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  • Le "rock" (suite)

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    Sur le blog "les yeux ouverts", "le Barde" poursuit (cfr http://www.belgicatho.be/archive/2011/08/30/une-approche-de-la-musique-rock.html) son travail de discernement à propos du "rock'n roll".

    Pour en retrouver le fil, cliquer ici : http://www.citeetculture.com/categorie-12048726.html

  • L'abbé de Beukelaer est devenu chanoine de la cathédrale de Liège

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    Sur le site du nouveau chanoine, l'homélie qu'il a prononcée en la cathédrale Saint-Paul-et-saint-Lambert de Liège, à l’occasion de sa réception au sein du chapitre:

    c'est ICI : http://minisite.catho.be/ericdebeukelaer/2011/09/04/630/

    Nous félicitons de tout coeur le nouveau chanoine et nous le remercions d'avoir rappelé le sens de l'existence du chapitre cathédral dans ces temps que nous vivons.

    Extrait :

    "Ce rôle de la cathédrale a-t-il encore un sens dans une ville sécularisée comme Liège ?  Ecoutons la parole que Dieu adresse au prophète Ezéchiel et que nous avons reçue comme première lecture : « Fils d’homme, je fais de toi un guetteur ». En ce début de XXIe siècle, les formidables progrès de la société n’ont pas libéré nos contemporains du poids de leurs conscience. Les mêmes questions angoissées qu’a l’époque d’Ezéchiel résonnent dans les cœurs : « Quel est le sens de l’existence ? Comment réussir sa vie ? Quel est le secret du bonheur ? » Pour accueillir ce questionnement, les baptisés se doivent d’être des « guetteurs », des femmes et hommes capables de saisir l’enjeu spirituel des choses, d’avertir des impasses, d’inviter à une « conversion » – c’est-à-dire à une retournement de perspective. « Si ton frère a commis un péché, va lui parler », enseigne l’Evangile de ce dimanche. C’est un des rôles tenus par les chanoines de cette cathédrale : être des guetteurs de l’évangile au milieu de la cité."

    Le samedi 24 septembre, Mgr Jousten installera officiellement le chanoine Eric de Beukelaer comme doyen de la rive gauche de Liège au cours de l’Eucharistie de 16h30, célébrée en l’église Saint-Jacques (place Saint-Jacques à 4000 Liège).

  • La catéchèse en plein renouveau ?

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    Nous avons signalé cette critique de la "nouvelle catéchèse" présentée par les évêques de France de la part de Jean-Marie Guénois sur "religioblog". Là où les évêques annoncent un "plein renouveau", le chroniqueur décèle un fiasco compromettant la transmission de la foi. En va-t-il autrement chez nous où la jeune génération ne sait même plus quels sont les sept sacrements ou la signification des fêtes du calendrier liturgique? Tout cela parce que depuis plus de quarante ans, on a multiplié des expériences catéchétiques axées sur "l'approche existentielle". La note parue sur "metablog" met le doigt sur les graves carences de cette approche :

    "Si je vous en parle, c’est que les critiques de Jean-Marie Guénois font écho à ma propre expérience, assez lamentable, d’ex-gamin des années 70. Ce que Guénois dénonce aujourd’hui, je l’ai vécu par miettes il y a trois décennies au moins.
    Première miette. C’est l’année de ma première communion, pour l’occasion mes parents m’ont inscrit au catéchisme. Nous sommes assis sagement, une dame dit «Jésus est ton ami», elle distribue une feuille, chacun doit se dessiner avec ses copains – fin de la séance. Nous étions petits mignons et bien élévés, tout de même, d'une semaine l'autre, on trouvait ça neuneu. (J’apprendrai bien plus tard que ‘Jésus’, c’est le ‘Christ’ que mes parents m’indiquent dans les églises: ils m’y emmènent à l’occasion, mais le guide bleu à la main.) – Et puis: une autre dame est venue pour nous préparer à la confession (késako?), et nous remet un formulaire à remplir, j'avais coché 'NON' à adultère, ma mère tombe dessus, elle m’interroge interloquée - bien sûr que je ‘sais’ de quoi il s’agit: adulte, adultère! Mes parents n’ont pas ri à ce mot d’enfant, fini le caté."

  • La Fête des Familles a été un succès même si les médias n'y font pas écho

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    Seuls, les "Médias Catholiques" ont fait écho à cet évènement qui a recueilli un vif succès :

    "Les familles ont répondu en nombre à l’invitation de Mgr Léonard pour cette fête qui leur était destinée. Un beau moment d’Eglise, montrant une diversité d’initiatives réunies par une même générosité..."

    lire la suite ici : http://info.catho.be/

  • Du sang artificiel à partir de cellules souches (non embryonnaires)

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    "Des chercheurs français de l’Inserm et de l’AP-HP sont parvenus à injecter à un patient des globules rouges créés à partir de ses propres cellules souches. À l’avenir, les malades ayant besoin d’une transfusion sanguine deviendront-ils leurs propres donneurs ? L’espoir semble permis.

    Depuis longtemps, on cherche à réaliser du sang artificiel par différentes méthodes, comme la reprogrammation de cellules de peau ou même par moulage d'hydrogel. À l’université Pierre et Marie Curie (UPMC) à Paris, Luc Douay et son équipe explorent la voie des cellules souches et vient de parvenir à un résultat remarquable, présenté dans la revue Blood. L'étude s’est déroulée en deux temps. En utilisant des cellules souches d’un donneur humain, les scientifiques ont d’abord réussi à produire des milliards de globules rouges cultivés. Ils ont pour cela utilisé des facteurs de croissance spécifiques « qui régulent la prolifération et la maturation des cellules souches en globules rouges ».

    Mais l’énorme pas en avant est venu lorsque l’équipe française a réinjecté des globules rouges cultivés à partir des cellules souches d’un patient. « Au bout de cinq jours, poursuit Luc Douay, le taux de survie de ces globules rouges dans la circulation sanguine était compris entre 94 et 100 %. Et au bout de 26 jours, entre 41 et 63 %. » Ces résultats sont très positifs puisque « ce taux est comparable à la demi-vie moyenne de 28 jours des globules rouges natifs normaux. Nous démontrons donc que la durée de vie et le taux de survie des cellules cultivées sont similaires à ceux des globules rouges natifs, ce qui étaye leur validité en tant que source possible de transfusion »."

    lire la suite ICI : http://www.futura-sciences.com

  • Réticences et convergences entre le patriarcat de Moscou et Rome

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    De l'entretien publié le 31 août 2011 dans le journal serbe « Politika », avec le métropolite Hilarion de Volokolamsk, président du Département des relations ecclésiastiques extérieures du Patriarcat de Moscou, il ressort que le patriarcat de Moscou n'est pas très favorable à une invitation du pape en Serbie pour commémorer le 1700ème anniversaire de l'Edit de Milan, tout en convenant que catholiques et orthodoxes sont appelés à relever ensemble les défis d'une Europe en voie de déchristianisation :

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  • Angelus : le pape insiste sur la communion d'amour entre croyants

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    Chers frères et sœurs!

    Les lectures bibliques de la messe de ce dimanche convergent sur le thème de la charité fraternelle dans la communauté des croyants, qui prend sa source dans la communion de la Trinité. L'apôtre Paul dit que la loi de Dieu toute entière trouve sa plénitude dans l'amour, de sorte que, dans nos relations avec les autres, les dix commandements, et tous les autres, se résument en ceci: "Tu aimeras ton prochain comme toi-même" (cf. Rm 13, 8 à 10). Le texte de l'Evangile, tiré de Matthieu, chapitre 18, sur la vie de la communauté chrétienne, nous dit que l'amour fraternel implique également un sentiment de responsabilité mutuelle; donc, si mon frère a péché contre moi, je m'applique à l'aimer, et, surtout, à lui parler personnellement, en soulignant que ce qu'il a dit ou fait n'est pas bon. Cette approche est appelée la correction fraternelle: ce n'est pas une réaction à des blessures subies, mais c'est motivé par l'amour pour son frère. Saint Augustin dit: «Celui qui t'a offensé, t'a blessé, porte lui-même une blessure grave, et tu ne soignes pas la plaie de ton frère? ... Tu dois oublier le mal qu'il t'a fait, mais pas la blessure de ton frère"(Discours 82, 7).

    Et si le frère ne m'écoute pas? Jésus, dans l'Évangile d'aujourd'hui, indique une progressivité: d'abord aller parler avec deux ou trois personnes pour l'aider à mieux réaliser ce qu'il a fait, et si, malgré cela, il rejette toujours l'observation, je dois en faire part à la communauté, et s'il n'écoute toujours pas la communauté, il faut lui faire sentir la distance qu'il a causée, en se séparant de la communion de l'Eglise. Tout cela indique qu'il y a une responsabilité partagée dans le chemin de la vie chrétienne: chacun, tout en étant conscient de ses limites et ses défauts, est appelé à accueillir la correction fraternelle et à aider les autres grâce à ce service particulier.

    Un autre fruit de l'amour est la prière de la communauté en union de coeur. Jésus dit: «Si deux d'entre vous s'accordent sur la terre pour demander quelque chose,
    mon Père qui est dans le ciel le leur accordera. Car là où deux ou trois sont réunis en mon nom, je suis là au milieu d'eux » (Mt 18:19-20). La prière personnelle est certainement importante, voire essentielle, mais le Seigneur assure sa présence dans la communauté - bien que très petite - si elle est unie et unanime, car elle reflète la réalité de Dieu, Un et Trine, la parfaite communion d'amour. Origène dit que "nous devons nous appliquer à cette symphonie" (Commentaire sur l'Evangile de Matthieu 14, 1), c'est à dire dans cette harmonie au sein de la communauté chrétienne. Nous devons nous appliquer que ce soit dans la correction fraternelle, qui exige beaucoup d'humilité et de simplicité de cœur, ou dans la prière, pour que d'une véritable communauté unie dans le Christ cela s'élève jusqu'à Dieu. Nous te le demandons par l'intercession de Marie Très Sainte, Mère de l'Eglise, et de saint Grégoire le Grand, pape et docteur, dont nous nous sommes souvenus dans la liturgie d'hier.

  • Ce qu'est devenu le cercle du Libre Examen (Librex)

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    A propos d'une invitation adressée par le cercle du Libre examen (ULB) à l'exposition intitulée : "Pudeurs et Colères de Femmes", Allegra, sur un blog du Nouvel Obs, fait remarquer :

    "Le cercle du Librex, institution engagée dans la défense de la laïcité, qui s’est toujours montrée férocement anti-calotine dans le passé,  on dirait laïcarde selon les critères d’aujourd’hui, a désormais viré à l’islamo-gauchisme et à son corollaire, l’antisionisme virulent, et en a donné une preuve éclatante récemment en organisant une soirée-débat sur le thème de la liberté d’expression pour Dieudonné, avec projection d’un film faisant l’apologie du comique. Soirée qui s’est terminée par des prises de parole antisémites. Il y a quelques années, le cercle du Libre examen associé au cercle des étudiants arabo-européens invitait Tariq Ramadan à un débat soi-disant contradictoire.

    Le cercle du Libre examen, impitoyable quand il s’agit de contrer les dogmes de l’Église est devenu aveugle à une idéologie répressive qui opprime aussi les femmes,  et c’est ainsi qu’à l’occasion d’une prochaine conférence, il se pose même la question de savoir si le port du voile n’est pas l’expression d’un féminisme musulman."

    http://lavissauveaconditiondeclairer.blogs.nouvelobs.com/archive/2011/09/03/pudeurs-et-coleres-de-femmes.html

  • Autriche : quand reviennent les éternels guignols de la rebellitude

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    Tribune libre de Myriam Picard* pour Nouvelles de France

    On se féliciterait presque de n’avoir pas fait d’école de journalisme quand on suit l’atterrant « travail » fourni par les serviles hérauts de l’AFP. Quelques curés (environ 330) pétitionnent gravement pour une réforme de l’Eglise (traduisez : pour que l’Eglise sanctifie leurs manquements et fournisse un nihil obstat général à toute idée tordue), et l’AFP de titrer sans rire : « Des prêtres rebelles font trembler l’Eglise autrichienne ». La pétition rencontrerait « un large soutien dans l’opinion ». Isabelle Le Page, la journaliste éprise de déontologie qui a pondu cette douce plaisanterie, ne nous prouve rien, n’avance aucun chiffre sérieux (et quand bien même), non : c’est l’AFP qui l’a dit, gravons-le donc dans le marbre : « un large soutien dans l’opinion. »

    lire la suite ICI : http://www.ndf.fr/poing-de-vue/04-09-2011/autriche-le-retour-des-eternels-guignols-de-la-rebellitude

  • Jean-Claude Guillebaud : la bioéthique est une urgence politique

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    "Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Famille Chrétienne, l’essayiste Jean-Claude Guillebaud souligne l’importance des questions de bioéthique, "les plus importantes de toutes" dans la mesure où "elles touchent directement à l’humanité de l’homme".

    Alors que la société s’aperçoit qu’elle ne peut vivre sans un minimum d’éthique, il appelle les hommes politiques à "moraliser" leur vie privée : "je continue à penser qu’un homme qui a des vices en privé ne peut avoir en même temps des vertus en public…Les Français attendent confusément que nos hommes politiques prennent cet engagement minimal." II dénonce "une nouvelle pudibonderie de type scientifique portée notamment par les techno-prophètes de la cyberculture" qui conduit nos sociétés à mépriser le corps humain et alerte sur le risque d’eugénisme de masse attaché à la pratique systématique du diagnostic prénatal (DPN). "Pour le citoyen lambda, l’eugénisme est une invention d’Hitler, note-t-il. Mais on oublie que l’eugénisme a d’abord été la pensée dominante des démocraties ! A commencer par les Etats-Unis au tout début du XX° siècle".

    Il note également l’imposture de la théorie du gender "qui est déjà récusée dans sa version radicale, celle à laquelle nous accordons encore du crédit en France" et ce notamment par Judith Butler, qui fut pourtant une des têtes de file de cette pensée.

    A l’approche de la campagne présidentielle, il constate que le débat bioéthique a été escamoté à chaque élection. "Mon sentiment, c’est qu’il ne pourra pas l’être éternellement. Tout simplement parce qu’on le prendra en pleine figure ! " affirme-t-il en notant que l’une des grandes urgences de 2012 sera pour le monde politique d’avoir à cœur de produire des argumentations claires en bioéthique."

    http://www.genethique.org/

  • Le bien commun d'après Jacques Maritain

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    "Le philosophe (Jacques Maritain)  définit le bien commun comme la "bonne vie humaine pour la multitude". Il s'agit de donner à chacun et à chacune la mesure d'indépendance qui convient à la vie civilisée. Le bien commun ne consiste pas simplement à nourrir, loger, soigner et éduquer les personnes selon les mots de l'économiste F. Perroux. Il est une oeuvre qui intègre des dimensions politique et spirituelle.

    "La personne a une dignité absolue parce qu'elle est dans une relation directe avec l'absolu dans lequel seule elle peut trouver son plein accomplissement". Selon cette conception, le bien commun n'est propre ni au tout ni aux parties. C'est le bien que partage l'ensemble de la société et les éléments de celle-ci. Après avoir écarté la vision libérale du bien commun, J. Maritain en réfute la conception totalitaire. Le bien commun n'est pas propre à l'ensemble et donc à l'Etat qu'il représente. Il doit être redistribué et concerne toutes les personnes. Dans la perspective des droits fondamentaux, cette idée suppose la définition de seuils en deçà desquels ces droits ne sont plus respectés. (...)

    Parce qu'il concerne toutes les personnes d'une société donnée, le bien commun est le fondement de l'autorité. Sur ce point l'économiste rencontre encore le philosophe quand il constate qu'une politique publique doit être acceptée et appropriée par les citoyens pour réussir. Cette appropriation ne peut-être fondée que sur la justice. (...)

    Cette dimension de justice redistributive implique une rectitude des actions. Les politiques publiques ne peuvent convaincre de leur justesse que si les moyens s'accordent aux fins. Les procédures mises en oeuvre doivent être équitables et à ce niveau l'éthique personnelle rejoint l'éthique sociale."

    source : Conférence du Professeur Friboulet sur le Bien commun selon Jacques Maritain http://www.unifr.ch/

  • 4 septembre : saint Boniface, pape

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    On fête de nombreux saints aujourd'hui, dont sainte Rosalie, patronne de la Sicile. Parmi eux, un pape assez méconnu mais qui dut faire face à des circonstances difficiles : saint Boniface.

    "Aujourd’hui, à Rome, on célèbre l’entrée au ciel du saint pape Boniface I° qui mourut le 4 septembre 422. Le « Liber pontificalis » dit que Boniface, fils du prêtre Iocundus, et prêtre lui-même, avait fait partie de la délégation envoyée par le pape Innocent I° (401-417) à Constantinople, près de l’empereur Arcadius (395-408), pour protester contre la déposition de saint Jean Chrysostome et réclamer son rétablissement ; cette délégation échoua au point que les envoyés du Pape ne furent même pas reçus par l’Empereur, mais Boniface y acquit une certaine expérience de l’Orient qu’Innocent I° mit à profit en le chargeant de nombreuses missions. Rappelé à Rome après la mort d’Innocent I° (12 mars 417), il n’y arriva que peu de jours avant la mort de son successeur, Zosime (26 décembre 418). Alors que, dans l’église du Latran, un collège électoral, réuni illégalement par les diacres, avait élu comme pape l’archidiacre Eulalius (vendredi 27 décembre 418), dans l’église de Théodora, Boniface fut élu par un autre collège, plus large et légalement convoqué, avec l’appui de la majorité des prêtres romains (samedi 28 décembre 418) ; il fut consacré, le lendemain, dans l’église Marcelli et conduit à Saint-Pierre, tandis que l’évêque d’Ostie, au Latran, ordonnait Eulalius prêtre. Circonvenu par le préfet de la Ville, Symmaque, favorable à Eulalius, l’empereur d’Occident, Honorius (395-423), confirma l’élection de l’anti-pape et ordonna que Boniface I° fût expulsé de Rome (3 janvier 419).

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