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Livres - Publications - Page 64

  • Le journal de prison du cardinal George Pell est une lecture passionnante

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    De Joan Frawley Desmond sur le National Catholic Register :

    "Je suis pris dans la lutte entre le bien et le mal" : Le journal de prison du cardinal George Pell est une lecture passionnante

    Dans la première partie, le cardinal George Pell parle de son séjour en prison du 27 février au 13 juillet 2019.

    1er décembre 2020

    In the first installment, Cardinal George Pell writes of his time in prison from Feb. 27 to July 13, 2019.

    Journal de la prison, Vol. 1, Le Cardinal fait appel, par le cardinal George Pell, Ignatius Press, 2020, 348 pages

    Quelques jours après que le cardinal George Pell ait commencé sa peine de six ans de prison en février 2019, après qu'un jury l'ait déclaré coupable d'avoir abusé sexuellement de deux mineurs en 1996, il a repris son bréviaire et s'est penché sur les lectures sinistrement appropriées de la semaine, tirées du Livre de Job.

    Les "ennuis de Job ne font que commencer". Tout est à venir pour lui", s'exclame l'auteur dans "The Cardinal Makes His Appeal", le premier volume de son journal de prison qui couvre les cinq premiers mois de son incarcération, du 27 février au 13 juillet 2019.

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  • La doctrine sociale enseignée par François est-elle en continuité avec l'enseignement des papes précédents ?

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    De Stefano Fontana sur le site de l'Observatoire International Cardinal Van Thuan sur la Doctrine Sociale de l'Eglise:

    LES CHANGEMENTS DE FRANÇOIS DANS LA DOCTRINE SOCIALE DE L'ÉGLISE.

    Nombreux sont ceux qui se demandent s'il y a ou non une continuité entre la doctrine sociale de l'Église enseignée par le pape François et celle enseignée jusqu'à Benoît XVI. 'Laudato si' et 'Fratelli tutti' (mais aussi l'Exhortation 'Evangelii Gaudium') sont-ils conformes à 'Centesimus annus' et 'Caritas in veritate' ? La propension qui prévaut parmi les commentateurs est de penser qu'il y a une continuité, parce que personne n'aime avoir à constater que ce que les papes disaient autrefois est maintenant dit d'une manière différente ou même nié, et aussi parce que le critère de "réforme dans la continuité" suggéré par Benoît XVI en 2005 est souvent appliqué dans un sens très large. Ainsi, on fait valoir que les éventuels éléments de discontinuité relèvent du domaine pastoral et non de la doctrine, et qu'en tant que tels, ils n'engagent pas l'autorité magistrale du pape. Cette façon d'argumenter n'est cependant rien d'autre qu'une échappatoire pour contourner la question, puisque les grands changements doctrinaux se produisent aujourd'hui à des fins pastorales.

    Même si la question que je soulève est tellement vaste et nécessiterait beaucoup plus d'espace que celui d'un court article, je voudrais souligner brièvement certains éléments où il n'y a pas beaucoup de continuité. Il s'agit d'éléments de fond et de méthode.

    La Doctrine sociale de l'Église est "l'annonce du Christ dans les réalités temporelles" et "un instrument d'évangélisation". Ces deux éléments sont essentiels, mais dans les documents sociaux du Pape François, ils ne semblent pas avoir la même place qu'auparavant. Plus qu'à l'annonce du Christ, l'espace est désormais réservé à l'humanité, à la fraternité existentielle, à la catégorie des "personnes", au dialogue interculturel et interreligieux et à la collaboration avec tous.

    Deuxièmement, l'approche se rapporte à l'ordre existentiel et historique, et n'est plus même de loin, apparentée à l'ordre métaphysique. Il y a peu de références à un ordre naturel, à l'essence de l'homme, aux finalités inscrites dans la nature humaine, ou même aux concepts de nature et de super-nature. L'accent a été mis davantage sur le fait de marcher ensemble sur les chemins de la vie plutôt que de travailler dans un ordre du réel en vue de l'ordonner sur la base de la raison juste et de la vraie religion.

    Cette approche historique plus que fondée sur la nature oblige ensuite les gens à se concentrer sur ce qui est nouveau, sur le temps, sur le courage de changer, sur la prise de risques, sur la volonté d'aller de l'avant, sur le rêve, sur l'espoir au sens existentiel, sur l'exploration de nouvelles voies et sur le lancement de processus sans précédent. Cela entraîne l'émergence de propositions plutôt aventureuses qui, parfois, ne relèvent pas à la fois du contexte de la doctrine sociale de l'Église et de la tâche du Magistère pétrinien. Elles se présentent ainsi comme des opinions exprimées dans le débat public. Ce qui change, ce n'est pas seulement l'enseignement social du pape, mais aussi le rôle du pape dans l'enseignement social.

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  • La vie la plus ancienne de l'évêque Lambert de Maastricht (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Introduction aux contes et nouvelles de Joseph Malègue (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Une crise révèle ce que nous avons dans le cœur (François)

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    Du pape François sur le site du New York Times :

    Le pape François : Une crise révèle ce que nous avons dans le cœur

    Pour sortir de cette pandémie mieux que nous n'y sommes entrés, nous devons nous laisser toucher par la douleur des autres.

    26 novembre 2020

    Au cours de cette dernière année de changement, mon esprit et mon cœur ont débordé de gens. Des gens auxquels je pense et pour lesquels je prie, et avec lesquels je pleure parfois, des gens avec des noms et des visages, des gens qui sont morts sans avoir dit au revoir à ceux qu'ils aimaient, des familles en difficulté, et même qui ont faim, parce qu'il n'y a pas de travail.

    Parfois, quand on pense globalement, on peut être paralysé : il y a tant de lieux de conflits apparemment incessants ; il y a tant de souffrances et de besoins. Je trouve qu'il est utile de se concentrer sur des situations concrètes : Vous voyez des visages qui cherchent la vie et l'amour dans la réalité de chaque personne, de chaque peuple. Vous voyez l'espoir inscrit dans l'histoire de chaque nation, glorieux parce que c'est une histoire de lutte quotidienne, de vies brisées dans le sacrifice de soi. Ainsi, plutôt que de vous submerger, elle vous invite à réfléchir et à répondre avec espoir.

    Ce sont des moments de la vie qui peuvent être mûrs pour le changement et la conversion. Chacun de nous a connu son propre "arrêt", ou si ce n'est pas encore le cas, ce sera le cas un jour : maladie, échec d'un mariage ou d'une entreprise, grande déception ou trahison. Comme dans l'arrêt Covid-19, ces moments génèrent une tension, une crise qui révèle ce que nous avons dans le cœur.

    Dans chaque "Covid" personnel, pour ainsi dire, dans chaque "arrêt", ce qui est révélé est ce qui doit changer : notre manque de liberté interne, les idoles que nous avons servies, les idéologies que nous avons essayé de vivre, les relations que nous avons négligées.

    Lorsque je suis tombé très malade à l'âge de 21 ans, j'ai fait ma première expérience de la limite, de la douleur et de la solitude. Cela a changé ma façon de voir la vie. Pendant des mois, je ne savais pas qui j'étais ni si j'allais vivre ou mourir. Les médecins ne savaient pas non plus si j'allais m'en sortir. Je me souviens avoir serré ma mère dans mes bras et lui avoir dit : "Dis-moi juste si je vais mourir". J'étais en deuxième année de formation à la prêtrise au séminaire diocésain de Buenos Aires.

    Je me souviens de la date : le 13 août 1957. Un préfet m'a emmené à l'hôpital et s'est rendu compte que ma grippe n'était pas le genre de grippe que l'on traite avec de l'aspirine. Ils m'ont tout de suite retiré un litre et demi d'eau des poumons et je suis resté là, luttant pour ma vie. Le mois de novembre suivant, ils m'ont opéré pour m'enlever le lobe supérieur droit d'un des poumons. J'ai une idée de ce que ressentent les personnes atteintes de Covid-19 lorsqu'elles luttent pour respirer avec un respirateur.

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  • Quand le pape se fait le défenseur du revenu universel

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    De François Lenglet sur le site de RTL :

    Le pape François, fervent défenseur du revenu universel

    Avec la crise de la Covid-19, l'idée du revenu universel est réapparue, prônée par le pape François lui-même.

    24/11/2020

  • "Un temps pour changer" : un nouveau livre du pape

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    Un temps pour changer @ éditions Flammarion

    A découvrir sur zenit.org :

    1. « Un temps pour changer »: « Les trois covid du pape François »
    2. "Un temps pour changer" : 15 perles du pape François
    3. "Un temps pour changer" : le traité du pape pour se relever après la pandémie
    4. Les femmes au Vatican : ce qu’a voulu faire le pape François

    - Un autre son de cloche sur Valeurs Actuelles

    - «La migration n'est pas une menace pour le christianisme», selon le pape François (le Figaro)

  • Covid-19 : la déraison sanitaire

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    Du site "Pour une école libre au Québec" :

    « Nos héritiers nous reprocheront notre irresponsabilité »

    Posted: 22 Nov 2020 10:48 PM PST

    Alexandra Laignel-Lavastine vient de publier « La Déraison sanitaire. Le Covid-19 et le culte de la vie par-dessus tout » aux Éditions Le Bord de l’Eau. Un essai aussi brillant que dérangeant dans lequel la philosophe interroge notre « sanitairement correct ». Entretien d’Alexandre de Vecchio avec Alexandra Laignel-Lavastine.

    – Vous écrivez : « Jamais l’humanité n’avait été mieux armée médicalement face à une épidémie ; jamais elle ne se sera montrée aussi désarmée moralement. » Pourquoi ?

    – Vu l’amplitude de la catastrophe qui s’annonce, nous serions en effet bien inspirés d’y réfléchir, car nos descendants, qui sont notre conscience, nous réclameront assurément des comptes. Je vois plusieurs raisons à cette déconfiture. D’abord, notre basculement, depuis quatre décennies, dans un « nouvel humanisme » (Luc Ferry) tel que jamais, dans l’Histoire, nous n’avions accordé une aussi grande valeur à la vie humaine. Il n’est donc plus question de consentir, en 2020, aux scènes d’épouvante que nos parents ou grands-parents, qui avaient connu la guerre, étaient encore capables d’endurer lors des grandes épidémies de grippe asiatique de 1957 ou de 1968.

    Ensuite, il y a ce calamiteux désaveu du tragique, à l’œuvre et même à la manœuvre à chaque étape de cette pandémie, comme si nous étions partis de l’idée folle selon laquelle, pour en finir avec les tragédies du XXe siècle, il suffirait d’en finir avec le tragique même. La fatalité, la finitude et la mort feraient ainsi insulte à notre condition. Trancher ? Nos technocrates optent pour l’antistratégie du moindre risque en se défaussant de leur responsabilité sur les médecins. D’où un bilan churchillien : on a confiné puis reconfiné afin d’éviter l’effondrement (des services de réa[nimation]) ; à la fin, on aura eu et le confinement, et l’effondrement (du pays). Mais la question de notre désarmement moral en soulève encore une troisième, qui constitue le surprenant angle mort de notre sanitairement correct : dans quelle mesure le fait de ravaler l’homme à la vie et d’élever la vie biologique au rang de valeur suprême est-il hautement périlleux et déraisonnable sur le plan civilisationnel ?

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  • Les mélanges offerts à Mgr Léonard, un maître de vérité chrétienne et un guide sûr en des temps de grande confusion, pour son 80ème anniversaire

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    De Jean-Jacques FLAMMANG scj sur le site des Dehoniens d'Europe franophone :

    Mélanges offerts à Mgr André Léonard à l’occasion de son 80e anniversaire

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  • La constitution de Paul VI sur les indulgences (feuillet pour le temps du confinement)

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  • Environnementalisme et mondialisme, les idéologies les plus dangereuses du moment (XIIe Rapport de l'Observatoire Van Thuân)

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    De Stefano Fontana sur le site de la Nuova Bussola Quotidiana :

    LE XII RAPPORT VAN THUAN

    Environnementalisme et mondialisme, les idéologies les plus dangereuses

    20-11-2020

    L'environnementalisme est une grande bulle idéologique, le mondialisme est une éthique de l'humanité avec peu de principes moraux génériques pour une religion universelle sans dogmes ni doctrines. L'Église catholique apporte également son soutien à ce projet inquiétant. Le douzième rapport de l'Observatoire du Cardinal Van Thuân est consacré à l'environnementalisme et au mondialisme, les deux idéologies les plus dangereuses du moment, qui visent à converger vers un seul niveau politique mondial.

    Selon le douzième rapport de l'Observatoire du Cardinal Van Thuân qui vient d'être publié par Cantagalli (Sienne, pp. 256, Euro 16), l'environnementalisme et le mondialisme sont les deux idéologies les plus dangereuses du moment, d'autant plus qu'elles convergent sur un seul niveau politique mondial. Jamais peut-être un rapport n'a été aussi opportun, en traitant d'une question d'actualité juste au moment où sa réalisation est à un stade avancé inquiétant. Tout le monde voit, mais tout le monde ne comprend pas : le rapport sert à documenter, informer et mobiliser la résistance.

    L'environnementalisme d'aujourd'hui est une grande bulle idéologique. Incubé pendant des décennies, il a maintenant atteint une phase d'omniprésence programmatique. L'idée de base est que l'environnement est malade et que la cause principale de la maladie est l'homme. Même la Covid, qui n'a rien à voir avec l'environnement, a été proposé comme un symptôme de la gravité du mal qui affecte la planète. Nous sommes proches de la catastrophe : le message ne vient pas seulement et pas tellement de Greta Thunberg, devant laquelle des parlements et des organismes internationaux entiers se sont prosternés, mais des agences des Nations unies, des centres de recherche alignés, des grandes fondations, des médias et des leaders d'opinion du monde entier. Nous serons confrontés à un réchauffement climatique dévastateur causé par nos émissions de dioxyde de carbone, nous serons submergés par les catastrophes climatiques et nous devrons nous familiariser avec les pandémies récurrentes. Les ressources non renouvelables s'épuisent, il est urgent de renforcer les ressources renouvelables et durables et de créer une économie verte basée sur la circularité, la durabilité, l'équilibre avec la nature et des relations humaines sobres.

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  • Des paroles de Karol Wojtyla pour un monde qui ne croit plus

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    D'Agnès Bastit-Kalinowska sur Aleteia.org :

    Les méditations inédites de Karol Wojtyla sur la quête de Dieu du monde contemporain

    17/11/20

    Avant d’être élu pape, le cardinal Wojtyla a rédigé une suite de méditations sur le discours à l’Aéropage de l’apôtre Paul, s’adressant aux Grecs adorateurs du « Dieu inconnu ». Récemment découvertes et traduites en français, ces méditations dévoilent les intuitions pauliniennes du pape de la Nouvelle Évangélisation, pour répondre à la quête de Dieu du monde contemporain.

    Décembre 1963. Karol Wojtyla, alors évêque de Cracovie, se rend à Athènes sur le chemin de Jérusalem. Sur place, il relit le discours de Paul à l’Aréopage, et ce texte le marque d’autant plus profondément que le pasteur polonais se trouve alors entre deux sessions du concile Vatican II auquel il participe : il perçoit une analogie de situations entre l’Église conciliaire tournée vers le monde contemporain, et la tentative de Paul à Athènes. À une date indéterminée, entre ce voyage et son élection au siège de Rome en 1978, il prépare une série de treize méditations, apparemment destinées à être prononcées devant un auditoire qui nous reste inconnu. Le thème de cette sorte de « retraite théologique » était donc le Discours sur l’Aréopage d’Athènes, inséré par Luc au cœur du récit de la prédication missionnaire de Paul (Ac 17, 22-31).

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    © Artège

    Jean Paul II, Karol Wojtyla, Paroles pour un monde qui ne croit plus, Catéchèses inédites sur le discours à l’AréopageArtège, 2020, 162 pages, 17 euros.