Sur "Le temps d'y penser", Corbulon recense l'ouvrage suivant : "Catholicisme et démocratie, une histoire de la pensée politique" de Emile Perreau-Saussine.
"Docteur en philosophie, Emile Perreau-Saussine a enseigné la philosophie politique à Cambridge, avant de disparaître à 37 ans en 2010. Son œuvre est brillante, de l’avis de ses pairs.
L’ouvrage analyse les rapports entre le catholicisme et la démocratie dans la France depuis la fin de la monarchie. Ce travail n’a jamais été réalisé dans notre pays, a fortiori l’étude des représentations politiques structurant le rapport entre la France, la politique et la religion par excellence, l’Eglise catholique.
Si le contenu est à ce point impressionnant, c’est parce que la démonstration est faite de la dette de la politique moderne à l’encontre de l’Eglise, mais de l’inverse également."
La suite se trouve ici : http://www.letempsdypenser.fr/
« Entre toutes les femmes » : c’est le titre du nouveau livre commis par l’abbé Gabriel Ringlet aux éditions Desclée De Brouwer. Dans l’éditorial de « Dimanche », le journal des paroisses francophones de Belgique à paraître le 9 octobre, le Père jésuite Charles Delhez qualifie cette publication d’évènement, comme chacun des livres sortis par son vieux complice.
Le site "Benoît et moi" propose le "portrait d'une génération de clercs, désormais âgés, mais qui ont fait beaucoup de dégâts, peut-être à leur insu . Ce sont 17 prêtres "anonymes" décrits dans un livre écrit par deux sociologues espagnols."
Après avoir fêté l’Aïd à la fin du Ramadan et désireuses de s’associer maintenant à la commémoration du 25e anniversaire de la première rencontre interreligieuse d’Assise, les Bénédictines de Liège organisent le 27 octobre prochain à 19h une célébration animée par les chants et les danses d’un groupe d’amis bouddhistes, catholiques, dévots de Krishna, juifs, musulmans et protestants ». Nul doute que cette initiative réjouira les mânes de Voltaire, lui qui eût déjà voulu voir de son temps « qu’avec le grand mufti le pape dansât le cotillon ».
C’est le point de vue d’un article paru dans la Libre Belgique ici