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Actualité - Page 1712

  • Syrie : quand prudence et circonspection s'imposent

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    Nous sommes un peu étonnés de voir un célèbre journaliste catholique reprendre à son compte, sur son blog, les déclarations de la Mère Agnès-Mariam de la Croix sur la situation en Syrie. Les positions inconditionnellement favorables au régime de Bachar el-Hassad de cette religieuse qui attise les tensions sont à prendre avec un minimum de précautions et sont loin de refléter le sentiment de l'ensemble des chrétiens syriens. Elles risquent en outre, en amalgamant la défense de la minorité chrétienne avec le soutien au régime, de compromettre les chrétiens qui sont ainsi désignés comme des partisans inconditionnels d'el-Hassad. Cela ne signifie pas que ces propos de la Mère Agnès-Mariam soient mensongers ou dénués d'intérêt mais ils doivent être lus et entendus avec la circonspection qui s'impose parce qu'ils semblent ne pas tendre à l'objectivité et alimenter une logique de guerre civile.

    Plus crédibles sans doute, ces informations transmises par l'agence Fides :

    Montée en puissance du militantisme islamique au sein de l'opposition syrienne

    De « Journée de la dignité » à « Vendredi des Armées de l’islam » : de ces titres, choisis pour les manifestations de l’opposition syrienne, il est possible d’appréhender la montée en puissance du militantisme islamique, wahhabite et salafiste, dans les rangs des rebelles syriens. Comme cela a déjà été le cas dans les expériences du Printemps arabe au Yémen, les dissidents ont choisi de donner un titre, variant à chaque fois, aux manifestations de protestation organisées chaque vendredi. La première journée de protestation publique, en mars 2011, celle qui inaugura la révolte, fut appelée « Journée de la dignité » et elle indiquait le désir de renaissance, de dignité, de droits et de démocratie existant chez les révolutionnaires.

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  • Le dimanche du « Bon Pasteur » à Malmedy

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    001.jpgÀ l’église des capucins de Malmédy, troisième édition, en ce dimanche du « Bon Pasteur », de la messe mensuelle selon la forme extraordinaire du rite romain. A nouveau une centaine de participants. Ce qui frappe : l’ancrage local, la piété naturelle, l’absence de cette atmosphère rétractile ou crispée qui afflige les chapelles intégristes. La messe était célébrée par l’abbé Jean Schoonbroodt (chapelain au sanctuaire de Banneux) qui prononça son homélie tant en français qu’en allemand et se mêla aux fidèles à l’issue de la messe, saluant tous et chacun dans sa langue maternelle. Au cours de la célébration, le propre grégorien du deuxième dimanche après Pâques alternait avec la polyphonie du « Jesu dulcis memoria » d’Edouard Senny, le célèbre motet « Isti sunt agni novelli », un choral de Bach pour la Résurrection et le « Das Grab ist leer » chanté avec conviction par toute l’assemblée qui « antiphona » aussi étonnamment bien le kyriale pascal avec les choristes. L’hebdomadaire du diocèse voisin d’Aix-la-Chapelle était venu « motu proprio » faire un petit reportage amical, prenant de nombreuses photos. Une rencontre sympathique sous le signe de la foi et de la saine tradition. Prochaine messe : le dimanche 20 mai, dans l’octave de l’Ascension. (18h00, chapelle des capucins, ruelle des capucins. Renseignements : tel. 080.33.74.85 ou 080.39.81.28).

  • Des droits de l’homme contre la liberté des consciences ?

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    Les « droits de l’homme » fournissent souvent le seul discours audible permettant de réclamer davantage de liberté religieuse mais, comme la langue d’Esope, ils peuvent être la meilleure et la pire des choses et, en fait, il y a lieu de constater aujourd’hui, dans le monde entier, un véritable recul de la tolérance religieuse.

    De Grégory Puppinck dans le mensuel « La Nef » d’avril 2012 (extraits) :

    « Ce recul de la tolérance religieuse est lié au processus de mondialisation qui accroît la concurrence entre les modèles de civilisation ayant une ambition et une potentialité universelle. Dans cette concurrence de civilisations, les rapports entre religions sont déterminants, car les religions, qu’elles soient proprement religieuses ou laïques (idéologies), sont les véhicules des civilisations : elles en déterminent, répandent et transmettent les composantes essentielles. Ainsi, de l’organisation des rapports entre les religions dépend fortement la configuration de la mondialisation en cours. Par suite, le débat actuel sur les rapports entre droits de l’homme et religions, et, en particulier, sur le contenu du concept de liberté religieuse est devenu un enjeu central, car il tend à déterminer non seulement l’organisation des rapports entre les diverses religions et idéologies, mais aussi à délimiter l’influence des religions au sein de chaque civilisation.
    Dans ce contexte, parce qu’elle prétendait lier le sécularisme et la démocratie, l’affaire Lautsi a permis à la société européenne de s’interroger ouvertement sur la place du christianisme dans son projet de civilisation. Politiquement, le premier arrêt Lautsi de 2009 faisait basculer la Cour dans une époque nouvelle, détachée de la culture démocrate-chrétienne qui avait inspiré sa création. Finalement, comme cela avait été demandé par l’Italie et une vingtaine d’autres pays européens, l’arrêt définitif de la Cour de 2011 a, à l’inverse, réaffirmé la légitimité sociale du christianisme. Depuis, la Cour européenne est devenue plus prudente et prend progressivement ses distances à l’égard de l’idéologie postmoderne ; cela est visible dans une série de jugements relatifs à l’avortement, la bioéthique, ou l’homosexualité, mais le débat n’est pas clos.

    Ainsi, la Cour doit bientôt se prononcer sur plusieurs affaires qui mettent gravement en jeu la liberté des chrétiens : au nom de la non-discrimination, le gouvernement du Royaume-Uni prétend pouvoir forcer les chrétiens à célébrer des unions homosexuelles ; il prétend aussi justifier l’interdiction faite à des salariés de porter une petite croix en collier, au nom de la tolérance. Dans d’autres affaires sont en jeu le droit des médecins à l’objection de conscience face à l’avortement, ou encore le droit des parents et de l’État de protéger les enfants contre les discours immoraux.

    Dans de nombreux pays, les droits de l’homme aident à défendre la liberté religieuse. Il serait terrible, mais le risque existe, que de faux droits de l’homme (à l’avortement, au sécularisme et au mariage homosexuel) deviennent des instruments d’oppression de la conscience des chrétiens. Contre cette menace et pour le bien commun, il faut sans cesse travailler à enraciner les droits de l’homme dans une saine anthropologie réaliste et chrétienne. »

    Voir tout l’article ici : Religion et droits de l'homme

    Le prochain (année académique 2012-2013) cycle de débats organisé à l’université de Liège par le groupe Ethique sociale et l’Union des étudiants catholiques de Liège sera consacré aux différents aspects de cette problématique.

  • France : les catholiques pratiquants ont voté "à droite" mais pas à l'extrême-droite

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    C'est ce qui ressort d'un sondage présenté par "La Vie" :

    "Pas moins de 47% des catholiques pratiquants réguliers ont voté pour Nicolas Sarkozy, contre 26,9% de l’ensemble des Français. Et seulement 14% auraient voté pour François Hollande (contre 28,7%). Ce sont là les des enseignements clés du sondage Harris Interactive réalisé en exclusivité pour La Vie dans la journée du premier tour le 22 avril."

    Voir tout l'article ici : http://www.lavie.fr

  • Un mal qui se banalise : la violence à l'école

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    Enseignons.be pointe ce mal qui prend une ampleur insoupçonnée au coeur de nos écoles : la violence, sous différentes formes.

    "Les chiffres sont impressionnants et sont issus des statistiques de la police fédérale pour les trois premiers trimestres de l’année 2011 : plus de 1.800 plaintes auraient été enregistrées pour des faits de violence physique dans les écoles. Ces plaintes ont été déposées par des parents… contre d’autres parents, des enseignants contre des parents ou des élèves, des directions contre des parents… ou l’inverse. Et la situation ne s’arrange pas avec le temps. Si 2011 ne sera pas pire que 2010 – année où plus de 2.700 plaintes avaient été enregistrées – les chiffres de la violence n’ont globalement pas baissé en dix ans.

    Du côté des exclusions scolaires, on notera que 3.000 élèves sont virés de leur école chaque année pour faits de violence physique. Et ce chiffre ne vaut que pour les écoles de la Fédération Wallonie-Bruxelles. La Wallonie, justement, enregistre davantage de plaintes que la Flandre… qui est pourtant plus peuplée. Par ailleurs, un enseignant belge sur six a souscrit une police d’assurance spéciale contre la violence à l’école."

    Lire tout l'article : Violence à l'école, plus de 1800 plaintes en 2011

  • La mise à mort des enfants anencéphales

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    Une étape dans l'inhumanité vient d'être franchie au Brésil. Mais elle suscite des réactions dans le corps médical. C'est ici : leblogdejeannesmits.blogspot.com et cela commence ainsi :

    Le Tribunal fédéral suprême du Brésil a donné son feu vert à l’avortement des anencéphales, mais tous les médecins du Brésil ne sont pas d’accord, loin s’en faut. Le vice-président du Conseil fédéral pour la médecine, le Dr Carlos Vital, n’a pas perdu de temps pour mener une contre-attaque, s’exprimant dans le plus populaire des magazines d’informations de son pays, Veja.
     
    Et il l’a fait de la manière la plus frappante, expliquant de façon brutale la manière dont les bébés anencéphales seront légalement mis à mort dans le sein de leur mère.
     
    Notant que l’avortement d’un anencéphale se pratique au cours du 2e ou du 3e trimestre, le Dr Vital a souligné que les médecins avaient le choix entre deux méthodes : le curetage ou l’aspiration.
     
  • Pennsylvanie : un million de chrétiens soutiennent le combat de l’Église catholique pour la défense de la liberté religieuse

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    C'est la bonne nouvelle que nous découvrons sur un site très bien documenté où l'on pourra lire le détail de cette information :

    americatho/un-million-de-chretiens-de-pennsylvanie-soutiennent-le-combat-de-leglise-catholique-pour-la-defense-de-la-liberte-religieuse

  • L'euthanasie pour les mineurs et les handicapés mentaux ?

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    Quand les brèches sont ouvertes, les digues finissent par céder de toutes parts. C'est ce qui se passe chez nous où la culture de mort progresse à grands pas. Jeanne Smits, qui monte inlassablement la veille, pointe ces nouvelles déclarations de Jacinta De Roeck :

    "Cela reste à l'état d'idée jetée dans le débat public mais c'est bien ainsi qu'ont été accomplies toutes les avancées de l'euthanasie : en Belgique, la Humanistisch Vrijzinnige Vereniging (Association des libres penseurs humanistes) vient de suggérer que les mineurs et les handicapés mentaux puissent avoir eux aussi accès à l'euthanasie. Au nom de l'égalité des droits. Sa présidente, Jacinta De Roeck, s'est exprimée en ce sens à l'occasion de la Journée du patrimoine à Anvers (on se demande bien pourquoi).

    Et ce ne sont pas des paroles en l'air, puisque Mme De Roeck était précisément l'un des députés qui en 2002 avaient pris l'initiative de légaliser l'euthanasie en Belgique.

    Elle a précisé qu'aucun projet législatif n'était actuellement à l'ordre du jour ni même prévisible à court terme, mais ce qui ne se fera pas pendant l'actuelle législature, estime-t-elle, devrait devenir possible lors de la prochaine. Parce que « la demande est forte ».

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  • Si nous étions Français...

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    Si nous étions Français...

    nous ne voterions évidemment pas pour un candidat qui ose à nouveau brandir l'étendard rouge d'une idéologie qui a démontré son inhumanité,

    nous ne voterions pas pour une gauche bobo prête à cautionner toutes les dérives éthiques,

    nous ne voterions pas pour des gens qui prétendent défendre l'environnement mais qui sont prêts à sacrifier l'humain sur l'autel de la nature,

    nous ne voterions pas pour une candidate qui surfe sur tous les mécontentements et toutes les frustrations légitimes mais qui ne propose pas de solutions crédibles,

    nous nous reporterions vers la solution du moindre mal, celle qui ne risque pas d'accélérer des processus qui remettraient en cause la marge de liberté qui reste pour défendre les valeurs auxquelles nous tenons,

    nous exclurions donc un vote marginal, vers des candidats minoritaires qui n'ont aucune chance et qui risquent de concourir indirectement à l'élection de candidats du pire,

    nous éviterions l'abstention ou le vote blanc qui ne font que renforcer les votes qui aboutiront à l'élection du candidat qu'on voudrait éviter...

    Notre attitude serait pragmatique, visant à ne pas faire pire que bien, à ne pas nuire davantage, quels que soient les travers de celui qui obtiendrait notre voix. Notre souci serait celui du bien commun et de la préservation d'un maximum d'éléments qui nous permettraient de poursuivre notre entreprise de redressement, demain.

    Mais, ce que nous en disons...

  • Irlande : le Parlement refuse de légaliser l'avortement

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    Source : Nouvelles de France ()

    Irlande. La proposition de loi légalisant l’avortement a été rejetée jeudi par l’immense majorité des Teachta Dála (membres de l’Oireachtas, le Parlement irlandais) : le Dáil Éireann s’y est opposé par 111 voix contre 20. Un résultat « décevant » pour Sinead Ahern, porte-parole de Choice Irlande, mais néanmoins conforme à celui de l’enquête en ligne réalisée par le Parti travailliste irlandais qui voit sa proposition de légaliser l’avortement rejetée par plus de 89% des internautes y ayant participé.

    Les lobbies  "pro-choix" ne s’avouent pas vaincus pour autant : ils ont prévu de remettre la question sur le tapis à l’automne 2012 et espèrent cette fois-ci l’emporter.

    Les débats jeudi furent l’occasion pour certains députés de défendre les droits de l’enfant à naître (« Je crois que l’enfant dans l’utérus est une personne et que, par conséquent, il y a une obligation de protéger la vie humaine », a argumenté Eamon O’Cuiv), de s’opposer à un projet qu’ils jugent extrémiste (Paul Bradford a par exemple regretté qu’à l’heure actuelle, la seule alternative à la culture anti-avortement de l’Irlande soit la culture de l’avortement de la Grande-Bretagne ou des États-Unis. Il a, pour cela, préfèré le statu quo.) ou insuffisant (« Ce projet de loi ne va pas assez loin » a déploré Catherine Murphy).

    Lire tout l'article : Le Parlement irlandais refuse de légaliser l'avortement

  • Ah ce Constantin ! En marge d'un 1700e anniversaire...

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    On commémore actuellement le 1700e anniversaire de la bataille du Pont Milvius et de l'Edit de Milan qui donna droit de cité au christianisme dans l'Empire romain. Un congrès est actuellement organisé à ce sujet à Rome.

    A propos de Constantin, on a écrit tout et n'importe quoi, notamment parmi le flot de sottises déversé lors de la parution du Da Vinci Code. On fait particulièrement le grief à cet empereur d'avoir "imposé" le christianisme en l'instrumentalisant au service de sa politique. On voit aussi dans l'Edit de Milan le "péché originel" de l'histoire du christianisme qui l'a irrémédiablement compromis en le faisant pactiser avec le pouvoir. La réalité est plus complexe et une mise au point s'impose. Mais, comme nos énergies sont limitées, nous vous renvoyons à une note concise, qui tend à l'objectivité et que l'on trouvera ici : Constantin_la_chretiente

    A propos du Da Vinci Code, on retiendra cette précision apportée par chrétienté.com :

    Da Vinci Code: L'empereur Constantin a commandé et financé une nouvelle Bible, laquelle omet les évangiles qui présentent Jésus comme étant un homme et a fait embellir les évangiles qui le présentent comme étant Dieu. Les évangiles originaux sont devenus interdits, rassemblés et détruits.

    La vérité: Tout d'abord, il n'y a jamais eu de nouvelle Bible commandée par l'empereur Constantin. L'empereur a simplement demandé à Eusèbe, évêque de Carthage, de faire 50 copies des écritures déjà existantes et largement acceptées par la communauté. De plus, il n'existe aucune évidence que l'empereur ou quiconque, ai demandé d'embellir les évangiles existants. Ensuite, il n'y a jamais eu aucun évangile brûlé. Les textes qui furent brûlés étaient d'Arius ; Arius était un évêque hérétique : aucun de ses textes n'était des évangiles. Par ailleurs, il n'y a jamais eu d'évangile avant les 4 évangiles bibliques que sont ceux de Matthieu, Marc, Luc et Jean. Les évangiles de la Bible, présentent aussi Jésus Christ sous ses traits humains, Ils le présentent tel qu'il était, 100% Dieu et 100% homme. Les évangiles nous parlent de l'humanité et des sentiments de Jésus (colère, fatigue, amour, mort), nous pouvons aussi voir les interactions relationnelles qu'il a avec sa mère, ses amis et ses disciples.

  • Les biobanques encouragées dans l'Hexagone

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    source : genethique.org

    Jeudi 19 avril 2012, Le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) a rendu un avis n°117 dans lequel il recommande de "favoriser  le développement de biobanques à caractère familial  et solidaire en promouvant le recueil des produits cellulaires, issus du  sang de cordon, du cordon lui-même et du placenta". Pour le professeur Alain Grimfield, président du CCNE, "on a transformé un déchet  de soins [ ndlr : le cordon ombilical] en organe noble".

    Bernard Weill, néphrologue et rapporteur membre du CCNE, précise que "dans ces banques, le sang de cordon récolté pourra, en priorité et si nécessaire, être utilisé pour traiter les frères et sœurs atteints" de maladies de sang héréditaires comme la drépanocytose ou la thalassémie. Il ajoute que dans l'hypothèse où il n'y aurait pas d'utilisation par un membre de la famille, "le sang sera, dans le cadre d'un don solidaire et anonyme, mis à disposition d'autrui, en France ou à l'étranger, dans le cadre d'un réseau d'échange international". D'après le CCNE, ces banques devraient être publiques ou privées, à but non lucratif. celui-ci réitère son opposition à la création de banque privées de sang de cordon qui exigent de payer pour conserver ces cellules.

    En France, afin de développer les unités de sang de cordon qui à 63% proviennent de l'étranger, le CCNE estime nécessaire de réaliser "une vaste information auprès des femmes enceintes" afin de les inciter à donner leur consentement éclairé et par écrit à ce don "bien avant la naissance".