De saint Pie X à nos jours : petit voyage dans la galaxie de la réaction traditionaliste. Vu sur le « metablog » de l’abbé de Tanoüarn :
JPSC
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De saint Pie X à nos jours : petit voyage dans la galaxie de la réaction traditionaliste. Vu sur le « metablog » de l’abbé de Tanoüarn :
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Dimanche 15 février à partir de 14h, commence l'adoration solennelle du Très Saint Sacrement pendant 40 heures, selon la Tradition de l'Église catholique romaine. Chacun est invité à s'associer selon ses capacités à cet élan de prière. Pour assurer une permanence d'adoration devant le Très Saint Sacrement exposé, une feuille d'inscription est mise à disposition dans l'église. L'inscription se fait heure par heure: par exemple de 14 à 15h, de 9h à 11h, etc. La nuit de dimanche à lundi sera une nuit d'adoration, celle de lundi (20h) à mardi (8h) une nuit de pause. Les 40 heures s'achèveront mardi 4 mars à 18 heures.
Église Saints-Jean-et-Étienne aux Minimes, rue des Minimes 62, 1000 Bruxelles
source : Espérance Nouvelle
Vu sur le « Salon Beige : dans le cadre du journal télévisé de TV Libertés de vendredi, le Père Toufik, le curé de Maaloula, ville martyre, est intervenu sur le quotidien de la communauté chrétienne. Son entretien poignant mérite d’être écouté par tous.
Lu sur le site de « Famille chrétienne » :
« Au lendemain de la signature des accords de Minsk sur le cessez-le-feu en Ukraine, une question demeure : que veut Vladimir Poutine en Ukraine ? Les réponses de Frédéric Pons, journaliste, spécialiste des questions de défense, qui vient de signer une biographie du président russe. Quelle analyse faites-vous de l’accord de cessez-le-feu signé à Minsk le 12 février ?
Cet accord est un copier-coller de Minsk 1 de septembre 2014. C’est un accord transitoire qui cherche à mettre en place un cessez-le-feu. Il est basé sur un compromis : les Ukrainiens ont dû accepter ce que voulait Moscou : plus d’autonomie pour les séparatistes du Donbass. Par ailleurs, ils ont marqué un point : le contrôle de la frontière orientale est assuré par la Russie et échappe à Kiev. En échange, les Russes ont dû accepter de retirer leurs canons et de cesser l’offensive en cours où ils avaient l’avantage.
Fondamentalement, que veut Poutine en Ukraine ?
Outre l’objectif territorial que représente la Crimée, il a un objectif stratégique : empêcher l’Ukraine d’adhérer à l’Otan. C’est une constante. Pour cela, il entretient délibérément et à petit feu des troubles dans l’est du pays. La Russie ne veut pas d’Otan à ses frontières. Or, face à lui, la position européenne est ambiguë. D’un côté Français et Allemands sont d’accord, mais d’autres pays non. Et aux États-Unis, une partie du Congrès pousse à cette adhésion.
Soldats sans insignes, armes lourdes maniées par des militaires au statut incertain : en Ukraine, Vladimir Poutine a-t-il inventé une nouvelle manière de faire la guerre ?
Poutine fait de la politique. Et il la fait en jouant sur tout le spectre de la puissance – l’armée, les services, la propagande, le mensonge, la dissimulation. Ces outils ne sont pas nouveaux et sont utilisés depuis la nuit des temps. Il a constamment un coup d’avance sur ses adversaires. On voit bien qu’il prend de court l’Otan, qui fonctionne en mode binaire et purement militaire.
Cette traduction d'un article de Giuseppe Brienza sur la Nuova Bussola Quotidiana figure sur le site "Benoît-et-moi" :
ZOLLI, LE GRAND RABBIN QUI SE RENDIT AU CHRIST
Dans la "Ville sainte", occupée pendant la Deuxième Guerre Mondiale par les allemands, à la liste dressée par l'historien Renzo De Felice (1929-1996), des juifs sauvés par la charité de Pie XII, il faut ajouter Israel Zolli (1881-1956): pas moins de 4447 personnes qui trouvèrent asile et protection entre 1943 et '45 dans les instituts religieux de Rome et en des maisons privées du réseau clandestin catholique dirigé directement par le Vatican (voir Renzo De Felice, Storia degli Ebrei sotto il Fascismo, 4ème édition. Editions G. Einaudi, Torino 1988).
Il y a tout juste 70 ans, le 13 février 1945, la guerre n'étant pas encore terminée, l'ancien grand rabbin de Rome (1940-1944) demanda avec son épouse d'être admis dans l'Eglise catholique après une conversion qui avait une origine lointaine, mais qui se produisit grâce à la fulgurante vision de Jésus Christ, dans la Synagogue, pendant qu'il célébrait la fête de l'expiation-Yom Kippur en septembre 1944. Depuis ce moment, Zolli changea son propre nom d'Israel en celui d'Eugenio, en honneur du Pape Pacelli. Pour quelle raison? En raison de l'hommage reconnaissant à Pie XII qui l'avait d'abord accueilli à bras ouverts et ensuite aidé aussi matériellement, comme tant d'autres juifs alors persécutés par les nazis.
Lire la suite sur "Benoît-et-moi"
Une initiative du groupe éthique sociale et de l'union des étudiants catholiques de Liège:

La famille : nature et culture, l’équivoque freudo-marxiste
Lunch Débat à Liège avec Paolo Sorbi,
Professeur ordinaire de Sociologie à l’Università Europea de Rome.
L’analyse d'un sociologue catholique italien qui, après avoir adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60, a redécouvert les valeurs sociales chrétiennes comme celles de la famille naturelle et a des affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI.
La crise actuelle de la famille est attribuée à une culture qui refuse la stabilité de la nature humaine. Cette culture a été développée par le courant freudo-marxisme de l’Ecole de Francfort (« Frankfurter Schule») : la pensée de Freud et de Marcuse a voulu détruire la figure du « père-maître » qui aurait été la cause de l'autoritarisme allemand et la pensée de Marx a servi d’instrument pour promouvoir un égalitarisme entre homme et femme à tous les niveaux .Sous l’effet de ce coktail explosif, destructeur de la notion de «père» et de «mère», la famille est alors perçue comme une «prison» liberticide.
Mercredi 4 mars 2015 à 18h00, Université de Liège, Bâtiment du Rectorat, Salle des Professeurs, Place du 20 août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché).

Si vous désirez prendre part à ce lunch débat, votre inscription est requise (avant le 27 février).
A cet effet, cliquez ici :http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/, remplissez le formulaire et cliquez sur la case réserver. Vous pouvez aussi téléphoner au n° 04.344.10.89
« Si l'Eglise n'évolue pas, elle disparaîtra » déclare celui qui, vingt ans après, n’a lui non plus guère évolué. Lu sur le blog du « Parisien » :
« Mariage gay, précarité... A 80 ans, Mgr Gaillot, l'évêque mis sur la touche depuis vingt ans, est toujours aussi engagé sur les sujets de société et se montre admiratif envers le pape.
Il y a vingt ans jour pour jour, devant quelque 20 000 fidèles supporteurs, Mgr Jacques Gaillot célébrait sa dernière messe à Evreux en tant qu'évêque de ce diocèse. Il venait d'être destitué de ses fonctions par le Vatican qui sanctionnait là ses sorties publiques jugées provocantes. « L'affaire Gaillot » provoquera des blessures et des divisions au sein du clergé français.
A la tête depuis deux décennies de l'évêché fantôme de Parténia, le trublion continue de défendre les exclus. Rencontre à la maison des spiritains à Paris (Ve), qui l'héberge.
Comment exister quand on est un évêque sans diocèse et sans responsabilités ?
MGR GAILLOT. On fait sa vie. Je ne suis pas à la rue. J'ai la santé. Je suis le président de l'association Droits devant ! ( NDLR : qui lutte, notamment, contre la précarité ). Je soutiens l'association Droit au logement. Les mal-logés se disent : « Lui, il peut nous comprendre ! » Moi-même, j'ai été exclu, c'est un bon passeport que l'Eglise m'a donné là. Je m'investis aussi aux côtés des prisonniers. Je visite Yvan Colonna à la prison d'Arles, cela fait une dizaine d'années qu'on se fréquente et je vais voir ses parents en Corse.
Sur lefigaro.fr etudiant, par Julie-Anne De Queiroz :
Trois jeunes chrétiens à la rencontre des exclus des quatre coins du monde
Pendant un an, ces trois étudiants en école de commerce ont décidé de partir à la rencontre de ces chrétiens qui donnent leur vie pour les autres, avec l’intention de montrer un autre visage de l’Église : celui des personnes engagées qui la composent.
Ils sont trois, ils sont jeunes et étudiants en école de commerce. Comme beaucoup d’autres avant eux, ils ont décidé de prendre une année pour faire autre chose, voir du pays. Mais leur projet a tout de même une sacrée spécificité: il ne s’agit pas d’un voyage, d’une année sabbatique ou d’un simple stage. Ce qu’ils ont voulu réaliser en partant 12 mois loin de tout, c’est un «témoignage»: rendre compte de la vie de ces croyants qui donnent leur vie pour les autres, aux quatre coins du monde. Et tordre le cou à quelques idées reçues, par la même occasion.
Le périple de Quentin, Jean et Geoffroy, amis de longue date réunis par leur foi catholique, a démarré en septembre dernier par une bonne dose d’émotion: une rencontre avec le Pape François. «En amont, on a passé 6 mois à envoyer des tonnes de mails et de courriers à l’ensemble de la curie romaine pour expliquer notre projet» raconte Quentin, amusé. Une détermination qui finira par payer, puisqu’on les invitera à une audience générale du souverain Pontife, au cours de laquelle ce dernier bénira leur carnet d’intention de prières.

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