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Eglise - Page 1564

  • Madame de Gaulmyn et les "poubelles" sur la toile

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    "Benoit et moi" met aujourd'hui en ligne une réponse aux propos tenus par Isabelle de Gaulmyn sur son blogue (La Croix) :

    "Dans un article (http://tinyurl.com/444455t ) mis en ligne le 28 septembre 2011 sur son blogue, Isabelle de Gaulmyn, journaliste du quotidien La Croix, déplorait l’existence de « poubelles » sur la toile :
    Ces poubelles sont partout, mais l’Eglise de France en fait, depuis quelques mois l’amère expérience."

    De cette réponse, soulignons cet extrait :

    "Il n’est que trop vrai que Golias ou la CCBF d’une part, les sédévacantistes de Virgo Maria d’autre part, se répandent effectivement en injures et en calomnies difficilement tolérables. On pourrait de même signaler la prolifération assez inquiétante des vidéos sédévacantistes sur le « youtube catholique » qu’est GloriaTV. De ce point de vue, Isabelle de Gaulmyn n’a pas tort de dire que la toile « favorise les extrêmes » : il est probable que les ultramodernistes de Golias ou les sédévacantistes de Virgo Maria aient une présence sur la toile inversement proportionnelle au nombre de leurs partisans."

    Et cet autre :

    "Je tiens à préciser qu’il ne s’agit aucunement pour moi de nier d’éventuels excès verbaux commis par les « restaurationnistes ». Nous manquons tous de charité, et nous avons tous besoin de nous convertir sans cesse. Mais (...) la charité ne nous demande aucunement de garder le silence sur les erreurs les plus manifestes, surtout lorsque ces erreurs sont publiques et graves..."

    Lire l'intégralité de cette réponse ici : http://benoit-et-moi.fr/2011-III/

  • Fête de Notre-Dame du Rosaire

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    bataille_de_lepante.jpgLa fête de Notre-Dame du Rosaire se célébrait déjà, en 1547, à Tortosa (Espagne), le troisième dimanche d'avril, quand fut instituée par Pie V la fête de Notre-Dame de la Victoire (1572) au premier dimanche d'octobre, en action de grâces pour la victoire de Lépante où, à l'entrée du golfe de Corinthe, la flotte chrétienne fournie par le Saint-Siège, l'Espagne, Venise, la Savoie, Mantoue, Ferrare, Gênes et Lucques, sous le commandement de don Juan d'Autriche, avait écrasé la flotte turque d'Ali Pacha (7 octobre 1571). C'est à cette occasion qu'on ajouta aux litanies de la Sainte Vierge l'invocation Secours des Chrétiens, priez pour nous ! Grégoire XIII qui attribuait la victoire de Lépante aux processions faites à Rome par les confréries du Saint-Rosaire, changea la fête de Notre-Dame de la Victoire en celle du Saint Rosaire et la fixa au premier dimanche d'octobre (1573) ; elle ne fut alors obligatoire que pour les églises romaines qui possédaient une chapelle ou une confrérie du Saint-Rosaire.

    Clément X concéda cette fête à l'Espagne (1671) avant que Clément XI l'étendît à l'Eglise universelle et l'élevât au rit double-majeur (1716), célébrée le jour de l'octave de l'Assomption, à la suite de la victoire de Peterwaradin que le prince Eugène de Savoie avait remportée sur les Turcs (5 août 1716). Léon XIII en fit une fête de seconde classe et adopta l'office et le propre de la messe en usage chez les Dominicains (1887). Pie X la fixa au 7 octobre (1913).

    source : http://missel.free.fr/Sanctoral/10/07.php

  • Le désert de la foi ?

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    tourisme-chapelle-de-la-madelene-5968.jpgNous l’avons déjà évoqué ici  La Wallonie s’interroge : que faire du patrimoine immobilier d’une Eglise désertée ? : face à la désertification des lieux de la foi dans nos contrées, trois solutions sont possibles : la plus radicale consiste à les démolir ou à les réaffecter à des fonctions purement séculières : c’est la tentation d’une Eglise malade qui désespère de guérir. Ceux qui,  parmi les "générations perdues", n’ont pas  "laissé toute espérance", comme Dante au seuil du troisième Chant de l’Enfer,  choisissent de doubler le sanctuaire d’un parvis des gentils pour accueillir des activités culturelles en harmonie avec le culte proprement dit. Ce ne peut être qu’une pierre d’attente, celle du jour où nos diocèses en crise s’ouvriront enfin, sans réticence, à l’œuvre missionnaire des pays ou des congrégations nouvelles qui ont reçu la grâce qui leur a été retirée.

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  • Ce que la politique moderne doit à l'Eglise, et réciproquement

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    Sur "Le temps d'y penser", Corbulon recense l'ouvrage suivant : "Catholicisme et démocratie, une histoire de la pensée politique" de Emile Perreau-Saussine.

    "Docteur en philosophie, Emile Perreau-Saussine a enseigné la philosophie politique à Cambridge, avant de disparaître à 37 ans en 2010. Son œuvre est brillante, de l’avis de ses pairs.

    L’ouvrage analyse les rapports entre le catholicisme et la démocratie dans la France depuis la fin de la monarchie. Ce travail n’a jamais été réalisé dans notre pays, a fortiori l’étude des représentations politiques structurant le rapport entre la France, la politique et la religion par excellence, l’Eglise catholique.

    Si le contenu est à ce point impressionnant, c’est parce que la démonstration est faite de la dette de la politique moderne à l’encontre de l’Eglise, mais de l’inverse également."

    La suite se trouve ici : http://www.letempsdypenser.fr/

  • Les saintes martyres Sophie, et ses trois filles Foi, Espérance et Charité

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    Sur le site "Europe orthodoxe", nous découvrons cette information dont la portée allégorique appliquée aux temps que nous vivons n'échappera à personne :

    "Les 29 et 30 septembre 2011, Strasbourg et Eschau ont fêté la mémoire des saintes martyres Sophie, et ses trois filles Foi, Espérance et Charité."

  • Assise : la "méthode des rustines" ?

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    Le webmestre de MetaBlog le pense :

    "Benoît XVI fera tout pour que soit impossible une interprétation syncrétique d’Assise

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  • Une paraphrase de l’Ave Maria ?

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    imagesCA9J2VNU.jpg« Entre toutes les femmes » : c’est le titre du nouveau livre commis par  l’abbé Gabriel Ringlet aux éditions Desclée De Brouwer. Dans l’éditorial de « Dimanche », le journal des paroisses francophones de Belgique à paraître le 9 octobre, le Père jésuite Charles Delhez qualifie cette publication d’évènement, comme chacun des livres sortis par son vieux complice.

    Ne croyez pas qu’il s’agisse d’une pieuse méditation sur le mystère de la Mère de Dieu.  La salutation ne s’adresse pas à l’humble Reine des Cieux :  Charles Delhez nous explique qu’il s’agit d’« un  échange à propos de la femme avec l’une d’entre elles, Mannick. Cette voix qui vous prend aux entrailles a enchanté – littéralement – bien des liturgies. Son “Je connais des bateaux” est le chant-culte de tant de mariages. Mais Marie-Annick Rétif, de son nom complet, est d’abord une rebelle. Féministe depuis toujours, elle a traduit sa “chance d’être femme” dans des chansons engagées. Avec l’écrivain belge, qui évoque la chance d’être prêtre – conscient de devoir résister à la tentation du cléricalisme –, la chanteuse française célèbre celle d’être femme. Dans ces pages, la “parole féminine” et la “parole sacerdotale” se rapprochent souvent de manière étonnante, toutes deux blessées par un enfantement difficile et traversées par une saine “inquiétude”.

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  • Deux ouvrages abordent la délicate question du divorce

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    Parents aux lendemains du divorce, du Père Olivier Bonnewijn, éditions de l’Emmanuel, 79 pages, 8,50 euros.

    Le mariage chrétien à l’épreuve du divorce, du Père Alain Bandelier, éditions de l’Emmanuel, 321 pages, 18 euros.

    France catholique en fait la recension, c'est ici : http://www.france-catholique.fr/Les-chretiens-et-le-divorce.html

  • « Dieu semblait exister et le Catholicisme semblait être la religion unique et vraie »

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    C'est à propos des JMJ; France Catholique réserve un écho à Vargas Llosal, lequel

    "se penche alors sur la crise qu’il décèle dans la « culture de la liberté ». L’Etat qui autorise la liberté de religion ne peut pas devenir lui-même une religion rivale. Il doit reconnaître ses limites et ses propres besoins. L’institution étatique doit être construite sur des « valeurs éthiques ». Tout Etat constitué a besoin d’une « vie spirituelle riche et florissante comme antidote permanent aux forces anarchiques, destructrices et déstructurantes qui tendent à gouverner le comportement individuel quand l’être humain se sent libre de toute responsabilité. »

    A lire ici : http://www.france-catholique.fr/Vargas-Llosa-a-propos-des-JMJ-Dieu.html

  • Une militante de la prêtrise féminine se convertit au catholicisme

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    Le Forum Catholique relaie cette information parue dans le Catholic Herald :

    "En résumé pour les francophones: Mme Una Kroll a fait campagne pendant des années pour avoir des femmes "Prêtres" dans l'"Église" Anglicane du Pays de Galles (indépendante de celle d'Angleterre). Elle en est elle même devenue une en 1997 jusqu'au jour où, à la surprise de ses ouailles et de sa famille, en 2007, elle a annoncée sa décision de devenir catholique. Elle s'explique de cela aujourd'hui (dans un article appelé la perversité du pouvoir) en disant que bien qu'elle était opposée au PACS pour le clergé anglican homosexuel, elle n'est pas devenue Catholique à cause de ce désaccord avec son "Évêque", mais parce que la grâce de Dieu l'y a poussée. Avec humilité, elle revient sur son passé de militante pour les femmes "Prêtres" puis de femme "Prêtre" en y reconnaissant la tentation du pouvoir. Elle a fait tout cela par goût du pouvoir, et maintenant repentie, elle se dit heureuse de n'être qu'une laïque catholique dans sa paroisse, sans responsabilité d'aucune sorte, ni pouvoir aucun."

  • Un portrait éloquent de clercs de l'après-concile

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    filsconcile2_160.jpgLe site "Benoît et moi" propose le "portrait d'une génération de clercs, désormais âgés, mais qui ont fait beaucoup de dégâts, peut-être à leur insu . Ce sont 17 prêtres "anonymes" décrits dans un livre écrit par deux sociologues espagnols."

    à découvrir ici : http://benoit-et-moi.fr

    Et l'auteur de l'article repris par notre consoeur de conclure :

    "Ces 17 curés qui renient la confession, la récitation du rosaire ou même qui taisent le nom du Pape dans le canon, oublient dans leurs réflexions l’élément le plus notable, leurs églises et leurs paroisses sont vides, tandis que celles des jeunes curés, sans bonnes lectures et incapables de comprendre l’Évangile, sont toujours pleines et réalisent une plus grande tâche sociale en faveur des plus nécessiteux et marginalisés. C’est leur véritable drame et leur frustration..."

  • Irak : deux chrétiens assassinés

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    DEPECHE CATHOBEL (4 octobre)

    Deux chrétiens viennent d'être tués à Kirkuk, au nord de l'Irak, dans le silence le plus complet de la communauté internationale...Les enlèvements avec demandes de rançons, les meurtres ciblés, les attaques d'églises et d'institutions de l'Eglise appartiennent au quotidien de la ville de Kirkuk. Les chrétiens sont de plus en plus la cible des fondamentalistes islamistes, tandis que les autorités locales et nationales ne parviennent pas à réprimer ces crimes.

    Bassam Isho, 30 ans, a été assassiné le 2 octobre 2011 en pleine rue dans le quartier de Muthana, par un groupe d'inconnus armés de pistolets. Le 1er octobre, on a retrouvé le corps criblé de coups de feu d'Emmanuele Hanna Polos sur la route de Bagdad.

    Ces meurtres sont les derniers événements d'une longue chaîne d'actes sanguinaires et violents. Ainsi, le 15 août, des explosifs ont sauté dans l'église syro-orthodoxe de Saint-Ephrem à Kirkuk. Le 2 août, un attentat à la bombe contre l'église de la Sainte-Famille a fait 15 blessés. Le même jour, une voiture piégée a pu être désamorcée devant l'église presbytérienne.

    La ville de Kirkuk, avec ses 900.000 habitants, possède de grandes richesses pétrolières. Elle est au centre d'un conflit ethnique et politique prolongé entre les Arabes, les Turcs et les Kurdes. Alors que la population kurde réclame son rattachement au Kurdistan, les Arabes et les Turcs soutiennent l'appartenance de cette région au gouvernement central irakien.