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  • Pédophilie dans l’Église de Belgique: environ 500 cas signalés ?

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    Selon les criminologues Ivo Aertsen et Nele De Ranter,  il y aurait, en Belgique, environ 500 cas d’abus sexuels au sein de l’Eglise qui ont été signalés.

    Un chiffre obtenu en recoupant les données des Commissions Halsberghe et Adriaenssens, du procureur fédéral, de l’association « Mensenrechten in de Kerk », des services CAW (Centra voor Algemeen Welzijnswerk), des évêchés, des ordres et des congrégations. Le nombre de prêtres et de religieux impliqués dans ces dossiers reste cependant inconnu.  Les faits remontent surtout aux années 60 et 70 et seraient trois fois plus importants en Flandre qu’en Wallonie. Ils se concentrent davantage dans les ordres et les congrégations.
    Les chercheurs estiment que 70% des cas ont fait l’objet d’une intervention policière ou judiciaire et qu’un cas sur trois a été condamné au pénal. Ils avancent aussi que les autorités ecclésiastiques ont ordonné, de leur côté, des tâches limitées et des conditions spéciales (dans 25% des cas), des mutations (15%) ou des interdictions d’exercer des activités pastorales (15%). Référence cathobel :
    Pédophilie dans l’Église: environ 500 cas signalés ?

     D’une part, le concile Vatican II puis mai 68 furent des événements sociétaux qui ont été compris comme une libération de toutes entraves, une levée des vannes. D’autre part, 500 dossiers, comme le remarque justement la note, ne signifient pas 500 personnes incriminées : un chiffre probablement très inférieur (plusieurs plaintes peuvent concerner une même personne et d’autres se révéler sans fondement). 

  • Une prime de 300 euros pour éviter le recours à l'avortement

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    "La mutuelle allemande BKK IHV a décidé d'accorder une prime de naissance de 300€, à ses assurées qui s'engagent moralement à "ne pas avorter et n'inciter personne à le faire". 1 200 assurés de BKK IHV, qui est en partenariat avec l'association Pro-Life depuis 2010, auraient déjà adhéré au mouvement.

    Cette initiative soulève des questions. Depuis 2011, elle fait l'objet de surveillance par l'Office fédéral des assurances sociales, qui vérifie la légalité de ses offres. Selon la loi allemande, les assurances sont obligées de financer les avortements légaux et en tant que personnes morales de droit public, elles ont également un devoir de neutralité. 
    Selon le magazine Der Spiegel, Heinz-Werner Stumpf, directeur de la BKKV IHV, a affirmé que ces offres étaient parfaitement conformes au droit allemand.

    L'Allemagne est le pays d'Europe où la population est la plus âgée et où le taux de fécondité est des plus bas. Le pays s'efforce d'ailleurs depuis plusieurs années de promouvoir les naissances."

    source : genethique.org

  • Des inédits très actuels de Mère Teresa

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    Teresa-198x300.jpgMère Teresa : Quand l’amour est là, Dieu est là

    C’est un gros livre, de plus de 400 pages, qui ne place plus le lecteur face à l’aridité d’un foi vécue dans la souffrance mais aborde les grandes questions de l’existence et montre les réponses apportées par Mère Teresa. Toutes se résument en Dieu, même si les situations concrètes abordées sont bien humaines. Il s’agit pour Mère Teresa de conduire le lecteur à une plus grande union avec Dieu, laquelle permet de faire rayonner véritablement l’amour dans le monde. 

    « Dans la mesure où elle se trouvait constamment en relation avec des gens d’origines et de milieux divers, aucune situation ne lui était étrangère »,  précise dans sa préface le Père Brian Kolodiejchuk, missionnaire de la Charité et postulateur de la cause de canonisation de la bienheureuse de Calcutta. D’inspiration très clairement ignacienne, cette spiritualité s’énonce parfois avec des formules fortes.

    Mère Teresa n’hésite pas, par exemple, à faire l’éloge du silence afin de se « débarrasser de l’amertume et de la haine », souligne que « Cela n’a pas de sens d’entrer dans une congrégation religieuse si vous ne voulez pas être saintes »  ou que l’adoration, qu’elle avait instituée en 1973 a des effets très concrets : « Depuis ce temps, l’amour intime de Jésus a beaucoup grandi. Nous avons une meilleure compréhension de la souffrance des pauvres, de la façon de leur donner. » Sans oublier, bien sûr, l’avortement : « tout pays qui accepte l’avortement enseigne à ses citoyens à recourir à n’importe quelle violence pour obtenir ce qu’ils veulent » ; le divorce : « parce que les familles ne prient plus elles ne peuvent pas rester ensemble » ou la femme : « la maternité est le don de Dieu aux femmes ; nous pouvons détruire ce don en pensant qu’un emploi et un poste sont plus importants qu’aimer et se donner aux autres. »

  • Les organisateurs de la Marche pour la Vie croient que la législation peut changer

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    A notre question : "Semble-t-il réaliste, dans un pays aussi "libéralement avancé", d'espérer renverser la vapeur et d'inscrire à nouveau le respect de la vie dans la législation?",

    Antony Burckhardt, coordinateur de la Marche, nous répond :

    "C'est le rôle du législateur de protéger ceux qui ne sont pas en mesure de le faire eux-mêmes. Autrement c'est la loi du plus fort qui s'impose. Or, c'est exactement ce qui se passe en Belgique depuis 1990 avec le vote de la loi Lallemand-Michielsens. Le Parlement belge s'est octroyé le pouvoir de priver toute une partie de la population du droit à la vie. En agissant de la sorte l'Etat belge viole non seulement la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme de 1948 mais il rompt d'une manière extrêmement brutale avec tous les principes qui fondent une civilisation pleinement humaine.

    Nous avons donc le devoir d'exiger que la loi Lallemand soit abolie ! Bien sûr, cela peut paraitre utopique aujourd'hui... Mais en 1940, on disait que le IIIe Reich durerait 1000 ans. Et en 1945, que le communisme était l'avenir du monde. On sait ce qu'il est advenu de ces idéologies.

    Le libéralisme avancé, que j'appelle la culture de mort, est lui-aussi un colosse aux pieds d'argiles car il porte en lui-même les germes de son auto-destruction : la mort n'a pas d'avenir. Sereinement, mais sans compromission, défendons le droit à la Vie pour tous et nous l'obtiendrons."

  • Enfants victimes d'abus sexuels : Child Focus en point de mire

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    Cinq 'responsables' de la protection de l'enfance, en Wallonie et à Bruxelles, ont sorti une carte blanche pour dénoncer une campagne de Child Focus visant à protéger les enfants victimes d'abus sexuels ! Mais en plus, dans cette carte blanche, ils avouent sans honte que les organismes officiels de protection de l'enfance privilégient la discrétion et la non publicité sur tous les cas qui leur sont dénoncés. Autrement dit la dissimulation des abus sexuels. Quelle différence de traitement avec les prêtres livrés en pâture au lynchage populaire !

    C'est ici : yapaka.be/child-focus-ou-le-business-de-la-peur

    Lire notamment :

    « Et que mettre ainsi le focus sur les circonstances les plus extrêmes risquait de masquer les situations de maltraitance de l’enfant dans son milieu de vie , hélas nettement plus courantes et bien connues des intervenants chargés de venir quotidiennement en aide aux familles. Et là, bien souvent, il ne s’agit pas d’affronter un pervers démoniaque, mais de faire face, avec tact, à une complexité où viennent se combiner des aspects de santé mentale, de fragilité sociale, de précarité... Travail mené quotidiennement, dans la discrétion, depuis de nombreuses années par de multiples intervenants de l’aide à l’enfance et à la jeunesse. »

    Mais tout le reste est à l'avenant : « Surtout discrétion, ne pas en parler, pas de publicité ! » Que le juge De Troy aille donc enquêter dans ces dossiers « top secret », il y trouvera ce qu'il prétend chercher: des cas d'enfants abusés quotidiennement aujourd'hui, et pas il y a trente ans. Mais en réalité, il ne s'intéresse guère au sort des enfants abusés, mais bien à la démolition de l'image de l'Église. En tout cas, bravo à Child Focus d'avoir osé court-circuiter, et donc mettre en lumière, cette politique de l'omerta généralisée sur les abus sexuels.

    Voir : lesoir.be/debats/ yapaka.be/ rtl.be/info/ rtl.be/videos/ rtl.be/videos/ rtl.be/videos/

  • Liens du jour (24 février)

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    J. Smits :

    Irlande : l'avortement « jamais nécessaire » pour sauver la vie de la mère

    Etats du Washington : les pharmaciens ont le droit constitutionnel de ne pas vendre la pilule du lendemain

    Pays-Bas : refus de protéger un fœtus de 17 semaines menacé par un “crime d'honneur”

     

  • RCF communique son programme de carême

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    affiche_rcf_careme-2.jpg

    cliquer sur l'"affiche" pour accéder au site où tout cela est plus lisible

  • Itinéraire de carême à l'église des carmes de Bruxelles

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    Itinéraire du Carême 2012

    PORTRAITS DE SAINTS

    Tous les jeudis de Carême à 19h30
    CELEBRATION EUCHARISTIQUE
     
    Le 1 mars                                                          Le 15 mars
    THOMAS MORE                                         EDITH STEIN

    Le 8 mars                                                           Le 22 mars
      JEAN BOSCO                            GIANNA BERETTA-MOLLA

    Le 29 mars
                          CHIARA « LUCE » BADANO
     
    Orgue : Guy Van Waas
    Violon : Sr. Klari Toth
    Hautbois : Enzo Pezzini
    Chorale « Mater Amabilis »
     
    MOUVEMENT ECCLESIAL CARMELITAIN
     EGLISE DES CARMES
    Avenue de la Toison d’Or 45
    1050 – Bruxelles
    METRO Ligne 2 / 6 – Station LOUISE
    www.carmesbruxelles.be

     

  • Quel dialogue entre Rome et Moscou ?

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    HilarionWhite.jpgLu sur les matinales du site de “La Vie” :

    “A l'occasion des premières journées du livre orthodoxe à Paris, samedi 18 février, dont La Vie était partenaire, Mgr Hilarion Alfeyev, métropolite de Volokolamsk et président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou, a visité le séminaire russe en France, inauguré il y a deux ans à Epinay-sous-Sénart. Une arrivée tout en sobriété qui n'a pas manqué pourtant de susciter une vague de respect parmi les séminaristes. Il faut dire que l'homme en impose par son parcours et le fait qu'il est aujourd'hui considéré comme le numéro deux d'une Eglise où le nombre de monastères est passé de 18 à plus de 800 en 25 ans depuis la fin de l'oppression soviétique. "Et nos monastères sont vraiment pleins ! a-t-il lancé avec une pointe d'humour. Nous ne connaissons pas vraiment de crise des vocations..." (…)

    Diplômé de l'Académie théologique de Moscou, polyglotte, il maîtrise le grec ancien et et le syriaque et il est l'auteur d'une trentaine de livres. Musicien hors pair, il a étudié le piano et le violon au conservatoire de Moscou, avant de composer une « Passion selon saint Matthieu » et un « Oratorio de Noёl »... Son amour de la musique a d'ailleurs beaucoup compté lors de ses rencontres avec Benoît XVI. 

    Perçant, son regard pétille lorsqu'il évoque le sujet : "Au niveau personnel, la musique a été l'un des facteurs du rapprochement. Une fois, j'ai même organisé un concert au Vatican avec de la musique russe... Le Pape a accepté cette initiative avec bienveillance". Aussitôt il ajoute : "En dehors des sympathies personnelles qui peuvent exister, nous recevons de manière très positive les pas que fait Benoît XVI pour sauvegarder des valeurs traditionnelles comme la famille et la fidélité conjugale".

    En revanche, lorsqu'on l'interroge sur l'éventuelle rencontre du Pape et du Patriarche de Moscou, il sourit : "Je me serais étonné que vous ne posiez pas la question... Il n'y a rien de vraiment nouveau : nous pensons que cette rencontre est tout a fait possible mais elle ne nous intéresse pas si elle n'est que protocolaire. Il reste des points importants sur lesquels nous nous trouvons en désaccord, des questions qui influencent la vie de nos fidèles, comme celle de l'église gréco-catholique en Ukraine. Nous attendons des pas concrets de l'Eglise catholique pour créer une atmosphère bienveillante et propice.(…)”

    Voir ici: Le numéro deux de l'Eglise russe demande aux catholiques des "pas concrets" vers le dialogue

    Et Moscou est la troisième Rome après Constantinople ? Le dialogue œcuménique (et a fortiori le dialogue interreligieux) est une entreprise difficile dès lors qu’il faut gérer la cohabitation de communautés religieuses sur un même territoire et presqu’ impossible dès qu’on touche au cœur de différends dogmatiques multiséculaires. On voit déjà ce qu’il en est au sein même de l’Eglise romaine après quarante ans de disputes sur l’herméneutique de simples textes  « pastoraux » formulés par le Concile « Vatican II » en des matières aussi délicates que le dialogue interreligieux, l’œcuménisme ou la liberté religieuse.

    Mais que reste-t-il alors ? Entre chrétiens, un large patrimoine doctrinal commun et avec tous à approfondir ensemble le sens des valeurs déduites des options religieuses de base : là, comme disait Benoît XVI au sénateur Pera, le dialogue, la correction mutuelle et un enrichissement réciproque sont possibles et nécessaires. Et ce dialogue-là n’est pas rien pour éclairer les conduites humaines face au sécularisme libertaire de la (post)modernité avancée

     

  • Les chrétiens appelés à "l'objection de croissance" ?

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    Sur son blog, "Pneumatis" développe une réflexion sur "l'objection de croissance", une attitude à laquelle les chrétiens d'aujourd'hui seraient invités pour vivre - socialement et économiquement - en conformité avec l'appel de l'Evangile :

    "L'objection de croissance, nouvel horizon des chrétiens en politique ? (1ère partie)

    Parce que « la conformation au Christ et la contemplation de son Visage  insufflent chez le chrétien un désir irrépressible d'anticiper dans ce monde, au sein des relations humaines, ce qui sera réalité dans le monde définitif » les chrétiens regardent avec une vibrante attention les paradigmes économiques propres à satisfaire les exigences de vie évangélique. C’est en ce sens que le choix de l’objection de croissance, éclairé par l’évangile et le magistère de l’Eglise, s’inscrit dans le champ bien plus vaste de l’économie du salut.

    L'objection de croissance, au sens où nous l’entendons, rejoint au fond  une démarche de foi et de découverte du mystère de l’incarnation et de la rédemption. Elle nous appelle à faire le choix radical de la sobriété partagée et vécue dans la confiance en la divine providence. Nous la reconnaissons dans l'esprit de fraternité qui animait les premières communautés chrétiennes, dans le témoignage d’un saint François et chez tous ceux qui depuis des siècles à la suite du Christ s’engagent à vivre quel que soit leur état de vie le conseil de pauvreté évangélique." ...

    Lire cette réflexion, du plus haut intérêt, ici : l'objection de croissance

  • Marche pour la Vie à Bruxelles, la video

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    Et vous ? Serez-vous sur les images de la Marche, édition 2012 ?

    Le 25 mars, c'est demain!

    Il faut "se bouger" pour atteindre le cap des cinq mille participants...

    http://www.marchforlife.be/