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Jeunes - Page 125

  • Sécularisation de la société et attrait morbide d’une société décadente pour l’islamisme

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    Lu sur le site web de « France Catholique » cette réflexion de William E. Carroll dans le Los Angeles Times :

    arton16706-a1591.jpg« Dans la tribune libres opinions du Los Angeles Times, juste avant son allocution à la conférence de la maison Blanche sur l’extrémisme, le Président Obama a signalé qu’en dernière analyse la lutte contre un fanatisme religieux comme celui de l’Etat islamique était un combat pour gagner « les cœurs et les esprits » afin d’empêcher dans le monde entier des individus de se radicaliser et de sombrer dans la violence. Parlant à l’ouverture de la conférence, le vice-président Joe Biden a également insisté sur l’importance de traiter d’urgence les problèmes économiques et sociaux profondément enracinés qui constituent un terrain fertile pour ceux qui veulent recruter des partisans de l’Etat islamique dans les sociétés occidentales.

    Bien qu’une meilleure intégration dans sa propre communauté puisse aider certains à résister au genre d’aliénation qui conduit à l’adoption d’idéologies radicales, il est beaucoup plus probable que le terreau du fanatisme religieux en Occident soit la sécularisation de la culture occidentale elle-même.

    Une culture qui confine (ou essaie de confiner) les convictions religieuses dans le domaine de l’expérience personnelle et subjective au lieu de reconnaître que la religion est davantage qu’une vision privée du monde, est une culture qui marginalise la religion et aliène donc les croyants qui considèrent que celle-ci concerne la totalité de l’existence humaine. La culture occidentale affirme trop souvent le caractère exclusivement séculier du débat public, et partant de la politique. Dans ce contexte les croyances religieuses ne sont ni bien accueillies ni même, dans certains cas, tolérées.

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  • Allemagne : quand les cours d'éducation sexuelle vont trop loin

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    Allemagne : préservatifs, positions et plaisir au menu des cours d'éducation sexuelle

    Source : Le Point (Pascale Hugues - 15/02/2015)

    Le sexe n'a pas de secret pour les petits Allemands, qui participent à des stages éducatifs dès la primaire. Certains parents crient au scandale.

    Dès la primaire, les enfants allemands participent à des stages d'éducation sexuelle dans des centres, accompagnés par leurs instituteurs (illustration).

    Apprendre à enfiler un préservatif de la bonne taille sur un concombre... Être rassuré sur toutes les questions qu'on se pose sans oser les aborder avec ses parents : érection, masturbation, phimosis, acné, taille des seins ou du pénis, éjaculation précoce, frigidité... Et rentrer chez soi avec trois paquets de préservatifs de couleurs et de goûts différents. Dès l'école primaire, les petits Allemands, accompagnés de leurs enseignants, vont régulièrement suivre des stages d'éducation sexuelle dans un centre spécialisé.

    Il est loin, le temps où ils jouaient au docteur sous la couette du lit de leur chambre d'enfant, achetaient sous cape un magazine érotique au kiosque à journaux de la gare ou étaient solennellement convoqués dans le bureau du père "pour parler en quelques minutes de certaines choses"... Les jeunes Allemands d'aujourd'hui sont incollables quand il s'agit de sexe. Ce ne sont plus seulement les méthodes contraceptives et les dangers des maladies vénériennes ou du sida qu'ils apprennent, mais aussi les différentes positions, le moyen le plus sûr de donner du plaisir à son partenaire, les incertitudes et les ratés de la sexualité. Les cours d'éducation sexuelle actuels ne laissent plus rien au hasard des premières expériences.

    Trop tôt, trop explicite, trop cru

    Mais, depuis un an, les parents d'élèves défilent par centaines dans les rues allemandes sous la bannière "Parents inquiets". Ils s'opposent aux cours d'éducation sexuelle à l'école qui, selon eux, blessent la pudeur de leurs enfants et risquent de les traumatiser à vie. Trop tôt, trop explicite, trop cru, se plaignent ces parents montés sur les barricades. Ils estiment que c'est dans le giron de la famille et selon les normes de celle-ci que les enfants doivent apprendre "les choses de la vie et de l'amour". "Bas les pattes ! Ne touchez pas à nos enfants !", "Les enfants ont besoin d'amour, pas de sexe !" s'exclament ces parents scandalisés que ces cours soient obligatoires. En effet, ceux qui refusent que leurs enfants participent à ces stages sont passibles de poursuites judiciaires. Une manifestation est prévue chaque mois dans une grande ville : en mars à Munich, en avril à Kassel.

    Soupçonné d'avoir été récupéré par des chrétiens intégristes, des extrémistes de tout bord et des groupuscules homophobes, le mouvement prône le retour à la famille traditionnelle et à ses solides valeurs. Les militants les plus durs accusent l'école de recommander le libertinage sexuel et de pousser les jeunes à l'homosexualité. Béatrice Bourges, cofondatrice de la Manif pour tous en France et désormais présidente du groupuscule Printemps français, est venue apporter son soutien l'an dernier à Cologne à ces "parents inquiets"...

  • Le pape François invite les jeunes à se rebeller contre la banalisation de l'amour

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    "Jeunes, rebellez-vous contre la banalisation de l'amour"

    Message pour la JMJ 2015 (texte intégral)

    Rome, 17 février 2015 (Zenit.org)

    Le pape François exhorte les jeunes à « redécouvrir la beauté de la vocation humaine à l’amour » et à « se rebeller contre la tendance diffuse à banaliser l’amour, surtout quand on cherche à le réduire seulement à l’aspect sexuel, en le détachant ainsi de ses caractéristiques essentielles de beauté, de communion, de fidélité et de responsabilité ».

    Le message du pape pour la 30e Journée mondiale de la jeunesse qui sera célébrée le 29 mars 2015, dimanche des rameaux, sur le thème « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8), a été publié ce 17 février 2015.

    Sur le chemin vers la JMJ 2016 à Cracovie, le pape exhorte les jeunes à « apprendre à discerner ce qui peut"polluer" son cœur, se former une conscience droite et sensible, capable de "discerner quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, ce qui est capable de lui plaire, ce qui est parfait" (Rm 12, 2) ».

    « Je vous demande d’être révolutionnaires, je vous demande d’aller à contre-courant ; ... je vous demande de vous révolter contre cette culture du provisoire, qui, au fond, croit que vous n’êtes pas en mesure d’assumer vos responsabilités, elle croit que vous n’êtes pas capables d’aimer vraiment. Moi, j’ai confiance en vous, jeunes, et je prie pour vous. Ayez le courage d’‘‘aller à contre-courant’’ », ajoute-t-il.

    Il invite aussi les jeunes à être « de bons explorateurs » : « Si vous vous lancez à la découverte du riche enseignement de l’Église dans ce domaine, vous découvrirez que le christianisme ne consiste pas en une série d’interdits qui étouffent nos désirs de bonheur, mais en un projet de vie capable de fasciner nos cœurs ! »

    A.K.

    Message du pape François

    « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8)

    Chers jeunes,

    Nous continuons notre pèlerinage spirituel vers Cracovie, où en juillet 2016 se tiendra la prochaine édition internationale des Journées Mondiales de la Jeunesse. Sur notre chemin nous avons choisi comme guide les Béatitudes évangéliques. L’année dernière nous avons réfléchi sur la Béatitude des pauvres en esprit, insérée dans le contexte plus large du « discours sur la montagne ». Nous avons découvert ensemble la signification révolutionnaire des Béatitudes et l’appel fort de Jésus à nous lancer avec courage dans l’aventure de la recherche du bonheur. Cette année nous réfléchirons sur la sixième Béatitude : « Bienheureux les cœurs purs, car ils verront Dieu » (Mt 5, 8).

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  • Les manuels scolaires bientôt détrônés ?

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    Du blog de la liberté scolaire :

    Sans titre.pngUN QUASI WIKI-MANUEL SCOLAIRE

    Voici une initiative astucieuse et prometteuse dans son principe (sans préjuger de la qualité du contenu des manuels). Elle émane d’une entreprise récemment fondée par un jeune diplômé d’HEC, Raphaël Taieb, qui est en train de se tailler une part de marché significative aux dépens des grands éditeurs scolaires. Il s’agit de http://lelivrescolaire.fr/. Les manuels scolaires ont la particularité d’être rédigés par une communauté composée de centaines de professeurs, à partir d’une structure générale découlant des programmes en vigueur. Le manuel scolaire est gratuit dans sa version en ligne et payant dans sa version imprimée. À ce manuel sont associés des exercices interactifs divers. L’entreprise accepte aussi de vendre l’outil informatique qui permet de rédiger de manière participative des manuels et d’y joindre des exercices interactifs. Avis aux amateurs ! À quand des manuels scolaires issus de la coopération désintéressée des meilleurs professeurs des écoles indépendantes en lien avec les meilleurs professeurs de tous horizons ?

  • La lettre d'un professeur à ses anciens élèves musulmans

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    Source : eecho.fr

    Lettre à mes anciens élèves musulmans

       Selon le rituel que vous connaissiez bien au début de chaque heure de cours, j’ai appelé Mohamed, Aïcha, Ibrahim, Kamel, Leïla et Moussa, avant ou après Jonathan, Sylvia, David, Samuel et Amandine, au gré de l’initiale de votre patronyme, et la liste de la classe s’est déroulée, comme une écharpe bayadère tricotée de noms sans frontière. Je n’ai oublié ni Lily, ni Oussama, ni Coralie, ni Maxime, ni Aziz, pas plus que Jennifer, Léa, Fatima, Linda, Bilal et Marco. Je vous ai tous appelés… Mais ce jour-là, la moitié d’entre vous n’a pas répondu, car vous fêtiez l’Aïd-el-Kébir en famille, échangeant des cadeaux et des paroles aimables. « C’est comme Noël pour vous, Madame, m’aviez-vous expliqué la veille, en me prévenant de votre absence. » Là, il y avait erreur sur le fond de la comparaison, mais comment vous en vouloir, puisque personne encore ne vous avait dit avec foi et ferveur ce qu’est véritablement Noël pour un chrétien…

       Dix ans plus tôt, en telle circonstance, vos parents n’auraient pas osé dire le motif de l’absence de vos frères et sœurs aînés qui, lorsqu’ils retournaient en classe le lendemain, présentaient un billet d’absence stipulant une « raison familiale », une « raison personnelle » ou un « problème de santé », fort bénin sans doute puisqu’ils revenaient si vite… Désormais, vos parents inscrivent clairement le motif : « Fête religieuse », et vous donnez votre billet avec fierté, et même parfois, avec un brin d’arrogance ou d’ironie. La religion, cette affaire classée par l’Etat en zone privée, vous ne craignez plus de la passer sous silence, et c’est elle qui vous distingue des autres, en classe, dans un collège républicain et laïc… Pour preuve de votre bonne foi, vous toquiez gentiment à la porte de la salle des professeurs avec une assiette garnie des pâtisseries délicieuses que vos mères avaient confectionnées pour l’occasion. Et vos camarades, baptisés ou issus de baptisés, indifférents ou incroyants, puisque chez eux on ne parle plus de Dieu, ou seulement sur le ton de la dérision, ces camarades vous enviaient presque, ce jour-là, d’avoir quelque chose à croire ou quelqu’un à craindre, eux dont les parents n’ont ni Dieu ni maître…

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  • Université de Liège, le mercredi 4 mars à 18h00: la famille, nature et culture: l'équivoque freudo-marxiste

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    Une initiative du groupe éthique sociale et de l'union des étudiants catholiques de Liège:

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    La famille : nature et culture, l’équivoque freudo-marxiste

    Lunch Débat à Liège avec Paolo Sorbi,

    Professeur ordinaire de Sociologie à l’Università Europea de Rome.

    L’analyse d'un sociologue catholique italien qui, après avoir adhéré à l’idéologie marxiste dans les années ’60, a redécouvert les valeurs sociales chrétiennes comme celles de la famille naturelle et a des affinités intellectuelles avec le magistère de Benoît XVI.

    La crise actuelle de la famille est attribuée à une culture qui refuse la stabilité de la nature humaine. Cette culture a été développée par le courant freudo-marxisme de l’Ecole de Francfort  (« Frankfurter Schule») : la pensée de Freud et de Marcuse a voulu détruire la figure du « père-maître » qui aurait été la cause de l'autoritarisme allemand  et la pensée de Marx a servi d’instrument pour promouvoir un égalitarisme entre homme et femme à tous les niveaux .Sous l’effet de ce coktail explosif, destructeur de la notion de «père» et de «mère», la famille est alors perçue comme une «prison» liberticide.

    Mercredi 4 mars 2015 à 18h00, Université de Liège, Bâtiment du Rectorat, Salle des Professeurs, Place du 20 août, 7, 1er étage (accès par l’entrée principale, parcours fléché).

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    Si vous désirez prendre part à ce  lunch débat, votre inscription est requise (avant le 27 février).

    A cet effet, cliquez ici :http://www.ethiquesociale.org/conference/la-famille-nature-et-culture-lequivoque-freudo-marxiste/remplissez le formulaire et cliquez sur la case réserver. Vous pouvez aussi téléphoner au n° 04.344.10.89  

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  • Don Bosco - 1815-2015

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    Don Bosco - Anniversaire 1815 - 2015

                DVD            -   Bande-dessinée      -   Biographies      -  Souvenirs autobiographiques !

     

    PLUS DE LIVRES SUR DON BOSCO

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  • Quand France 2 pratique l'amalgame

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    Lu sur LaVie.fr (Laurence Desjoyaux) :

    #ScoutEn2015 : vives réactions des scouts après un reportage sur France 2

    Conservateurs et nostalgiques, les scouts ? Un reportage du magazine Complément d'enquête diffusé sur France 2 le 12 février les a fait bondir. En cause, la présentation du mouvement de jeunesse comme symbole d'une France nostalgique au milieu d'une émission intitulée : « Zemmour et les nostalgiques : la France, c'était mieux avant ? »

    Derrière le présentateur Nicolas Poincaré défilent des images de scouts, de manifestations contre le mariage homosexuel et de séances de dédicaces du Suicide français, le dernier livre d'Eric Zemmour. « Enquête, ce soir sur une France nostalgique, sur ceux qui regrettent l'avant Mai 68, qui défendent la tradition et l'autorité, qui combattent le mariage pour tous et qui ont un héros : Eric Zemmour », explique le journaliste avant d'ajouter plus loin : « On va aussi se pencher sur une autre forme de nostalgie : le succès des scouts. Est-ce dû à une demande d'autorité ? » Pour lancer le reportage, Nicolas Poincaré enfonce le clou  : « Autre symbole de ce qu'on appelle une France nostalgique, c'est le succès des scouts ! »

    Les scouts – « dont les pratiques sont presque les mêmes qu'il y a cent ans », nous apprend la voix off – symboles d'une France nostalgique, entre Zemmour et la Manif pour tous ? Ceux-ci n'ont pas apprécié l'amalgame et l'ont fait immédiatement savoir sur les réseaux sociaux.

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  • Quand des jeunes chrétiens vont à la rencontre de ces chrétiens qui donnent leur vie pour les autres

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    Sur lefigaro.fr etudiant, par Julie-Anne De Queiroz :

    Trois jeunes chrétiens à la rencontre des exclus des quatre coins du monde

    Pendant un an, ces trois étudiants en école de commerce ont décidé de partir à la rencontre de ces chrétiens qui donnent leur vie pour les autres, avec l’intention de montrer un autre visage de l’Église : celui des personnes engagées qui la composent.

    Ils sont trois, ils sont jeunes et étudiants en école de commerce. Comme beaucoup d’autres avant eux, ils ont décidé de prendre une année pour faire autre chose, voir du pays. Mais leur projet a tout de même une sacrée spécificité: il ne s’agit pas d’un voyage, d’une année sabbatique ou d’un simple stage. Ce qu’ils ont voulu réaliser en partant 12 mois loin de tout, c’est un «témoignage»: rendre compte de la vie de ces croyants qui donnent leur vie pour les autres, aux quatre coins du monde. Et tordre le cou à quelques idées reçues, par la même occasion.

    Le périple de Quentin, Jean et Geoffroy, amis de longue date réunis par leur foi catholique, a démarré en septembre dernier par une bonne dose d’émotion: une rencontre avec le Pape François. «En amont, on a passé 6 mois à envoyer des tonnes de mails et de courriers à l’ensemble de la curie romaine pour expliquer notre projet» raconte Quentin, amusé. Une détermination qui finira par payer, puisqu’on les invitera à une audience générale du souverain Pontife, au cours de laquelle ce dernier bénira leur carnet d’intention de prières.

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  • Pourquoi des jeunes occidentaux se convertissent à l'islam

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    De FIGARO.VOX (Claude Sicard) :

    Pourquoi dans nos sociétés occidentales des jeunes se convertissent à l'islam

    FIGAROVOX/TRIBUNE - D'après RTL, depuis les attentats de janvier, les mosquées françaises auraient enregistré une hausse notable des conversions à la religion musulmane. Claude Sicard explique cet attrait pour l'islam par la quête d'idéal d'une partie de la jeunesse.

    Claude Sicard est agronome, docteur en économie, spécialiste du développement. Il est l'auteur de deux livres sur l'islam, «L'islam au risque de la démocratie» (Préface de Malek Chebel, éditions FX du Guibert) et «Le face-à-face islam chrétienté. Quel destin pour l'Europe?»

    Il semblerait que ces dernières années un certain nombre de jeunes dans nos sociétés occidentales en viennent à se convertir à l'islam, et l'on ne peut que s'interroger sur les motifs qui les conduisent à faire ce choix, un choix incompréhensible à priori pour les occidentaux que nous sommes, puisque notre civilisation a fait au XVIIIeme siècle ce que le philosophe Marcel Gauchet a appelé une «sortie de religion».

    Les raisons pouvant expliquer cette tentation sont très simples: l'homme a besoin d'être animé par une raison de vivre, par un idéal, par une cause noble à laquelle se donner. Il a besoin d'estime, il a besoin que l'on reconnaisse sa dignité.

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  • Une société sans enfants est une société déprimée

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    Les enfants sont la joie de la famille et de la société

    Catéchèse du 11 février 2015 (traduction intégrale) (source : zenit.org)

    « Les enfants sont la joie de leur famille et de la société. Ils ne sont pas un problème de biologie reproductive, ni une façon parmi d’autres de se réaliser. Et ils sont encore moins la possession de leurs parents… Non, les enfants sont un don, ils sont un cadeau » : la vie d'un enfant est « destinée à lui, à son bien, au bien de la famille, de la société, de toute l’humanité », affirme le pape François.

    Le pape a poursuivi ses catéchèses sur la famille en méditant sur la figure des enfants, lors de l'audience générale de ce mercredi matin, 11 février 2015, place Saint-Pierre.

    Il a souligné que l’expérience de l'enfant était d'abord celle de « la gratuité », celle de « la beauté d’être aimé en premier » car les enfants « sont aimés avant d’avoir fait quoi que ce soit pour le mériter, avant de savoir parler ou penser, et même avant de venir au monde ».

    A une époque où « il semble plus difficile pour les enfants d’imaginer leur avenir », il les a encouragés à « ne pas avoir peur de s’engager pour construire un monde nouveau », sans « arrogance, sans suffisance ».

    Le pape a plaidé pour l'harmonie entre les générations : « Il faut savoir reconnaître la valeur de ses enfants et il faut toujours honorer ses parents. ». Le quatrième commandement « contient quelque chose de sacré, quelque chose de divin, quelque chose qui se trouve à la racine de toutes les autres formes de respect entre les hommes », a-t-il estimé.

    « Une société d’enfants qui n’honorent pas leurs parents est une société sans honneur », destinée « à se remplir de jeunes arides et avides », a-t-il mis en garde.

    « Mais une société avare de génération, qui n’aime pas s’entourer d’enfants, qui les considère surtout comme une préoccupation, un poids, un risque, est une société déprimée... Ne pas avoir d’enfants est un choix égoïste. La vie rajeunit si elle acquiert des énergies en se multipliant : elle s’enrichit, elle ne s’appauvrit pas ! », a ajouté le pape.

    Il a conclu en demandant à la foule d'observer « une minute de silence » en pensant à ses parents et à ses enfants et en « remerciant Dieu pour le don de la vie ».

     

    A.K.

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  • La bande dessinée chrétienne

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    Sur le site des jésuites de la Province de France :

    La B. D. chrétienne

    À l’occasion du 42e Festival international de la Bande dessinée, à Angoulême, du 29/1 au 1/2/2015, l’émission de KTO TV « La foi prise au mot » (52 minutes) est revenue sur l’histoire et l’actualité de la bande dessinée chrétienne.

    Un thème en apparence léger, mais en réalité très sérieux : les rapports entre le christianisme et la bande dessinée. S’il n’est pas excessif de dire que celle-ci (en particulier Tintin et Spirou) est née dans les milieux catholiques, qu’en est-il aujourd’hui ? Quels sont les rapports entre le christianisme et la bande dessinée ? Les chrétiens font-ils des BD, et comment le christianisme est-il représenté dans ces albums ?


    Le professeur René Nouailhat, (docteur ès Lettres, historien des religions, auteur d’essais sur E.P. Jacobs chez Mosquito  www.editionsmosquito.com), apporte lui-même son expertise passionnante. Ces deux personnalités de la BD chrétienne ont été présents au Festival d’Angoulême avec d’autres membres du CRIABD : Béatrice Beaumarais (dessinatrice), Cécile Jacquerye (scénariste), Frère Thierry de Béthune osb (dessinateur), Marc Eelbo (bénévole). Il y aura aussi les dessinateurs chrétiens Brunor, Jean-François Kieffer, Sean O’Brien,  le scénariste Père Christophe Hadevis et l’équipe de BD chrétienne présente à la Cathédrale, au Temple et à St Martial (www.bdchretienne.net).

    A noter aussi que l’hebdomadaire « Famille Chrétienne » n° 1933 du 31 janvier au 6 février publie un dossier sur la BD chrétienne intitulé « BD et christianisme », par Thibaut Dary et Luc Adrian (www.famillechretienne.fr)

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