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  • Manuel Valls témoigne son soutien aux catholiques de France

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    Profanation d’une église dans le XVIIe arrondissement de Paris

    Communiqué de presse du ministre de l'Intérieur du 08 janvier 2014.

    Après l’interpellation d’une personne suspectée d’être responsable des dégradations commises le 4 janvier dans l’église Sainte Odile (Paris XVIIe), Manuel VALLS, ministre de l’Intérieur, tient à féliciter les enquêteurs pour l’efficacité et la rapidité de leur action.

    Toutes les dégradations commises contre les lieux de culte sont des offenses à nos valeurs républicaines de tolérance et de liberté de conscience.

    Les agissements récents, notamment à l’église de la Madeleine, ont constitué à cet égard une provocation inutile. Manuel VALLS tient à témoigner son soutien aux catholiques de France qui ont pu être offensés par ce geste extrêmement irrespectueux.

    Mais cela suffit-il ? Le mouvement des Femen ne devrait-il pas être interdit tout autant que les spectacles de Dieudonné, comme le suggère le directeur-adjoint du Figaro ?

  • Notre société nous oblige à la conversion pour ré-enchanter ce monde

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    Trouiller2-Copie-2-600x250.jpgNatalia Trouiller, "ancienne" journaliste à RCF et La Vie, est la dynamique chargée de communication du diocèse de Lyon; elle dialogue avec Joël Sprung dans "Confessions des nouveaux enfants du siècle" sur leur identité de chrétiens. Tous deux (trentenaires) appartiennent à cette nouvelle génération de catholiques qui a succédé à celle des "post-conciliaires" et qui affronte les défis d'un monde déchristianisé. Elle est interviewée dans le n° de janvier 2014 d'"Il est Vivant".

    Extraits :

    "L’identitarisme est tout le contraire de ce que l’Evangile nous demande de vivre. Il consisterait à afficher des valeurs, quitte à les transgresser allégrement. Nous devons à l’inverse nous réapproprier l’incarnation qui est le fondement de la foi chrétienne. Incarner véritablement cette identité chrétienne, cela passe par une visibilité de notre parole. Les chrétiens doivent être là pour que les Roms soient traités dignement autant que pour dire que la dignité humaine est intrinsèque à l’être humain. La croix est notre symbole : nous sommes à la croisée de l’horizontal et du vertical." (...)

    Conjuguer identification et évangélisation : "l’un de va pas sans l’autre. Je n’ai pas de plan pour réformer l’Eglise. En revanche, l’Eglise me donne un plan pour me réformer, moi. A partir du moment où nous aurons une génération de chrétiens cohérents qui veillent devant les ministères pour la vie naissante et pour les enfants Roms, le jour où des chrétiens décideront en conscience d’appliquer ce que nous demande le Christ – que cela corresponde ou pas à ce qu’ils votent – les gens nous reconnaîtront, et ils viendront." (...) "Cette identité, c’est Jésus qui nous la donne. Que nous dit-il de lui-même, de nous-mêmes et de nos frères ? Sans une relation personnelle avec Dieu, nous restons bloqués dans une idéologie. J’ai été frappée, en décembre dernier, par le débat sur la pénalisation des clients de prostituées. Voir certains catholiques défendre le système prostutionnel alors qu’ils se sont battus comme des lions pour défendre un modèle traditionnel du mariage, cela m’a franchement posé question." (...)

    La notion de « rencontre personnelle » : "C’est la grâce qui nous est donnée à travers notre société sécularisée. Les chrétiens sont obligés de faire l’expérience de la grâce. Je lisais il y a quelques semaines Frédéric Ozanam, qui se plaignait du déclin de l’Eglise… alors qu’il vivait sous Charles X,  que la religion catholique était religion d’Etat, qu’il y avait le Curé d’Ars et des séminaires pleins à craquer ! Il pressentait que ce n’est pas parce que l’on vit dans un monde chrétien que nous le sommes davantage. Notre société nous oblige à la conversion, et une conversion de tous les instants." (...)

    "Nous avons un manque cruel d’une vraie élite intellectuelle dans l’Eglise. Qui prendra la suite de Rémi Brague ou de Jean-Luc Marion ? À une époque, être un laïc catholique c’était faire partie d’une élite intellectuelle. Aujourd’hui, dans l’esprit des gens, si vous êtes très intelligent, vous êtes agnostique ; si vous êtes un peu moins intelligent, vous êtes protestant ; si vous êtes complètement idiot, vous êtes catholique. Il faut montrer aux gens que si la foi peut passer par la révélation, l’un des canaux privilégié de l’entretien de cette foi est l’exercice de la raison."

    La génération qui arrive : "Ils vont avoir à faire face à des défis énormes, que nous commençons tout juste à relever. L’un d’eux est de parvenir à entrer en relation avec les autres, à l’heure où chacun est enfermé dans sa conception de la vérité, où la notion de bien commun n’existe plus. Le dialogue est impossible car il ne semble même plus utile. Or il nous faut repartir, chrétiens et non-chrétiens, à la recherche de cette Vérité. Mais j’ai confiance, car j’ai confiance en Dieu. Il faut leur dire que : « Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique. » Cette phrase contient toute la tension du chrétien. Il nous faut annoncer le don du Fils à l’humanité, et ne jamais oublier que si ce Fils a été donné, c’est parce que Dieu aime cette humanité… même si elle nous paraît détestable, et que nous sommes tentés de nous enfermer dans nos paroisses. Dieu aime ce monde, et il ne cesse pas de l’aimer. Il nous faut le ré-enchanter, le regarder tel que Dieu le voit, et tel que Dieu le veut."

  • L'Eglise et le droit à l'immigration

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    La délicate question de l'accueil des personnes qui se présentent en masse aux frontières de l'Europe en taraude plus d'un. Quelle attitude prendre pour concilier à la fois l'accueil du plus pauvre venu d'ailleurs et le souci de ne pas se laisser submerger par des flux migratoires incontrôlés? Dans son message pour la journée du migrant et du réfugié (2011), le pape Benoît XVI, se faisant l'écho de ses prédécesseurs, évoquait cette délicate question (source) :

    Le vénérable Jean-Paul II, à l'occasion de cette même journée célébrée en 2001, souligna que «[le bien commun universel] englobe toute la famille des peuples, au-dessus de tout égoïsme nationaliste. C'est dans ce contexte qu'il faut considérer le droit à émigrer. L'Eglise reconnaît ce droit à tout homme, sous son double aspect: possibilité de sortir de son pays et possibilité d'entrer dans un autre pays à la recherche de meilleures conditions de vie» (Message pour la Journée mondiale des migrations 2001, n. 3; cf. Jean XXIII, Enc. Mater et Magistra, n. 30; Paul VI, Enc.Octogesima adveniens, n. 17). Dans le même temps, les Etats ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières, en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine. En outre, les immigrés ont le devoir de s'intégrer dans le pays d'accueil, en respectant ses lois et l'identité nationale. «Il faudra alors concilier l'accueil qui est dû à tous les êtres humains, spécialement aux indigents, avec l'évaluation des conditions indispensables à une vie digne et pacifique pour les habitants originaires du pays et pour ceux qui viennent les rejoindre» (Jean-Paul II, Message pour la Journée mondiale de la paix 2001, n. 13).

  • Portes Ouvertes publie l'Index Mondial de Persécution 2014

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    2083202096.jpgLes résultats de l’Index Mondial de Persécution. 
    Sortie ce mercredi 8 janvier 2014

    Chaque année, depuis1997, Portes Ouvertes publie l’Index Mondial de Persécution, un classement des50 paysoù les chrétiens sont le plus persécutés en raison de leur foi.  Alors que l’actualité est bousculée par les tensions religieuses de par le monde, découvrez les résultats et tendances de l’index 2014 : nouvelles entrées, pays sortants, nombre de martyrs…

    La sortie de l’index est également l’occasion de faire le point sur les analyses passées : en 2013, cinq nouveaux pays africains entraient dans l’Index. Que deviennent-ils ? Lors de la sortie de l’Index 2012, plusieurs médias ont relayé notre analyse au sujet d’un « Hiver chrétien » après le « Printemps Arabe ». 
    Qu’en est-il aujourd’hui ?

    Voir : http://www.portesouvertes.fr/persecution-des-chretiens-2013/

    Synthèse sur Ouest france : http://religions.blogs.ouest-france.fr/archive/2014/01/07/la-persecution-des-chretienns-en-hausse-en-2013-10972.html

  • Dieu nous précède toujours

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    Du pape François lors de l’angélus du jour de l'Epiphanie (source)

    Chers frères et sœurs, bonjour !

    Aujourd’hui, nous célébrons l’Épiphanie, c’est-à-dire la « manifestation » du Seigneur. Cette solennité est liée au récit biblique de la venue des rois mages d’Orient à Bethléem pour rendre hommage au roi des juifs ; c’est un épisode que le pape Benoît a magnifiquement commenté dans son livre sur l’enfance de Jésus. Cela a été précisément la première « manifestation » du Christ aux peuples. C’est pourquoi l’Épiphanie met en relief l’ouverture universelle du salut apporté par Jésus. La liturgie de ce jour proclame : « Tous les peuples de la terre viendront t’adorer, Seigneur » parce que Jésus est venu pour chacun de nous, pour tous les peuples, pour tous !

    En effet, cette fête nous montre un double mouvement : d’un côté, le mouvement de Dieu vers le monde, vers l’humanité – toute l’histoire du salut, qui culmine en Jésus – et, de l’autre, le mouvement des hommes vers Dieu – pensons aux religions, à la recherche de la vérité, au cheminement des peuples vers la paix, la paix intérieure, la justice, la liberté. Et ce double mouvement est porté par une attraction mutuelle. Du côté de Dieu, qu’est-ce qui l’attire ? C’est son amour pour nous : nous sommes ses enfants, il nous aime et veut nous libérer du mal, des maladies, de la mort et nous emporter dans sa maison, dans son Royaume. « Dieu, par pure grâce, nous attire pour nous unir à lui » (exhort. apost. Evangelii gaudium, 112). Et de notre côté aussi, il y a un amour, un désir : le bien nous attire toujours, la vérité nous attire, la vie, le bonheur, la beauté nous attirent… Jésus est le point de rencontre de cette attraction mutuelle, de ce double mouvement. Il est Dieu et homme : Jésus, Dieu et homme. Mais qui prend l’initiative ? C’est toujours Dieu ! L’amour de Dieu précède toujours le nôtre ! C’est toujours lui qui prend l’initiative. Il nous attend, il nous invite, l’initiative vient toujours de lui. Jésus est Dieu qui s’est fait homme, qui s’est incarné, qui est né pour nous. La nouvelle étoile qui est apparue aux mages était le signe de la naissance du Christ. S’ils n’avaient pas vu l’étoile, ces hommes ne seraient pas partis. La lumière nous précède, la vérité nous DSC_1031-_Amandiers_en_fleurs_-_Aragon_.jpgprécède, la beauté nous précède. Dieu nous précède. Le prophète Isaïe disait que Dieu est comme la fleur d’amandier. Pourquoi ? Parce que sur cette terre, là-bas, l’amandier fleurit le premier. Et Dieu précède toujours, il est toujours le premier à nous chercher. C’est lui qui fait le premier pas. Dieu nous précède toujours. Sa grâce nous précède et cette grâce est apparue en Jésus. Il est l’épiphanie. Lui, Jésus-Christ, est la manifestation de l’amour de Dieu. Il est avec nous.

    L’Église est tout entière dans ce mouvement de Dieu vers le monde : sa joie est l’Évangile, elle est de refléter la lumière du Christ. L’Église est le peuple de ceux qui ont fait l’expérience de cette attraction et qui la portent en eux, dans leur cœur et dans leur vie. « Je voudrais dire - sincèrement - je voudrais dire à ceux qui se sentent loin de Dieu et de l’Église, à ceux qui sont craintifs et indifférents : Le Seigneur t’appelle toi aussi à faire partie de son peuple et il le fait avec grand respect et amour ! » (ibid., 113). Le Seigneur t’appelle. Le Seigneur te cherche. Le Seigneur t’attend. Le Seigneur ne fait pas de prosélytisme, il donne de l’amour, et cet amour te cherche, t’attend, toi qui, en ce moment, ne crois pas ou qui es loin. Et c’est cela l’amour de Dieu.

    Demandons à Dieu, pour toute l’Église, demandons la joie d’évangéliser, parce qu’elle a été « envoyée par le Christ pour manifester et communiquer la charité de Dieu à toutes les nations » (Ad gentes, 10). Que la Vierge Marie nous aide tous à être des disciples-missionnaires, de petites étoiles qui reflètent sa lumière. Et prions pour que les cœurs s’ouvrent à l’accueil de l’annonce et que tous les hommes parviennent à être « bénéficiaires de la même promesse par le moyen de l’Évangile » (Eph 3,6).

  • L'euthanasie d'un vieil athlète

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    Jeanne Smits commente l'évènement

    Ni trop malade pour être opéré, ni en fin de vie : euthanasie d'un athlète de 95 ans

    Une nouvelle fois, un pays a vécu au rythme de la chronique d'une mort annoncée. Cette fois c'est en Belgique que la presse a révélé, la semaine dernière, la prochaine euthanasie d'un des athlètes belges les mieux connus, et en tout cas le plus âgé : Emiel Pauwels, 95 ans, champion d'Europe du 60 mètres en annonçant que tous ses papiers étaient en règle pour l'euthanasie…

    Au lendemain d'une fête à tout casser, où il a offert le champagne à tous ses proches et amis, dans la bonne humeur et les bulles, il a « quitté la vie » comme le dit la presse belge ce mardi 7 janvier. Ça y est, il est mort. Piqué. Entouré de sa famille.

    Souffrait-il ? Sans doute, mais pas assez pour ne pas pouvoir avaler une coupe de champagne en bonne compagnie. Etait-il en phase terminale ? Absolument pas. N'y avait-il pour lui aucune perspective d'amélioration ? Mais si, puisque les médecins lui proposaient une intervention chirurgicale qui, vu son excellente forme physique, par ailleurs, aurait pu lui donner quelques bonnes années de plus. Répondait-il donc aux critères de l'euthanasie de la loi belge ? Il faut croire que non. Mais une fois qu'il y a une loi d'euthanasie, les critères se font de plus en plus relatifs…

    Lire la suite sur le blog de Jeanne Smits

  • Banneux, 17-19 janvier : session consacrée à "Lumen Fidei"

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  • Savoir discerner ce qui mène au Seigneur et ce qui éloigne de Lui

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    Ecouter Jésus pour éviter les faux prophètes


    (Radio Vatican) Le chrétien sait surveiller son cœur pour distinguer ce qui vient de Dieu et ce qui provient des faux prophètes. C’est ce qu’a affirmé le Pape François lors de la messe célébrée ce mardi matin en la chapelle de la Maison Sainte-Marthe, la première messe après les fêtes de Noël. Le Pape a rappelé que la voie de Jésus est celle du service et de l’humilité. Une voie que tous les chrétiens sont appelés à suivre.  

    « Restez proches du Seigneur ». Le Pape François a prononcé son homélie en partant de l’exhortation de l’apôtre Jean, figurant dans la première lecture. Un « conseil de vie », a-t-il souligné, que Jean répète de manière « presque obsessionnelle ». L’apôtre désigne « un des comportements du chrétien qui veut rester proche du Seigneur : savoir ce qui se passe dans son propre cœur ». C’est pour cela qu’il avertit qu’il ne faut pas donner foi à tout esprit , mais mettre « les esprits à l’épreuve ». Il est nécessaire, a souligné le Pape, de savoir « discerner les esprits », savoir discerner si « quelque chose nous fait rester proche du Seigneur ou nous éloigne de lui ». Notre cœur, a-t-il ajouté, a toujours des désirs, des envies, des pensées. Mais, il s’est demandé: « proviennent-ils du Seigneur ou certains de ceux-ci nous éloignent du Seigneur ? »                                  

    Le chrétien doit surveiller son coeur                                          

    Voilà que l’apôtre Jean nous exhorte à mettre à l’épreuve ce que nous pensons et ce que nous désirons : « Si cela figure dans la ligne du Seigneur, c’est bien, mais sinon…. Mettez à l’épreuve les esprits pour savoir s’ils proviennent véritablement de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde. Prophètes, prophéties ou propositions : « J’ai envie de faire ceci ! » « Mais ça ne te mène pas au Seigneur, ça t’éloigne de lui. C’est pour cela que la vigilance est nécessaire. Le chrétien est un homme ou une femme qui sait surveiller son cœur. Et à plusieurs reprises, notre cœur, avec tant de choses qui vont et viennent, semble être un marché de rue : de tout, tu trouves de tout là-bas…Et non ! Nous devons sonder si ceci provient du Seigneur et si cela ne l’est pas, pour rester proche du Seigneur ».

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  • Banneux en vedette sur KTO

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    De l'avenir.net :

    SPRIMONT - «Lieux marials», une série de documentaires, consacre sa prochaine «apparition» sur nos écrans à Banneux. À voir selon le Sanctuaire.

    Banneux sera en vedette dès vendredi sur la chaîne KTO, diffusée sur Belgacom TV. Cette chaîne catholique, comme son nom l’indique, diffusera en effet pour la première fois un documentaire de 52 minutes consacré au Sanctuaire de Banneux dans le cadre de la série«Lieux marials». Tourné pendant plusieurs jours de juin dernier par le réalisateur, mais aussi l’acteur, Armand Isnard, à qui l’on doit d’autres œuvres sur Chopin, Sissi Impératrice, Léo Ferré, Bernadette Soubirous, Edith Piaf, Frédéric Ozanam, Georges Brassens, Don Bosco, Jean Marais, Marthe Robin… mais aussi sur l’Autriche, le Trentin et les Dolomites ou Sainte-Maxime, ce documentaire est grandement servi par les autochtones. «C’est l’interview du recteur, l’abbé Léo Palm, qui sert de fil conducteur» souligne Jean-Marie Denis, responsable presse du Sanctuaire de Banneux. «Sur ses propos on peut voir de très belles images de Banneux ainsi que de nombreuses photos, dont des inédités, des archives du Sanctuaire». D’autres intervenants, «bénévoles ou membres du personnel du Sanctuaire», apportent leurs bonnes paroles au récit comme «Sœur Marie-Thérèse de l’Hospitalité; deux amies de Mariette Beco, l’archiviste Anny De Deyn et Nicole Ingenbleek, servante de la Vierge des Pauvres, Fabian Delarbre, cérémoniaire, et Pascal Lecoq, chapelain du Sanctuaire». Et Jean-Marie Denis d’expliquer que «ses amies expliquent très bien la personnalité de Mariette Beco» dont on pourra apprécier «des images relativement inédites» entre celles de «la période des apparitions» et «sa dernière photo 10 ans avant sa mort». De quoi faire dire à notre interlocuteur que «le message de la Vierge des Pauvres est très bien expliqué et très bien mis en perspective avec les explications et des éclairages particuliers de toute la vie de Mariette Beco, des suites des apparitions, de son vécu… au jour le jour de l’accueil du témoignage confié par la Vierge Marie».

    Une œuvre cinématographique, «très bien faite de très belles interventions et de très beaux montages» qui sera d’ailleurs disponible en DVD au Sanctuaire de Banneux.

    Vendredi 10 janvier à 20 h 40 sur KTO ou www.kto.com ; rediffusions : samedi 11 à 0 h 25 et 11 h ; dimanche 12 à 14 h 25, lundi 13 à 9 h, mercredi 15 à 18 h 40, jeudi 16 à 16 h et vendredi 17 janvier à 13 h.

  • Abbaye du Barroux : un nouveau missel pour la forme extraordinaire

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    Missel-barroux-1.jpgLes Éditions Sainte-Madeleine de l'abbaye du Barroux viennent de publier un nouveau missel quotidien pour la forme extraordinaire.  Ce missel, qui existe en plusieurs coloris (noir, brun, bordeaux, bleu foncé), comprend 2640 pages et il est disponibile au prix de 49 €. Il a reçu l'imprimatur de l’archevêque d’Avignon, Mgr Jean-Pierre Cattenoz. Une très belle réussite éditoriale.  Philippe Maxence, rédacteur en chef du bimensuel « L’Homme Nouveau » a interrogé à ce sujet le  Père Hubert, cellérier de l'abbaye. Extraits.

    « Vous venez de publier un nouveau missel pour la forme extraordinaire alors que vous en éditiez un depuis de longues années. Pourquoi ? Et combien d'années de travail celui-ci a-t-il demandé ?

    Le missel des années 50 que nous avions réédité en 1990 – le seul dont nous ayons pu alors et jusqu’à présent obtenir les droits – présentait bien des imperfections. Nous n'avions pu y apporter que de minimes corrections, faute de posséder le texte sous format numérisé. Nous en avons vendu 40.000 tout de même !

    Début 2011, après la réimpression du Missel vespéral grégorien, nous avons donc décidé de nous lancer dans la création de notre propre missel et avons établi la « feuille de route » des tâches à prévoir : texte latin à vérifier, traductions à revoir, introductions et commentaires divers à élaborer, notices du sanctoral à réviser, recueil de prières à élaborer, illustrations à réaliser… Chacun s'est ensuite mis au travail pendant un peu moins de trois ans. Près d’une quinzaine de personnes ont ainsi œuvré à la rédaction, aux relectures et aux corrections : Pères et Frères de l’Abbaye, Moniales de Notre-Dame de l’Annonciation, et mères de famille (la collaboration de laïcs garantissait que le missel serait bien adapté à son usage par tous)

     

    Missel-brun.jpgMissel-bordeaux.jpgMissel-bleu.jpg

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  • Cycle de formation bioéthique d'Alliance VITA

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    Pourquoi les Belges n'iraient-ils pas participer au cycle de formation d'Alliance Vita à Lille (par exemple) ?

     
    Cycle de formation bioéthique 

    d'Alliance VITA


     Venez vous former sur les sujets bioéthiques

    5 soirées du 13 janvier au 10 février 2014

    J-8 pour vous inscrire et inviter vos amis ! 

    Partagez ce message à vos contacts 


    Le thème 2014 : QUI EST L'HOMME ?

    Quelle vision de l’homme se dessine, quelle culture est en train de s’élaborer : une culture de la toute-puissance, ou de la vulnérabilité ?


    Au programme :
    • A l’origine de la vie humaine : anthropologie, procréation, maternité, paternité,
    • Homme ou femme : interchangeables ?
    • Fragilité, dépendance et interdépendance
    • Un temps pour vivre, un temps pour mourir
    • Le transhumanisme : vers une “intégration homme – machine” ?
    OU ?
    Dans 50 villes en France en simultanée par visioconférence. 
    > consulter la liste des villes

     QUAND ?
    5 lundis soir du 13 janvier au 10 février 2014 de 20h15 à 22h30
    > Voir le détail du programme

    COMMENT ?
    Une formation inédite en visioconférence, interactive et participative
    AVEC QUI ?
    Tugdual Derville, le Dr Xavier Mirabel, des philosophes, experts et témoins 


    Pour vous inscrire, rendez-vous sur le site www.universitedelavi.fr
    N'hésitez pas à en parler largement autour de vous  !
  • Ecole : quatre libertés à reconquérir

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    Elles sont énoncées par Lionel Devic, président de la Fondation pour l'école. Bien que formulées dans le contexte français, elles sont tout aussi bien adaptées aux réalités scolaires de notre pays où le fonctionnarisme asservi à l'idéologie étouffe l'enseignement :

    Les libertés sont en recul dans notre société, et en particulier à l’école. Chacun le ressent, mais pas question de s’y résoudre ! La première liberté de l’école est… d’être une école, c’est-à-dire un lieu consacré avant tout à l’instruction des enfants.

    Ce qui nous semble une lapalissade ne va plus de soi pour ceux qui nous gouvernent : le ministre Peillon affirme ainsi vouloir se servir de l’école pour changer les mentalités, rééduquer les consciences en brisant les stéréotypes culturels, bref instrumentaliser l’école à des fins politiques. Cette dérive de l’institution scolaire n’est bien sûr pas neuve : la transformation en 1932 du ministère de l’«Instruction publique» en celui de l’«Éducation nationale» le prouve. Cette ingérence étatique dans l’éducation des consciences a eu pour conséquence malheureuse une perte d’efficacité de l’école dans sa mission constitutive qui est d’instruire. C’est en chargeant l’école de missions étrangères à sa nature qu’on a enclenché son déclin : depuis qu’elle est priée de casser les mécanismes de reproduction sociale, elle est devenue un accélérateur d’inégalités. Les tests PISA de l’OCDE montrent que la France est le pays où les origines sociales pèsent le plus dans les différences de résultats académiques des enfants, et où les disparités de niveau entre élèves sont les plus fortes. Bref, l’obsession égalitariste de l’école n’a su que conduire au creusement des inégalités sociales par l’école. C’est en instruisant sans faire de politique que l’école redeviendra un outil de justice sociale.

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