète Mahomet et de l'islam. Un an plus tard, Asia Bibi avait été condamnée à mort malgré la forte opposition de groupes nationaux et internationaux de défense des droits de l'homme.

  • L'actualité bioéthique (soins palliatifs, euthanasie...)

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    L'actualité sur le Bulletin d'Information de l'institut Européen de Bioéthique :

    Le modèle des soins palliatifs doit s’adapter. Encore fortement construits autour des institutions de soins, les soins palliatifs sont appelés à faire partie intégrante de la vie en société pour permettre aux patients ou personnes âgées d’être soignés le plus longtemps possible dans leur environnement propre. C’est ce que soutient une récente étude menée par le groupe de recherche End...

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    03/04/2019 - Fin de vieFaisant suite à une journée d’étude à Anvers en mars dernier, le consortium de médecins LEIF (LevensEinde InformatieForum) fait pression pour élargir l’accès à l’euthanasie aux patients qui sont à un stade avancé de démence. L’argument est le suivant : puisque la loi exige que la personne soit encore capable de discernement au moment de son euthanasie (*), celle-ci n'est possible...

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    Le projet de loi pour la dépénalisation de l’euthanasie et du suicide assisté soumis au Parlement néo-zélandais par le député David Seymour (ACT New-Zealand) et adopté en première lecture, a suscité un vaste rejet de la part des citoyens. Un rapport de l’organisation Néo-zélandaise Care Alliance montre plus de 90% d’opposants. 38.000 Néo-Zélandais ont remis leurs observations...

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    La Fondation Roi Baudouin et Sciensano ont organisé un forum citoyen dont le but était de discuter en détails de l’emploi des données ADN dans le domaine médical. Cette démarche à eu lieu suite à la demande de la ministre de la Santé Publique qui souhaite élaborer une politique sur le sujet, politique qu'elle veut conforme aux attentes de la population belge. Ainsi, les 32 participants du forum ont dû...

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    La députée néerlandaise Corinne Ellemeet (GroenLinks) a provoqué de vives réactions suite à sa proposition concernant les soins aux personnes âgées. La députée écologiste demande à ce que les médecins gériatres en hôpitaux soient davantage impliqués dans le processus décisionnel pour prodiguer ou pas un traitement lourd à un patient âgé de plus de 70...

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  • 58% des journalistes belges se situent à gauche

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    Comme en 2013, les résultats de 2018 montrent que la majorité des journalistes belges (les trois régions confondues) se positionnent plutôt à gauche sur l’échiquier politique. 58,4 des répondants se situent à gauche de l’échelle et seulement 15,6 %, à droite.

    Consulter le pdf Portrait des Journalistes belges en 2018

  • 23 avril, Philo à Bruxelles avec Stéphane Mercier : L'art et la beauté

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  • Le cardinal Sarah s'exprime sur TV Libertés : une interview à ne pas manquer

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    Son Eminence le Cardinal Sarah, préfet de la Congrégation pour le culte divin, a accepté de répondre aux questions de TV Libertés. Le prélat qui vient de publier "Le soir approche et déjà le jour baisse" répond aux questions de Jean-Pierre Maugendre. Il affirme qu'à la racine de l'effondrement de l'Occident, il y a une crise culturelle et identitaire. Le Cardinal considère que le temps est venu d'un diagnostic sans concession.

    Lire également :

    et aussi :

    Cardinal Sarah : “L’Eglise est plongée dans l’obscurité du Vendredi saint”

  • A Liège, le samedi 13 avril à 15h00 en l’église du Saint-Sacrement: orchestre portugais de guitares et mandolines

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    Concert unique en Belgique dans la tournée européenne de l’orchestre portugais de guitares et mandolines (dir. Helder Fernando Cardoso)

    foliamusica AFFICHE ORCHESTRE PORTUGAIS 2019-page-001.jpg

    A l’initiative de « Foliamusica », directrice artistique, Cécile Leleux. Réservations : 0473 32 19 83

    JPSC

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    Restauration_depliant - Copie.jpgFaire un don pour la restauration de l’église du Saint Sacrement à Liège ?  Pour contribuer à la sauvegarde de ce joyau de l’art néo-classique, vous pouvez faire undon fiscalement déductible en versant le montant de votre choix au compte de projet : IBAN BE10 0000 0000 0404 – BIC BPOTBEB1 de la Fondation Roi Baudouin, rue Brederode, 21, 1000 Bruxelles, avec, en communication, la mention structurée (indispensable) : 128/2980/00091.  

    Pour en savoir plus sur les enjeux de cette importante restauration, cliquez ici : Restauration de l'église du Saint-Sacrement à Liège . L'évêque s'implique. Et vous?

  • Seules les paroisses missionnaires survivront, les autres sont condamnées...

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    De Domitille Farret d'Astiès sur aleteia.org :

    « Il n’y a que les paroisses missionnaires qui survivront, les autres vont s’effondrer »

    Aleteia : Pensez-vous que nos paroisses soient vraiment en danger ?
    Père James Mallon : Absolument. Nos paroisses existent encore sur un modèle chrétien ancien. Aujourd’hui, elles ne vivent pas du tout leur identité missionnaire. Elles attendent que les gens viennent à elles. Or, un missionnaire va dehors, il dépasse les obstacles culturels. La plupart des paroisses ne font pas cela et s’attendent à ce que l’on vienne à elles. C’est exactement le contraire. En raisons de changements profonds dans notre culture, dans une génération, il n’y aura plus que les paroisses missionnaires qui survivront. Les autres s’effondreront. Si nous n’allons pas vers les gens, l’Église mourra. Seules les paroisses missionnaires ne tomberont pas. Une communauté qui prie, c’est d’une importance fondamentale mais ce n’est pas suffisant en tant que tel. La prière doit conduire à l’action. L’action sans la prière ne fonctionnera pas mieux. Les deux sont nécessaires.

    Quelles sont les clefs du changement ?
    J’en vois trois. La première, c’est de donner la priorité à l’évangélisation car c’est elle qui change les cœurs. L’Église publie des recommandations sur ce sujet, elle en parle volontiers, elle fait de la théologie. Mais il ne se passe finalement rien de bien concret. Nous prions, nous célébrons les sacrements, mais nous ne savons pas vraiment comment mobiliser. La deuxième clef, c’est la question du leadership. Il est nécessaire de passer de la maintenance à la mission...

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  • Pâques amères en Chine : comment Pékin sort grand vainqueur de la partie contre Rome

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    De Sandro Magister (Settimo Cielo) en traduction française sur diakonos.be :

    Pâques amères en Chine. Pékin sort grand vainqueur de la partie contre Rome

    Voici aussi comment le régime chinois applique son accord avec le Saint-Siège.  Avec un bulldozer escorté par la police (photo) qui rase au sol le 4 avril les bâtiments d’une paroisse de Qianyang, ceux-ci abritaient à l’étage une salle pour la messe et au rez-de-chaussée un dispensaire gratuit pour les pauvres géré par des religieuses.

    La seule faute du curé et des deux mille fidèles de cette paroisse « clandestine » est la même que celle du diocèse auquel ils appartiennent, celui de Fengxiang, dans le Shaanxi, le seul diocèse de toute la Chine dans lequel aucun baptisé, de l’évêque du dernier des fidèles, n’a jusqu’à présent accepté de s’inscrire à l’Association patriotique des catholiques chinois, le principal instrument par lequel le régime garde l’Eglise à sa botte au nom de son « indépendance » avec Rome et que Benoît XVI avait défini comme étant « inconciliable » avec la doctrine catholique, dans la lettre de 2007 aux catholiques chinois qui a été déclarée comme étant toujours valide par son successeur.

    Mais il ne s’agit pas seulement de la destruction matérielle de ce bâtiment comme de tant d’autres de l’Église catholique. Ce qui est plus grave, c’est l’étouffement programmé de cette grande portion d’Église qui n’est pas officiellement reconnue par le gouvernement chinois mais qui ne veut pas céder au chantage de n’être admis dans la légalité que s’ils acceptent de s’inscrire à l’Association patriotique.

    Le cas du diocèse de Mindong, dans le Fujan, est peut-être le plus instructif pour comprendre comment les autorités de Pékin mettent en pratique l’accord secret signé le 22 septembre dernier avec le Saint-Siège.

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