Sur son blog (Religioblog), le chroniqueur religieux du Figaro, Jean-Marie Guénois pose la question : "La démocratie chrétienne est-elle socialiste ?" Cette question, il la posait dans le contexte de l'élection présidentielle française où l'on a vu des personnalités de la mouvance chrétienne opter pour le candidat socialiste.
is à part un certain clergé et une certaine intelligentsia catholique ostensiblement à gauche, l'Eglise catholique s'est toujours gardée, avec soin, du socialisme ou de la sociale démocratie.Pourquoi ce Rubicon ne pouvait être franchi ?
La raison vient de la clé de voute de cette vision. Elle est aussi simple que peu connue : contrairement au socialisme qui place « l'Etat » au cœur de l'édification de la société, l'Eglise place « la personne humaine » comme le garant fondamental de la société.
Autrement dit, le moteur de la société n'est pas dans la structure mais dans la responsabilité et la liberté des personnes.
Responsabilité et liberté « personnelles », et non « individuelles » : ce qui pousse la doctrine sociale a récuser le libéralisme à tout va.
Responsabilité et liberté « personnelles », et non « collectives » : ce qui conduit cette pensée à récuser le socialisme pur et dur.
Cette position n'est pas pour autant un « ni, ni ». Car la doctrine sociale de l'Eglise promeut la justice sociale. Mais pas à la façon socialiste. Et c'est là une autre grande différence que les catholiques de gauche récusent.
Une exposition itinérante circule en Fédération Wallonie-Bruxelles avec le soutien de la Mutualité socialiste. Intitulée "Rose ou bleu... ...seulement si je veux", elle est destinée aux enfants de 3 à 8 ans. Il s'agit notamment de démonter les stéréotypes qui seraient véhiculés dans la littérature enfantine, et qui conditionneraient les enfants aux rôles futurs auxquels on (?) voudrait les destiner. Reste à voir s'il ne s'agit pas en même temps de les "formater" dans l'esprit de
Après Jean, c’est le chanoine Paul Léonard, l’un des frères aînés de Mgr André-Joseph Léonard, qui vient de décéder. Christine Bolinne lui consacre un in memoriam sur le site du diocèse de Namur :