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  • Le dossier noir du cannabis

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    Dossier noir du cannabis

    – témoignages accablants

    de Serge Lebigot, Président de Parents contre la drogue

    Préface de Sven-Olov Carlsson, Président de la Fédération mondiale contre les drogues

     Editions Salvator

     

    Présentation de l'éditeur :


    Régulièrement, la question de la légalisation du cannabis revient sur le devant de la scène. On assiste alors à des polémiques qui ne laissent pas la place aux arguments tirés de l’expérience. Fort de vingt années d’écoute et de rencontres quotidiennes avec des jeunes consommateurs et leurs parents ; Serge Lebigot lance un cri d’alarme : Non, l’utilisation du cannabis n’est jamais anodine. Non, le cannabis est tout sauf une « drogue douce ». Le cannabis est fondamentalement une drogue comme les autres stupéfiants dits « durs ». Aucun distinguo ne doit être fait entre « drogue douce » et « drogue dure ».

     

    La rencontre avec des consommateurs ont conduit Serge Lebigot à s’engager contre les méfaits de la drogue et plus particulièrement contre les ravages du cannabis sur les enfants et les adolescents. Depuis près 20 ans, il a reçu plusieurs milliers de consommateurs adolescents et jeunes adultes ainsi que leurs parents. Son travail consiste à favoriser l’information sur les effets des drogues, à développer la prévention et les thérapies visant l’abstinence. 80% de ceux qui passent par lui arrêtent de consommer.

     

    En trois chapitres clairs et limpides (Conseils de prévention pour les parents ; Témoignages de parents ou de jeunes reçus à l’association ; Arguments contre la légalisation du cannabis), l’auteur explique dans un langage accessible la dangerosité du cannabis.

     

    Le Dossier noir du cannabis est un véritable guide pratique pour les parents confrontés à des enfants consommateurs. Il est tout aussi utile pour tout parent ou éducateur qui préfère prévenir que guérir.

     

    Serge Lebigot, 56 ans, marié, 4 enfants, est Président de l’association Parents contre la drogue (www.parentscontreladrogue.com). A déjà publié 'Cannabis, ce que les parents doivent savoir', Lethielleux, 2011. Il est auditionné régulièrement par les commissions d’enquêtes parlementaires, participe aux conférences européennes sur la drogue et intervient auprès des pouvoirs publics et dans les écoles. C’est lui qui, en juillet dernier, a déposé trois plaintes contre l’ouverture d’une salle de shoot à Paris – plaintes en cours d’instruction.


    ISBN : 978-2-7067-10650 - 192 p. – 16 €

  • 5-7 décembre : De l'Orient à l'Occident; le culte de saint Nicolas en Europe

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    affiche_saint_nicolas_0.jpgDe l’Orient à l’Occident : le culte de Saint Nicolas en Europe (Xe-XXIe siècles)


    Jeudi 5 décembre et Samedi 7 décembre

    Colloque De l’Orient à l’Occident : le culte de Saint Nicolas en Europe (Xè-XXIè siècles) sous la direction de Catherine Guyon, Catherine Vincent et Véronique Gazeau Programme complet et renseignements – 03 54 50 51 66 – crulh.univ-lorraine.fr


    Chapelle. Entrée libre

    9h30 - 18h30

  • Les représentants des grandes religions chrétiennes, musulmane et juive déplorent le vote de la proposition de loi sur l'euthanasie des mineurs

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    Lu sur Radio Vatican :

    En Belgique, la proposition de loi visant à étendre le cadre légal autorisant l'euthanasie a été adoptée ce mercredi par la Commission des Affaires sociales et de la Justice du Sénat, qui en débattait depuis plusieurs mois. Elle sera soumise pour adoption, probablement dans les prochains mois, au vote des deux chambres du Parlement belge. Le texte prévoit qu'un mineur peut demander à bénéficier de l'euthanasie s'il fait face à des souffrances physiques insupportables et inapaisables, en phase terminale. Il doit pour cela être conseillé par une équipe médicale et recevoir l'accord parental. Les souffrances "psychiques" insupportables, qui ouvrent la voie à l'euthanasie pour les adultes, ont été écartées pour les mineurs par les sénateurs.

    Si le projet de loi était adopté, la Belgique suivrait l'exemple des Pays-Bas où l'euthanasie des mineurs est autorisée depuis 1998. Le projet de loi est soutenu par la grande majorité des partis de la majorité et de l'opposition, à l'exception des centristes démocrates chrétiens flamands et francophones, membres de la majorité gouvernementale.

    Pour le père Tommy Scholtès, porte-parole de la conférence épiscopale de Belgique, cette décision est triste et regrettable :RealAudioMP3

    Les représentants des grandes religions chrétiennes, musulmane et juive, ont exprimé leur opposition dans un message commun et leur "vive inquiétude face au risque de banalisation" de l'euthanasie. En voici le texte :

    Ce 27 novembre 2013, nous ne pouvons qu'exprimer notre déception et notre tristesse. 

    Nous partageons l'angoisse de parents si un enfant arrive à une fin de vie prématurée et, particulièrement quand il souffre. Nous croyons cependant que les soins palliatifs et la sédation sont une manière digne d'accompagner un enfant qui meurt de maladie. Des médecins praticiens, oncologues ou intensivistes, nous l'ont clairement affirmé. Ecoutons-les. 

    Nous plaidons pour un arrêt de l'acharnement thérapeutique et pour le remplacement des soins curatifs par des soins palliatifs. 

    Nous croyons que nous n'avons pas le droit de laisser un enfant souffrir : c'est pourquoi la souffrance peut et doit être soulagée. La médecine en a les moyens. 

    Ne banalisons pas l'acte de donner la mort alors que nous sommes faits pour la vie. 

    Aimer jusqu'au bout demande un immense courage, 

    Mettre fin à la vie est un acte qui non seulement tue, 

    mais détruit un peu plus les liens qui existent dans notre société, 

    dans nos familles, en proie à un individualisme grandissant. 

    Entourons et aimons les malades et leurs familles, ainsi que les soignants, 

    et si la maladie l'emporte, qu'elle soit accompagnée de notre affection intense et par l'irréductible respect de la vie. 

    Rabbin Albert Guigui, Grand Rabbin de Bruxelles

    Chanoine Robert Innes, président du Comité Central de l'Église Anglicane en Belgique

    Monseigneur André-Joseph Léonard, président de la Conférence Épiscopale de Belgique

    Monsieur Geert Lorein, président du Synode Fédéral des Églises Protestantes et Évangéliques de Belgique

    Métropolite Panteleimon Kontogiannis, Exarque du Patriarcat Œcuménique de Constantinople (Église Orthodoxe)

    Monsieur Semsettin Ugurlu, président de l'Exécutif des Musulmans de Belgique

    SIPI - Bruxelles, mercredi 27 novembre 2013

    Au Soir Magazine, Mgr Léonard a redit son opposition la plus totale à ce projet voté en commission :

    « Nous sommes dans une situation paradoxale. Dans beaucoup de domaines de la vie, un mineur d’âge est considéré légalement comme inapte à prendre des décisions majeures, il ne peut pas se marier, ne pas aliéner des biens importants, est limité dans ses activités économiques, mais il serait apte à décider de sa propre mort ? Je ne vois pas la logique là-dedans. D’après les spécialistes, les demandes d’euthanasie de la part de mineurs sont rarissimes. C’est malsain de faire une législation à propos de cas très exceptionnels pour lesquels une jurisprudence peut suffire. Je pense aussi que, pour les adolescents concernés, il y a d’autres moyens de leur épargner des souffrances pénibles. On est tous d’accord qu’il faut éviter autant que possible à des enfants de souffrir mais nous avons en Belgique, pays pionnier en la matière, des soins palliatifs très performants, des moyens de sédation équilibrés, un arsenal de moyens qui élargit encore la faculté de guérir de quelqu’un. » 

    Débrancher, c’est faire mourir ? 

    « On est tous d’accord que le refus d’aller dans le sens de l’euthanasie ne signifie pas qu’on se réfugie dans l’acharnement thérapeutique. Il faut soigner aussi longtemps qu’il y a une espérance raisonnable de guérison, d’amélioration, mais quand la vie d’un être humain est entièrement suspendue à des machines et qu’il n’y a pas d’espoir fondé de récupération, on n’est pas tenu de prolonger quelqu’un par tous les moyens techniques disponibles. L’acharnement thérapeutique est aussi malsain que la volonté délibérée de faire mourir quelqu’un. La mort fait aussi partie de l’existence humaine, il ne faut pas absolument par tous les moyens la faire reculer. »

  • Le langage du pape, un langage qui remue les consciences

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    Sur la LibreChristian Laporte donne la parole à Eric de Beukelaer au sujet de l'Exhortation apostolique "Evangelium gaudii" :

    "Un langage papal qui remue les consciences" :

    Eric de Beukelaer a détecté une influence très ignatienne derrière le discours prophétique du Pape.

    L’Exhortation apostolique "Evangelium gaudii" du pape François n’est pas une encyclique mais, de l’avis même de son auteur, elle a une "signification programmatique" évidente. Elle suscite en tout cas de très nombreuses réactions. Dans le sérail ecclésial comme en dehors.

    Ainsi certains observateurs de l’Eglise vont très loin, à l’instar du vaticaniste américain John L. Allen Jr, qui n’hésite pas à faire une comparaison entre le texte du pape François et le fameux discours de Martin Luther King "I have a dream".

    Plus classiquement, on retiendra que l’archevêque de Paris, le cardinal Vingt-Trois retient du texte qu’il s’agit davantage d’"un texte stimulant que d’un catalogue dogmatique" et que c’est dès lors "un instrument de travail".

    "Pas de scoop mais une vision"

    Le doyen de Liège-Centre, Eric de Beukelaer, qui fut porte-parole de la Conférence épiscopale de Belgique et qui connaît parfaitement l’art de la communication ecclésiale, évoque d’emblée "un langage clair qui remue les consciences". "Il faut préciser, si besoin en était encore, que ce n’est pas une encyclique mais une exhortation, prolongeant au fond le dernier synode des évêques. En même temps, le style faisant l’homme, le pape François renvoie vers les conférences épiscopales, tout en présentant un extraordinaire programme à réaliser autant que possible. On savait déjà, par ses interventions précédentes, ce que voulait entreprendre le Pape, mais ici, il nous livre un document dans lequel il engage toute sa responsabilité et il est d’autant plus important que son texte, qu’il a écrit lui-même, a certainement été relu avec la plus grande attention. Comme ce n’est pas une encyclique officielle, on est d’autant plus séduit par sa grande liberté de ton." Pour l’abbé de Beukelaer "ce n’est donc pas un enseignement mais un élan dans la nouvelle évangélisation, où le Pape nous dit comment transmettre l’amour de Jésus dans le monde actuel".

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  • Liège, 1er décembre : ouverture de la nouvelle Année liturgique au Saint-Sacrement

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    DIMANCHE 1er DECEMBRE 2013 À 10 HEURES

    MESSE DU PREMIER DIMANCHE DU MOIS


    Missel de 1962

    Premier dimanche de l’avent 

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     Orgue, plain-chant et polyphonie :


    Propre grégorien de la messe « Ad te levavi »

    Kyriale XVII (XVe siècle), Credo I (XIe siècle)

    Hymne du carême  « Conditor alme » alternée en plain-chant et en polyphonie (Clemens non papa, XVIe s.)


    Plus de détails, cliquez ici : Premier dimanche de l'Avent à l'église du Saint-Sacrement (Liège)

  • La Croatie n’est pas la Belgique

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    Les électeurs de ce pays très catholique doivent dire dimanche premier décembre s’ils veulent inscrire dans la Constitution une clause définissant le mariage comme une union pour la vie entre un homme et une femme.

    L’initiative « Au nom de la famille » a conduit au premier « référendum citoyen » depuis l’indépendance.

    La victoire attendue du « oui » manifeste la défiance envers les évolutions en cours dans l’Union européenne.

    Dans le quotidien « La Croix » :

    « Êtes-vous pour l’introduction, dans la Constitution du pays, d’une clause définissant le mariage comme une union pour la vie entre un homme et une femme ? » C’est pour répondre par référendum à cette question que les Croates sont appelés aux urnes dimanche premier décembre pour le premier référendum citoyen organisé dans le pays depuis son indépendance en 1991. Si le « pour » l’emporte, la Constitution devra être amendée.

    « Bien sûr, je vais voter “pour” ! Le mariage concerne un homme et une femme. Toute autre forme d’union doit être appelée autrement », lance Marina, 25 ans. Elle fait partie des 700 000 signataires de la pétition qui réclamait la tenue de ce référendum, alors que 400 000 signatures étaient nécessaires.

    « AU NOM DE LA FAMILLE »

    Dans ce pays à large majorité catholique, l’initiative « Au nom de la famille », lancée par des laïcs, a reçu le soutien de plusieurs confessions religieuses, dont celui de la très puissante Église catholique. « C’est l’essence même du catholicisme : on ne peut pas à la fois être catholique et contre cette définition du mariage ! », affirme le P. Damir Stojic, salésien, aumônier des étudiants à Zagreb. Pour lui, deux hommes ou deux femmes« peuvent vivre ensemble », « avoir certains droits » sur des questions de propriété ou d’héritage, mais il lui est inconcevable de nommer une telle union « mariage ».

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  • 80 séminaristes en formation à Namur

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    80 séminaristes à Namur dont 

    27 Belges

    12 sud-Américains (Brésil, Colombie, Costa-Rica, Chili, Venezuela, Paraguay)

    11 Français

    9 Africains (Congo, Rwanda, Cameroun, Bénin)

    9 asiatiques (Inde, Chine, Indonésie, Philippines, Vietnam)

    5 Italiens

    3 Espagnols

    1 Polonais

    1 Canadien

    1 Australien

    et un, si nous avons bien compté, dont la nationalité n'est pas précisée. 

    Donc la rumeur persistante selon laquelle il n'y a que des Français est totalement fausse. De plus, 9 de ces Français appartiennent à la Fraternité des Saints Apôtres qui s'est établie à Bruxelles et a obtenu en 2006 un statut canonique dans l'archevêché de Malines-Bruxelles. Parmi les Africains et les Sud-Américains, certains comptent rester en Belgique.

  • Syrie : la détresse des chrétiens de Deir Atiyya

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    Lu sur orthodoxie.com :

    Syrie : situation dramatique des chrétiens à Deir Atiyya

    Le 22 novembre, des milices islamistes ont semé la mort et la terreur dans la petite ville de Deir Atiyya, située à 88 km au nord de Damas et dont la population s’élève à environ 25.000 habitants ; chrétiens et musulmans y vivent en bonne entente. Durant les dernières semaines, des centaines d’habitants de Qârah (à 100 km au nord de Damas), dont les Grecs-catholiques et leur prêtre, y  ont trouvé refuge. Les milices sont entrées dans l’hôpital et ont pris des malades en otage, pillé et détruit le musée local, pillé des maisons, dévasté l’église orthodoxe et transformé des habitants en boucliers vivants. Des chrétiens ont tenté de prendre la fuite mais les miliciens avaient dressé des barrages et retenaient ceux dont les noms étaient manifestement chrétiens. Le prêtre de la communauté orthodoxe a lancé un appel pressant à la communauté internationale et aux autorités religieuses de tout faire pour sauver Deir Atiyya.

  • BXL, 5 décembre : l'Europe face au défi des minorités chrétiennes et des autres minorités du Proche-Orient

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    Communiqué : 

    Trois ans après le formidable espoir de démocratisation au Sud de la Méditerranée, la situation des minorités, notamment chrétiennes, est aujourd’hui un motif de grande inquiétude dans de nombreux pays bousculés par le « printemps arabe ». Cela mérite une analyse détaillée et des initiatives politiques dans les pays concernés et en Europe. Pour faire le point, le cdH a voulu donner un nouveau coup de projecteur sur ce grave enjeu et contribuer à apporter des réponses pour préserver la diversité et le respect de toutes les croyances dans des pays où la diversité religieuse, pourtant millénaire, est menacée.

    Georges Dallemagne, député, Vanessa Matz, sénatrice et l’ensemble des parlementaires cdH au Parlement fédéral ont le plaisir de vous inviter à un colloque international.

    « L’Europe face au défi des minorités

    chrétiennes et des autres minorités

    du Proche-Orient »

    Le jeudi 5 décembre, 9h-12h30, salle des Congrès

    Parlement fédéral

    Consulter le programme

  • Un livre à découvrir : le Pie XI d'Yves Chiron

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    PieXI-3.jpgYves Chiron, historien et analyste de la vie de l'Église, publie une nouvelle édition de sa biographie sur le pape Pie XI, aux éditions Via Romana (664 pages, 25 €). Avec l'autorisation de l'éditeur, le blog de l’excellent bimensuel « L’Homme Nouveau » publie quelques bonnes feuille de cet ouvrage consacré au pape qui proclama le règne du Christ-Roi, face à la montée en puissance de l’athéisme totalitaire :

    « Pie XI reste un pape mal aimé, peu vénéré. Sur les neuf papes qu’aura connus le XXe siècle, il est un des seuls dont la cause de béatification n’a pas été ouverte et ne le sera vraisemblablement jamais. Les aspérités de son caractère et la solitude qui aurait caractérisé les dernières années de son pontificat expliquent que nul n’a songé, au lendemain de sa mort, à demander sa béatification.

    Le Pape des historiens ?

    Paradoxalement, avec Pie XII – et pour d’autres raisons –, c’est le pape du XXe siècle qui retient le plus l’attention des historiens. Chaque année paraissent de nombreuses études historiques, consacrées à tel ou tel aspect du pontificat, et des témoignages restés jusque-là inédits. La longueur du pontificat (de 1922 à 1939), son contexte historique particulier (face aux totalitarismes communiste et nazi) et l’importance de l’oeuvre accomplie par Pie XI (entre autres, le fort développement des missions et le choix de l’Action catholique comme méthode d’apostolat) expliquent l’attention renouvelée dont il fait l’objet. Depuis la première édition de ce livre, en août 2004, plusieurs ouvrages sont venus enrichir la vision qu’on peut avoir de Pie XI et de son pontificat. Ils n’invalident pas la présentation générale que j’avais publiée alors et ne nécessitent donc pas une refonte du livre (Ont néanmoins été corrigées fautes typographiques et erreurs de détail.). En revanche, ils ont apporté des lumières particulières qu’il faut relever.

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  • Quand Obama ferme l'ambassade des Etats-Unis auprès du Saint-Siège

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    Lu ICI :

    Fermeture de l'ambassade des Etats-Unis près le Saint-Siège

    L'administration Obama prévoit de fermer l’ambassade américaine au Vatican et de déplacer ses bureaux sur le terrain de l'ambassade américaine en Italie. 

    et ICI :

    « C’est une dégradation gigantesque » des liens entre le Vatican et les Etats Unis, a déclaré l’ancien ambassadeur américain James Nicholson, également Secrétaire d’Etat aux anciens combattants dans l’administration Bush.

    Déplacer l’ambassadeur du Vatican envoie un message très clair : le poste diplomatique importe peu à Obama.

    “C’est une nouvelle marque d’antipathie de cette administration tant vis à vis des catholiques et du Vatican, que des Chrétiens du Moyen Orient. Cette ambassade possède une position clef en tant qu’intermédiaire avec beaucoup d’Etats, spécialement au Moyen Orient. C’est tout sauf le bon moment pour fermer cette ambassade. La fermer, c’est réduire son influence », précise James Nicholson.

    “Il y a longtemps que le Département d’Etat voulait faire cela. Le sujet est venu sur la table quand j’étais ambassadeur. J’ai expliqué que c’était une folie, et le projet a été abandonné. Mais maintenant, ils sont déterminés. Ma perception est que les Etats Unis montrent ainsi leur peu d’appréciation pour l’importance diplomatique du Vatican.”

    Il a fallu attendre l’année 1984 pour qu’un président américain ouvre la première ambassade au Saint Siège. Il s’agissait du Président Ronald Reagan, qui a rapidement compris son importance dans les affaires internationales. Reagan et le Pape Jean Paul II ont ainsi formé un partenariat qui a permis la chute du communisme en Europe de l’Est.

    Le Pape communique en permanence avec les cardinaux de tous les pays au monde, ce qui lui donne accès à plus de renseignements qu’aucun autre dirigeant sur la planète. Si Obama devait faire une chose, c’était de développer ses liens avec le Vatican, et non d’insulter les Catholiques.

  • L'Eglise catholique dans le viseur de la nouvelle coalition luxembourgeoise

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    Nous l'avions pressenti mais la ligne adoptée par la coalition au pouvoir au Luxembourg confirme nos appréhensions :

    La coalition tire sur l'Église catholique (source)

    Te Deum au caractère purement religieux, réduction du financement des cultes, suppression des cours de religion au profit d'un enseignement aux valeurs: l'Église a pris des coups hier. Les annonces de la coalition ont beaucoup concerné l'Église catholique, hier. Elle se dit abasourdie par ces mauvaises nouvelles en cascade, alors que le DP continue de parler de dialogue.

    Le standard de l'archevêché a été inondé d'appels de journalistes, si bien qu'à 16 h, un communiqué est tombé. Rendez-vous une heure plus tard dans la cour de l'administration diocésaine, où le vicaire général, Erny Gillen, se fend d'une déclaration qui se veut pour le moins agacé : «Nous sommes mis devant le fait accompli. Des informations filtrent, mais pas sur les grands dossiers comme les impôts ou Cargolux, mais sur ce qui concerne directement l'Église, d'où notre étonnement. Nous apprenons tout dans les médias, c'est comme si un mari communiquait avec sa femme à travers les journaux!» Dès ce week-end, le président du groupe de travail sur l'éducation nationale, André Bauler (DP), avait annoncé la suppression des cours de religion, au profit d'un cours d'instruction aux valeurs. L'affaire est d'autant plus délicate que l'enseignement religieux concerne directement 300 personnes : 250 dans l'enseignement fondamental, qui n'ont pas les cours de religion comme activité principale et qui sont issues de formations diverses, et une cinquantaine de professeurs de lycée dont c'est le travail à temps complet. Ils ont effectué des études de théologie et même s'ils ont une autorisation d'enseignement par l'évêché, ils dépendent du ministère de l'Éducation nationale comme tous les autres enseignants. En ce qui concerne l'école fondamentale, les personnes dispensant les cours de religion dépendent directement de l'archevêché.

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