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Enseignement - Education - Page 153

  • 80 séminaristes en formation à Namur

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    80 séminaristes à Namur dont 

    27 Belges

    12 sud-Américains (Brésil, Colombie, Costa-Rica, Chili, Venezuela, Paraguay)

    11 Français

    9 Africains (Congo, Rwanda, Cameroun, Bénin)

    9 asiatiques (Inde, Chine, Indonésie, Philippines, Vietnam)

    5 Italiens

    3 Espagnols

    1 Polonais

    1 Canadien

    1 Australien

    et un, si nous avons bien compté, dont la nationalité n'est pas précisée. 

    Donc la rumeur persistante selon laquelle il n'y a que des Français est totalement fausse. De plus, 9 de ces Français appartiennent à la Fraternité des Saints Apôtres qui s'est établie à Bruxelles et a obtenu en 2006 un statut canonique dans l'archevêché de Malines-Bruxelles. Parmi les Africains et les Sud-Américains, certains comptent rester en Belgique.

  • L'Eglise catholique dans le viseur de la nouvelle coalition luxembourgeoise

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    Nous l'avions pressenti mais la ligne adoptée par la coalition au pouvoir au Luxembourg confirme nos appréhensions :

    La coalition tire sur l'Église catholique (source)

    Te Deum au caractère purement religieux, réduction du financement des cultes, suppression des cours de religion au profit d'un enseignement aux valeurs: l'Église a pris des coups hier. Les annonces de la coalition ont beaucoup concerné l'Église catholique, hier. Elle se dit abasourdie par ces mauvaises nouvelles en cascade, alors que le DP continue de parler de dialogue.

    Le standard de l'archevêché a été inondé d'appels de journalistes, si bien qu'à 16 h, un communiqué est tombé. Rendez-vous une heure plus tard dans la cour de l'administration diocésaine, où le vicaire général, Erny Gillen, se fend d'une déclaration qui se veut pour le moins agacé : «Nous sommes mis devant le fait accompli. Des informations filtrent, mais pas sur les grands dossiers comme les impôts ou Cargolux, mais sur ce qui concerne directement l'Église, d'où notre étonnement. Nous apprenons tout dans les médias, c'est comme si un mari communiquait avec sa femme à travers les journaux!» Dès ce week-end, le président du groupe de travail sur l'éducation nationale, André Bauler (DP), avait annoncé la suppression des cours de religion, au profit d'un cours d'instruction aux valeurs. L'affaire est d'autant plus délicate que l'enseignement religieux concerne directement 300 personnes : 250 dans l'enseignement fondamental, qui n'ont pas les cours de religion comme activité principale et qui sont issues de formations diverses, et une cinquantaine de professeurs de lycée dont c'est le travail à temps complet. Ils ont effectué des études de théologie et même s'ils ont une autorisation d'enseignement par l'évêché, ils dépendent du ministère de l'Éducation nationale comme tous les autres enseignants. En ce qui concerne l'école fondamentale, les personnes dispensant les cours de religion dépendent directement de l'archevêché.

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  • Evangelii Gaudium : les analyses du « Monde » et du « Figaro »

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    De Stéphanie Le Bras dans « Le Monde » (extraits) :

    « (…) Ce texte arrive à point nommé. Depuis son élection, le pape a beaucoup parlé et certains catholiques commençaient à se demander ce qui, dans ce foisonnement, relevait de la pensée personnelle de Jorge Mario Bergoglio et ce qui s'inscrivait dans le magistère – la parole officielle – de l'Eglise. D'autres pointaient son « anti-intellectualisme » et son goût exclusif pour les phrases chocs. Les péripéties autour de l'entretien publié dans La Repubblica en octobre – dont la teneur relevait plus d'une « reconstruction » par le journaliste que d'une transcription des propos du pape – avaient fini d'inquiéter les tenants d'une parole papale sans ambiguïté.(…)

    Hiérarchisation des priorités

     Le pape semble convaincu de l'adaptation de l'Eglise au contexte local. Il invite chacun à « repenser les structures, le style et les méthodes de ses propres communautés » et préconise « un processus résolu de discernement, de purification et de réforme ». Pas question pour autant d'adapter le message. Ainsi sur l'avortement : le pape reste ferme dans son opposition, mais appelle à un meilleur accueil des femmes ayant avorté. De même, « le sacerdoce réservé aux hommes est une question qui ne se discute pas », même si la place des femmes dans l'Eglise peut être améliorée.

    Sur le message de l'Eglise, le pape suggère aussi aux clercs une hiérarchisation des priorités, notamment en ce qui concerne l'enseignement moral de l'Eglise. Ils demandent aux pasteurs de ne pas être « obsédés par la transmission désarticulée d'une multitude de doctrines qu'on essaie d'imposer à force d'insister», de sortir du « catalogue des péchés et des erreurs ». Il leur rappelle que le « confessionnal ne doit pas être une salle de torture » et les invite à des homélies plus « positives » que « purement moralistes ou endoctrinantes ». Sans citer explicitement les fidèles privés de communion, comme les divorcés-remariés, le pape rappelle que « l'Eglise n'est pas une douane et qu'il y a de la place pour chacun avec sa vie difficile ».

    Lire l’article ici : Le pape appelle l'Eglise à « sortir du catalogue des péchés »

    Dans le « Figaro », Jean-Marie Guénois commente (extraits) :

     " Le Pape était censé établir une synthèse du «synode sur la nouvelle évangélisation» que Benoît XVI avait convoqué en octobre 2012 (200 évêques, trois semaines de débats) mais le nouveau Pape en tient très peu compte. Il laisse, et c'est très nouveau, aux «épiscopats locaux» le soin d'en tirer les conclusions qu'ils jugeront utiles. Il préfère se concentrer sur ce qu'il a à dire à l'Église catholique qui l'a élu pape le 13 mars dernier.

    Premier point d'insistance, la «joie de l'Évangile», titre du document. Le Pape demande à chaque chrétien de «renouveler aujourd'hui même sa rencontre avec Jésus-Christ», de montrer «la miséricorde de Dieu», sa «tendresse», de laisser au vestiaire de l'histoire les «airs de carême sans Pâques», car «un évangélisateur ne devrait pas avoir constamment une tête d'enterrement».

    Affaiblir le centre

    Second point d'insistance, la réforme de l'Église en commençant par sa tête, la «papauté». Non seulement François se dit «ouvert aux suggestions» sur «un exercice de mon ministère qui le rende plus fidèle aux significations que Jésus-Christ entend lui donner». Mais il appelle de ses vœux une des applications du concile Vatican II que le cardinal Ratzinger, sous le pontificat de Jean-Paul II, a toujours combattu en enterrant ce projet: «un statut pour les conférences épiscopales» leur donnant «une certaine autorité doctrinale authentique».

    Ce qui revient effectivement à affaiblir le centre, la papauté, le Vatican, pour donner plus de place aux évêques locaux. De fait, c'est aussi nouveau, l'exhortation apostolique, publiée mardi, contient autant de références à des textes d'épiscopats de différentes régions du monde, qu'à des textes du magistère romain.

    Cette volonté de réforme de la culture profonde de l'Église - passer d'une vision centralisatrice et dogmatique, à une vision d'une Église «aux portes ouvertes» pour mieux accueillir - implique une série de petites réformes, qui ne sont pas d'aimables suggestions mais que François demande, de façon très nette, d'appliquer (…).

    Condamnation renouvelée de l'avortement

    Par exemple: mettre la morale à sa place pour ne pas «alourdir» les fidèles, parler de l'essentiel du christianisme, à savoir «l'amour de Dieu» - le Pape relance à ce titre le thème conciliaire également controversé de la «hiérarchie des vérités» - ; recours et retour à la «piété populaire» qui parle aux «gens simples» et le rejet de la «spiritualité du bien-être» ; lutte contre le «cléricalisme» et la «mondanité spirituelle» qui utilise l'Église «autocentrée» pour se faire valoir ; catéchèse qui «annonce» vraiment le Christ et qui introduise aux «mystères de la foi» ; vision, non conflictuelle, des autres religions: l'islam en particulier à qui il demande toutefois «humblement» la réciprocité pour la liberté religieuse des chrétiens vivant en pays musulmans.

    Cet esprit de réforme va cependant avec deux avertissements non équivoques. Il n'y a aucune évolution à attendre de sa part pour ouvrir le sacerdoce aux femmes. Et aucune concession sur la condamnation extrêmement ferme - renouvelée dans ce texte - de l'avortement.(…). «

    L'homélie doit faire «brûler les cœurs»

    Outre cette série d'évolutions et de confirmations, cette «exhortation apostolique» contient deux morceaux de choix.

    Le premier est un véritable traité de «l'homélie». Le Pape considère que l'homélie du prêtre, lors de la messe, est un moment capital pour évangéliser. Il fustige les prêtres qui ne les préparent pas: c'est «malhonnête» et «irresponsable», car l'homélie doit faire «brûler les cœurs» des fidèles. François donne donc une large série de conseils concrets dignes d'un cours de séminaire, pour bien préparer les homélies.

    L'autre morceau de choix est sa condamnation sans appel, déjà exprimée, d'une «économie qui tue» autour d'un «marché divinisé» qui génère «un système injuste à la racine» qui sera à terme cause de «violences» qu'aucun système de «forces de l'ordre» ne pourra contenir si une régulation n'intervient pas."

    Lire l’article ici : Le pape François installe sa révolution dans l'Église

    JPSC

  • « Evangelii gaudium »

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    « Evangelii gaudium », « la joie de l’Évangile », première exhortation apostolique du pape François, a été rendue publique mardi midi 26 novembre au Vatican : un document auquel il reconnaît lui-même « une signification programmatique », un discours dans le droit fil et sur un ton qu’il nous a déjà donnés à connaître depuis son élection.  En voici la table des matières : cliquez sur les titres pour avoir accès aux textes développés sous ces  intitulés. JPSC :

    EXHORTATION APOSTOLIQUE 
    EVANGELII GAUDIUM 
    DU PAPE 
    FRANÇOIS 
    AUX ÉVÊQUES 

    AUX PRÊTRES ET AUX DIACRES 
    AUX PERSONNES CONSACRÉES 
    ET À TOUS LES FIDÈLES LAÏCS 
    SUR L'ANNONCE DE L'ÉVANGILE 
    DANS LE MONDE D'AUJOURD'HUI

     

    TABLE DES MATIÈRES

    La joie de l'Évangile [1]

    1. Une joie qui se renouvelle et se communique [2-8] 
    2. La douce et réconfortante joie d’évangéliser [9-13] 
    Une éternelle nouveauté [11-13] 
    3. La nouvelle évangélisation pour la transmission de la foi [14-18] 
    Propositions et limites de cette Exhortation [16-18]

    Chapitre 1 : La transformation missionnaire de l’Église [19-49]

    1. Une Église « en sortie » / « en partance » [20-24] 
    Prendre l’initiative, s’impliquer, accompagner, porter du fruit et fêter [24] 
    2. Pastorale en conversion [25-33] 
    Un renouveau ecclésial qu’on ne peut différer [27-33] 
    3. À partir du cœur de l’Évangile [34-39] 
    4. La mission qui s’incarne dans les limites humaines [40-45]
    5. Une mère au cœur ouvert [46-49]

    Chapitre 2 : Dans la crise de l’engagement communautaire [50-109]

    1. Quelques défis du monde actuel [52-75] 
    Non à une économie de l’exclusion [53-54] 
    Non à la nouvelle idolâtrie de l’argent [55-56] 
    Non à l’argent qui gouverne au lieu de servir [57-58] 
    Non à la disparité sociale qui engendre la violence [59-60] 
    Quelques défis culturels [61-67] 
    Défis de l’inculturation de la foi [68-70] 
    Défis des cultures urbaines [71-75]

    2. Tentations des agents pastoraux [76-109] 

    Oui au défi d’une spiritualité missionnaire [78-80] 
    Non à l’acédie égoïste [81-83] 
    Non au pessimisme stérile [84-86] 
    Oui aux relations nouvelles engendrées par Jésus Christ [87-92] 
    Non à la mondanité spirituelle [93-97] 
    Non à la guerre entre nous [98-101] 
    Autres défis ecclésiaux [102-109]

    Chapitre 3 : L’annonce de l’Évangile


    1. Tout le Peuple de Dieu annonce l’Évangile [111-134] 
    Un peuple pour tous [112-114] 
    Un peuple aux multiples visages [115-118] 
    Nous sommes tous des disciples missionnaires [119-121] 
    La force évangélisatrice de la piété populaire [122-126] 
    De personne à personne [127-129] 
    Les charismes au service de la communion évangélisatrice [130-131] 
    Culture, pensée et éducation [132-134]

    2. L’homélie [135-144] 
    Le contexte liturgique [137-138] 
    La conversation d’une mère [139-141] 
    Des paroles qui font brûler les cœurs [142-144]


    3. La préparation de la prédication [145-159] 
    Le culte de la vérité [146-148] 
    La personnalisation de la Parole [149-151] 
    La lecture spirituelle [152-153] 
    À l’écoute du peuple [154-155] 
    Instruments pédagogiques [156-159]

    4. Une évangélisation pour l’approfondissement du kerygme [160-175] 
    Une catéchèse kérygmatique et mystagogique [163-168]
    L’accompagnement personnel des processus de croissance [169-173] 
    Au sujet de la Parole de Dieu [174-175]

    Chapitre 4 : La dimension sociale de l’évangélisation

    1. Les répercussions communautaires et sociales du kerygme [177-185] 
    Confession de la foi et engagement social [178-179] 
    Le Royaume qui nous appelle [180-181] 
    L’enseignement de l’Église sur les questions sociales [182-185]

    2. L’intégration sociale des pauvres [186-216] 
    Unis à Dieu nous écoutons un cri [18 7-192] 
    Fidélité à l’Évangile pour ne pas courir en vain [193-196] 
    La place privilégiée des pauvres dans le peuple de Dieu [197-201] 
    Économie et distribution des revenus [202-208] 
    Avoir soin de la fragilité [209-216]

    3. Le bien commun et la paix sociale [217-237]
    Le temps est supérieur à l’espace [222-225] 
    L’unité prévaut sur le conflit [226-230] 
    La réalité est plus importante que l’idée [231-233] 
    Le tout est supérieur à la partie [234-237]

    4. Le dialogue social comme contribution à la paix [238-258]
    Le dialogue entre la foi, la raison et les sciences [242-243] 
    Le dialogue œcuménique [244-246] 
    Les relations avec le judaïsme [247-249] 
    Le dialogue interreligieux [250-254] 
    Le dialogue social dans un contexte de liberté religieuse [255-258]

    Chapitre 5 : Évangélisateurs avec Esprit

    1. Motivations pour une impulsion missionnaire renouvelée [262-288]
    La rencontre personnelle avec l’amour de Jésus qui nous sauve [264-267]
    Le plaisir spirituel d’être un peuple [268-274] 
    L’action mystérieuse du Ressuscité et de son Esprit [275-280] 
    La force missionnaire de l’intercession [281-283]

    2. Marie, Mère de l’évangélisation [284-288] 
    Le don de Jésus à son peuple [285-286] 
    L’Étoile de la nouvelle évangélisation [287-288] 

  • Liège : les prêtres sont de retour au confessionnal

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    3621671362_e2d44f8bf8_m.jpgLes plus anciens s’en souviennent : à  l’église Saint-Denis à Liège, tous les jours que Dieu fasse, on trouvait autrefois un confesseur de permanence. Grâce, notamment, à la persévérance du doyen de Liège (rive gauche), Eric de Beukelaer, ce temps est aujourd’hui de retour, comme le précise un communiqué :  

    « (...) A partir du lundi 2 décembre 2013, début du temps de l'Avent (la préparation spirituelle à Noël), il y aura donc à nouveau un prêtre à l'écoute à Saint-Denis, tous les matins du lundi au vendredi (de 10h à 12h, avec la Messe à 11h30) et tous les après-midis du lundi au jeudi, ainsi que les 4° vendredis du mois (de 15h à 17h). Dans un monde où tant de personnes cherchent une oreille bienveillante et attentive pour quelque peu se décharger du fardeau du jour, chacun - croyant ou non, pratiquant ou peu - est le bienvenu à Saint-Denis (Place Saint-Denis et Rue Cathédrale, 66, 4000 Liège) ».

    Reste à rendre aux chrétiens et à l’âme religieuse populaire, qui n’est pas nulle dans cette ville, le sens même de la confession, ce grand sacrement délaissé : toute une éducation à refaire. JPSC.

     

  • Est-on homme ou femme à la naissance ou le devient-on ?

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    La Libre publiait hier un entretien avec Maria Hildigsson, secrétaire générale de la FAFCE (Fédration des Associations de Familles Catholiques en Europe) :

    Un enfant va toujours naître de l’union des corps de l’homme et de la femme. Donc, le milieu naturel de l’enfant est d’être élevé par son père et par sa mère. Si on prend le raisonnement des partisans de la "théorie du genre", il s’agit de permettre à tous types de relations d’êtres considérées comme une famille.

    - Vous avez participé lundi à une conférence-débat sur le "gender" (genre). Comment, de votre côté, définissez-vous cette théorie très à la mode ? 

    On peut parler de théorie alors que d’autres vont parler d’idéologie. En fait, c’est une construction purement intellectuelle. Ce sont des sociologues américains qui ont commencé à travailler sur ces idées dans les années soixante. Elles se sont ensuite répandues dans des milieux universitaires, notamment en Europe. Mais le concept va faire son entrée politique lors de la conférence mondiale sur les femmes, organisée par l’Onu, qui s’est tenue à Pékin en 1995. Il s’agit alors d’une distinction artificielle entre le sexe biologique et l’identité sexuelle. La notion de genre est liée à des représentations psychiques qui renvoient à des représentations sociales. Et donc, selon moi, il s’agit là d’une intrusion dans l’identité profonde de la personne humaine. Or, on naît dans un corps qui est sexué, homme ou femme. Et le "genre" ne reconnaît pas cette dualité et cette complémentarité. 

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  • Quand le pape tape sur le clou

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    « Lors de l’audience générale ce mercredi 20 novembre, le pape François a poursuivi sa réflexion sur la rémission des péchés. En premier lieu, a-t-il indiqué, nous devons nous rappeler que le protagoniste du pardon des péchés est l’Esprit Saint. Jésus ressuscité, transfiguré dans son corps, est l’homme nouveau, et en soufflant sur les Apôtres il donne l’Esprit Saint, source de tous les dons, et il transmet la vie, régénérée par le pardon. 

    Jésus a donné aux apôtres le pouvoir de pardonner les péchés, appelé dans la Bible « pouvoir des clés ». Cela signifie que nous recevons le pardon des péchés dans l’Église, qui accompagne le chemin de notre conversion, et par un prêtre, notre frère, un homme comme nous, qui nous donne l’amour sans limite du Père et le pardon au nom de l’Église. Prenons conscience de ce don qui vient de Dieu, qui nous relève et nous aide à reprendre à nouveau le chemin ! 

    Devant des dizaines de milliers de fidèles, le pape a souligné que « beaucoup de personnes, peut-être, ne comprenaient pas la dimension ecclésiale de pardon, dans la mesure où dominent toujours l'individualisme et le subjectivisme. Et nous aussi chrétiens nous le ressentons, a t-il déclaré ». Certains affirment qu’ils préfèrent se confesser directement à Dieu. Mais Jésus nous appelle à vivre la réconciliation dans sa dimension ecclésiale et communautaire. C’est lui qui a donné aux apôtres le pouvoir de pardonner les péchés, appelé dans la Bible « pouvoir des clés ».

    Dieu a voulu que ceux qui font partie de l’Eglise reçoivent le pardon par l’intermédiaire des ministres de la communauté. Le pape a reconnu que certains ont honte de raconter leurs péchés, mais, a-t-il déclaré,« il vaut mieux rougir une fois que jaunir mille fois ».

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  • La pilule du lendemain ou quand règne l'hypocrisie

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    Lu sur le Huffington Post :

    par Thérèse Hargot, sexologue, éducatrice en milieu scolaire :

    Pilule du lendemain: le bal des hypocrites a assez duré!

    Elles sont quatre fois plus nombreuses à la demander qu'il y a dix ans. Le recours à la pilule du lendemain explose chez les ados suscitant l'inquiétude de leurs aînés.

    Après tout, l'acte n'est pas si anodin, pour la santé bien entendu. Avec une dose d'hormones quarante fois supérieure à celle d'une pilule contraceptive régulière, elle n'est pas dépourvue de potentiels effets secondaires. Mais pour rassurer tout le monde, on persiste à le dire: elle n'est pas dangereuse pour la santé. Voilà des propos bien imprudents par les temps qui courent où les dégâts de simples pilules contraceptives sont exposés au grand jour... 

    En ce qui concerne la tentative d'empêcher la grossesse, on les entend se réjouir. Les jeunes filles semblent en effet bien informées sur leurs droits et profitent allègrement de son accès gratuit, sans ordonnance et sans accord parental. Alors si elles en abusent, ayons au moins la décence de ne pas s'en offusquer. Le bal des hypocrites a assez duré!

    L'hypocrisie, c'est d'abord les appellations données pour désigner ce comprimé: "contraception d'urgence", "pilule du lendemain". Elles permettent de dissimuler l'action réelle qui consiste à mettre un terme au cycle en cours dans l'espoir d'empêcher soit l'ovulation, soit la fécondation, soit la nidation.

    En fait, on ne peut pas savoir si le produit a permis d'éviter un début de grossesse ou d'y mettre un terme. Techniquement parlant, ces hormones n'ont pas qu'une action contraceptive (contre la fécondation) mais aussi contragestive (contre la nidation). Par le jeu des mots, on entretient le flou pour tromper les consciences des femmes et banaliser l'intention pour faire passer la pilule en somme. Qu'on ne s'étonne pas alors que de plus en plus de jeunes filles l'utilisent comme moyen de contraception banal et ne cherchent pas à se protéger en amont.

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  • Retour au sacrement de la confession : un nouvel appel du pape

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    confession-une-recadree_article.pngLu sur le site de « Famille chrétienne » ce nouvel appel insistant:

    Le 13 novembre, comme chaque mercredi, la foule – estimée à 50 000 personnes – écoute attentivement le pape François sur la place Saint-Pierre à Rome. En accord avec l’évangile du jour sur l’envoi des disciples pour évangéliser et baptiser le monde entier, le Saint-Père commente aujourd’hui le baptême. En trois points, soigneusement articulés, il reprend et commente la phrase du Credo « je confesse un seul baptême pour la rémission des péchés ». Comme à son habitude, il ponctue ses propos d’explications et de gestes et très concrets.

    Premier point : « je confesse ».

    Deuxième point du Credo : [je confesse] « un seul baptême ».

    Troisième point du credo [je confesse un seul baptême] « pour la rémission des péchés »

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  • Trop d'hommes sur terre ? Une enquête au coeur de l'eugénisme

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    Hors-série n°13

     Enquête au coeur de l'eugénisme
     
    Sommes-nous trop nombreux sur terre ?

    Et s’il y avait neuf milliards d’hommes sur terre en 2050, pourrions-nous nourrir tout le monde ?

    La terre aurait-elle encore suffisamment de ressources exploitables ?

    L’inquiétude est contagieuse, celle de voir les habitants de la terre devenir ses envahisseurs gagne du terrain, nourrie à dessein par ceux qui savent que la peur est un moyen de coercition terriblement efficace.

    Comment cette idée de surpopulation a-t-elle émergé ? Quels sont ses vecteurs aussi bien culturels que politiques ? Qui sont les grandes figures de cette idéologie ?

    L’Homme Nouveau a sollicité des spécialistes de la question qui analysent le fantasme de la surpopulation avec l’intelligence de la science et la sagesse de la foi. On découvre au fil des pages les liens qui semblaient obscurs, entre une écologie dévoyée et la promotion de l’eugénisme portée notamment par l’Onu et affiliés.

    On y apprend comment cette idée que l’homme est un nuisible imprègne la culture occidentale jusque dans les manuels scolaires.

    Mais au-delà du décryptage, il s’agit aussi de proposer des pistes en vue d’une véritable reconstruction. C’est pourquoi ce hors-série n’analyse pas seulement le fantasme de la surpopulation ou le détournement de l’aspiration écologique. Il entend aussi donner des indications, à la fois justes sur le plan politique et conformes à la doctrine sociale de l’Église, pour mettre l’homme et la terre à leur juste place.

    Avec la collaboration de : Mgr Michel Schooyans, Gérard-François Dumont, le Père Joseph-Marie Verlinde, Joseph Pearce, Anne-Marie Libert, Vincent Badré, Steven Mosher, Falk van Gaver, Michel Fauquier, Jon Merrill, Armelle Signargout, Adélaïde Pouchol, Philippe Maxence...

    64 pages couleur - 7 € (port offert)

  • A propos du programme de religion catholique

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    On déplore souvent la médiocrité du cours de religion. Cette video présentée par Arnaud Dumouch devrait permettre d'aller au-delà des clichés habituels : 

    Publiée le 2 sept. 2013

    Le nouveau programme de religion catholique a été institué en 2003. Il est centré sur l'usage de la pédagogie par compétences. Son histoire, ses forces et ses faiblesses. L'abbé Henri Ganty est le vicaire épiscopal du Diocèse de Namur en Belgique, chargé du cours de religion catholique. Il est en outre musicien Son site : http://www.henryganty.net/

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  • Théories du genre : téléchargez le petit manuel de Gènéthique (Fondation Lejeune)

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    Bioéthique : Théorie du genre

    fjl-manuel-theorie-du-genreDans la lignée du Manuel Bioéthique des Jeunes, et suite à l’introduction des notions de genre dans les ouvrages scolaires de SVT (Sciences de la Vie et de la Terre) de 1ère, la Fondation Jérôme Lejeune met à disposition Théorie du genre et SVT : décryptage des manuels de 1ère.

    Ce livret d’une quarantaine de pages propose une enquête argumentée et étayée sur le contenu et le sens du fameux chapitre « Devenir femme ou homme » intégré dans les manuels scolaires.

    Il met à disposition des jeunes une analyse visant à faire la part des choses entre ce qui relève de la « science de la vie », légitime dans les ouvrages de SVT, et ce qui relève d’une idéologie.

     Théorie du genre et SVT : décryptage des manuels de 1ère commente également les exercices et commentaires proposés aux élèves, ainsi que les visuels et leur légende.

    Des illustrations du célèbre dessinateur Brunor facilitent la compréhension.

     Pour commander vous pouvez envoyer votre demande (les manuels sont gratuits, mais les frais de port sont à votre charge.  N'hésitez cependant pas à participer en faisant un don) :

    Fondation Jérôme Lejeune - 37 rue des Volontaires - 75725 Paris cedex 15

    Courrier :  flj@fondationlejeune.org

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