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Débats - Page 733

  • La Turquie devient-elle infréquentable ?

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    Nous mettons en ligne un article de Daniel Pipes au sujet de l'évolution inquiétante de la Turquie. On souligne, sur Wikipédia, l'appartenance de ce journaliste à la mouvance "néo-conservatrice" américaine, mais cela permet-il de contester les faits auxquels se réfère l'auteur dans son analyse? Ne nous sommes-nous pas laissés aveugler par la propagande qui vise à faire croire que la Turquie pourrait être intégrée à l'Europe alors que son histoire, sa culture, son territoire (en-dehors de quelques km2) lui sont totalement étrangers? La parenthèse ouverte par Ataturk s'est bel et bien refermée et le caractère islamique de la Turquie s'affirme de plus en plus. Aujourd'hui, la Turquie remet en cause son attitude conciliante à l'égard d'Israël et adopte la posture d'une locomotive du renouveau islamique. Elle renoue ainsi avec son passé d'empire ottoman dont le leadership s'exerçait sur le Moyen et le Proche Orient, sur l'Afrique du Nord et menaçait l'Europe en Méditerranée et jusque sous les murs de Vienne.

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  • La prochaine rencontre d’Assise sera ouverte aux athées

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    Rencontre-dAssise-110x90.jpgSur le site de l’agence Cathobel on trouve cette dépêche datée du 30 septembre :

    « La prochaine rencontre interreligieuse d’Assise, le 27 octobre, sera également ouverte à des personnalités athées. Celles-ci se rencontreront notamment lors d’une table ronde prévue mercredi 26 octobre, à l’Université Roma Tre.

    Animée par le philosophe italien Giacomo Marramao, membre du Collège international de philosophie de Paris, cette table ronde accueillera notamment la psychanalyste française Julia Kristeva (épouse de l’écrivain Philippe Sollers), le philosophe italien Remo Bodei (professeur à l’Université de Californie à Los Angeles), le philosophe britannique Anthony Clifford Grayling, le philosophe mexicain Guillermo Hurtado (de l’Université nationale autonome du Mexique), et le penseur autrichien Walter Baier. C’est ici : Des athées participeront à la rencontre d’Assise »

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  • Le christianisme aura-t-il encore sa place en Europe ?

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    Nouvelles de France relaie l'information :

    "L’Aide à l’Eglise en détresse (site) organise un colloque sur le thème « Le christianisme aura-t-il encore sa place en Europe ? » le 9 novembre 2011 de 9h à 18h30 à l’espace Charenton (12e arrondissement de Paris).

    Y interviendront

    1. Mgr Alain Castet, évêque de Luçon : « Malheur à moi si je n’annonce l’Evangile (1 Co 9,16) ».
    2. Chantal Delsol, philosophe : « Une Europe sans Dieu ? ».
    3. Tugdual Derville, délégué général de l’Alliance pour les Droits de la Vie : « Le Cyborg ou l’homme augmenté, nouvelle frontière de la bioéthique ? »
    4. Gérard Leclerc, journaliste : « L’héritage chrétien de l’Europe : enjeux anthropologiques »
    5. François de Lacoste Lareymondie, vice-président de l’Association pour la Fondation de service politique : « L’objection de conscience : ultime arme des chrétiens ? »
    6. Gudrun Kugler, directrice de l’Observatoire de l’intolérance et de la discrimination contre les chrétiens : « Les discriminations contre les chrétiens en Europe occidentale »
    7. Grégor Puppinck, directeur de l’European Center for Law and Justice : « Des droits de l’Homme contre les religions ? »
    8. le Père Alexandre Siniakov, recteur du séminaire orthodoxe russe de Paris : « Regards de l’Eglise orthodoxe russe sur la liberté religieuse en Europe occidentale »

    Une table ronde sur le thème : « Christianophobie : peut-on vraiment en parler en Europe occidentale ? » avec Alexandre Del Valle, journaliste, géopolitologue et auteur de Pourquoi on tue des chrétiens dans le monde aujourd’hui ? : La nouvelle christianophobie, Gérard Leclerc et Grégor Puppinck sera modérée par Marc Fromager, le directeur national (France) de l’Aide à l’Eglise en détresse.

    PAF : 20 euros. S’inscrire >>>

  • Le pape, "écologiste" ? Il faut voir ce que l'on entend par là.

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    "L'éditorial de la Bussola Quotidiana de ce samedi revient sur le passage du discours au Bundestag où Benoît XVI a fait allusion au "bénéfice" qu'aurait apporté dans les années 70, la naisssance du Parti des "verts". (1er/10/2011)

    Ses propos ont été de façon prévisible récupérés par les medias en un sens erroné.
    Fabio Spina oppose deux visions dimétralement opposées: le principe de précaution revendiqué par l'écologisme politique, et «la vertu millénaire de la prudence», qui est l'attitude prônée par la Loi Naturelle, et donc l'Eglise."

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  • La Wallonie s’interroge : que faire du patrimoine immobilier d’une Eglise désertée ?

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    Depuis les années conciliaires, on a observé (de l’aveu même du cardinal Danneels) un « lent déclin » de la pratique religieuse en Belgique. Avec la disparition des générations éduquées avant 1960, ce déclin se solde aujourd’hui par un véritable effondrement général, dont témoigne matériellement la désertification du patrimoine religieux immobilier : églises, chapelles, couvents,  monastères et  autres bâtiments à vocation ecclésiale.

    Parmi les 2.800 biens classés en Wallonie, plus de 700  sont destinés à l'exercice d'un culte, avec les répercussions financières que l'on sait sur les pouvoirs publics tant régionaux que locaux.  De plus, 380 églises sont classées comme monuments et 200 chapelles bénéficient de la même protection.  Parmi ces 380 églises protégées, 38 sont  reprises sur la liste du Patrimoine exceptionnel de Wallonie.

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  • Belgique : de mauvais accords valent-ils mieux qu'une crise qui s'éternise?

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    Ce n'est en tout cas pas l'avis du "Beffroi" qui aurait préféré une remise en question fondamentale de notre système institutionnel à ces accords qui ne pourront qu'aboutir à de nouvelles tensions provoquées par un flamingantisme insatiable. C'est à lire ici : http://www.lebeffroi.eu/wordpress/?p=316. Cette analyse est malheureusement pertinente et nous faisons nôtre sa conclusion :

    "...nous allons nous retrouver une fois de plus avec un « accord » partiel et bancal qui déjà attend les nouveaux assauts du flamingantisme auxquels on prévoit déjà de céder dans un avenir non défini mais présenté comme inéluctable. C’est en cela que ces « accords » n’en sont pas, ils trompent une fois de plus les citoyens belges.

    Nous sommes profondément lassés pour ne pas dire dégoutés par cette vision de notre pays comme celui d’un affrontement politique perpétuel. Nous voulons remettre ces sous nationalismes dispendieux à leur place de cornichoneries malsaines et dire tout haut qu’il n’y a pas les Flamands contre les Wallons par-dessus la tête des Bruxellois, mais qu’il y a les Belges qui ont la chance de vivre au centre de l’Europe et donc au cœur même du monde (où le boulot ne manque vraiment pas).

    Nous sommes persuadés, surtout, que si ce discours leur parvenait et était repris par les médias de manière normale et objective, il rassemblerait très vite une large majorité des belges toutes langues confondues."

  • La succession de Mgr Rouet: un vrai casse-tête

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    Figure emblématique de la modernité avancée, Mgr Rouet n’est pas un inconnu pour les fervents lecteurs des documents issus de l’évêché de Liège.  La démission de ce prélat atteint par la limite d’âge a été acceptée le 13 février dernier et pour le choix de son  successeur les noms circulent. Le nonce consulte, pèse. Mais, il se pourrait bien, qu’à ce jour, rien ne soit encore réglé. Et les rumeurs se lèvent, circulent, enflent.

    Le site « Riposte Catholique » commente :

    « Mgr Rouet a laissé derrière lui de véritables champs de mines :

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  • "Credo politique", débat entre Eric de Beukelaer et Denis Ducarme

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    Le lundi 17 octobre 2011, à 18h30,
    à la librairie UOPC, 14-16 av. Gustave Demey, 1160 Bruxelles

    Le chanoine Eric de Beukelaer et Denis Ducarme

    débattront du livre "Credo politique"

    Entrée gratuite / Réservation souhaitée

    tél. : 02 663 00 40; fax. : 02 648 61 72; conferences@uopc.be

  • Non, les évangiles ne sont pas le fruit de rédactions tardives

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    "...les Evangiles ont été écrits en hébreu, ils “collent” aux évènements, ils rapportent des paroles et des faits contrôlables directement par ces témoins encore vivants, sur les lieux même où ils se sont passés. Ce ne sont donc pas des compositions suspectes du point de vue historique, elles n'ont pas été soumises à ces longues manipulations de la communauté croyante dont parle l'exégèse aujourd'hui dominante. Il s'agit au contraire de documents historiques, presque de chroniques, de toute première main : et par conséquent leur niveau de crédibilité s'élève d'un coup, les certitudes de la foi viennent s'appuyer sur des confirmations historiques”.

    Si on tient la datation qui jusqu'à présent est reconnue presque partout, Marc aurait été composé vers l'an 70, date cruciale parce que c'est celle de la destruction de Jérusalem par les Romains, avec en conséquence la disparition définitive de ce monde hébreu qui avait été celui de Jésus et de ses premiers disciples ; Matthieu et Luc auraient été composés entre 80 et 90 ; Jean à la fin du siècle (quelqu'un s'est avancé même jusqu'à parler de 170…).

    A travers des considérations qu'ici la place empêche d'exposer, le savant solitaire (l(abbé Carmignac) enfermé dans son ermitage parisien proposait cette datation : Marc n'a pas été écrit postérieurement à 42-45 et ce serait Saint Pierre lui-même qui l'aurait écrit, même si l'Evangile a pris le nom de son traducteur grec, peut-être par un acte d'humilité de la part du chef des Apôtres. Matthieu aurait été écrit vers l'an 50 et Luc peu après, en grec, mais en utilisant des documents écrits en hébreu.

    Voir l'intégralité de cet hommage rendu à l'abbé Carmignac, spécialiste des manuscrits de la Mer Morte, sur le site de notre amie : http://benoit-et-moi.fr/ete2011/0455009f1b06c3101/0455009f700775202.html

  • Retour sur le discours du pape au Bundestag

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    Giovanni Salmeri, ce 30/09/2011, commente le discours de Benoît XVI au Bundestag. C'est sur Oasis et c'est intitulé : "La nécessité évidente d’un droit naturel. Un commentaire du discours de Benoît XVI au Bundestag de Berlin".

    Extraits :

    Le discours de Benoît XVI au Reichstag de Berlin pourrait trouver sa place, dans une anthologie imaginaire, parmi les textes qui ont caractérisé l’orientation intellectuelle de ce pontificat, en mettant sur le tapis des problèmes cruciaux pour le rapport entre la foi chrétienne et la vie civile. (...)

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  • Le vote des femmes en Arabie Saoudite : un écran de fumée

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    La question est posée dans le Nouvel Observateur par Sarah Halifa-Legrand :

     

    "Le roi Abdallah promet que les femmes auront enfin le droit de vote en 2015. Un parfum de jasmin monte-t-il du royaume ultraconservateur ? La militante saoudienne Wajeha Al-Huwaider n'y croit absolument pas."

    Interview à découvrir ici : http://tempsreel.nouvelobs.com/

  • "Nous sommes l'Église" : le pape répond

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    jpg_1349660.jpgMais qui sont-ils ? Le mouvement "Nous sommes l’Eglise" est né en Autriche en 1995 après avoir recueilli 2,5 millions de signatures en Allemagne et dans la région italienne du Tyrol pour un renouveau de l’Eglise catholique. Fondé officiellement à Rome l’année suivante pour "la réforme de l’Eglise catholique sur la base du Concile Vatican II", il est actuellement présent dans plus d’une vingtaine de pays.

    Dans un manifeste adressé au synode des évêques à Rome, le mouvement déplore  que "la marche œcuménique ouverte par le Concile Vatican II rencontre des obstacles" dont "l’impossibilité de l’intercommunion".

    Il  réclame l’abandon de l’idée du sacrifice de la messe, précisant que "la célébration eucharistique devrait être présentée comme mémoire de la vie toute entière de Jésus". Et également "une pleine liberté d’interprétation philosophique et théologique de ce mystère".

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