Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Enseignement - Education - Page 156

  • L'Institut diocésain de formation Namur-Luxembourg propose une formation théologique de base pour tous

    IMPRIMER

    Une formation théologique de base à l'initiative du vicariat épiscopal CLeF (Catechese, Liturgie et Formation)

    "Vous êtes la lumiere du monde" ... Jesus ne le dit pas qu'à ceux qui auraient suivi avec Lui, en quelque sorte, une formation théologique et pastorale. D'ailleurs, si l'Eglise a fait du chemin, elle l'a fait avec Jesus, et c'est encore avec Lui que, dans notre diocèse comme ailleurs, nous pouvons chercher un éclairage de foi sur nos vies d'enfants de Dieu. Ainsi, c'est la lumière du Christ qui fait découvrir ce qui alimente en nos coeurs un feu de confiance et d'amour. On ne dit pas assez comment la vie de nos paroisses étincelle déjà de mille feux allumés par le Seigneur. La formation de quelques-uns de leurs membres, sensibles à ce qui fait la vie des communautés, est un vrai cadeau! Qu'elle contribue a faire rayonner ces communautés de plus beaux et de plus vifs éclats.

    consulter le programme d'activités de l'Institut en pdf

  • La lettre du pape aux incroyants; François aurait-t-il trébuché dans la « cour des gentils » ?

    IMPRIMER

    La traduction de la lettre du pape à Scalfari, et à travers lui aux incroyants, publiée dans le Repubblica, figure sur le site "Liberté politique".

    Le site « Benoît et moi » publie la traduction française d’ une réflexion publiée en italien sur le site « Settimo Cielo » de Sandro Magister:

    http://magister.blogautore.espresso.repubblica.it/2013/09/12/nel-gentile-cortile-di-la-repubblica/ 

    Il n’y a pas, en effet, que le « buzz » suscité par les déclarations de  Mgr Parolin, son futur secrétaire d’ Etat, sur le célibat sacerdotal : voici que le pape François lui-même occupe à nouveau la scène médiatique « 
    avec sa réponse par voie de presse à deux lettres ouvertes que le très laïc Eugenio Scalfari lui avait écrites dans "La Repubblica" : la première, le 7 Juillet, avec un titre qui ne présageait rien de bon:  Les réponses que les deux papes ne donnent pas  et la seconde le 7 Août:  Les questions d'un non-croyant au pape jésuite nommé François « 

    Sandro Magister poursuit :

    « Cette dernière lettre comportait notamment un passage qui attribuait au nouveau pape trois innovations très appréciées:"Votre mission comporte deux scandaleuses nouveautés: l'Église pauvre de François, l'Église horizontale de Martini. Et une troisième: un Dieu qui ne juge pas, mais pardonne. Il n'y a pas de damnation, il n'y a pas d'enfer. " Mais encore une fois exprimant du scepticisme: "Je ne pense pas que vous répondrez."

    Lire la suite

  • France : l'ABCD de l'égalité à l'école en janvier 2014

    IMPRIMER

    De la Synthèse de Presse quotidienne de Gènéthique.org

    "L'ABCD de l'égalité" à l'école en janvier 2014

     En janvier prochain, de la grande section de maternelle au CM2, les élèves se verront imposer "un programme de lutte contre les stéréotypes sexistes dès l'école appelé 'ABCD de l'égalité' ". Mis en place par le gouvernement sous l'impulsion du ministère des droits des femmes, "l'ABCD de l'égalité" sera expérimenté dans dix académies (1), soit 600 classes au total, et une généralisation de cette expérimentation est déjà prévue, au printemps 2014. 

    Le programme sera adapté à l'âge et abordera la question des préjugés dans différentes matières telles que le sport, les sciences, les arts plastiques, le français ou encore l'histoire. L'objectif? "Sensibiliser les élèves aux représentations, aux rôles assignés aux filles et aux garçons [...] et aux limites que les enfants se fixent eux-mêmes, terreau des inégalités hommes-femmes". 

    Justifiant ce programme, Najat Vallaud-Belkacem, ministre du droit des femmes précise: "alors que l'école est censée être neutre dans le traitement des filles et des garçons, les études montrent que ce n'est pas le cas, en dépit de la bonne volonté des enseignants". Mais l'instauration d'un tel programme inquiète. Ainsi, Jean-Marie Andrès, un des responsable des Associations familiales catholiques (AFC) redoute " 'une démarche de déconstruction' des repères, notamment ceux transmis par les parents". Il estime que " 'les stéréotypes ont bon dos' et la vigilance doit être de mise devant ce type d'initiative". 

    ---------------------

    (1) Académies de Bordeaux, Clermont-Ferrand, Créteil, Corse, Guadeloupe, Lyon, Montpellier, Nancy-Metz, Rouen, Toulouse

    (La Croix (Marine Lamoureux) 06/09/2013 - Valeurs Actuelles (Fabrice Madouas) 05/09/2013)

    Lire également : http://www.libertepolitique.com/Actualite/Decryptage/Le-gender-pour-tous-contre-le-droit-des-parents

  • Le désespoir d'un enseignant

    IMPRIMER

    Pierre Jacque, professeur dans un lycée de Marseille, s'est donné la mort. Il a laissé une longue lettre posthume qui dénonce clairement les dérives de l'enseignement et les aberrations du pédagogisme que nous avons critiqué à plusieurs reprises sur ce blog. Si nous ne pouvons approuver son geste, nous comprenons toutefois le sentiment de détresse qui l'a submergé jusqu'au désespoir :

    La lettre posthume de Pierre Jacque est diffusée par la section syndicale SNES-FSU avec l'accord de sa famille.

    Source originale : http://www.aix.snes.edu/IMG/pdf/hommage_a_pierre_jacque.pdf

    "Le 1 septembre 2013

    De Pierre JACQUE, Enseignant d'électronique

    Objet : Evolution du métier d'enseignant.

    A ma famille, à mes proches et à tous ceux que mon témoignage intéressera.

    Je vous fais part de ma décision de ne pas faire la rentrée scolaire 2013. En effet le métier tel qu'il est devenu au moins dans ma spécialité ne m'est plus acceptable en conscience.

    Pour éclairer ma décision je vous décris succinctement mon parcours personnel. Je suis devenu ingénieur en électronique en 1982 à l'âge de 24 ans. Ma formation initiale et surtout mon parcours professionnel m'ont amené à exercer dans la double compétence "hard" et "soft". Le métier prenant et difficile m'a toujours convenu tant que j'avais le sentiment de faire œuvre utile et d'être légitime dans mon travail. Passé la quarantaine la sollicitation de plus en plus pressente d'évoluer vers des tâches d'encadrement et le sort réservé à mes ainés dans mon entreprise m'ont incité à changer d'activité. En 1999 j'ai passé le concours du capet externe de génie électrique et j'ai enseigné en section SSI et STI électronique. Le choc pour moi fut brutal de constater la baisse de niveau des sections techniques en 18 ans passé dans l'industrie notamment pour la spécialité agent technique (niveau BTS ou DUT suivant les cas). Même si le niveau enseigné était bien bas de mon point de vue, ma compétence était au service des élèves et je me sentais à ma place. Une difficulté était quand même le référentiel applicable (le programme) datant des années 80, ambitieux pour l'époque et en total décalage avec le niveau réel des élèves des années 2000. Une réforme semblait souhaitable pour officialiser des objectifs réalistes et orientés en fonction des besoins du marché du travail.

    Lire la suite

  • Homosexualisme : 70 organisations de défense des droits de l'homme soutiennent la Russie

    IMPRIMER

    Friday-Fax-Header-French.jpgLes associations de défense des droits de l’homme soutiennent la Russie

    NEW YORK, August 30  (C-FAM) Des organisations de défense des droits de l’homme du monde entier viennent d’exprimer leur soutien en faveur des efforts de la Russie, qui tente de protéger ses enfants contre la propagande homosexuelle.

    Une déclaration de la société civile affirme que la loi récemment adoptée par la Russie, et qui prévoie des amendes à l’encontre de tout individu ou groupement qui ferait la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs, est un pas important dans la direction d’un respect des obligations internationales de protection de la famille et des mineurs.

    D’après Profesionales por la Etica, l’association espagnole qui a coordonné le mouvement, ces organisations des quatre coins du monde n’ont pas tardé à exprimer leur soutien. En une semaine seulement, plus de 71 organisations se sont manifestées.

    D’après la déclaration, la Russie protège « des droits de l’homme véritables et universellement reconnus  contre de fausses valeurs, artificielles et fabriquées », telles l’orientation sexuelle et l’identité de genre.

    Lire la suite

  • L'école victime du pédagogisme

    IMPRIMER

    Nous partageons l'opinion de Frank Andriat (lalibre.be)

    L’école ne remplit plus sa mission essentielle, celle d’apprendre au plus grand nombre à lire, écrire et calculer. Les pédagogues ont pris le pouvoir et ont volé le boulot des professeurs. Dans notre société de profit et de satisfaction immédiate, les mots "effort, rigueur, études, travail, savoir, exigence, excellence" font partie d’un vocabulaire tabou.
    Frank Andriat, professeur de français à l’Athénée Fernand Blum (Schaerbeek). Auteur d’une trentaine de livres dont "Les profs au feu et l’école au milieu" (Renaissance du Livre)
    Le métier de professeur est devenu un "merdier" et "l’école est détruite" : vous n’y allez pas de main morte dans votre dernier livre…
    Vous ne choisissez pas les expressions les plus nuancées de mon livre, mais, c’est vrai, j’ai, au fil des années, le sentiment qu’on détruit "le plus beau métier du monde". Je suis plutôt un tendre et j’ai porté ce texte pendant des années. En 2000, j’ai publié "Vocation Prof" où je dis mon bonheur d’enseigner. Treize ans plus tard, je suis toujours aussi heureux de travailler avec mes élèves. Mais, comme tant de mes collègues, comme tant de parents, je dois constater que l’école perd le sens de l’humanisme et qu’elle peut de moins en moins travailler avec rigueur. J’ai écrit ce livre parce que beaucoup de personnes m’ont dit que je serais crédible. Je ne suis pas un râleur, mais, là, le vase déborde. Les professeurs plus anciens se sentent perdus devant l’avalanche de réformettes et devant l’obligation de transformer leur cours en recettes de cuisine. Plus d’un tiers des plus jeunes quittent le métier après quelques années et on se voit obligé d’engager des personnes qui n’ont pas le diplôme requis. D’où l’expression "merdier". Si le métier de prof était, comme le déclarent tant de personnes, un métier de planqués, pourquoi plus personne ne veut-il devenir prof ?

    Lire la suite

  • Ecole à la maison : NEIN !

    IMPRIMER

    Sur le blog de J. Smits :

    Ecole à la maison : quatre enfants enlevés de force à leurs parents en Allemagne

    Jeudi matin, 8 heures. La famille Wunderlich, Dirk et Petra et leurs quatre enfants, entame sa journée d’école à la maison. Tout semble calme autour de leur maison dans les environs de Darmstadt. Mais soudain, la sonnette retentit. A travers la fenêtre, le père de famille voit une véritable armée qui investit la paisible demeure. Une vingtaine de personnes : travailleurs sociaux, officiers de police et même des agents spéciaux armés. A travers la porte, on lui signifie qu’on veut lui parler. Dirk essaie de poser une question, mais en quelques secondes trois policiers approchent avec un engin pour défoncer la porte. Il obtempère.

    Brusquement, Dirk Wunderlich est poussé dans un fauteuil et immobilisé. Les forces de l’ordre sont là pour embarquer les enfants. Le tort, le seul tort des Wunderlich ? Celui de vouloir faire l’école à la maison : c’est interdit en Allemagne (comme au temps des Nazis) et même la Cour européenne des droits de l’homme – surtout elle – reconnaît le droit des Etats signataires de la Convention d’organiser comme ils l’entendent l’obligation d’instruction, pour assurer l’intégration au sein de la communauté et la mixité sociale de tous les enfants.

    Lire la suite

  • Transmettre, pour évangéliser les plus jeunes

    IMPRIMER
    couv_Transmettre154.jpgParents ou catéchistes, nous nous demandons
    • comment transmettre notre foi catholique.
    • Comment faire grandir les enfants dans l’amour de Jésus ?
    • Comment répondre aux interrogations des jeunes ?
    La revue Transmettre propose chaque mois :
    • Un Dossier en lien avec le temps liturgique avec un rappel de l'enseignement de l’Église, une explication adaptée aux enfants, et une page d'activités.

    • Un carnet de vie de saints.

    • Mon évangile en 3 D : l'évangile du dimanche expliqué, accompagné d’un bricolage à réaliser.

    • La question d'Élodie : un dialogue pour répondre aux questions des enfants.

    • Esprit de famille : des conseils éducatifs pour tous.

    • L’Église en marche : une petite histoire de l’Église.

     
    Pour recevoir Transmettre pendant 1 an, profitez de notre Abonnement Découverte.
     
    Transmettre édite aussi des livres et guides de référence sur la Bible, les sacrements, l’éveil à la foi, le catéchisme, la prière en famille...
    Vous trouverez toutes nos publications sur notre site www.transmettre.fr, avec paiement en ligne sécurisé.
     
    Faites suivre ce message à vos amis qui pourraient être intéressés par Transmettre.
     
    Vous pouvez également vous abonner par courrier
    en envoyant un chèque de 40 € à Transmettre
    17 rue Manessier - 94130 Nogent sur Marne

    Abonnement Découverte
    10 numéros (dont un album spécial)
    +
    votre cadeau :
    un magnifique cahier de dessins sur la Bible
    =
    seulement 40 €
    au lieu de 61 € soit 34% de réduction
  • Inoffensif, le cannabis ?

    IMPRIMER
    Lu ICI :
    La plus grande influence du cannabis sur les jeunes s'expliquerait par la structure changeante de leur cerveau

    Les adolescents qui consomment du cannabis seraient particulièrement exposés à des comportements de dépendance et à d'autres effets à long terme, selon des chercheurs de l'Université de Montréal et de l'école de médecine Icahn au centre médical Mount Sinai de New York. Leurs résultats ont été relayés mardi par le site MediQuality. 

    Les chercheurs ont compulsé plus d'une centaine d'études concernant les interactions entre le cannabis et le cerveau des adolescents. "Les études épidémiologiques révèlent de façon répétée un lien entre la consommation de cannabis et l'accoutumance subséquente à des drogues dures ainsi que les troubles psychotiques (par exemple la schizophrénie). [...] Lorsque la première exposition se produit vers le début plutôt que vers la fin de l'adolescence, l'impact du cannabis semble plus prononcé pour plusieurs troubles en lien avec la santé mentale, la réussite scolaire, la délinquance et le développement normal vers l'âge adulte", précise le Dr Jutras-Aswad, cité par MediQuality.

    Cette plus grande influence du cannabis sur les jeunes s'expliquerait par la structure changeante de leur cerveau, qui n'a pas encore acquis sa stabilité adulte. Comme les récepteurs chimiques qui captent la substance sont situés sur les zones du cerveau liées à l'apprentissage, la recherche de récompenses, la motivation, la prise de décision, l'acquisition d'habitudes et les fonctions motrices, la consommation de cannabis aurait essentiellement des effets sur ces aspects, pensent les chercheurs.

    Les adolescents ne seraient toutefois pas tous égaux face au cannabis. Une certaine vulnérabilité liée aux gênes ou aux traits comportementaux est suggérée.

  • Délires pédagogiques : un salubre coup de gueule

    IMPRIMER

    Les Médias Catholiques nous offrent cette recension d'un livre où un enseignant tonne contre les pédagogues et didacticiens qui ont pourri le métier de professeur (et dont nous avons dit précédemment tout le mal que nous en pensons, voir ICI).

    Dans « Vocation Prof « , publié en 2000, Franck Andriat disait son bonheur d’enseigner. Mais s’il reste ce professeur heureux il est aussi un professeur en colère. Et quand cet amoureux des belles lettres, écrivain prolixe, prend la plume pour exprimer son ras-le-bol, ça déménage!

    Dans son nouveau livre paru ce 23 août, « Les profs au feu et l’école au milieu », il décrit en dix com­mandements cin­glants et pleins d’humour, la situation d’un métier dont notre société a de plus en plus besoin et qui, paradoxalement, at­tire de moins en moins de jeunes.

    Au centre des critiques, les pédagogues et les didacticiens à l’origine des maux actuels de l’école qui ne parvient plus à remplir sa mission essentielle, celle d’amener le plus grand nombre à savoir lire, écrire et calculer.  Mais qui continuent à imposer leur vision « idéaliste » des choses. « Depuis les années 90, c’est réformette sur réformette. Les professeurs essaient se suivre au mieux mais c’est de plus en plus difficile. J’entends souvent des enseignants autour de moi dire ne plus savoir ce qu’ils doivent enseigner à leurs élèves ».

    Lire la suite sur Info.catho.be où l'on trouvera également le podcast d'une interview de l'auteur.

  • Genre : quand tout se complique

    IMPRIMER

    L’identité sans le genre, ça va pas être facile non plus !

    de Marie Delarue - source 

    Le gouverneur de Californie, un certain Jerry Brown, vient d’inscrire son État à la pointe du progrès social et même, n’ayons pas peur des mots, du progrès humain. Il vient en effet de signer une loi modifiant le code de l’Éducation des établissements scolaires, cela afin « d’assurer le respect de l’identité sexuelle des élèves transgenres ».

    C’est beau, c’est grand, c’est généreux mais ne va pas toutefois sans soulever une petite remarque sur un plan sémantique : le problème des transgenres étant justement de n’avoir pas d’identité sexuelle définie, ou du moins une identité intérieure – celle du « ressenti » – qui ne correspond pas à leurs attributs externes, comment fait-on pour respecter ce qu’eux-mêmes ignorent ?

    C’est justement à cette question que veut répondre la nouvelle loi de M. Brown. Grâce à elle, les transgenres, déclarés ou bien en devenir, pourront désormais « participer à des programmes et activités non mixtes, comme des équipes sportives ou des compétitions, et utiliser les installations (scolaires) en accord avec [leur] identité sexuelle, et non le sexe indiqué sur [leur] fiche d’identité ». Le Figaro rappelle que, conscient des troubles que cela pouvait occasionner, l’élu démocrate à l’origine du texte avait expliqué : « Les élèves transgenres vont-ils embarrasser d’autres enfants ? Peut-être. Je ne veux pas minimiser cet aspect, mais les nouvelles expériences sont souvent embarrassantes. Cela ne doit pas justifier les préjugés. »

    Sans vouloir troubler ce bonheur tout neuf, on peut toutefois se demander si cela ne va pas créer plus de problèmes que ça n’en résout. Faudra-t-il par exemple réaménager les toilettes pour que les filles/garçons n’aient pas à choisir entre pisser debout ou pisser assis ? Et désormais, comment distinguer les pervers et les voyeurs si tout le monde peut se glisser dans le vestiaire d’à côté au prétexte qu’il n’est pas bien installé dans son genre ? Mais c’est en tâtonnant qu’on avance, c’est bien connu.

    lire la suite

  • Les intentions de prière du pape pour août 2013

    IMPRIMER

    Intention de prière pour l'évangélisation: 

    Que les Eglises d'Afrique soient fidèles à l'annonce de l'Evangile, promeuvent la paix et la justice.

    Intention de prière universelle : Les parents et les éducateurs (zenit.org)

    Pour que les parents et les éducateurs aident les nouvelles générations à grandir avec une conscience droite et une vie cohérente.

    « Eduquer, une aventure qui engage ! »

    Si je vous dis : « éduquer », quels mots vous viennent à l’esprit ? Transmission de connaissances ? Certes, mais aussi certainement vous penserez à cette expérience qui consiste à aider un jeune à grandir, à devenir lui-même, pleinement humain. Une aventure ? Oui, un engagement qui demande beaucoup de temps et de présence. Redisons-le avec force : le véritable éducateur est un témoin, au sens où sa vie va transparaître dans tout ce qu’il fait, bien au-delà de tout ce qu’il dit.   

    Lors d’une rencontre avec des enfants de Collèges jésuites, le Pape François a invité les éducateurs à  « être des témoins avec leur vie de ce qu’ils communiquent ». « Sans cohérence, a-t-il ajouté,  il n’est pas possible d’éduquer ». C’est cela qui fait la beauté et l’exigence de cette mission  qui nous implique entièrement. 

    Au cours de mes dernières années, j’ai été responsable d’un internat pour des collégiens et des lycéens, puis enseignant dans l’Education Nationale et formateur dans des Ecoles privées, animateur de multiples activités pour les 18-25 ans dans un centre social, initiant un Point Information Jeunesse et un Point Cyber, enfin accompagnateur spirituel et aumônier en collège, lycée et grandes écoles, etc. Le plus difficile à toujours été pour moi la cohérence entre mes paroles et ma vie, comme Jésus-Christ, mon maître et ami, me l’a enseigné. Nous ne pouvons communiquer aux autres que ce que nous vivons en vérité nous-mêmes. Cette cohérence est d’une grande exigence personnelle et cependant essentielle à l’éducation. Les jeunes y sont très sensibles. Le Pape Paul VI disait déjà : « Le monde n’a pas besoin de maîtres mais de témoins. » 

    Nous retrouvons cet appel exigeant dans les intentions de prière que le Pape François nous confie en juillet et qui concernent l’annonce de l’Evangile. Cela engage toute l’existence. Il n’y a pas de demi-mesure. Cela demande de livrer sa propre vie au point qu’elle rende un témoignage vivant à l'Evangile. C’est la seule condition pour que d’autres puissent être engendrés, dans l’Esprit-Saint, à la vie du Christ. C’est dans sa grande cohérence entre ses paroles et ses actes que Jésus donnait à voir dans sa vie la Bonne Nouvelle, la tendresse de DIEU pour l'humanité. Même si le don de soi ne garantit pas que d'autres puissent faire cette expérience, c’est ainsi que saint Paul à cherché à aider ses auditeurs de la Parole à naître à une vie nouvelle, celle de l'Evangile.

    Annoncer l’Evangile, comme éduquer, sont d’une grande exigence personnelle. On ne peut mentir. Nos vies parlent d’elles-mêmes. Prions, comme nous y invitent les intentions de prière de l’Eglise universelle exprimées par le Pape, pour que dans la position éducative que tous, à un moment ou à un autre, nous sommes appelés à avoir, il nous soit donné d’être le moins possible un obstacle à l’action de l’Esprit.

    P. Frédéric Fornos, jésuite - Coordinateur européen de l’Apostolat de la prière