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Foi - Page 750

  • Les intentions de prière du pape pour le mois de mars

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    Universelle: 

    Pour que les personnes engagées dans la recherche scientifique se mettent au service de tout ce qui est bon pour la personne humaine.

    Pour l’évangélisation: 

    Pour que la contribution propre de la femme à la vie de l’Eglise soit reconnue toujours davantage.

  • Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le

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    the-transfiguration-of-christ-julia-bridget-hayes.jpg(source) Il y a trois ans, de retour de sa visite pastorale à la paroisse St.Jean-Baptiste-de-La-Salle, Benoît XVI a récité l'angélus avec les fidèles réunis Place St.Pierre. Avant la prière mariale de ce deuxième dimanche de Carême, il a évoqué la Transfiguration. Matthieu, Marc et Luc s'accordent sur les éléments essentiels: Etant monté sur une montagne avec Pierre, Jacques et Jean, Jésus se transfigura devant eux. Son visage et ses vêtements diffusèrent une lumière fulgurante. Un nuage enveloppa la cime et une voix se fit entendre qui disait: 'Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le!". Benoît XVI a ensuite expliqué qu'il nous faut voir ce mystère dans le contexte du chemin parcouru par Jésus. A cette période, il se dirige vers l'accomplissement de sa mission, sachant qu'il devra passer par la croix. Il l'a annoncé à ses disciples qui n'ont pas compris ou ont même repoussé cette perspective. Pour cela, Jésus emmène avec lui trois disciples sur la montagne et "leur révèle sa gloire divine, splendeur de vérité et d'amour. Jésus veut que cette lumière puisse illuminer leur cœur, lorsqu'ils traverseront l'obscurité profonde de sa passion et de sa mort, lorsque le scandale de la croix sera insupportable pour eux".


    Dieu est lumière, a poursuivi le Saint-Père, « et Jésus veut donner à ses amis les plus intimes, l'expérience de cette lumière qui l'habite. Ainsi, après cet évènement, il sera en eux lumière intérieure, capable de les protéger des assauts des ténèbres. Même dans la nuit la plus sombre, Jésus est la lampe qui ne s'éteint jamais... Nous avons tous besoin de la lumière intérieure pour surmonter les épreuves de la vie. Cette lumière vient de Dieu et c'est le Christ qui nous la donne... Montons avec Jésus sur la montagne de la prière et, contemplant son visage plein d'amour et de vérité, laissons-nous remplir intérieurement de sa lumière". Benoît XVI a enfin invité les fidèles à consacrer, chaque jour de ce Carême, un moment de prière silencieuse et à écouter la Parole de Dieu.

  • Wavreumont, 13-15 mars : retraite pour personnes malentendantes

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    celinemmd@gmail.com

    080 28 03 71 - 0496 67 53 39 (sms)

  • « Invincible », l’histoire inspirante d’un héros de guerre chrétien en film

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    On sait qu'Invincible a été projeté au Vatican et que le pape françois a reçu en audience la réalisatrice de ce film, Angelina Jolie. Le site de Nouvelles de France présente le film:

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    Jack O’Connell joue le rôle de Louis Zamperini (en noir et blanc) dans le film d’Angelina Jolie

     

     

     

    « Invincible », l’histoire inspirante d’un héros de guerre chrétien en film

    Pour comprendre la valeur du dépassement de soi, du patriotisme et de la foi chrétienne, il faut voir l’exemple d’hommes qui en ont vécu. Pour notre siècle, la vie de Louis Zamperini constitue l’un des témoignages les plus puissants.

    L’histoire vraie de cet athlète américain a fait l’objet d’un film réalisé par Angelina Jolie : « Unbroken », traduit très approximativement par « Invincible » en français. La réalisatrice a même été au Vatican le 8 janvier pour présenter son œuvre au Pape. Durant la projection dans la Casina Pio IV, le fils de Louis Zamperini, Luke Zamperini, était présent. Louis Zamperini est décédé il y a quelques mois à l’âge de 97 ans. Le film se base sur sa biographie écrite par Laura Hillenbrand, traduite en français sous le titre « Invincible, une histoire de survie et de rédemption ».

    De délinquant à champion d’athlétisme

    Louis Zamperini est né le 26 janvier 1917 aux Etats-Unis dans une famille d’immigrés italiens. Il a une enfance de délinquant, au désespoir de ses parents. Néanmoins, son grand-frère Pete lui découvre à 15 ans un talent pour courir, et décide de l’entraîner. Louis, bien que réticent au début, se soumet aux entraînements et participe à des courses officielles, quittant du même coup la délinquance. Grâce à ses efforts et son talent, il gagne des courses et bat de nombreux records. En 1934, il bat en 4 minutes et 21 secondes le record national lycéen du mile, un record qui tiendra 18 ans. Cette performance exceptionnelle lui permet de participer, à seulement 19 ans, aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Il court le 5000 mètres, finit 8e mais en terminant le dernier tour en seulement 56 secondes, il explose la marque précédente de 69 secondes. Il rencontre Adolf Hitler : « Ah, vous êtes le garçon qui finit vite », lui dit-il. De retour aux Etats-Unis, il continue sa progression. Dans une course durant laquelle des concurrents lui donnent des coups avec leurs coudes et leurs chaussures cloutées, il finit premier en battant le record national étudiant du mile en 4 minutes et 8 secondes (qui tiendra 15 ans), les tibias et les orteils ensanglantés et une côte fêlée. C’est le 5e mile le plus rapide de l’histoire. Il se prépare pour les Jeux Olympiques de Tokyo de 1940, il est grand favori pour la victoire olympique.

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  • Cardinal Sarah : tout sur sa venue en France

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    D’Elisabeth de Baudouin sur le site « aleteia » :

    topic (20).jpgOn attendait François en France en 2015. Alors que son voyage a été reporté en 2016, c’est l’un de ses plus proches collaborateurs, le cardinal guinéen Robert Sarah, qui vient en visite dans l’Hexagone, à l’occasion de la sortie de son livre   Dieu ou rien, entretiens sur la foi, écrit en collaboration avec l’écrivain Nicolas Diat (Ed. Fayard, 424 pages).


    L’un des hommes clés de la curie

    Qui est Robert Sarah ? Derrière l’homme discret, natif d’Ourouss en Guinée (1945) et ordonné prêtre en 1969 se cache en fait un « premier de classe » : nommé archevêque de Conakry à seulement 34 ans par Paul VI (1974), il est créé cardinal – le premier du continent africain - par Benoît XVI en 2010. Entretemps (2001), le « Bébé évêque », comme l’aurait surnommé le Pape Jean Paul II, a été appelé à Rome, d’abord comme « numéro deux » de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, dicastère en charge des Eglises des pays en développement, avant de devenir président de « Cor unum », le Conseil pontifical qui coordonne l’action humanitaire de l’Eglise.

    De là à lui confier la direction d’une congrégation pontificale, il n’y avait qu’un pas : François l’a franchi en novembre dernier, en le nommant à la tête de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements, dicastère clé en charge de la question, sensible dans certains pays dont la France, de la liturgie. Comme cardinal de curie, il participé au synode sur la famille d’octobre dernier, où les évêques africains se sont signalés par leur défense des valeurs traditionnelles de l’Eglise concernant le mariage et la famille.

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  • Sécularisation de la société et attrait morbide d’une société décadente pour l’islamisme

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    Lu sur le site web de « France Catholique » cette réflexion de William E. Carroll dans le Los Angeles Times :

    arton16706-a1591.jpg« Dans la tribune libres opinions du Los Angeles Times, juste avant son allocution à la conférence de la maison Blanche sur l’extrémisme, le Président Obama a signalé qu’en dernière analyse la lutte contre un fanatisme religieux comme celui de l’Etat islamique était un combat pour gagner « les cœurs et les esprits » afin d’empêcher dans le monde entier des individus de se radicaliser et de sombrer dans la violence. Parlant à l’ouverture de la conférence, le vice-président Joe Biden a également insisté sur l’importance de traiter d’urgence les problèmes économiques et sociaux profondément enracinés qui constituent un terrain fertile pour ceux qui veulent recruter des partisans de l’Etat islamique dans les sociétés occidentales.

    Bien qu’une meilleure intégration dans sa propre communauté puisse aider certains à résister au genre d’aliénation qui conduit à l’adoption d’idéologies radicales, il est beaucoup plus probable que le terreau du fanatisme religieux en Occident soit la sécularisation de la culture occidentale elle-même.

    Une culture qui confine (ou essaie de confiner) les convictions religieuses dans le domaine de l’expérience personnelle et subjective au lieu de reconnaître que la religion est davantage qu’une vision privée du monde, est une culture qui marginalise la religion et aliène donc les croyants qui considèrent que celle-ci concerne la totalité de l’existence humaine. La culture occidentale affirme trop souvent le caractère exclusivement séculier du débat public, et partant de la politique. Dans ce contexte les croyances religieuses ne sont ni bien accueillies ni même, dans certains cas, tolérées.

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  • De plus en plus de chrétiens condamnés à mort au Pakistan; le témoignage saisissant d'Hanna

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    Alors que l'on recense au Pakistan de plus en plus de chrétiens condamnés à mort pour blasphème, Hanna, une chrétienne pakistanaise, a accepté de témoigner. Elle exprime avec courage sa fidélité au Christ et à l’Église, sous couvert de l’anonymat pour ne pas mettre sa vie en péril.

    C'est ici, sur le site de Famille Chrétienne

  • Que faire quand la foi chrétienne s'en va ?

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    Deux congrès pour agir face à l'abandon de la foi chrétienne

    Sous le patronage du Conseil pontifical pour la culture

    Source : Zenit.org (Anne Kurian - 24 février 2015)

    La semaine prochaine, Rome sera l'hôte de deux congrès pour agir face à la désertion dans l’Église et à l'abandon de la pratique religieuse catholique : le congrès international « Renouveler l’Église à l'âge séculier » (« Renewing the Church in a Secular Age ») qui aura lieu les 4-5 mars 2015 sous le patronage du Conseil pontifical pour la culture ; et l'événement « La place et le temps » (“La piazza e il tempio”) organisé par le Parvis des Gentils le 6 mars.

    Ces deux événements se pencheront notamment sur les questions : « Pourquoi, malgré le besoin croissant de spiritualité, de nombreuses personnes en recherche abandonnent l’Église ? Comment l’Église peut-elle, en un monde de spiritualité plurielles, être un guide moral pour aujourd’hui ? Quelles sont les responsabilités pastorales que le magistère est appelé à assumer ? »

    Le congrès international est organisé par le « Council for Research in Values and Philosophy » (RVP) et par l'Université pontificale grégorienne. Ce projet est né en 2009 après un dialogue public entre le cardinal Francis George (Chicago) et le philosophe canadien Charles Taylor -auteur de l'essai « L'Âge séculier » - reconnu comme l'un des plus grands théoriciens du multiculturalisme et du communautarisme.

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  • Le Sacrement de Pénitence dans tous ses états

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    Pour commencer le Carême, quoi de mieux que de parler du sacrement de réconciliation ? N'est-ce pas en effet à la pénitence que nous sommes invités en ce début du mois de mars ? Ce sacrement, appelé aussi bien " confession ", que " sacrement de pénitence " ou " de réconciliation " relève d'une démarche personnelle qui ne semble pas toujours évidente. Alors, faut-il se confesser ? Y a-t-il des raisons particulières à recevoir ce sacrement même si on " se sent bien " dans sa vie et que notre conscience ne semble pas troublée plus que d'ordinaire ? L’an dernier à pareille époque, le père François Potez, curé de Notre-Dame-du-Travail à Paris et le père Arnaud Toury, délégué diocésain à la Pastorale liturgique et sacramentelle du diocèse de Reims apportaient un éclairage selon le cœur et l’esprit. C’est à (re)voir ci-dessous. JPSC :

     

    Source: KTO Le sacrement de réconciliation

  • Le suicide religieux assisté

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    Mary Eberstadt sur le site « didoc.be » :

    41UnWv+7DNL._UY250_.jpg« Dans un des chapitres du livre How the West Really Lost God: A New Theory of Secularization (Comment le monde occidental a vraiment perdu Dieu : une nouvelle théorie de la sécularisation), Mary Eberstadt explique que le déclin des églises protestantes les plus anciennes d’Europe et des Etats-Unis est lié aux changements doctrinaux qu’elles ont opérés dans les domaines concernant la contraception, le divorce, l’avortement et l’homosexualité. Ce qui a contribué à son tour à la fragilisation de la famille en Occident. Nous avons sélectionné quelques paragraphes de cet ouvrage :

    (…) Ces efforts réformistes ont peu à peu contribué à un dénouement inattendu : ils ont affaibli au propre comme au figuré la famille naturelle, les fondations sur lesquelles étaient basées ces mêmes églises. Dans leur zèle pour attirer les individus qui souhaitaient un relâchement de la doctrine chrétienne, les églises ont progressivement oublié d’assurer leurs arrières : les familles saines dont les membres devaient se reproduire, au sens littéral, mais aussi dans le sens figuré, celui de transmettre la religion. Ici nous voyons à nouveau l’effet puissant de la double hélice famille et foi.

    (…) Depuis le début, le christianisme soutient un code moral, un code sexuel strict comparé aux autres religions (…) La surprise historique n’est donc pas tant que les réformistes s’efforcent de le rendre plus supportable, mais bien que le code soit resté intact, si longtemps, au centre de la chrétienté : plus ou moins jusqu’à la réforme. C’est alors que le clergé commença à détricoter la moralité sexuelle : cela remonte à des siècles, bien avant la révolution sexuelle, et en tirant particulièrement sur le fil du divorce.

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  • "Prêtre avant tout", l'abbé Franz Stock mort le 24 février 1948

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    http://laurentius-media.gloria.tv/7o/mediafile-404413-1-sd.mp4?upstream=justina-media.gloria.tv%2ff&sum=GYG1fDh8-lPSVwAVlQIsUA&due=1424807856

    Prêtre de la paroisse catholique allemande et aumônier des prisons de Paris sous l'occupation allemande, " Franz Stock symbolise la preuve de l'amour plus fort que le mal, plus fort que la haine, l'ultime espérance d'une humanité capable d'aimer par-dessus les frontières ", selon René Closset. Franz Stock sera sa vie durant, comme l'écrit Jean-Pierre Guérend, " amoureux de la France et fidèle à son pays ". Il sera amené à assister de nombreux prisonniers et à accompagner plus d'un millier de condamnés à mort au peloton d'exécution. Ce programme, tourné sur les lieux mêmes où il naquit en 1904, vécut et mourut en février 1948, retrace le parcours de cet être exceptionnel qui se disait " prêtre avant tout, ne répondant qu'à une seule question : a-t-il besoin de moi ? ". Franz Stock, c'est aussi un site : " le Séminaire des barbelés ", véritable lieu de mémoire auquel il se consacra de 1945 à 1947 à la formation des séminaristes allemands. Témoignage de la réconciliation franco-allemande, une consécration pour Franz Stock qui y laissa sa vie. Un film réalisé par Janine Isnard. Une coproduction Cat Productions et KTO - 2010.