Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Débats - Page 730

  • Refusons, sous le couvert de l'instauration d'un cours d'éducation sexuelle dans nos écoles, le dévoiement de nos enfants

    IMPRIMER

    C'est ici, dans la Libre : http://www.lalibre.be/actu/belgique/article/685106/imposer-des-cours-d-education-sexuelle-a-l-ecole.html et vous pouvez participer à un sondage sur le sujet. (Nos adversaires se sont déjà mobilisés de façon efficace.)

    Il faut bien se rendre compte que l'introduction de tels cours, imposés dans les écoles, constituerait un véritable endoctrinement de nos enfants, banalisant les pratiques sexuelles dès le plus jeune âge. On se rend compte, en lisant ce genre de littérature, qu'il ne s'agit évidemment pas d'éduquer à une vie affective et amoureuse dans le respect de son corps, du corps de l'autre, et en développant le sens des responsabilités. Il s'agit, au contraire, d'initier les jeunes à des pratiques sexuelles, à des techniques de contraception, etc., qui leur permettront de suivre leurs pulsions sans la moindre référence à des valeurs éthiques en vue de constituer des couples durables et des familles équilibrées. La masturbation, l'amour libre, les relations homosexuelles, le recours à l'avortement, ... tout cela fait partie de ce que ces centres de planning familial proposent aux jeunes dans le cadre des informations qu'ils diffusent, et l'on voit bien où ce laxisme généralisé conduit notre société.

    Enfin, il faut que soient respectés les choix éducatifs des familles et que l'on ne vienne pas torpiller à l'école les valeurs que les parents responsables s'efforcent de transmettre à leurs enfants.

  • Le point de vue de la Fraternité Saint-Pie X après l'entrevue avec le Préfet du Saint Office

    IMPRIMER

    9e60d3ae-654d-11de-aa3d-ba267eae3998.jpgA l’issue de l’entretien que Mgr Bernard Fellay et ses deux Assistants généraux ont eu, au Vatican, avec le cardinal William Levada, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, le 14 septembre 2011, à 10 h., le Supérieur général de la Fraternité Saint-Pie X a répondu à nos questions.

    Comment s’est déroulée cette rencontre ?

    L’entretien a été d’une grande courtoisie et d’une aussi grande franchise, car par loyauté la Fraternité Saint-Pie X se refuse à éluder les problèmes qui demeurent. C’est d’ailleurs dans cet esprit que s’étaient déroulés les entretiens théologiques qui ont eu lieu ces deux dernières années.

    Lire la suite

  • La portée de la rencontre entre le cardinal Levada et le supérieur de la Fraternité Saint-Pie X

    IMPRIMER

    L'abbé Barthe procède à une analyse de cette rencontre dont la portée semble considérable. C'est sur le blog "Summorum Pontificum Observatus", dans Enquête et analyse.

    L’abbé Claude Barthe, "observateur attentif de la vie de l’Église et excellent connaisseur du dossier", donne son avis sur le communiqué publié par la Salle de presse du Saint-Siège au sujet de l’entretien de ce matin entre le cardinal Levada et Mgr Fellay. (...) Il intitule sa note : Mgr Fellay et l’avenir du post-Concile : la légitimité de la critique de Vatican II

    On lira ces observations sur le blog qui l'a publié; les extraits suivants en manifestent l'importance :

    "La régularisation canonique de la FSSPX est donc désormais, théoriquement « sur les rails ». Cette nouvelle qu’une reconnaissance juridique est à portée de main réjouit grandement. On souhaite vivement qu’elle se concrétise, car elle sera très profitable à l’Église dans le contexte présent.

    "Le « préambule doctrinal » qu’il est demandé à Mgr Fellay de préalablement valider n’est, en effet, qu’une tentative d’interprétation, qui laisse elle-même une large marge d’interprétation. Les mots du communique de la Salle de Presse vaticane sont au reste très pesés : le préambule conditionne non pas « la pleine communion », mais seulement, « la pleine réconciliation », pour résorber « une fracture » et non « un schisme ». Il n’est nullement une « formule d’adhésion ». Il renforce singulièrement la jurisprudence désormais établie depuis 1988, sous des formulations diverses en précisant pour l’ensemble de la FSSPX que sont laissées « à une légitime discussion l’étude et l’explication théologique d’expressions ou de formulations particulières présentes dans les textes du Concile Vatican II et du Magistère qui a suivi ». Pour le dire clairement : un droit à la discussion est obtenu par la FSSPX. « Ce qui signifie en clair, dit Jean-Marie Guénois dans Le Figaro, que le Vatican considère qu’un accord sur l’essentiel de la foi catholique peut être passé avec les lefebvristes, tout en considérant en parallèle que d’autres points liés au Concile Vatican II peuvent être sujet à des interprétations différentes chez les catholiques sans que le noyau de leur foi en soit altéré. Une telle distinction, ouvre d’ores et déjà, un débat considérable à l’intérieur de l’Église catholique car elle touche à l’autorité même du Concile Vatican II jusque là perçu comme un bloc à prendre ou à laisser. Le Vatican, pour la première fois, admet que certains aspects de ce Concile peuvent être soumis à un débat «légitime». Tout donc devient désormais politique et se trouve entre les mains et sur les épaules de Mgr Bernard Fellay, qui vient d’opérer une brèche non négligeable dans l’idéologie de « l’esprit du Concile ».

    Nous vous conseillons vivement d'aller lire le texte de l'abbé Barthe: http://www.summorum-pontificum.fr/enquete-et-analyse/exclusif%C2%A0-lanalyse-de-labbe-barthe-sur-la-rencontre-entre-le-cardinal-levada-et-mgr-fellay

  • Rome-Ecône : la rencontre a eu lieu aujourd’hui

    IMPRIMER

    Voici le communiqué publié par le Saint-Siège à l’issue de cette rencontre :

     « Le 14 septembre 2011, au siège de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, a eu lieu une rencontre de Son Éminence Révérendissime le Cardinal William Levada, Préfet de cette Congrégation et Président de la Commission pontificale Ecclesia Dei, Son Excellence Monseigneur Luis Ladaria, s.j., Secrétaire de cette Congrégation, et Monseigneur Guido Pozzo, Secrétaire de la Commission pontificale Ecclesia Dei, avec Son Excellence Monseigneur Bernard Fellay, Supérieur général de la Fraternité sacerdotale saint Pie X, et Messieurs les Abbés Niklaus Pfluger et Alain-Marc Nély, Assistants généraux de la Fraternité. (cliquez ci-dessous pour lire la suite)

     

    Lire la suite

  • Un score étrange : Paul VI : zéro, saint Pie V : 35

    IMPRIMER

    C'est sur le blog de Denis Merlin où l'on pourra lire ceci (et la suite)

    "On me pardonnera cette image footballistique au sujet des nuances du catholicisme. Mais elle n'est presque pas de moi, puisque je n'ai fait retranscrire en mode humoristique une affirmation trouvée  dans un article du quotidien des évêques.

    Voici l'extrait de l'article sur le site du quotidien "La Croix" où une militante de la Fraternité Saint Pie X (FSSPX) fait une constatation.

    Pour Côme, qui a connu aussi bien « la pastorale papier-crêpon à l’école que le catéchisme en questions-réponses de ‘la Tradition’», l’équation est sans équivoque : « Du côté de ma famille paternelle, style ‘Paul VI’, la plupart de mes 19 cousins ont abandonné la pratique dominicale. Du côté de ma mère, ‘Saint Pie V’, mes 35 cousins et moi allons tous à la messe tous les dimanches. » « La Fraternité déborde de vocations, signe qu’elle est une œuvre de Dieu », ajoute Caroline, dont le fils est prêtre de la FSPX..."

  • L'ONU et la "Population bomb", on remet ça...

    IMPRIMER

    C'est ICI

    "Ce n'est pas nouveau. Mais ça va mieux en le répétant de temps en temps : ONG et organisations internationales veulent à tout prix imposer au monde entier le contrôle de la population « choisi » par les femmes à travers la contraception.

    Mercredi dernier, organisé par l'Aspen Institute (qui est parrainé par Mary Robinson, Madeleine Albright et bien d'autres grands noms de la planète bien-pensante) un séminaire à Washington D.C. dans une série consacrée aux « 7 milliards » se penchait sur « La bonne gouvernance et le rendement-femmes ». Invitée d'honneur : Michelle Bachelet, ancienne présidente du Chili et directeur exécutif d'ONU-Femmes, et Vaira Vike-Freiberga, ancienne présidente de Lettonie.

    Il n'y a qu'une solution à l'explosion démographique (mais oui, on nous rejoue la Population Bomb d'Ehrlich qui s'était si lourdement trompé) : c'est de rendre la contraception plus accessible dans le monde en voie de développement, tel était le leit-motiv."

    Lire la suite ici : http://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2011/09/7-milliards-dhommes-il-faut-plus-de.html

  • Les chrétiens en Europe de plus en plus marginalisés

    IMPRIMER

    Sur Radio Vatican :

    Les Chrétiens en Europe sont de plus en plus marginalisés. C’est le constat de Mgr Dominique Mamberti, Secrétaire du Saint-Siège pour les Rapports avec les États. Ce lundi le prélat a fait part de sa préoccupation lors du sommet organisé à Rome par l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe sur le thème des violences antichrétiennes. « Nous observons une augmentation importante de l’intolérance envers les chrétiens » a expliqué Mgr Mamberti en rappelant que même dans les pays à majorité chrétienne ces phénomènes de discrimination et de xénophobie existent.

    La plupart des actes discriminatoires ont lieu hors de la zone de l’OSCE, cependant ces pays n’en sont pas totalement à l’abri. Au contraire, on assiste dans certains pays d’Europe à une montée d’incidents préoccupants : des violences et des agressions contre des prêtres et des religieux et des profanations d’églises et de cimetières, tandis que des sites internet incitent à la haine contre les chrétiens. Selon des statistiques de la Gendarmerie française, on recense tous les deux jours en France une attaque contre une église catholique ou un cimetière. Ces gestes sont habituellement attribués par les médias à des hooligans, mais de plus en plus souvent ces actes sont accompagnés de slogans idéologiques contre l’Église et les prêtres pédophiles.

    « La liberté est le premier des droits de l’Homme parce qu’il est historiquement le premier à avoir été reconnu et parce que il concerne une dimension constitutive de l’être humain c’est à dire sa relation avec le Créateur », a rappelé Mgr Mamberti en citant Benoît XVI. En réponse à ce phénomène, le prélat a invité à lutter pour garantir la liberté religieuse, dont le respect est étroitement lié à la présence ou non de discrimination et de crimes à l’encontre des croyants. Parmi les propositions concrètes du Sommet de Rome, selon Andrea Tornielli, figurent la création d’une banque internationale de données sur les crimes contre les chrétiens qui favorise la connaissance du phénomène et la collaboration entre les polices et le lancement de campagnes d’informations.

    Le reportage de Charles-François Brejon RealAudioMP3

    Parmi les initiateurs de l’évènement, Massimo Introvigne, représentant de l’OSCE pour la lutte contre le racisme, la xénophobie et la discrimination, en particulier religieuse. Un entretien réalisé par Charles-François Brejon RealAudioMP3

  • La controverse à propos de la théorie du "genre" ( gender )

    IMPRIMER

    I-Moyenne-6601-gender-la-controverse.aspx.jpg"Suite à l'inscription (en France) d'un enseignement inspiré des gender studies dans les programmes de Sciences et vie de la terre (SVT) de la classe de première, le conseil pontifical pour la famille a publié en France un ouvrage intitulé Gender, la controverse.

    La théorie du genre distingue l'identité sexuelle biologique et le "genre", masculin ou féminin, compris comme une construction sociale et culturelle. Réfléchissant sur la théorie du genre depuis les années 1990, L'Eglise catholique y repère une approche dangereuse en ce qu'elle remet en question la différence sexuelle intrinsèque à l'humanité et induit un changement de paradigme entraînant notamment la déconstruction de la famille et de la filiation. Tony Anatrella, psychanalyste, spécialiste des questions de famille et de santé, repère dans cette théorie une "idéologie totalitaire" relevant d'un "agencement conceptuel qui n'a rien à voir avec la science".

    Lire la suite

  • Ne pas révéler le sexe de l'enfant en gestation pour protéger les petites filles à naître ?

    IMPRIMER

    La Libre rapporte ces informations parues sur le site 7sur7.be :

    "Une directive européenne pourrait interdire aux futurs parents de connaître le sexe de leur enfant à venir, rapporte le site 7sur7.be. C'est la proposition faite par la Commission européenne pour faire face au taux inquiétant d'avortements dû au sexe de l'enfant (avortement sélectif) dans certains pays de l'est.

    En Arménie, et en Albanie notamment, le nombre de filles nées chute contrairement au nombre de garçons.

    Nous ne sommes pas à l'abri pour autant dans les pays de l'Ouest. En effet, cette directive européenne s'appliquerait à tous les pays membres de l'Union. Cette proposition risque donc de provoquer de vives réactions de la part des futurs parents et des médecins. Sur Internet, les commentaires négatifs commencent à tomber.

    Interrogé par 7sur7.be, le professeur Gillian Lockwood estime que cela sera difficile à appliquer, de nombreux couples ayant appris à reconnaître eux mêmes le sexe de leur future progéniture.

    Gilliam Lockwood fait remarquer également que de nombreux parents souhaitent savoir à l'avance s'ils vont accueillir une petite fille ou un petit garçon seulement afin de préparer son arrivée."

  • L'Egypte se prépare à affronter un automne intense

    IMPRIMER

    Roberto Simona, responsable de l’association l’Aide à l’Église en détresse, écrit à Oasis depuis l’Égypte, pays qui se prépare à affronter un automne intense. Il nous décrit le regard qu’un voyageur occidental pose sur ce grand pays sorti d’un printemps chargé d’espérance, encore incertain et à la recherche d’un nouveau profil interne et international :

    Le printemps arabe en cet été 2011? En Égypte, il semble s’être arrêté avec l’éviction du président Hosni Moubarak. Qui oserait aujourd’hui énoncer le nom d’un leader pour ce pays, une personnalité qui serait capable de répondre aux cris des jeunes qui continuent à réclamer, chaque vendredi sur la place Tahrir, la liberté, à clamer « hourriyya» ? Qui serait à même de prédire l’avenir du pays et imaginer des projets possibles ?

    La situation sur le terrain et les rencontres avec les autochtones n’apportent par vraiment de réponses à ces questions, mais permettent d’établir un constat. C’est la stagnation qui règne dans le pays, dans les villes et les villages. Du Caire à Louxor, la situation est catastrophique. Le marasme d’une économie en pleine chute s’y exprime notamment par le boycott du tourisme, dont la perte est déjà chiffrée à quelques milliards d’euros. Mais, en dépit de cette situation, les Egyptiens parlent de thaoura, de révolution. Nous constatons qu’il y a eu une révolution dans le fait que nous pouvons traverser la Haute Égypte en voiture ou en train, sans être accompagnés. Nous pouvons également visiter différents villages sans que la police de sécurité rattachée à la tristement célèbre Emn Daula du Ministère de l’Intérieur ne doive être informée de nos déplacements ou ne soit obligée de nous escorter, comme c’était le cas auparavant...

    la suite se trouve ici : http://www.oasiscenter.eu/fr/node/7279

  • Réflexions sur le 11 septembre

    IMPRIMER

    Sous le titre : "11-Septembre. Réflexions éparses et plurielles", le temps d'y penser" met en ligne divers propos de plusieurs auteurs sur cet évènement. Nous vous recommandons cette lecture : http://www.letempsdypenser.fr/2011/09/11-septembre-reflexions-eparses-et-plurielles/

  • " La mort en face " : une exposition laïque à l'U.C.L.

    IMPRIMER

    Christian Laporte exulte dans la Libre de ce week-end en nous faisant part d'une initiative conjointe sur la mort menée par le Centre d'Action Laïque et l'Université "catholique de Louvain. C'est la victoire du dialogue sur l'exclusion réciproque mais on a la forte impression que l'ouverture est à sens unique et que ceux qui la portent sont loin d'être représentatifs de l'Eglise dont ils se revendiquent...

    Extraits (nous soulignons en mettant en gras les passages qui nous paraissent les plus significatifs):

    "Depuis le concile Vatican II (ah! l'"esprit" du concile!) et l’ouverture de l’Eglise catholique au monde, chrétiens et laïques - entendez en l’occurrence les incroyants et les agnostiques - ont appris à se parler et à mener des dialogues fructueux. En même temps, le cardinal Danneels et des religieux de tous rangs ont été accueillis ces dernières décennies dans des ateliers maçonniques mais à ce jour, la laïcité organisée n’avait jamais été reçue en ses titres, grades et qualités dans une université catholique pour une réflexion commune sur un sujet fondamental.

    C’est fait ! Pendant cinq semaines, l’UCL accueille le Centre d’action laïque en ses murs néolouvanistes pour une exposition et une imposante série de conférences communes et d’animations autour de la mort.

    Une initiative qui part d’une solide et interpellante exposition du CAL de la province de Namur (...)   ...les organisateurs ont construit un programme qui a débuté en fanfare, jeudi soir puisqu’après le vernissage de l’expo à la bibliothèque des Sciences, l’abbé Gabriel Ringlet et le président du CAL, Pierre Galand ont confronté leurs conceptions de la mort. Dans les jours et semaines à venir, aucune thématique ne sera éludée, qu’il s’agisse de l’euthanasie et des soins palliatifs, de la manière de gérer sa vie et de penser sa mort, de la délicate question du suicide des jeunes ou encore de la place du mort dans notre société."

    Et bien, voulez-vous qu'on vous dise? Au vu des organismes et institutions qui s'impliquent dans cette initiative et des personnalités qui s'y mettent en avant, cela ne nous inspire pas vraiment! Comme le souligne un lecteur de la Libre :

    "Tout cela ne m'inspire que méfiance! Lorsque l'on apprend que la séance d'ouverture a été animée par un ennemi de l'Eglise de l'intérieur, l'abbé Ringlet et un ennemi actif de l'extérieur, Pierre Galand! Une université catholique n'a-t-elle rien de plus salvateur à proposer sur les soins palliatifs?"