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Actualité - Page 1406

  • La Société en action. Une méthode pour la démocratie

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    8420-societe-en-action_couv51c99bfd4646d.jpgLa Société en action. Une méthode pour la démocratie

    Danièle Bourcier, Gilles Heriard Dubreuil et Sylvain Lavelle 

    ISBN : 9782705684204 - 24.00 €

    recommandé par Ecologie Humaine

    PRÉSENTATION de l'éditeur :

    La participation s’oppose traditionnellement au modèle dominant de la représentation, et constitue aujourd’hui la réponse la plus souvent proposée à l’aspiration des citoyens à une démocratie nouvelle. Les auteurs de cet ouvrage portent quant à eux un autre regard sur les transformations concrètes de la démocratie en se fondant sur la notion de bien commun. Ils tirent les leçons d’un travail de recherche coopérative mené sur des expérimentations en Europe auxquels ils ont participé dans les domaines de la santé, de l’environnement et du développement technique et industriel. Ils ont observé l’émergence de formes de coordination et de coopération sociale originales autour de la création et de la gouvernance de biens communs. Ils questionnent ainsi les catégories traditionnelles de l’action publique et reconsidèrent certaines oppositions convenues – intérêt particulier et intérêt général, propriété privée et propriété publique, ou encore, état et société civile. Ils suggèrent une méthode qui les conduit à repérer dans les modalités du « faire ensemble » les manifestations d’une démocratie vivante où le lien social se construit dans l’action. Ce livre s’adresse aux citoyens, aux étudiants et aux chercheurs, aux décideurs, aux associations, et à tous ceux qui sont à la recherche de nouvelles formes de vie démocratique.

    AUTEURS :

    Danièle Bourcier, chercheur en droit au CERSA (CNRS), s’intéresse aux transformations démocratiques du droit et aux modalités de l’action publique et de l’e-gouvernment. Elle est responsable scientifique de Creative Commons France, ce qui l’a conduite à analyser de façon concrète la pratique des communs, et elle est membre du Comité d’éthique du CNRS (COMETS).

    Gilles Heriard Dubreuil, chercheur indépendant, fondateur du groupe de recherche Mutadis, travaille sur la gouvernance et la démocratie. Il est intervenu sur la situation post-accidentelle de Tchernobyl depuis 1991 et a créé récemment la Fondation pour la Culture Démocratique.

    Sylvain Lavelle, enseignant et chercheur en philosophie, est affilié au Centre éthique, Technique et Société de Lille, à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, et est fondateur de l’Institut Hylès.

    320 pages – 15 x 23 cm – 2013

  • Une infirmière plaide pour le droit de mourir dignement sans euthanasie

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    Pour le droit de mourir dignement sans euthanasie

    par une infirmière en soins palliatifs (via Euthanasie Stop)

    Cela fait plus de vingt ans que j'ai le privilège d'accompagner des personnes en fin de vie et leurs proches, dans des services d'oncologie, de soins intensifs ou, aujourd'hui, dans une unité de soins palliatifs.

    C'est sur base de cette expérience que je prends ici la parole pour témoigner de ce que je vois et vis au quotidien, consciente que mes pauvres mots ne pourront jamais donner qu'un pâle reflet de la réalité.

    Comment, en effet, approcher au mieux l'intensité des derniers moments d'une vie si ce n'est en étant à son chevet jusqu'au bout?

    A vous qui avez la lourde responsabilité de légiférer en matière de soins de santé, je lancerais donc d'emblée l'invitation suivante: «venez et voyez»!

    Oui, chacun a le «droit de mourir dans la dignité» et contrairement à ce que laisse supposer le nom ainsi choisi par l'association qui prône le recours à l'euthanasie, nombreuses sont les personnes qui décèdent en gardant toute leur noblesse sans demander que soit intentionnellement mis fin à leur existence. J'en suis, quant à moi, témoin au fil des jours et je leur rends un vibrant hommage.

    La réelle revendication cachée derrière ces mots n'est-elle pas davantage celle du «droit de choisir sa mort»?

    Et la notion de «dignité humaine» n'est-elle pas avant tout une question de regard posé sur la beauté intrinsèque de l'homme quel qu'il soit (dément, handicapé, défiguré par la maladie, dépendant des autres...)? Celle-ci est une évidence pour moi qui ai si souvent goûté la joie de partager des moments de tendresse réciproque avec ces personnes fragiles et tant de fois expérimenté à quel point elles m'aident à grandir en humanité.

    Une telle beauté ne pourrait-elle pas être perçue par notre société qui tend à valoriser l'apparence et la « liberté » à tout prix?

    Consulter l'article en entier en pdf

  • Et pendant ce temps-là, les Coptes...

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    Sur le Blog Copte :

  • La révolution Bergoglio

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    Les interviews accordées par le pape, ses déclarations étonnantes, ses décisions surprenantes, font l'objet de nombreux commentaires, en sens divers. On pourra s'en rendre compte en consultant, à titre indicatif, les commentaires suivants :

    - Le virage de François (S. Magister)

    - Incroyable ce pape (G. de Tanoüarn)

    - En conscience, je dois briser le chorus (P. De Marco)

    - Il faut aider le soldat François (R. Poujol)

    - Où va le pape François (A. Mastino)

    - L'intransigeance de François (G. Leclerc)

    - Le pape à Scalfari : "La grâce peut aussi vous toucher" (M. Introvigne)

    - ...

  • De l'islam et de l'islamisme

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    En Occident, la distinction a fini par s'imposer entre un islam, acceptable et fréquentable, et un islamisme qui serait sa déformation extrémiste et caricaturale. Que penser de cette distinction, est-ce aussi simple? Annie Laurent, spécialiste de l'islam, y répond sur le site Aleteia et nous ne saurions assez vous conseiller de lire attentivement cet éclaircissement : http://www.aleteia.org/fr/religion/q&r/quel-est-lislam-authentique-1354001

  • Les tueries des chrétiens en terre d'islam : l'Occident ferme délibérément les yeux

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    De Franz-Olivier Giesbert, éditorialiste, sur le site du Point (3 octobre) :

    ... C'est bien un choc des civilisations qui se déroule sous nos yeux en Syrie, où s'affrontent, au nom de l'islam, les chiites soutenus par les Iraniens et les sunnites armés par l'Arabie saoudite et le Qatar. Même chose au Pakistan, où, comme en Égypte ou au Nigeria, les chrétiens sont devenus la chair à pâté des intégristes islamistes.

    C'est une des grandes nouvelles de l'année : si l'Occident défend encore, ici ou là, quelques minorités ethniques persécutées de par le monde, il semble avoir décidé de faire passer par profits et pertes les tueries de chrétiens en terre d'islam. Par fatigue ou honte de soi, ou les deux, nous fermons les yeux.

    Deux poids, deux mesures. La semaine dernière, alors que le monde entier se focalisait sur l'attaque d'un centre commercial de Nairobi, au Kenya, qui a fait 69 morts, un attentat-suicide faisait plus de 80 morts devant une église de Peshawar, au Pakistan. C'est peu de dire que le massacre pakistanais est passé inaperçu : il a été zappé. Il y a là quelque chose d'hallucinant qui relève de la psychanalyse.

    La vie des chrétiens d'Orient, d'Afrique ou d'Asie compte-t-elle pour quantité négligeable ? C'est une question que l'on est en droit de se poser quand on voit la place que nos chers médias accordent aux tueries et aux discriminations dont les catholiques ou les protestants sont l'objet sur la planète : rien ou presque, à quelques heureuses exceptions près.

    Entre chrétiens et musulmans, l'incompréhension est séculaire. Sans doute parce qu'ils ont pas mal de points communs. Bien sûr, d'un point de vue historique, chaque camp a sa part de responsabilité : avant le djihad, il y a eu des croisades qui n'étaient pas des promenades de santé. Mais est-ce une raison pour que les puissances occidentales abandonnent à leur triste sort les 2 % de chrétiens du Pakistan, les 11 % de l'Égypte ou les 49 % du Nigeria, considérés par les intégristes islamistes comme du gibier d'attentats ?

    Cachez ces crimes qu'on ne saurait voir : c'est notre tartuferie qui nourrit le choc des civilisations. Puisque leurs forfaits ne sont ni punis ni même dénoncés, les djihadistes et les salafistes se croient autorisés à continuer. Ce n'est pas faire de l'islamophobie que de dire cela. Il y a aujourd'hui, notamment en France, une tendance à accepter ce qu'on refuse, depuis belle lurette, Dieu merci, aux catholiques. Pis encore, il y a aussi une forme de résignation devant les crimes et les folies des intégristes musulmans au Pakistan et ailleurs. A croire que l'islam n'est pas une religion comme les autres et qu'il porterait le mal en lui, alors que les islamistes le défigurent.

    C'est là le syndrome d'un impensé raciste.

  • Ce que le pape François a vraiment dit à Scalfari : texte intégral

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    Repubblica.it: il quotidiano online con tutte le notizie in tempo reale.

    Enfin la traduction complète de l’interview telle que l’a  rapportée Eugenio Scalfari lui-même ! L’accès aux sources est tout de même plus éclairant que les « compendiums » et autres « raccourcis » qui circulent, fussent-ils d’origine vaticane. JPSC

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  • Bulletin de l'IEB - 2 octobre 2013 - Euthanasie - sondages/Nathan/BBC

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    header_fr.jpgSommaire

  • Bâtisseurs de cathédrale au XXIeme siècle

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    L'oeuvre majestueuse de l'architecte et Serviteur de Dieu Antonio Gaudi (ci-dessous) va-t-elle enfin aboutir ? Débutés en 1882, les travaux de construction de la Sagrada Familia (Barcelone) devraient toucher à leur fin en 2026. S'il faudra encore attendre treize ans avant de voir l'oeuvre de Gaudi, la magie de la technologie nous permet de découvrir ce à quoi ressemblera la célèbre basilique, monument phare de la capitale catalane.

    En 1mn30, la vidéo effectue un tour complet du bâtiment, partant de ce à quoi il ressemble actuellement pour arriver au résultat final. Les travaux de la Sagrada Familia ont été interrompus à la mort de Gaudi, en 1926, avant d'être repris puis arrêtés par différents architectes. Le chantier, placé sous la direction de Jordi Bonet i Armengol, n'a plus été interrompu depuis 1987.

    Le procès de béatification d'Antonio Gaudi a été ouvert en 2000.

    La Sagrada Familia achevée... ou presque - JPSC

  • BXL, 18 novembre : Parlez-vous gender ?

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    image001.png

  • Entrées 2013 aux séminaires : un signe des temps ?

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    portrait-f65ec.jpgLa question des vocations demeure en France -comme en Belgique et ailleurs en Europe-  plus préoccupante que jamais. Mais, cette année, on compte tout de même un petit succès dans les communautés les plus traditionnelles : ainsi,  10 Français sont entrés en première année à la Fraternité Saint-Pierre, 11 à l’Institut du Christ Roi…et, last but not least, 31 à la Communauté Saint-Martin (voir notre photo ici : C’est la rentrée au Séminaire de la Communauté Saint-Martin ! )

     S’il n’y a pas de recette miracle, encore faut-il se poser les bonnes questions et savoir lire les signes des temps. Petite tentative de l’abbé Laurent Spriet (photo ci-contre)  en ce sens, dans le récent numéro du mensuel « La Nef » (octobre 2013) :

    «Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises ! » Voilà une injonction particulièrement délicate à mettre en œuvre. C’est pourtant le refrain adressé par l’apôtre saint Jean aux différentes communautés chrétiennes au début du livre de l’Apocalypse. Pour y parvenir, il faut tout d’abord prêter attention aux signes que le Seigneur nous adresse à travers l’histoire, et ensuite exercer un discernement pour vérifier que le message perçu est celui que Dieu veut nous donner. C’est un exercice très difficile de décryptage (cf. Vatican II, Gaudium et spes, n. 4 et n. 11). À partir de la réalité objective des entrées de jeunes Français au séminaire ces dernières années, essayons de percevoir ce que l’Esprit Saint peut vouloir nous dire au sujet des vocations sacerdotales. Notre tentative d’analyse s’appuiera aussi sur le dernier livre de Mgr Defois intitulé Le pouvoir et la grâce (1) dans lequel l’archevêque émérite de Lille analyse le rapport des prêtres au monde et à la modernité, du concile de Trente au concile Vatican II. Un livre passionnant qui donne vraiment matière à réflexion.

    État des lieux. En France, en 2012, le nombre total des candidats au sacerdoce était de 691, dont 80 issus de « communautés nouvelles » (soit 12 %) et 89 de nationalité étrangère en vue d’une incardination en France (soit 13 %). En 2000, ils étaient 976 ; en 1995 : 1155 ; en 1974 : 1509 ; et en 1966 : 4536. Le nombre d’ordinations presbytérales en 2012 était de 94 ; il y en a bon an, mal an une centaine chaque année depuis 1995 (2). Le nombre de ceux qui commençaient leur formation (3) était de 127 (247 en 1995). En 2012 toujours, 92 candidats en cours de formation ont quitté le séminaire : 7 se sont orientés vers la vie consacrée, 53 sont partis en 1er cycle (philosophie), 34 en second cycle (théologie). En 1995 le nombre de prêtres diocésains en France était de 22 500. Il est passé à 13 112 en 2011 (4).

    Où se situe le problème ? La raréfaction des entrées au séminaire en France ne s’explique pas par une diminution des personnes appelées : le Seigneur ne cesse pas d’inviter les âmes à le servir dans le ministère presbytéral. La difficulté se trouve du côté des hommes. À cet égard la parabole du semeur peut nous éclairer. La semence de la vocation tombe dans des cœurs plus ou moins disposés. Le démon existe et il agit. Le monde aussi qu’il soit « moderne » ou maintenant « postmoderne ». Nous pouvons donc nous demander : qu’est-ce qui empêche la semence de porter du fruit ? Mais aussi : qu’est-ce qui aide la semence à germer ?

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  • Belgique : la culture de mort aurait de beaux jours devant elle

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    Selon « le Vif » de ce mercredi 2 octobre, un sondage révèle ce mercredi que 75% des Belges acceptent que l'euthanasie puisse être appliquée aux mineurs d'âge, sans leur consentement :

     « Alors que le débat sur l'éventuelle extension de la loi de 2002 sur l'euthanasie aux enfants doit prochainement reprendre en commissions réunies de la Justice et des Affaires sociales du Sénat, un sondage "Dedicated-La Libre-RTBF" révèle mercredi que 75% de la population belge acceptent que l'euthanasie puisse être appliquée aux mineurs d'âge sans leur consentement. 

    Au total, 38% se disent "tout à fait favorables" et 36% "plutôt favorables" à une loi autorisant l'euthanasie de mineurs souffrant de maladie incurable, particulièrement pour des mineurs qui ne seraient plus en état de donner leur consentement. 

    Les Flamands (40% "très favorables") y sont un peu plus acquis que les Bruxellois (37%) et surtout que les Wallons (34%). 

    Les Belges vont donc plus loin que les volontés politiques. Les sénateurs ne planchent en effet pour l'instant que sur une extension de la loi à de jeunes mineurs "capables de discernement" et de se positionner sur une fin de vie anticipée. 

    Le sondage révèle également que 79% des Belges sont favorables à une extension de la loi pour les personnes majeures souffrant de démence, type Alzheimer, ou de démence vasculaire grave. 

    Le sondage a été effectué par internet sur un échantillon de 2.714 électeurs belges. 

    Réf. Les Belges "favorables" à l'euthanasie des enfants

    JPSC