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Actualité - Page 1732

  • Pendjab : l'enseignement catholique confronté à une volonté d'islamisation

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    Le site des Missions Etrangères de Paris souligne la dégradation de la situation de l'enseignement catholique au Pendjab. Extrait :

    "Outre les problèmes financiers, les écoles chrétiennes du Pendjab, y compris les plus réputées, doivent affronter les discriminations liées à l’islamisation progressive du pays. En 2005, le ministre de l’Education du Pendjab, Imran Masood, déclarait pourtant aux responsables de l’enseignement catholique de Lahore : « Nous ne vous considérons pas comme des étrangers. Vos écoles sont nos écoles (…) et nous pensons que les minorités doivent participent pleinement à l’éducation de notre nation (…). S’il vous plaît, ouvrez des écoles secondaires et des universités. Nous vous accorderons volontiers toutes les autorisations nécessaires et nous vous restituerons toutes les écoles qui ne l’ont pas encore été » (2). Mais en 2006, malgré ses promesses, le gouvernement rendait obligatoire pour les établissements secondaires du pays « l’enseignement de l’islam et de l’arabe (l’Islamiyat) comme matière principale, et de la morale pour les non-musulmans ». Une mesure rapidement dénoncée par les minorités comme fortement discriminatoire, les élèves ayant choisi les cours de morale échouant systématiquement aux examens..."

    Lire l'entièreté de l'article

  • La solidarité, remède contre l'individualisme

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    Comme en chaque début d'années, le Saint-Père a reçu les organes dirigeants de la Région Latium, de la Municipalité et de la Province de Rome, devant lesquels il a évoqué la complexité et l'acuité des problèmes générés par la crise. Celle ci, leur a dit Benoît XVI, "peut être une occasion pour la société toute entière de voir si ses critères actuels ont produit un monde juste et solidaire, ou si il ne faudrait pas repenser profondément les valeurs de référence... Des valeurs qui peuvent favoriser une reprise économique mais aussi le développement intégral de la personne". Puis il a dénoncé "l'individualisme, qui occulte la dimension relationnelle de l'homme, et le conduit à se replier sur son petit monde, attentif à satisfaire avant tout ses désirs et besoins personnels au détriment des besoins d'autrui. La spéculation des loyers, un accès de plus en plus difficile à l'emploi des jeunes, la solitude accrue des personnes âgées, l'anonymat croissant des périphéries, comme une perception trop souvent superficielle de la marginalité et de la pauvreté", découlent de cette mentalité. Il convient donc de "retrouver la relation à l'autre comme élément constitutif de la vie", et de comprendre que Dieu "est seul capable d'offrir aux hommes un accueil sans condition et un amour infini".

    Les institutions publiques doivent favoriser la conscience de ce que nous sommes tous membres de la même réalité, en développant l'accueil, la solidarité et la légalité. Chaque individu "doit apprendre à se sentir hôte d'une maison commune, dont il doit lui aussi avoir soin". La solidarité, a poursuivi le Pape, "constitue une exigence de charité et de justice que, dans les moments difficiles, les plus aisés mettront au service de qui se trouve en difficulté". Quant aux institutions publiques, elles doivent "défendre la famille, fondée sur le mariage, qui est la cellule essentielle de la société", et appliquer la charité de façon particulière en faveur des jeunes. Ils " sont les plus pénalisés par le chômage" et ont besoin de "politiques en mesure de leur assurer un logement à prix correct ainsi qu'un emploi". Ainsi on leur évitera d'être "victimes de criminels, proposant de faux bénéfices". Le Saint-Père a conclu en disant qu'il est également "nécessaire de faciliter une culture de la légalité, en aidant les citoyens à comprendre que les lois servent à canaliser les énergies de la société en faveur du bien public". Ainsi a-t-il recommandé aux institutions publiques de prendre des mesures justes et équitables, "qui tiennent aussi compte de la loi que Dieu a inscrite dans le coeur de l'homme, et que la raison permet à chacun de connaître".

    Source : AC/VIS (Vatican Information Service) 20120112 (450)

  • Un voeu pieux : "Que les écoles osent affirmer leur identité catholique"

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    Nos églises sont désertées et en voie de désacralisation, nos médias et nos politiques bannissent toute référence au christianisme, mais, figurez-vous, la plupart des parents qui mettent leurs enfants à l'école libre sont très attachés à l'engagement catholique de ces écoles. Si, si, c'est relaté sur le site de catho.be : que-les-ecoles-osent-affirmer-leur-identite-catholique.

    Ces écoles qui ont désaffecté leurs chapelles pour en faire des parkings ou des salles de gymnastique, où l'on ne prie plus, où la religion enseignée relève davantage des sciences humaines que du catholicisme, où il est mal seyant de se réclamer du pape ou du primat de Belgique, où il faut renoncer de près ou de loin à tout ce qui pourrait apparaître comme une forme de "prosélytisme", ces écoles sont donc censées être invitées à affirmer leur identité catholique pour répondre aux attentes des parents. L'eusses-tu cru?

  • "Une souffrance cachée": une brochure de la conférence épiscopale

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    L'information est apparue ce matin sur le site de catho.be :

    "Dans la foulée des travaux de la Commission parlementaire «  », qui a abouti entre autres à la constitution de tribunaux d’arbitrage pour indemniser les victimes d’ dont les faits sont prescrits aux yeux de la loi, la Conférence épiscopale présente ce jeudi matin à la presse une brochure intitulée « Une souffrance cachée – Pour  une  approche globale des  abus  sexuels  dans  l’Eglise ». Ce document de 52 pages, publié aux Editions Licap, entend être la réponse des Evêques de Belgique et des Supérieurs des Religieuses et Religieux de Belgique aux cas d’abus sexuels commis notamment par des membres du clergé.  L’ouvrage est divisé en deux parties. La première vise, entre autres, à tirer les leçons de récits douloureux entendus de la part des victimes et porte à rompre le silence et à ne pas  ne pas laisser les abuseurs en paix.  La seconde partie entend poser les jalons en vue du traitement et de la prévention des abus sexuels..."

    lire la suite ici : http://info.catho.be/

    Tout cela est sans doute bel et bien mais personne ne nous empêchera de penser que ces dérives tragiques se sont produites dans un contexte d'atonie religieuse et de relâchement généralisé et qu'il serait grand temps de retrouver un tonus religieux et spirituel à la hauteur des défis actuels. Dans la perspective de cette année de la foi qui s'ouvrira à l'automne prochain, nous sommes curieux de voir quelles propositions seront faites aux catholiques de Belgique pour sortir de cette léthargie déprimante. 

     

  • Hongrie : où trouver un antidote à la désinformation ?

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    Il est difficile de trouver dans la presse en langue française quelque chose de correct à propos de la Hongrie. On n'entend que les aboiements indignés de la meute enragée. Comment ce pays ose-t-il braver le consensus du politiquement correct en édictant une constitution où la famille, l'embryon humain, et même Dieu, ont droit à des égards particuliers? Mais nos redresseurs de torts ont plus d'un tour dans leur sac et s'apprêtent à recourir à des pressions économiques pour contraindre la Hongrie à revenir à des sentiments plus conformes à notre modèle de "démocratie libérale avancée".Et "Dimanche" ne fait pas mieux, comme nous le fait remarquer une de nos lectrices :

    "Quelque chose de correct à propos de la Hongrie? Ce n'est sûrement pas dans le "Dimanche" de cette semaine que vous le trouverez. Le très "progressiste" Pascal André s'est fendu d'un article vengeur et sans nuances sur ce qu'il appelle la dérive inquiétante de Viktor Orban. Sans faire la distinction entre les aspects positifs du point de vue chrétien et d'autres purement politiques et économiques qui peuvent effectivement être l'objet de critiques. Mais de là à prétendre que "c'est salir et instrumentaliser le nom de Dieu que de l'associer à une telle dérive autocratique", il y a de la marge. Le moins que l'on puisse dire c'est que l'unique hebdo catholique francophone est plutôt orienté..."

    Notre amie du site "Benoît-et-moi" n'a pas ménagé ses efforts pour trouver, en Italie et en Angleterre, des articles qu'elle a courageusement traduits et mis en ligne. Nous vous invitons à en prendre connaissance :

    Où va la Hongrie? L'unanimité de la grosse presse contre ce petit pays d'Europe centrale méconnu, qui souffre d'être "mal" sorti du communisme, commence à ressembler à un lynchage télécommandé. Deux articles de la Bussola d'aujourd'hui apportent un éclairage différent. (11/1/2012)

    Ou va la Hongrie? (suite) En prolongement des deux articles de la Bussola traduits hier, voici un article du quotidien britannique The Telegraph, témoignage de l'écrivain anglais d'origine hongroise Tibor Fisher. (12/1/2012)

    Il faut prier pour la Hongrie! Une lettre d'un agent pastoral hongrois, ingénieur à la retraite. Mon amie Marie-Anne l'a traduite pour mes lecteurs, en les remerciant de leur sympathie pour ce pays en danger. (12/1/2012)

  • Rencontre-conférence avec Mgr Léonard à Hal, ce dimanche 15 janvier

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    Dimanche 15 janvier à 15h30

    en la Basilique Notre-Dame,

    conférence de Mgr Léonard

    en visite pastorale dans le doyenné de Hal

    L'occasion de rencontrer et de soutenir notre archevêque constamment attaqué et diffamé pour des propos qui ne sont rien que catholiques et la plupart du temps déformés, et cela aussi bien à l'intérieur de l"Eglise que par la laïcité combattante.

  • La porte ouverte à la sélection prénatale du sexe ?

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    La synthèse de presse de Généthique relaie cette information :

    "Début janvier 2012, la revue Federation of American Societies for Experimental Biology a publié l'étude d'une équipe sud-coréenne, selon laquelle un simple test sanguin en début de la grossesse suffira bientôt à déterminer le sexe de l'enfant. Jean-Pascal Beaupré, journaliste québécois pour Cyberpresse s'interroge sur les questions éthiques soulevées par cette avancée scientifique.

    Au Québec, l'avortement étant autorisé jusqu'à 12 semaines de grossesse, il n'est pas possible d'avorter en raison du sexe de l'enfant, puisque l'on en a connaissance au cours du 4eme mois (16e semaine). Mais les motifs de recours à l'avortement sont nombreux et dépassent déjà l'ordre médical : situation économique, stabilité du couple, raison professionnelle, etc. Jean-Pascal Beaupré s'inquiète de la possible sélection du sexe qui pourrait arriver avec cette possibilité de connaître le sexe de l'enfant dès les premières semaines de grossesse.

    Il souligne que cette avancée contient en germe des dérives qui pourrait faire tomber le pays dans une surreprésentation des garçons par rapport aux filles, comme en Chine.

    Il appelle à s'interroger sur les conséquences hypothétiques d'une telle découverte : "on peut se demander si la possibilité de connaître le sexe du bébé aussi tôt ne serait pas un incitatif supplémentaire, et superflu, à renoncer à mener une grossesse à terme"."

  • Le principal défi de l'Eglise en 2012

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    Quel sera le principal défi de l'Eglise en 2012 ?

    Aleteia propose un dossier consacré à cette question qui se pose de manière particulièrement cruciale dans notre pays alors qu'on prévoit de désacraliser des dizaines d'églises et qu'on enregistre une chute vertigineuse des prêtres en activité :

    "Le défi majeur auquel l’Eglise fait face aujourd’hui est la « profonde crise de la foi qui touche de nombreuses personnes ». Pour y répondre, le pape convoque une « Année de la foi », qui se déroulera de 2012 à 2013, afin d’encourager tous les membres de l’Église à être des témoins de Jésus-Christ, capables d’indiquer aux nombreuses personnes en recherche de vérité la « porte de la foi ».

    Dans ces temps de crise, l’Eglise se trouve confrontée à de formidables défis. On parle souvent de crise dans la pratique religieuse, de crise des vocations au sacerdoce et de la vie consacrée, de divisions au sein même de l’Eglise... Certains prônent une réforme de l’Eglise. Mais quel est le principal défi auquel l’Eglise fait face aujourd’hui ?"

    Voir la réponse détaillée sur ce site : http://www.aleteia.org/

  • Liens du jour (12/1/2012)

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    Euthanasie, deux nouvelles affaires (Jeanne Smits)

    Bataille culturelle en Espagne ...et en France (Benoît-et-moi)

    Zenit.org :

    L'Eucharistie donne la force d'aimer Dieu et les frères
    Catéchèse de Benoît XVI sur l'institution de l'eucharistie

    Jeunes, soyez heureux d'être membres de l'Eglise
    A propos de la fête du Baptême du Christ

    Les Musées du Vatican dépassent les 5 millions de visiteurs
    Pour une nouvelle « philosophie de sauvegarde »

    De l'influence des media sur les relations familiales
    Congrès à l'Université pontificale du Latran

    La « grande joie » du futur cardinal belge, le P. Julien Ries
    Un « forçat du travail »

    Les archives secrètes du Vatican révélées : exposition
    Aux Musées du Capitole à partir du 1er mars 2012

    Généthique :

    La Belgique, n°1 en nombre de donneurs d'organes 11/01/12

    "IVG médicamenteuse  : moins on en parle, plus ça fait mal" 10/01/12

  • Prochaines présidentielles américaines: un catholique républicain face à Obama ?

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    imagesCAZ758LL.jpgLu sur le site de “La Vie” (extraits):

    Rick Santorum: “Le concurrent catholique de Mitt Romney à la course à l'investiture républicaine se veut le défenseur acharné des "valeurs familiales". Une image en décalage avec son passé d'homme politique proche des lobbies industriels, mais un discours radical qui plaît à une certaine Amérique profonde (…). Il a failli remporter le "caucus" de l'Iowa le 3 janvier, non sans surprise, et il est devenu un concurrent potentiel de Mitt Romney, le candidat favori. Incarnant les valeurs traditionnelles, ce conservateur "compassionnel" revendiqué fait figure de jeune premier, un peu gauche et avec un budget ridicule (son site officiel, où le candidat lance un appel au don, annonçait le chiffre de 22 000 dollars, lundi 9 janvier à 14h). Il y a encore quelques semaines, ni lui, ni ses soutiens ne pouvaient penser qu’il serait au centre des débats à la primaire dans le New Hampshire ce mardi 10 janvier. Mais c’est ainsi. Avec un discours populaire et simple, centré sur les questions de société, avec ses vêtements vieillots, type gilet sans manches et chemises impeccables, ce père de famille suscite d’emblée une certaine sympathie auprès des Américains chrétiens blancs, majoritaires dans les Etats du Midwest comme l'Iowa, et qui n’ont jamais vraiment été séduits par le mormon Mitt Romney. Ce dernier pourrait de surcroît être associé à l’élite économique et libérale du Nord-Est (…).

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  • Le bienheureux Nicolas Sténon, médecin et évêque, à l'honneur sur Google

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    "En ce 11 janvier, Google a décidé de rendre hommage à Nicolas Stenon, un évêque du XVIIe siècle considéré aujourd'hui comme l'un des pères de la géologie moderne. L'anatomiste et géologue d'origine danoise est né il y a tout juste 374 ans.

    C'est désormais devenu une tradition : à de nombreuses reprises chaque mois, Google décide de troquer son logo traditionnel contre un Doodle original afin de mettre à l'honneur un personnage célèbre ou un évènement. Mais si certains hommages paraissent inévitables, il faut tout de même avouer que le moteur de recherche va parfois chercher loin : c'est le cas du Doodle de ce 11 janvier qui célèbre le 374e anniversaire de la naissance de Nicolas Sténon (Niels Stensen en danois)."

    source : http://www.maxisciences.com

    Il est intéressant de souligner que ce bienheureux a su concilier la recherche de la vérité scientifique et de la vérité religieuse. Voir sa notice biographique ici : http://www.medarus.org

  • Le régime des cultes en Belgique

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    govbel059_001.jpgPour mettre un peu d’ordre dans les idées du citoyen, après les déclarations extravagantes des milieux politico-médiatiques, ces derniers jours, nous proposons ce petit vade-mecum du droit en vigueur dans notre royaume :

    Les relations entre les Eglises et l’Etat belge, sont fondées principalement sur quatre articles de la constitution : les articles 19 (libre exercice du culte), 20 (absence de contrainte à y prendre part), 21 (liberté d’organisation), 181 (prise en charge par l’État de la rémunération des ministres des cultes reconnus) et, plus indirectement, sur une série d’autres dispositions constitutionnelles relatives aux libertés publiques dont, par exemple, celle de l’enseignement.

    S’agissant des trois domaines majeurs : l’exercice du culte,  l’organisation des Eglises et leur rôle dans la société belge, les commentaires suivants peuvent être apportés :

    Les actes du culte

    La liberté d’exercice des cultes est traditionnellement limitée par une triple restriction :

    - la poursuite des infractions au code pénal commises sous le couvert d’un acte cultuel, en ce compris l’attaque directe (et non la simple expression d’une opinion critique) de l’autorité publique par un ministre de la religion dans l’exercice de ses fonctions, article 268 du code pénal;
    - les nécessités de la police administrative pour maintenir l’ordre et la sécurité dans l’exercice public du culte, à l’exclusion de toute disposition préventive permanente (comme l’autorisation préalable) pour les cérémonies qui se déroulent dans les édifices du culte ;
    - l’interdiction faite par l’article 21 al.2 de la constitution (et sanctionnée par l’article 267 du code pénal) de célébrer un mariage religieux avant le mariage civil (sauf si l’un des conjoints est en danger de mort).

    Cette liberté est, par ailleurs, protégée ou favorisée par d’autres dispositions :

    Lire la suite