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Foi - Page 406

  • Les chrétiens invités par les évêques belges à répondre à une enquête en ligne sur l’impact du coronavirus dans leur vie

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    De cathobel.be :

    « L’Eglise et les chrétiens au temps du Coronavirus » : une enquête en ligne des évêques de Belgique

    A partir de ce lundi 28 septembre, les chrétiens sont invités, par les évêques de Belgique, à répondre à une  en ligne sur l’impact du  dans leur vie.

    La Covid-19 nous a tous pris par surprise. Le monde s’est trouvé et se trouve encore face à une crise jamais vue avec des conséquences énormes. « Où est l’Eglise catholique, où sont les chrétiens ? Où les voyons-nous à l’œuvre en ces temps si particuliers de Coronavirus ? » Ces questions ont été entendues et écrites maintes fois dans le pays.

    Pourtant, bien des choses se sont faites, inspirées par l’Evangile. Que ce soit dans les structures d’Eglise ou en dehors de celles-ci, dans de grands groupes ou de plus petites entités, en paroisse ou dans les institutions chrétiennes de soins, dans les hôpitaux ou les maisons de repos, ou encore dans l’enseignement.

    Beaucoup de chrétiens se sont aussi joints à des initiatives qui ne venaient pas nécessairement d’eux, sans ressentir le besoin de se profiler comme chrétiens tout en étant très motivés personnellement par le message de l’Evangile.

    Une vision claire

    Alors que la pandémie est toujours à l’œuvre, les évêques de Belgique souhaitent mettre en route une première évaluation afin d’obtenir une vision claire sur ce qui a été fait et établir les liens avec l’Evangile. Cela en vue d’en tirer des conclusions pour des orientations à prendre à l’avenir.

    L’évêque de Liège, Mgr Jean-Pierre Delville, et l’évêque de Gand, Mgr Lode van Hecke, à l’initiative de l’enquête, écrivent : « Avec cette enquête nous voulons surtout tenter de mesurer quelles sont les initiatives qui se sont révélées positives et qui pourraient être reprises si nécessaires, et celles dans lesquelles il vaut mieux ne plus investir d’énergie. Mais aussi ce qui aurait pu être fait à la lumière de l’Evangile et qui ne l’a peut-être pas été. Nous demandons aussi quel profil d’Église nous voulons mettre en avant, et d’une manière plus fondamentale, quelle est l’espérance qui nous soutient fondamentalement. Des propositions à soumettre au monde politique pourront aussi être faites, en cas d’une nouvelle vague de la pandémie. Nous espérons en tous cas que beaucoup utiliseront ce . Les résultats pourront contribuer à la prise de décisions ultérieures, pour nous-mêmes et nos confrères évêques ».

    En pratique

    Diffusé par différents canaux, le questionnaire sera accessible du 28 septembre au 31 octobre. Chacun pourra y répondre, personnellement ou en groupe.  

    Le Secrétariat de la Conférence des évêques traitera les réponses conformément aux dispositions RGDP.

    Si vous souhaitez participer à cette enquête en répondant au questionnaire, rendez-vous à l’adresse : https://www.cathobel.be/?p=126685

    ou https://www.cathobel.be/enquete-eglise-et-chretiens-en-temps-de-coronavirus-premieres-reponses/

  • La Communauté Saint-Martin s’implante en Allemagne

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    Lu sur le site web "Salon beige":

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    "Dimanche 27 septembre, M. le doyen Daniel Schilling, curé de Ratingen (archidiocèse de Cologne) a officiellement installé 3 prêtres de la communauté Saint-Martin dans la paroisse et au sanctuaire marial de Neviges. La messe d’installation a été célébrée en présence de l’évêque auxiliaire de Cologne, Mgr Dominikus Schwaderlapp, du chanoine Bosbach, vice-vicaire général du diocèse, et de don Paul Préaux, modérateur général de la Communauté.

    Don Thomas Diradourian – de nationalité française-, don Ignace Duchatel – de nationalité belge – et don Phil Dieckhoff – de nationalité allemande – ont pris en charge cette mission et y développeront la vie paroissiale et les pèlerinages dans le sanctuaire.

    C’est la première fois dans son histoire que la Communauté Saint-Martin implante une mission en Allemagne. Déjà présente à Gênes (Italie) et à Cuba, don Paul explique :

    « La question de rejoindre tout homme passe aussi par l’ouverture à l’international. La question s’est posée à nous pour plusieurs raisons successives : d’abord l’ordination de frères d’origine allemande et autrichienne, puis les appels d’évêques étrangers à venir s’implanter dans leur diocèse, ensuite un nombre croissant de séminaristes venant d’autres pays que la France. Enfin le souhait de plusieurs membres de la communauté de partir évangéliser d’autres pays. Le cardinal Woelki nous a demandé une contribution à l’évangélisation et à la mission pour tant d’hommes et de femmes qui sont en recherche. Nous sommes heureux de cette mission et reconnaissants pour la confiance que le diocèse met dans notre Communauté.”

    En France, la Communauté Saint-Martin a reçu 4 nouvelles missions dans lesquelles elle s’installe lors de cette rentrée:

    à Montbrison (diocèse de Saint-Etienne) le 30 août en présence de Mgr Sylvain Bataille.

    à Olivet (diocèse d’Orléans le 6 septembre en présence de Mgr Jacques Blaquart.

    à Agen (diocèse d’Agen), le 20 septembre en présence de Mgr Hubert Herbreteau.

    à Oullins (diocèse de Lyon), les 3 prêtres de la Communauté seront installés le 11 octobre prochain.

    Ref. La Communauté Saint-Martin s’implante en Allemagne

    La Communauté Saint-Martin est une association de prêtres et de diacres séculiers vivant leur apostolat en commun au service des diocèses. Elle compte, en 2020, plus de 150 prêtres et diacres dans 26 diocèses et plus de 100 séminaristes. Elle a été fondée par l’abbé Jean-François Guérin en 1976. Le site web de la communauté : https://www.communautesaintmartin.org/

    A quand une implantation en Belgique ?

    JPSC

  • Sur CNEWS : "La conversion par amour de la Vérité", avec le cardinal Müller, Fabrice Hadjadj et Mehdi-Emmanuel Djaadi

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    En Quête d’Esprit sur la vérité, la foi, la conversion

    (via Le Salon beige)

    28 septembre 2020

    Avec le cardinal Gerhard Müller, préfet émérite de la Congrégation pour la doctrine de la Foi, Fabrice Hadjadj, Mehdi-Emmanuel Djaadi :

  • La mort de Denis Tillinac

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    De Louise Alméras sur Aleteia.org :

    L’écrivain Denis Tillinac, sa plume et son panache sont morts

    Journaliste de formation, Denis Tillinac a fait ses armes à La Montagne et à La Dépêche du Midi, avant d’écrire pour Valeurs Actuelles et Marianne. Son métier d’éditeur à la Table Ronde, pendant quinze ans, lui permet de publier des auteurs comme Anne Carrière, Éric Neuhoff et Michel Déon. Ce qui ne l’empêche pas d’être très prolifique dans l’écriture d’essais et de romans, comme Le jeu et la chandelle et Retiens ma nuit, publiés dans différentes maisons d’édition. 

    Associé à la littérature dite “de terroir”, cela ne l’a pas empêché d’être membre du prix littéraire de l’Armée de terre, d’avoir reçu le Grand prix de littérature sportive en 1993 et surtout d’avoir été honoré cette année, peu avant sa mort, du prix annuel de l’Enracinement-Simone Weil pour l’ensemble de son oeuvre et de son parcours.

    Âme française et plume catholique

    Un temps proche de Jacques Chirac, décédé il y a un an jour pour jour, Denis Tillinac était un amoureux de la Corrèze et plus généralement de la France. On lui doit d’ailleurs un Petit dictionnaire amoureux de la France (2014), publié trois ans après son Dictionnaire amoureux du catholicisme, et dans lequel il écrivait : “L’Europe, c’est l’espace du catholicisme et du protestantisme sécularisé. En niant cet héritage, on vide le mot de tout contenu car les Droits de l’Homme, la démocratie, la laïcité ne sont plus l’apanage de notre continent.” 

    Son attachement à la foi catholique était donc largement assumé, si bien que son propre compte Twitter nous apprend, de manière anecdotique, qu’il “était parrain d’une cloche de Notre-Dame” qui sonnera peut-être en son honneur.

    Il participait de son talent littéraire à la transmission des valeurs traditionnelles de la France, de ses racines chrétiennes et de l’esprit haut, fidèle à la liberté, de ces hommes trempés dans la passion de vivre à la française sans oublier toute la finesse d’esprit qu’elle suppose. 

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  • Le cardinal Mamberti à Bruxelles pour les 150 ans de « Pro Petri Sede »

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    De zenit.org :

    Belgique: le card. Mamberti à Bruxelles pour les 150 ans de « Pro Petri Sede »

    L’option de l’Eglise « pour les pauvres » et le soutien au pape

    Le cardinal français Dominique Mamberti a été choisi par le pape François comme son envoyé spécial pour les 150 ans de l’association Pro Petri Sede, à Bruxelles (Belgique).

    Le cardinal Mamberti, préfet du Tribunal suprême de la Signature apostolique présidera en effet  la messe à l’occasion du 150e anniversaire de la fondation de Pro Petri Sede, le 28 novembre prochain dans la basilique du Sacré-Coeur de Koekelberg.

    Le pape a lui-même reçu des membres de cette association belge en pèlerinage à Rome le 24 février dernier. Ils se rendent à Rome tous les deux ans.

    Le pape les avait spécialement remerciés de leur soutien à on ministère: « Je vous exprime ma gratitude pour votre constant appui à ma responsabilité comme successeur de saint Pierre. »

    Le pape a réaffirmé l’option de l’Eglise « pour les pauvres  » et pour la défense de toute personne humaine: « En effet, la personne humaine doit toujours être défendue et protégée dans son intégrité et sa dignité quels que soient son origine ou son statut social. »

    « Pro Petri Sede » compte des sections en Belgique, aux Pays-Bas et au Grand-Duché de Luxembourg. L’organisation a ses origines au 19ème siècle. Entre 1860 et 1870, de nombreux jeunes gens de nos pays se sont rendus à Rome et, à la demande du Pape Pie IX (1846-1878), ont courageusement (mais en vain) défendu les Etats pontificaux.

    Comme leur uniforme rappelait l’uniforme d’une unité de l’armée française en Algérie, ils furent appelés « zouaves pontificaux ». De retour dans leur pays d’origine après la « Chute de Rome » en 1870, ils décidèrent de continuer à soutenir le Saint-Père d’une autre manière et, dans cet objectif, fondèrent le 6.11.1870 l’alliance “Pro Petri Sede”.

  • Causer une souffrance inutile aux animaux est contraire à la dignité humaine; l'éclairage de Marie Hendrickx

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    De zenit.org :

    Laudato si’: la souffrance des animaux, par Marie Hendrickx

    La sainteté, la réconciliation avec la nature et avec Dieu

    « Causer une souffrance inutile aux animaux est contraire à la dignité humaine », affirmait la théologienne belge Marie Hendricks dans un article publié par L’Osservatore Romano en italien en janvier 2001 et accessible ici en anglais sur le site de EWTN.

    Elle commentait en cela le Catéchisme de l’Eglise catholique. Un point important de ce Catéchisme aussi pour Joseph-Ratzinger Benoît XVI, ami des animaux depuis l’enfance: il en parle avec son biographe Peter Seewald…

    Elle souligne le lien entre la sainteté, la réconciliation avec la nature, de meilleures relations avec Dieu.

    Revenir sur cette réflexion bien en harmonie avec le « Temps de la Création », célébré du 1er septembre au 4 octobre 2020, et avec l’Année Laudato si’, est aussi une façon de rendre hommage à la théologienne, Auxiliaire de l’Apostolat, qui a travaillé dans l’équipe du cardinal Joseph Ratzinger à la Doctrine de la foi et nous a quittés le 16 août dernier à l’âge de 67 ans. Elle avait commencé sa formation universitaire par des études en communication, elle aurait pu être journaliste.

    La souffrance évitable

    Dans son article sur la souffrance des animaux, Marie Hendrickx explique notamment : « Il y a une souffrance qui frôle le mystère, le mystère de la présence du mal dans le monde. Cette souffrance est inévitable. Il y en a une autre qui appartient à la constitution de la création elle-même, qui peut être contrôlée. »

    « Dans le premier cas, explique la théologienne, la souffrance a été assumée par le Christ crucifié et il l’a transformée, en en faisant, pour lui et pour ceux qui le «suivent», le chemin qui mène à la vie en Dieu. »

    « Dans ce dernier cas, continue-t-elle, il est demandé à l’homme de ne pas la provoquer sans raison valable et de l’arrêter autant que possible. Ce devoir s’applique à chaque individu et aux autres avec qui l’individu est en contact. La prédication de Jésus et les écrits apostoliques sont pleins d’instructions de ce genre. Il suffit de citer la «règle d’or» proposée par Jésus, qui résume la loi et les prophètes: «Tout ce que vous voudriez que les hommes vous fassent, faites-leur» (Mt 7, 12; cf. Lc 6, 31; Rm 13, 8-10). »

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  • Covid-19 : pourquoi ils ne vont plus à la messe du dimanche ?

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    Déjà en chute constante depuis la crise ouverte de la foi qui a suivi le Concile Vatican II, l’assistance aux messes dominicales a-t-elle reçu le coup de grâce avec les célébrations virtuelles organisées durant l’interdit lié au confinement radical puis aux contraintes sanitaires (toujours en vigueur) édictées pour lutter contre la pandémie persistante du covid 19 ? Lu sur le site web du périodique « famille chrétienne » cet article réalisé par Hugues  Lefèbvre avec Guilhelm Dargnies :

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    « Avec la crise sanitaire, les catholiques iraient moins à la messe. Peur du virus ? Confort de la messe télévisée ? Découragement ou bien colère ? Enquête sur les raisons d’une désertion.

    Dix ? Vingt ? Trente pour cent ? Impossible de dire précisément combien de catholiques ont cessé d’aller à la messe le dimanche depuis la crise du Covid-19. Dès le 15 août, Mgr Patrick Chauvet (*), recteur de la cathédrale de Paris, s’alarmait du fait que 30 % des fidèles n’étaient pas revenus sur les bancs des églises. Une situation propre à Paris et aux grandes métropoles françaises ? Peut-être. Certains citadins ont profité des possibilités de télétravail pour partir prendre l’air. « Chez nous, on observe une baisse d’affluence à la messe, mais c’est trompeur et temporaire », veut croire le Père Stanislas Lemerle, curé de la paroisse Saint-Ferdinand-des-Ternes, dans le 17e arrondissement de la capitale. « Beaucoup ne sont pas rentrés. Ils ont passé le confinement à la campagne, dans leur résidence secondaire. À partir du moment où les activités paroissiales reprendront, les gens reviendront. » Une baisse conjoncturelle donc, résultat d’un effet de vases communicants. À Vannes, par exemple, on n’a pas noté d’évolution particulière. « Il n’y a pas eu de moindre fréquentation. Les paroissiens étaient contents de revenir à l’église, las de regarder la messe à distance, sur leur écran», explique Léon Bridaux, diacre permanent à la paroisse de Notre-Dame-de-Lourdes, Saint-Pie-X et l’Île d’Arz. 

    Pourtant, en sondant plusieurs diocèses, ruraux notamment, beaucoup partagent le même constat. « Partout où je suis allé depuis le déconfinement, je note qu’un certain nombre de personnes, âgées surtout, ne sont pas revenues à la messe », s’inquiète Mgr Bernard Ginoux, évêque de Montauban. « Les remontées de prêtres confirment cette impression. Les familles sont là, les jeunes aussi, mais une partie du public plus âgé est craintif à l’idée de se rendre à l’église à cause du virus. »

    «Nous ne sortons pas tant que le virus se promène»

    Même son de cloche dans le diocèse de Strasbourg. De nombreuses paroisses du doyenné de Masevaux connaissent par exemple une baisse de fréquentation des messes. Le Père Gérard Ballast évoque un certain état d’esprit : « Depuis le confinement, l’état physique de certaines personnes âgées s’est aggravé. Il y en a trois que je rencontre souvent, à qui j’ai proposé d’apporter la communion. Les deux dames m’ont dit : “Nous ne sortons pas tant que le virus se promène.” Animatrice en pastorale et bras droit du vicaire épiscopal du diocèse de Strasbourg, Véronique Lerch sillonne ce dernier depuis des années. « Dans la moitié des communautés de paroisses, il manque des fidèles. Il s’agit de personnes âgées mais, dans certaines communautés, les coopératrices de la pastorale m’indiquent qu’elles n’ont pas encore d’inscription pour la préparation des sacrements. C’est la première année qu’il en est ainsi. Il faut dire que nous n’avions pas pu lancer ces inscriptions au printemps, lors du confinement. On en subit aujourd’hui la conséquence. » Toujours dans ce diocèse de l’est de la France, région fortement touchée par la crise sanitaire, le Père Frédéric Flota confie que la moitié des enfants de chœur (sur une quinzaine) de la communauté de paroisses de la Haute-Doller n’est pas revenue servir la messe. « Ceux qui restent sont ceux dont les parents étaient pratiquants », explique-t-il. Que sont devenus les autres ?

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  • Attention aux faux contentements de soi : 26e dimanche du Temps ordinaire

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    Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 21,28-32.

    En ce temps-là, Jésus disait aux grands prêtres et aux anciens du peuple : 
    « Quel est votre avis ? Un homme avait deux fils. Il vint trouver le premier et lui dit : “Mon enfant, va travailler aujourd’hui à la vigne.” 
    Celui-ci répondit : “Je ne veux pas.” Mais ensuite, s’étant repenti, il y alla. 
    Puis le père alla trouver le second et lui parla de la même manière. Celui-ci répondit : “Oui, Seigneur !” et il n’y alla pas. 
    Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui répondent : « Le premier. » Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu. 
    Car Jean le Baptiste est venu à vous sur le chemin de la justice, et vous n’avez pas cru à sa parole ; mais les publicains et les prostituées y ont cru. Tandis que vous, après avoir vu cela, vous ne vous êtes même pas repentis plus tard pour croire à sa parole. » 

    Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris

    Prédication du Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine pour le 26e dimanche du Temps Ordinaire (archive du 25 septembre 2011) (Mt 21, 28-32)

    http://www.delamoureneclats.fr / http://www.unfeusurlaterre.org

    Voir aussi : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume des Cieux

  • Dimanche 27 septembre 2020…

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     Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 21,28-32.

     Jésus disait aux chefs des prêtres et aux anciens : « Que pensez-vous de ceci ? Un homme avait deux fils. Il vint trouver le premier et lui dit : 'Mon enfant, va travailler aujourd'hui à ma vigne'.

     Celui-ci répondit : 'Je ne veux pas. ' Mais ensuite, s'étant repenti, il y alla.

     Abordant le second, le père lui dit la même chose. Celui-ci répondit : 'Oui, Seigneur ! et il n'y alla pas.

     Lequel des deux a fait la volonté du père ? » Ils lui répondent : « Le premier ». Jésus leur dit : « Amen, je vous le déclare : les publicains et les prostituées vous précèdent dans le royaume de Dieu.

     Car Jean Baptiste est venu à vous, vivant selon la justice, et vous n'avez pas cru à sa parole ; tandis que les publicains et les prostituées y ont cru. Mais vous, même après avoir vu cela, vous ne vous êtes pas repentis pour croire à sa parole.

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  • "Résurrection", la suite de "la Passion du Christ" de Mel Gibson, est en voie d'achèvement

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    Du Figaro :

    La suite de La Passion du Christ de Mel Gibson est en bonne voie

    Le réalisateur a envoyé le scénario de Résurrection à son acteur principal, Jim Caviezel, déjà interprète de Jésus il y a seize ans.

    Jim Caviezel et Mel Gibson devraient se retrouver pour le tournage de Résurrection, la suite très attendue de La Passion du Christ.
    Jim Caviezel et Mel Gibson devraient se retrouver pour le tournage de Résurrection, la suite très attendue de La Passion du Christ. Icon Productions

    Jim Caviezel a lâché le morceau dans le média américain Breitbart news, la semaine dernière : Mel Gibson lui aurait envoyé la «troisième ébauche» du scénario de Résurrection, la suite de La Passion du Christ. Déjà interprète du Christ dans le premier volet, l'acteur américain devrait lui aussi ressusciter avec ce qui sera, selon lui, «le plus grand film de l'histoire».

    Tombé du pinacle malgré le succès commercial immense de la Passion du Christ, Jim Caviezel avait, selon lui, été boycotté par Hollywood pour le caractère polémique du film de Mel Gibson. Ciblé pour sa violence et pour ce qui fut considéré par certains comme une incitation à l'antisémitisme, la Passion du Christ, n'en devint pas moins le film indépendant le plus rentable de tous les temps, avec 612 millions dollars de gains pour un budget de production estimé à 30 millions de dollars environ.

    À LIRE AUSSI : Mel Gibson: «La suite de La Passion du Christ ? La Résurrection»

    Seize ans après, Jim Caviezel semble davantage guidé par sa foi et par la dimension historique du rôle que par des questions d'argent. Très croyant, l'acteur avait exposé à Fox News, en mars 2020, l'importance d'un tel film selon lui : « Les films produits aujourd'hui appartiennent à l'univers Marvel. Vous verrez Superman mais vous ne verrez plus JésusJe me dois de jouer le plus grand super-héros de l'histoire».

    Une Ascension attendue au box-office ?

    La Passion du Christ s'était concentré sur les douze dernières heures de la vie de Jésus, de son arrestation au Jardin des Oliviers jusqu'à sa crucifixion. Résurrection, relatera la sortie du tombeau au troisième jour et dépeindra les événements qui suivirent.

    Trouvera-t-on, telles les femmes venues l'embaumer, le tombeau vide ? Ou verra-t-on, de l'intérieur, la lumière éblouir Jésus sortant de son tombeau ? Comme annoncé en 2016, le scénario a été confié à Randall Wallace, pour qui le thème est familier, puisqu'on doit à celui qui suivit des cours de religion à l'université de Duke, la réalisation de Et si le ciel existait ? Quatre ans après les premières révélations sur cette suite très attendue, Randall Wallace serait donc toujours «l'homme de la situation» pour Mel Gibson.

  • Pourquoi préférer l’usage du chant des textes de la liturgie à leur pure et simple récitation

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    D'Isidore de Kiev sur le site "Esprit de la Liturgie" :

    Pourquoi chanter à la Messe ?

    Ceux qui ont fait l’expérience de se rendre à une Messe célébrée dans un rite oriental (catholique ou non) auront remarqué que la liturgie y est intégralement chantée. On chante même les lectures, c’est dire ! Or, nous voyons rarement ce genre de choses dans nos paroisses. C’est même plutôt le contraire : même à la Messe du dimanche, nous récitons, sans chant, le signe de croix, les lectures, le Credo, les intentions de la prière universelle, voire le Notre Père. Pourtant, il ne devrait pas en être ainsi ; et ce qui est de facto propre aux orientaux sur ce point précis était commun à toutes les Eglises apostoliques… donc aussi à l’Eglise d’Occident, l’Eglise de Rome.

    Le texte qui va suivre a été écrit par M. Peter Kwasniewski, théologien américain et grand défenseur de la forme extraordinaire du rite romain. Dans cet article, publié sur le site américain « New Liturgical Movement » et traduit par nos soins, il défend l’usage du chant des textes de la liturgie à l’encontre de leur pure et simple récitation.

    Avant de vous laisser découvrir sa prose, nous précisons que nous ne sommes pas nécessairement d’accord avec tous les propos tenus par M. Kwasniewski. Celui-ci a notamment attaqué la forme ordinaire du rite romain d’une manière que nous ne partageons pas le moins du monde.

    Enfin, selon l’usage d’un vénérable site internet, nous nous autorisons des commentaires [placés entre crochets et en rouge].

    Pourquoi chanter les textes liturgiques ?

    L’on constate que toutes les religions du monde comportent le chant de textes sacrés [C’est là un fait indubitable et pratiquement universel que toutes les religions comportent le chant de leurs textes sacrés]. Une convergence aussi surprenante indique qu’il y a une connexion naturelle entre le culte du divin et le chant des textes impliqués dans les rites, à savoir, une connexion basée sur la nature de l’homme, du chant et de la parole.

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  • Le Grand Bonheur de Nicolas Diat

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    Du site des Editions Fayard :

    Le grand bonheur

    NICOLAS DIAT

    Le grand bonheur

     
    Dans un récit exceptionnel, l’écrivain Nicolas Diat pousse les portes de l’abbaye bénédictine de Fontgombault pour faire découvrir la vie de ses soixante moines, et nous aider à comprendre le mystère du bonheur si doux qui les habite.  
     
    «  Venez, et voyez Fontgombault. Oh, il ne se passera rien de spectaculaire. Mais nos cœurs se réchaufferont. Une petite grâce mystérieuse soufflera. Nous regarderons la lumière traverser l’abbatiale, les arbres des vergers danser dans le vent, les moines marcher au loin, vers les coteaux. Les notes grégoriennes s’élèveront dans les hauteurs mystiques. Nous serons des enfants subjugués par les processions splendides. Nous resterons silencieux. Et nous verrons le beau, le merveilleux, le doux sourire des moines.  »
    C’est par ces mots que Nicolas Diat ouvre Le Grand Bonheur. Ce livre est une invitation à la joie, une invitation à nous faire découvrir la vie des moines pour nous aider à comprendre la paix qui les habite.
    Nous pénétrons dans un monde intemporel, une cité interdite, une société idéale. Pendant une année, nous suivons les bénédictins d’un monastère perdu du Bas-Berry, de la ferme au réfectoire, des ateliers d’art aux salles de classe, de l’infirmerie à l’hôtellerie, de l’imprimerie à la bibliothèque, de l’église au cloître, de la sacristie au scriptorium.
    Ces existences confinées, que l’on pourrait imaginer monotones, sont en réalité extraordinairement riches.  
    Transportés à Fontgombault par la plume évocatrice et délicate de Nicolas Diat, nous ne serons plus tout à fait les mêmes en refermant ce livre, et les portes de l’abbaye.
      
    Nicolas Diat est écrivain et éditeur.  Il est l’auteur d’un livre de référence sur le pontificat de Benoît XVI,  L’Homme qui ne voulait pas être pape (Albin Michel, 2014  ; Pluriel, 2018), d’Un temps pour mourir (Fayard, 2018  ; Pluriel, 2019  ; Prix du cardinal Lustiger, Grand Prix de l’Académie française), et co-auteur, avec le cardinal Robert Sarah, de Dieu ou rien (Fayard, 2015  ; Pluriel, 2016),  La Force du silence (Fayard, 2016  ; Pluriel, 2017  ; Prix Spiritualités d’aujourd’hui du Centre méditerranéen de littérature) et Le soir approche et déjà le jour baisse (Fayard, 2019  ; Pluriel, 2020). Ses livres, qui ont été des succès de librairie, ont reçu un accueil critique formidable et sont traduits dans de nombreux pays.