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conférences, spectacles, manifestations - Page 96

  • 4-7 juin : Célébration de la Fête-Dieu à Liège avec la participation de Mgr Léonard

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    La Fête-Dieu à Liège ce jeudi 4 juin : célébration et procession

    Cette année 2015, la Fête-Dieu ne fait pas l’objet d’un anniversaire comme l’an passé lors des 750 ans de son universalisation dans l’Eglise par le pape Urbain IV en 1264. Cela n’empêche pas de fêter dignement, ce jeudi 4 juin à 19.30 h., le Saint Sacrement du Corps et du Sang du Christ, à Saint-Martin de Liège, là où la célébration a été célébrée publiquement la première fois vers 1250. 

    Nous accueillerons cette année l’archevêque de Malines-Bruxelles, Mgr André-Joseph Léonard et son auxiliaire Mgr Jean Kockerols, ainsi que Mgr Aloys Jousten, notre ancien évêque, et Mgr Jérôme Gabangwa, évêque émérite d’Uvira, résidant à Banneux. 

    Et surtout, nous accueillerons tous les pèlerins du diocèse et d’ailleurs, qui aiment participer à cette fête, dans la célébration et la procession qui suivra. 

    Consacrer du temps à l’action de grâce (car eucharistie signifie action de grâces !) est vital dans le monde d’aujourd’hui, qui a plus tendance à vivre dans l’indifférence ou le regret que dans la gratitude. 

    Quant à se mettre en marche, en procession, c’est le symbole d’une Église qui se met en mouvement et qui se découvre comme un peuple en marche ; cela rejoint un message du pape François et nous invite à accomplir une démarche d’avenir et d’espérance. Donc bienvenue à tous !

    +Jean-Pierre Delville, Evêque de Liège

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    Sans titre2.pngcliquer sur les images pour accéder au dépliant dans un format plus lisible

     

  • Bruxelles, 2 juin : Ferons-nous encore des enfants ? avec Xavier Lombard

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    unnamed.pngConférence/débat le 2 juin 
    Ferons nous encore des enfants?
    La bioéthique dans tous ses états...
    20h à 22h, Avenue Slegers 96,
    1200 Woluwe Saint Lambert

  • A l’Université de Liège, le mardi 26 mai 2015 : Regards croisés des religions monothéistes sur la famille

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    Judaïsme, Christianisme et Islam : quel regard les trois grandes religions monothéistes portent-elles sur la famille ? ce mardi 26 mai, une centaine d’invités ont pris part au lunch-débat organisé sur ce thème à l’université de Liège par le groupe Ethique sociale et le Cercle inter-facultaire de l’Union des étudiants catholiques.

    Copie de IMG_7335.JPGTrois orateurs ont successivement pris la parole : Albert Guigui, grand rabbin de la communauté israélite de Bruxelles, Renée Toussaint, professeur de philosophie au séminaire de Namur et Radouanne Attiya, assistant à l’université de Liège (service de langue arabe, des études islamiques et de l’histoire de l’art musulman). Les échanges étaient modérés, avec intelligence et diplomatie, par le chanoine Armand Beauduin, ancien secrétaire général de l’enseignement catholique.

    Premier orateur, le grand rabbin de Bruxelles Albert Guigui a fait  observer que11220072_925969127446618_8529644565881435913_n.jpg l’étymologie du texte hébraïque de la Genèse présente la femme à la fois comme aide et opposée à l’homme.

    Pluralité et unité sont donc présentes à la racine du couple : elles postulent une connaissance mutuelle  non pas du même mais de l’autre. Cette harmonie recherchée des contraires doit s’inscrire dans la logique du don et de la gratuité, seule capable de fonder un lien matrimonial durable.

    Ce qui caractérise la crise actuelle du couple, c’est l’absence d’une réelle connaissance de l’autre, qui débouche sur l’incompréhension, le conflit, l’échec, le divorce. Le  mariage ne peut se réduire à un contrat, un donnant-donnant qui induit d’incessantes revendications. Il puise sa force dans la capacité de donner sans attendre de retour, pour permettre une adaptation à l’autre, comme le symbolise l’eau qui épouse les formes  du puits auprès duquel nombre d’unions bibliques se sont nouées.

    Le rôle de la femme est déterminant dans la tradition familiale juive puisque la transmission de la judaïté se fait par elle : son avenir dépendant donc des femmes.  Et ce sont elles qui allument les lumières du Shabbat autant que la morale et les valeurs du judaïsme.

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  • Rixensart, jeudi 28 mai : une conférence sur les Chrétiens d'Orient par Mgr Gemayel

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    de info.catho.be :

    Conférence : Mgr Gemayel à Rixensart

    Maroun Nasser GEMAYEL

    Évêque des Maronites de France, Mgr Maroun Nasser Gemayel sera à Rixensart le jeudi 28 mai pour y donner une conférence sur les Chrétiens d’Orient. 

    « Les Chrétiens d’Orient: histoire et actualité – Origines, témoignage et défis », voilà le thème de la très intéressante conférence que l’unité pastorale Sainte-Croix – Saint-Etienne propose le 28 mai. Et pour en parler, l’UP a invité Mgr Gemayel qui est non seulement évêque des maronites en France mais aussi visiteur apostolique des maronites en Europe.  A ce titre, Mgr Gemayel parcourt de nombreux diocèses en Europe, pour y rencontrer les membres de sa communauté maronite mais également pour permettre à un plus grand public de mieux connaître ces chrétiens d’Orient qui sont plus, que jamais, au centre de l’actualité dramatique du Moyen Orient. Ce lieu de rencontre des trois grandes civilisations monothéistes est en effet devenu aujourd’hui un théâtre de luttes et de tensions qui voit la disparition graduelle des chrétiens. Et selon Mgr Gemayel, ce phénomène a des répercussions « dans tous les domaines », tant les chrétiens d’Orient sont des experts du dialogue islamo-chrétien et « passeurs de culture et de civilisation ».
    Pour l’évêque libanais, l’Europe est concernée par ce qui se passe au Moyen et au Proche Orient et on ne peut se résoudre à voir ses frères d’Orient « immigrés », « abandonnés » et encore moins « réfugiés  dans des réserves ». Bref, une conférence utile.

    Jeudi 28 mai 2015 à 20h15
    Eglise Saint-Etienne de Froidmont, Chemin du Meunier, à Rixensart - PAF 5 €

  • Bruxelles, 30 mai : grand pique-nique sur la place Sainte-Catherine

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    Venez fêter avec nous la confirmation de la réouverture de l’église Sainte-Catherine !

    Grand pique-nique Place Sainte-Catherine : ce samedi 30 mai 2015 après la messe de 11h !

     

     

    http://eglisesaintecatherine.be/wordpress/wp-content/gallery/reouverture-sainte-catherine/4.JPG

     

     

    Dans un interview accordé à La Libre, le 29 avril 2015, Mgr Léonard affirme clairement son intention de ne plus fermer les portes de l’église Sainte-Catherine et précise :  «… elle restera ouverte. Son succès est étonnant; vous pouvez interviewer le doyen… Mgr Kockerols n’était peut-être pas très chaud mais il a collaboré. Il m’a dit qu’il irait aussi y célébrer une messe. Même la Ville reconnaît que l’église est bien entretenue et a un réel attrait touristique »  .

     

    Les Amis de Sainte-Catherine s’en réjouissent et remercient tout spécialement les prêtres, paroissiens, priants, citoyens et visiteurs qui ont redonné vie à cette église qui fut menacée de désacralisation et fermée durant 3 ans.  

     

    Ce samedi 30 mai 2015, après la messe des confirmations que viendra célébrer Mgr Léonard, nous sommes invités à partager notre pique-nique (tiré du sac) sur la place Sainte Catherine.

     

    Venez y fêter avec notre archevêque, la Fraternité des Saints Apôtres, les fidèles et amis de cette église,  les passants et restaurateurs riverains, la bonne nouvelle de la confirmation de sa réouverture pour laquelle vous vous êtes tant battus avec nous.

     

    Les Amis de Sainte-Catherine tiennent cependant à souligner qu’ils restent et resteront sans relâche sur la brèche pour veiller à ce que cette décision prise par notre archevêque actuel, soit maintenue par ses successeurs et vous remercient encore pour votre soutien vigoureux et fidèle.

  • Monseigneur Léonard à Liège : une parole chrétienne sur l’homosexualité

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    A l’approche du prochain synode sur la famille, l’Europe déchristianisée s’agite à nouveau pour faire plier les normes morales du catholicisme. A cet égard, une petite piqûre de rappel ne fera pas de tort. 

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    Répondant le 28 janvier dernier à une question du public lors de sa conférence introductive au cycle de lunchs débats sur « La Famille, solution ou problème ? » organisée par l’Union des étudiants catholiques à l’Université de Liège, notre archevêque, Monseigneur André-Joseph Léonard a évoqué, entre autres choses, ce phénomène récurrent  de l’homosexualité : une question vieille comme le monde, mais que la société occidentale post-chrétienne se pose  en des termes que même la Grèce antique n’a jamais envisagés :  Quelle forme de sexualité la société doit-elle institutionnaliser ? Lorsqu'on parle de mariage et de l’adoption des enfants par des personnes homosexuelles, de quoi parle t-on ? Quel est l’intérêt pour la société et quel est l’intérêt de l’enfant ? La société doit-elle redéfinir le couple, le mariage et la famille à partir d’une orientation sexuelle ?

    Plus spécifiquement, située dans le contexte agité du synode de 2014, la question était :  « -Quelle est la position de l’Eglise vis-à-vis des homosexuels qui souhaitent voir leur union bénie par l’Eglise ?

    Voici la réponse de l’archevêque :

    « - L’amitié est plus large que l’amour sous sa forme sexuelle et il y a un langage de la sexualité, non pas parce qu’on y parlerait nécessairement beaucoup mais parce que, par elle-même, elle dit l’union des époux et l’ouverture à la vie. J’ai peu parlé tout à l’heure de cette dimension de la sexualité : l’ouverture à la vie, la fécondité, l’importance des enfants. Je signale que le synode, dans son dernier paragraphe, a invité à une relecture positive, bienveillante et fructueuse de l’encyclique « Humanae vitae ». J’ai trouvé cela assez original et c’était proposé par des gens desquels je ne me serais pas attendu à ce qu’ils fassent une publicité pour cette encyclique. Je ferme la parenthèse.

    Pour en revenir au langage, je trouve que si l’on emploie celui de la sexualité, il faut en respecter la grammaire. Quand je parle français, j’essaie de respecter la grammaire française, pas toujours mais alors je reconnais que je fais une faute. Quand je parle néerlandais, j’essaie de respecter la grammaire du néerlandais. Je n’y arrive pas toujours et je reconnais que je fais une faute parce que je ne respecte pas la grammaire de ce langage. Or, la grammaire de la sexualité, dans l’espèce humaine comme dans toute la nature, c’est la différenciation et la polarité du masculin et du féminin. Si l’on veut avoir des petits veaux, il faut tout de même avoir une vache et un taureau…ou un vétérinaire, enfin vous me comprenez ! La sexualité c’est, comme le nom l’indique : secare (couper), section, secteur, sexe, sécante : elle repose sur la polarité du masculin et du féminin. 

    Je vous dis en résumé ce que je dis en une heure ou deux quand je rencontre des personnes dans ce cas. Quand j’ai été professeur à Louvain, j’ai tout de même consacré un certain nombre de soirées à accompagner des étudiants dans cette situation et je les ai aidés à comprendre que, comme chrétiens en tout cas, ils étaient invités et je les invitais au nom du Seigneur à respecter, avec sa grâce, le langage de la sexualité. Et, s’ils aimaient une personne du même sexe, où il n’y a pas cette complémentarité que requiert la sexualité par sa définition même, je leur recommandais : eh bien, essaie de vivre dans la chasteté et si tu as un garçon, car c’était souvent des jeunes, que tu aimes beaucoup, vis avec lui une amitié, mais comme beaucoup de gens vivent une amitié. Moi, j’ai de l’amitié pour beaucoup de gens, hommes et femmes, je l’exprime affectivement mais pas sexuellement parce que ce n’est pas dans la manière dont je suis appelé à vivre la sexualité. Je la vis autrement, sur un autre registre. Donc, j’invitais ces personnes, avec patience, respect et délicatesse, à respecter le langage de la sexualité et à ne pas exprimer sexuellement leur amitié pour un autre homme, ou une autre femme dans le cas des filles, en découvrant que le langage affectif est plus large que le langage sexuel. Alors, quand on dit cela, tel que je viens de le résumer, cela fait un beau titre dans les journaux, mais quand on prend le temps, quand c’est dit avec respect, c’est autre chose.

    J’ai été touché, même si je ne l’ai pas entendu mais lu, par le témoignage d’un homosexuel chrétien, Philippe Ariño si j’ai bon souvenir, qui au nom de son expérience –il a vécu dans l’homosexualité- dit : non, ce n’était pas juste et, avec respect, il dit à tous ceux qui, sans l’avoir choisie, ont cette orientation : ne vous engagez pas dans cette voie-là.  Mais il faut une forte motivation pour cela, comme il faut aussi parfois une forte motivation chez un homme marié avec une femme pour résister aux attraits d’une autre femme, ou d’un autre homme. Il faut aussi savoir exprimer l’amitié sur un registre autre que le registre sexuel. 

    C’est une erreur, sur le plan social et sur le plan chrétien, de vouloir instituer la relation homosexuelle comme si c’était un mariage. C’est, je pense, une erreur politique et sociale. Qu’on reconnaisse une forme de partenariat pour deux hommes qui vivent ensemble ou deux femmes qui vivent ensemble, comme une mère et sa fille ou une dame et sa gouvernante, dans le but d’assurer une sécurité  patrimoniale, économique ou de logement, cela je peux le comprendre mais nous ne devons pas, je pense, instituer sur le plan civil un mariage homosexuel et, au synode, je pense que tout le monde était d’accord là-dessus. Et nous ne devons pas non plus effectuer une sorte de reconnaissance ecclésiale de cet état de vie. Cela ne me parait pas correct. Maintenant, si l’Esprit-Saint pense autrement, eh bien, qu’il en convainque le synode prochain, mais je doute fort du succès de l’opération. A long terme, tout ce mouvement inspiré par la théorie du « genre » -qui dissocie totalement la culture sexuelle de la sexualité physique, corporelle- est pernicieux : c’est une nouvelle forme de dualisme, comme s’il y avait une identité sexuelle au niveau de la volonté qui soit déconnectée de ce que nous sommes par notre physique, notre incarnation.

    Je dis ceci avec beaucoup de respect des personnes, en excluant toutes les formes de moquerie, de discrimination injuste. Mais ce n’est pas une discrimination injuste de dire qu’on ne marie pas deux femmes ensemble ou deux hommes ensemble : ce n’est pas une discrimination injuste parce que les situations sont objectivement différentes »

    Un colloque organisé  ce vendredi 22 mai  par le diocèse de Liège est revenu sur le sujet avec, entre autres,  les témoignages du capucin Germain Dufour et du jésuite José Davin  (ref. L’homosexualité : oser en parler) : sans doute pas tous dans les mêmes termes.

  • Bruxelles, 25 mai : Rassemblement de la famille du Sacré-Coeur à Lindthout pour le 150e anniversaire de la naissance au Ciel de sainte Madeleine-Sophie Barat

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  • Grand succès pour la Vème Marche pour la Vie à Rome

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    IMG_8734.jpgDe la-nouvelle-gazette.fr (Marie Perrin) :

    Rome : grand succès de la Vème Marche pour la Vie 

    La Vème édition de la Marche pour la Vie à Rome s’est déroulée ce dimanche 10 mai, avec un extraordinaire succès et une grande affluence. Selon les sources officielles, reprises également par Adn Kronos et par la presse, dont le Corriere della Sera, il y eut plus de 40.000 participants, dont de très nombreux jeunes, familles, prêtres, religieux et religieuses.

    Ils sont venus de toute l’Italie, en train, en voiture, ou par le car : plus de 60 cars ont convergé vers la capitale. Mais outre l’Italie, il faut noter aussi une forte présence internationale : de France, Roumanie, Irlande, Hollande, Allemagne, Suisse, Malte, Slovénie, Etats-Unis, Canada, Australie, et de bien d’autres pays.

    S’ils sont venus nombreux, c’est également pour l’intérêt que présente le Congrès pour la Vie qui chaque année précède la marche. Il s’est tenu la veille, samedi 9 mai, dans une salle de conférence proche du Vatican, réunissant les principales instances pro-life internationales avec des interventions très attendues telles que celles du Cardinal George Pell, Préfet du Secrétariat pour l’Economie, sur « les parents comme meilleurs éducateurs » et du chef-rédacteur de Lifesitenews.com, John-Henry Westen, à propos des problèmes-clés posés par le Synode sur la famille. Enfin, la journée s’est clôturée par l’adoration pour la vie, présidée par le cardinal Raymond Leo Burke.

    De la France, étaient présents le docteur Dor et Jean-Marie Le Méné, directeur de la Fondation Jérôme Lejeune, mais aussi Jeanne Smits et Olivier Figueras, ou encore ce couple de français présent chaque année, fier de hisser le drapeau “Espoir et Salut de la France” !

    En ce dimanche, après l’Angelus du Pape, le cortège est parti de la via della Conciliazione, à quelques mètres de la basilique Saint-Pierre. Passant par le centre historique, au pied du Capitole, le parcours a pris fin à la Bocca della Verità, où tous les groupes pro-life étrangers sont montés sur le podium aux côtés du porte-parole de la Marche, Virginia Coda Nunziante, qui, dans son discours de clôture, a parlé des “symboles, bannières, banderoles, pancartes” de la Marche comme étant “le signe de vie d’un peuple qui ne rend pas, qui combat et qui obtiendra la victoire”, citant à l’appui sainte Jeanne d’Arc qui disait “qu’il nous est demandé seulement de combattre et que c’est Dieu qui donne la victoire”. Puis elle a précisé : « Notre refus catégorique de tout compromis ne porte pas seulement sur l’avortement, mais sur toute forme de violation de la loi morale parce que cette loi morale, la loi divine et naturelle, ne connaît pas d’exception. Elle est absolue, car inscrite dans la conscience de tout être humain. Nous savons bien combien et quelles sont les abérrations qui aujourd’hui nous menacent, à commencer par la folie du gender, qui dans un certain sens est plus grave que l’avortement, parce que l’avortement veut détruire la vie physique, tandis que le gender corrompt la vie spirituelle de nos enfants, détruisant leur innocence et les éduquant à la perversion”. Enfin, la porte-parole de la Marche a conclu en ces termes : « Nous nous adressons à toutes les mères d’Italie et du monde et nous leur disons : réagissez contre cette culture de mort, contre cette dictature du relativisme et du nihilisme. Levez la bannière de la vie spirituelle et morale. Et vous, pères de ces créatures innocentes, ne vous résignez pas, ne vous rendez pas complices de ce délit, combattez avec nous pour le supprimer de l’histoire ».

    La Marche de l’an prochain a déjà été annoncée : elle aura lieu à Rome le deuxième dimanche de mai.

  • Liège (Université), mardi 26 mai : LA FAMILLE DANS LES RELIGIONS MONOTHÉISTES

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    Dans la situation actuelle de la culture occidentale, nous sommes en présence d’une crise d’identité de la famille dont la conception va des familles décomposées et recomposées, aux familles monoparentales et aux familles homosexuelles. Cette crise d’identité de la famille est en corrélation avec la crise des relations humaines dans la vie sociale : manque de sécurité, manque de respect, de solidarité, de compassion. Cette année, nous posons la question de savoir si les liens familiaux constituent un problème pour la société actuelle caractérisée par une culture relativiste qui porte aux extrêmes l’individualisme totalitaire du moi ou si c’est justement la famille la solution. Nous recherchons cette solution dans la révélation que Dieu a donnée de la famille et que notre monde a un urgent besoin de connaître.

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    MARDI 26 MAI 2015 A 18H00 A L’UNIVERSITE DE LIEGE

    LA FAMILLE DANS LES RELIGIONS MONOTHÉISTES

    (JUDAISME, CHRISTIANISME, ISLAM) 

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    Table ronde avec

    Albert GuiguiGrand Rabbin de la Communauté Israélite de Bruxelles,
    Renée Toussaint-NottinProfesseur de philosophie au Séminaire de Namur,
    Radouane AttiyaAssistant au département des sciences de l’Antiquité de l'Université de Liège - service de langue arabe, études islamiques et histoire de l’art musulman

    Modérateur : chanoine Armand Beauduin, ancien Secrétaire Général de l’Enseignement Catholique 

    Un premier temps, avant le lunch, sera consacré à la présentation de la doctrine du mariage et de la famille dans les trois grandes traditions monothéistes, son sens et ses articulations : chaque orateur soulignera quelques aspects qu’il considère comme les plus caractéristiques de sa propre tradition.

    Dans un second temps, après le lunch, le modérateur animera un échange entre les uns et les autres, à partir de deux questions distinctes : Comment la doctrine que vous avez présentée est-elle actuellement reçue au sein de votre Communauté et comment réagissez-vous aux doctrines exposées par les autres orateurs ?

    Cette rencontre se tient a la salle des professeurs dans le bâtiment du Rectorat de l’Université de Liège, place du XX août, 7, 1er étage (accès par la grande entrée : parcours fléché).

    Apéritif à 18h00, exposés suivis du lunch et du débat, de 18h15 à 20h30

    Participation aux frais : 10 € (à régler sur place); 2 € pour les étudiants
    Inscription nécessaire trois jours ouvrables à l’avance (mercredi 20 mai 2015
    soit par téléphone : 04 344 10 89, soit par email : info@ethiquesociale.org
    soit via le site web éthique sociale, en cliquant ici : la famille dans les religions monothéistes (judaisme, christianisme, islam)

  • Bruxelles, "aux Minimes", 8 mai : fête de sainte Jeanne d'Arc

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  • BXL, 14 mai : rencontre des familles chez les Frères de Saint-Jean

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  • Antwerpen (Anvers), 16 mai : Marche pour la Famille

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