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Dans le cadre de la Fête-Dieu à Liège
Conférence exceptionnelle
en la Cathédrale de Liège
le mardi 24 mai à 20h
par le Cardinal Oscar Maradiaga
Archevêque de Tegucigalpa (Honduras)
Modérateur du groupe des Cardinaux, chargé de la réforme de la Curie romaine

sur
« Eucharistie et miséricorde »
PAF : 5 euro (à régler sur place) – gratuit pour les moins de 25 ans
Editeur responsable : Eric de Beukelaer, Pastorale urbaine, e.debeukelaer@catho.be
La sédation en phase terminale, une euthanasie déguisée ? Nouvelle FICHE didactique.
(Institut Européen de Bioéthique)
La sédation en phase terminale, une euthanasie déguisée ?
L’alimentation et l’hydratation ‘artificielles’, soins ou traitements?
Des soins palliatifs aux soins palliatifs intégraux ?
Force est de constater que le débat autour des questions liées à la fin de vie n’est pas seulement un débat éthique. Il est aussi un débat sémantique.
Ces questions sont tellement délicates - touchant à un interdit fondamental de nos états de droit et aux fondements même de la mission du corps médical– qu’il est tout aussi essentiel de s’entendre sur les mots et les concepts utilisés pour y répondre.
C’est l’objet de la présente fiche.
Lu sur l'avenir.be :
L’enseignement catholique flamand change de religion: le culte musulman entre en classe
L’enseignement catholique au nord du pays travaille à un modèle scolaire dans lequel les autres religions et philosophies jouent un rôle important, laissant par exemple plus d’espace aux symboles tels que le voile, et qui prévoit éventuellement des endroits pour prier.
«C’est un projet ambitieux», souligne Lieven Boeve, du Katholiek Onderwijs Vlaanderen.
L’objectif est d’utiliser le modèle des écoles de dialogue pour attirer davantage d’élèves de confession musulmane, mais aussi de renforcer l’identité catholique. «Nous n’allons pas mélanger les religions, mais dans une école de dialogue, il y a par exemple de la place à côté d’une chapelle pour une salle de prière pour les musulmans ou le voile», déclare Didier Pollefeyt, de la KU Leuven.
Quand on sait le sort qui a été réservé aux chapelles dans la plupart des écoles catholiques et le peu de célébrations qui y sont organisées, on ne peut s'empêcher de souligner le paradoxe que constitue cette détermination à y faire entrer le culte musulman...
« Les chrétiens, de même que tous les hommes de bonne volonté, sont appelés, en vertu d’un grave devoir de conscience, à ne pas apporter leur collaboration formelle aux pratiques qui, bien qu’admises par la législation civile, sont en opposition avec la Loi de Dieu ». (1995 Evangelium Vitae 74)
Un chrétien reconnaît en Dieu le Créateur de toutes choses et il met son bonheur à aimer ce que Dieu veut. Dieu a inscrit dans la nature humaine une loi qui est certaine : c’est la loi morale naturelle, connaissable de tous les hommes, sans besoin de la révélation divine. Les chrétiens retrouvent une expression de ces lois dans le Décalogue transmis par Dieu à Moïse.
Il a laissé l’homme libre de suivre cette loi non écrite par l’homme.
En revanche, c’est l’homme qui organise lui-même la société où il vit. C’est pourquoi la loi qui dit « Tu ne tueras pas l’innocent » est valable pour chacun des hommes de la planète. C’est une loi morale commune, universelle, valable pour tous... au contraire des lois particulières de chaque Etat sur le montant et les modalités de l’impôt, par exemple.
Toutefois, l’homme moral et l’homme politique sont le même homme et ainsi la loi morale et la loi de la cité ne doivent pas être en opposition. Quand cela arrive, et ces deux types d’ordre se contrarient, ce n’est pas la loi morale gravée au cœur de la nature humaine qui est en tort, mais la loi édictée par les hommes. La seule loi qui puisse être injuste est celle qui porte le sceau de l’homme.
La question revient donc à savoir s’il faut toujours obéir aux hommes, et s’il vaut mieux obéir aux hommes qu’à Dieu. La réponse dans les deux cas est non, et la loi civile doit respecter la loi morale, i.e. la loi des hommes doit toujours respecter la loi de Dieu. Quand un chef d’Etat déclare « non à une loi morale qui serait supérieure à la loi civile », il y a lieu de s’inquiéter car c’est alors une profession de foi du pouvoir humain absolu sur la loi naturelle.
Ce sont deux questions différentes car, précisons-le, il y a une certaine injustice de la loi qui n’entraîne pas automatiquement la désobéissance.
En résumé, il faut se référer à la loi morale pour savoir si une loi civile est injuste ou non. Lorsqu’elle est injuste, il faut distinguer si elle l’est parce qu’elle s’oppose directement aux principes moraux, ou bien si elle s’oppose seulement aux modalités pratiques d’atteinte du bien commun, si elle pêche par excès ou par défaut. Dans le premier cas, nul ne peut moralement lui obéir. L’appréciation de la réaction à avoir dans le deuxième cas est plus complexe car elle nécessite de peser ce qui est le mieux pour la cité : il s’agit d’évaluer le moindre mal compte tenu des enjeux. En effet, il peut-être préférable de supporter un mal que d’en commettre aux conséquences pires ; et parfois il faut mieux aller contre la loi, ce qui oppose une atteinte à l’autorité sur un sujet non fondamentalement immoral, que de suivre une loi aux conséquences pires.
Mais de nos jours, on trouve des lois qui sortent de leur rôle d’interdire ou d’obliger mais seulement qui permettent. Alors le problème se complexifie car il y a une permissivité qui peut entraîner une confusion terrible entre le bien et le mal (cf. Evangelium Vitae).
Le détail du projet se trouve ICI ainsi que les indications concernant les dons.
Liège, samedi 30 avril 2016 : le concours de musique sacrée pour jeunes choristes a attiré 300 personnes à l’église du Saint-Sacrement au Boulevard d’Avroy (source):
Plus de 300 personnes se sont rassemblées à Liège, en l’église du Saint-Sacrement, ce samedi 30 avril 2016 pour assister au grand concours de musique sacrée où cent vingt jeunes choristes ont rivalisé de talent pour se partager les trois prix décernés par le jury des professeurs de musique venus de l’IMEP (institut de musique d’église et de pédagogie musicale) et des écoles de musique de la province de Liège. Le premier prix, offert par l’Echevin du Patrimoine et du Tourisme de la Ville de Liège, Michel Firket, a été attribué à l’Ensemble « Cantus Firmus » de Schaerbeek, dirigé par Hélène Richardeau. L’échevin était représenté à la remise des prix par son chef de cabinet.
La soirée s’est conclue par un buffet convivial très suivi par les choristes et le public venu en foule dans la grande salle de la Maison décanale Saint-Jacques prêtée pour la circonstance par M. le Doyen Eric de Beukelaer.
Le lendemain dimanche, avant de reprendre sa route vers la Normandie, l’une des formations lauréates, la sympathique maîtrise Saint-Evode de la cathédrale de Rouen (dir Loïc Barrois), a aussi animé en grégorien et en polyphonie la messe latine de 10h à l’église du Saint-Sacrement,
Il faut saluer enfin le bel effort rédactionnel du magazine Vlan-Spectacle (édition liégeoise) qui a apporté sa contribution efficace à l’annonce de l’événement.




Les sœurs de Maredret et les professeurs ont le plaisir de vous annoncer les prochains stages avec :
1° Ve. 27 au di. 29 mai:
Guillaume Houcke (pose de voix) et François Houtart (sémiologie et chant grégorien)
2° Di. 3 au ve. 8 juillet (enfants et adultes) :
Paul Gerimon (pose de voix) et François Houtart (chant grégorien),
Catherine Verkindere et Emi Shiraki (flûtes à bec),
Florence Stache (chant choral)
+ Di. 3 juillet à 17:00
CONCERT des professeurs
3° Dimanche 5 juin à 17:00:
"Églises ouvertes"
CONCERT VIOLON et ORGUE
Claude Vonin et François Houtart
PALESTRINA, VITALI, MUFFAT, BACH, JONGEN,
HOUTART : Création de "Sons et Silences" op. 34
Même CONCERT à Saint-Jean-Baptiste à Molenbeek
le ve. 3 juin à 20:00
Renseignements et inscriptions :
www.accueil-abbaye-maredret.info
ou ici plus bas
Contacts et infos : www.francois-houtart.eu & www.organumnovum94.wix.com/organum-novum
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De Laurent Larcher, correspondant du journal « La Croix » à Bujumbura :
Depuis un an, le Burundi est plongé dans une grave crise, née de la réélection contestée du président Pierre Nkurunziza en juillet dernier.
Les laïcs et l’Église catholique sont victimes de la violence des forces de l’ordre et des intimidations du pouvoir.
Pour nous rencontrer, nous avons dû suivre mille précautions. Nous rendre dans un lieu discret et improbable. Attendre dans une pièce sombre à l’insu de presque tout le monde. Le voilà. Appelons-le Pascal. Il est accompagné d’un ami, connu et respecté par tous les catholiques burundais. Il se porte garant de son témoignage.
Recherché par les services de sécurité, les agents du renseignement et les miliciens Imbonerakure, Pascal vit clandestinement depuis l’été 2015, dans la capitale burundaise. Tutsi d’une vingtaine d’années, il est le responsable d’une fraternité de jeunes du Renouveau charismatique. Cet étudiant en santé publique habitait Mutakura, l’un des hauts lieux de la contestation populaire contre le troisième mandat du président Pierre Nkurunziza.
> Lire aussi Bujumbura vit dans la terreur
Le 1er juillet 2015, il assiste à la descente meurtrière des forces de l’ordre dans son quartier : une journée en enfer, sans témoins. « Officiellement, ils cherchaient des armes, se souvient-il. Les jeunes étaient arrêtés, rassemblés et triés. Parmi les forces de l’ordre, j’ai vu des policiers et des miliciens tuer systématiquement les Tutsis tombés entre leurs mains. »
À la merci d’une dénonciation
Pris dans la nasse, Pascal est condamné : « Mon nom était inscrit sur une liste de personnes à éliminer car j’étais responsable d’un groupe de jeunes catholiques de Mutakura. Aux yeux du régime, j’étais un leader de la jeunesse contestataire, un ennemi à abattre. »
D'Aliénor Gamerdinger sur aleteia.org :
La Jeunesse Franciscaine évangélisera les rues de Bruxelles pour l’Ascension
Alors que Bruxelles est encore marquée par les attentats du 22 mars, le Groupe Saint-François de Cholet invite des volontaires à y faire brûler l'Amour du Ressuscité.
De Christian Laporte sur le site de la Libre.be :
La fraternité traditionelle chère à Mgr Léonard est menacée
Quel avenir pour la Fraternité des Saints-Apôtres et collatéralement pour l’église Sainte-Catherine ? Depuis dimanche, les Amis de Sainte-Catherine et des milieux liés à des mouvements catholiques traditionnels se posent la question à Bruxelles. Tout part "d’une fuite au sein de la Conférence épiscopale", à en croire le site Belgicatho, un "blog catholique belge de réinformation proposé par des laïcs" - un site non officiel donc - qui a sonné l’alerte : le conseil épiscopal de Malines-Bruxelles aurait décidé de mettre fin à l’expérience de la Fraternité des Saints-Apôtres, chère à l’abbé marseillais Michel Zanotti-Sorkine et aussi à l’ex-archevêque André-Joseph Léonard qui, contrairement à ses collègues de la Conférence épiscopale belge, y voyait une belle manière de relancer les vocations sacerdotales avec - déjà - trois ordinations à la clé.
En même temps, cela règlerait aussi définitivement la question de l’affectation de l’église du marché aux poissons…
La décision était non seulement prise mais devait être annoncée en cette fin de semaine. Pourtant, en fin de semaine, rien n’a été annoncé.
Ni décision formelle, ni décision tout court !
Pour cause : contacté par "La Libre", le P.Tommy Scholtès, sj, confirme ce qu’il a posté sur Facebook à l’adresse de "Belgicatho". "Des rumeurs font état d’une décision prise le 22 avril 2016 par le conseil épiscopal de l’archevêché mais l’archevêché les dément formellement, explique le porte-parole des évêques. La Fraternité des Saints-Apôtres ne figurait pas à l’agenda de la réunion du Conseil épiscopal et il n’en a pas été question. Aucune décision n’a été prise dans ce dossier."
Une prise de position confirmée aussi directement par le porte-parole de l’archevêque De Kesel. On n’en saura pas davantage. Au sommet de la hiérarchie ecclésiale, on avance que ce n’est pas parce qu’on parle de certains dossiers qu’on les mène obligatoirement à leur terme.
Du côté des défenseurs des Saints-Apôtres, on s’interroge sur le moment où sort le dossier : Mgr André-Joseph Léonard doit rentrer en Belgique à la mi-mai pour régler la fin de son déménagement au sanctuaire du Laus près de Gap. D’aucuns estiment que si le couperet tombait au préalable, il lui serait difficile de réagir - pour l’heure, il ne le souhaite pas - mais au sommet de l’Eglise, on assure qu’il va forcément rencontrer ses anciens collègues et aborder l’actualité.
Invitation à aller voir au "Vismet"
Du côté de Sainte-Catherine, on prend acte du démenti mais on entend aller plus loin et faire respecter la réalité de la paroisse qui, c’est un fait, fait le plein lors de ses messes dominicales.
"Nous voulons ouvrir un dialogue transparent le plus large possible, puisque nous apprenons qu’une réflexion est bien en cours sur ces deux dossiers. Dès lors, nous invitons les évêques, prêtres, croyants, citoyens, acteurs du quartier à venir se faire une idée par eux-mêmes de la vie de l’église et de l’apostolat des prêtres de la Fraternité des Saints-Apôtres. Il va de soi que nous sommes ouverts au dialogue avec nos évêques pour aborder toute amélioration nécessaire."
Lu sur le site des Amis de l’église Sainte-Catherine :
« Chers Amis de Sainte-Catherine,
Les informations qui ont circulé sur la fermeture de l’église Sainte-Catherine et la dissolution de la Fraternité des Saints Apôtres ont suscité une très vive inquiétude parmi de nombreuses personnes en Belgique comme à l’étranger.
Nous voulons remercier très vivement les très nombreuses personnes d'horizons divers qui ont souhaité témoigner leur sympathie.
La paroisse animée depuis près de deux ans par la Fraternité des Saints Apôtres touche chaque semaine des centaines de paroissiens et de très nombreux visiteurs. Dans ce contexte, une fermeture unilatérale pose de nombreuses questions.
Nous prenons acte du démenti communiqué par le service presse de l’Archevêché au niveau d’une décision prise.
Cependant, il va de soi que nous voulons ouvrir un dialogue transparent le plus large possible, puisque nous apprenons par ce même communiqué, qu’une réflexion est bien en cours sur ces deux dossiers.
Dès lors, nous invitons les évêques, prêtres, croyants, citoyens, acteurs du quartier à venir se faire une idée par eux-mêmes de la vie de l’église et de l’apostolat des prêtres de la fraternité des Saints Apôtres.
Il va de soi que nous sommes ouverts au dialogue avec nos évêques pour aborder toute amélioration nécessaire.
Nous sommes soucieux d’établir le plus rapidement possible un dialogue ouvert et constructif avec les autorités ecclésiales sur les dossiers dont nous venons d’apprendre l’existence dans le communiqué de l’Archevêché. »
Ref. Sainte Catherine : deux dossiers en réflexion !
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