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Culture - Page 298

  • Idéologie du genre : et on en remet une couche

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    C'est ICI :

    On ne naît pas fille ou garçon, on le devient

    L’identité sexuée se construit tout au long de l’enfance. Et ce, au départ de déterminants à la fois biologiqueset environnementaux. Mais il reste encore impossible à ce jour de savoir quelle est la part d’inné ou d’acquis.

    Dans une pièce, ils sont tous rassemblés. Un bébé inconnu et vêtu de manière neutre leur est présenté soit comme garçon, soit comme fille.  (?!) Très vite, les participants à l’expérience décrivent différemment le nourrisson, et interprètent diversement ses comportements selon le genre annoncé. ...

    On peut lire la suite mais c'est sans surprise et tout est permis dès lors qu'on fait abstraction des données de la nature. Il s'agit d'enfoncer le clou qui consiste à occulter les données de nature pour privilégier celles d'une culture censée conditionner l'enfant à une identité sexuelle qui lui serait dictée par son environnement. Ah si nous avions un Molière pour fustiger ces inepties ainsi que le jargon psycho-pédagogique dont elles se parent...

    Voir : http://www.belgicatho.be/archive/2013/04/18/une-enquete-norvegienne-met-a-mal-la-theorie-du-gender-genre.html

  • BXL, 28 avril : départ du Tour de France de l'OCH

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    UN TOUR DE FRANCE SOLIDAIRE 
    POUR CHANGER SON REGARD SUR LE HANDICAP

    (SOURCE) A l’occasion de la semaine du Handicap, la Fondation OCH (Office Chrétien des Handicapés) annonce le lancement prochain d’un événement inédit permettant la rencontre entre personnes valides et handicapées : un tour de France pédestre de trois mille kilomètres reliant en 169 jours, du 28 avril au 13 octobre 2013, la ville de Bruxelles à Paris. Cette aventure humaine, ouverte à tous, imaginée à l’occasion des 50 ans de l’OCH, doit permettre de partager un moment de vie convivial et privilégié avec des personnes atteintes d’un handicap qu’il soit physique, mental ou psychique, en prenant le temps d’avancer à leur rythme. Le tour de France de l’OCH est parrainé par Philippe Pozzo di Borgo, dont l’histoire a inspiré le film "Intouchable".

    Une grande marche solidaire ouverte à tous

    Les équipes, pilotées par un représentant de la Fondation OCH et composées de 7 à 12 personnes, valides et handicapées se relaieront tous les 2 à 5 jours pour traverser villes et villages de France, à pied et en joëlette (fauteuil mono-roue tout terrain). Le groupe est appelé à s’agrandir au fil des rencontres, entrainant dans ses pas, le temps d’une heure, d’une journée ou plus, des passants ou marcheurs volontaires venus des quatre coins du pays. Placé sous le signe de la convivialité et de la bonne humeur, le parcours sera ponctué d’animations, de lieux de rencontre avec les habitants des villes, organisés avec l’aide des élus municipaux et des relais locaux de l’OCH.

    Que l’on se destine marcheur, parrain de l’opération, soutien spirituel ou encore saltimbanque, désireux d’offrir ses talents d’animation à l’équipe, le portail web dédié au tour de France de l’OCH, accessible depuis le site och.fr, permettra à chacun de suivre l’avancée de la marche et d’y retrouver les informations utiles pour participer.

    Parrainer le tour, c’est la possibilité, pour les particuliers mais aussi les communes, de contribuer à son financement, à hauteur de 10€ le km, ou de fournir une aide logistique, en mettant par exemple à disposition des marcheurs, un hébergement dans l’une des 169 villes étape.

  • Quand la Libre fait le trottoir...

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    ...cela donne ceci : http://www.lalibre.be/promo/dossiersexe/

    On peut sans doute ranger cette pauvre tentative de racolage journalistique dans les catégories "Belgique, société, sexualité, medias" et aussi, pourquoi pas, "culture", à condition que l'on s'en tienne à la première syllabe du mot. Et dire que ce journal fut (et demeure pour quelques innocents) l'organe de presse des conservateurs bien-pensants attachés au trône et à l'autel, ce qui lui valut d'ailleurs le sobriquet de "Léopoldine". Aujourd'hui, Léopoldine fait le trottoir. Autres temps, autres moeurs...

  • Croire rend-il crétin ?

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    Emmanuel Jaffelin, auteur d'un livre intitulé "On ira tous au Paradis : croire en Dieu rend-il crétin" (Flammarion, 2013), répond aux questions de Philippe Couture sur Radio Canada :

    Alors qu'une majorité d'Occidentaux vilipendent les institutions religieuses, le philosophe Emmanuel Jaffelin rame à contre-courant dans son plus récent livre. Jugeant que la religion nous sort du matérialisme dans lequel le marché nous emprisonne, il croit aussi que les athées se posent moins de questions que les croyants et vivent davantage dans l'apathie. Son opinion dérange, dans une société où l'athéisme est devenu le nouveau prêt-à-penser.  

    Audio-vidéo : Écouter l'entrevue avec Emmanuel Jaffelin

  • A Tournai, quand la beauté est appelée à sauver le monde...

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    ANX-02-000KFU.jpgL'Osservatore Romano met en ligne un article de Jean-Pierre De Rycke, conservateur du Musée des Beaux-Arts de Tournai, présentant l'exposition qui, jusqu'au 21 juillet, permet de découvrir une centaine d'oeuvres, de Dürer à Manet :
    Exposition au Musée des Beaux-Arts de Tournai en Belgique

    Toute la beauté du monde

    Comment exprimer toute la beauté du monde, son harmonie et ses forces vitales en un rassemblement d’une centaine d’œuvres rares de la peinture ancienne, moderne et contemporaine ? C’est le défi relevé par le Musée des Beaux-Arts de Tournai, petite ville transfrontalière de Belgique autrefois siège d’un puissant évêché et important foyer artistique au Moyen Age.

    « La Beauté sauvera le Monde (Quand l’Homme contemple l’Univers) » est le titre choisi pour cette exposition printanière. Elle suggère d’emblée le lien moral qui existe entre la « beauté » et la « bonté », ainsi que Jean-Jacques Rousseau, le philosophe de la nature, l’a bien exprimé renouvelant une idée formulée dès l’antiquité dans la philosophie grecque.

    L’expression comme telle est extraite de Dostoïevski (« L’idiot ») et suggère que la beauté seule (de Nastassia) sans amour (du prince Mychkine) n’est rien. Plus récemment, Benoît XVI interprétait cette notion de la façon suivante dans son « discours aux artistes » : « La beauté – de celle qui se manifeste dans l’univers et dans la nature à celle qui s’exprime à travers les créations artistiques – peut devenir une voie vers le Transcendant, vers le Mystère ultime… », précisément par sa propension à projeter l’individu hors de soi vers l’infini qui questionne.

     

    Lire la suite sur l'Osservatore Romano

  • France : la manif pour tous doit-elle craindre les « amalgames » ?

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     Un billet d’humeur de Pasquin sur le site du bimensuel « L’Homme Nouveau » :

    « On se fout complètement des amalgames : nous assumons les faits pas les méfaits ! Il est probable que des gens violents, « extrémistes de tous poils », que sais-je encore, pensent eux aussi que le mariage gay est un non-sens sociétal, c’est un fait ! Leur façon d’agir leur appartient, nous n’avons pas à en répondre. Nous ne sommes responsables que de ce que nous entreprenons.

    On se fout complètement « du risque de radicalisation » : nous étions déjà radicalement opposés dès la première manif ! Nous l’avons dit gentiment, façon « Gangnam style », nous l’avons redit à la deuxième manif, en chantant Piaf dans une chorale de presque deux millions de chanteurs, sans marcher sur les pelouses. Maintenant, c’est la Marseillaise, et les pelouses on s’en fout. J’ai d’abord suivi une blonde sympa qui fait des manifs cools, j’ai fait la « ola ». Mais, depuis le début je suis un père de famille en colère qui défend sa civilisation; les consignes, maintenant je me les donne en conscience pour exprimer ma radicale opposition à cette loi. 

    Nous condamnons absolument la violence : celle du ministère de l’Intérieur qui par mépris a sous-estimé nos manifs et fait gazer femmes et enfants ; celle des journalistes qui ont « cahuzaqué » les chiffres réels de notre opposition pacifique par un mensonge collectif inacceptable. Nous condamnons ces médias qui parlent en boucle d’homophobie, générant une violence verbale et physique de la part des homosexuels à notre encontre, alors que notre propos n’est pas là. Nous condamnons cette violence faite à la démocratie, où les lois se pensent dans les loges, et s’imposent par des lobbies dans le mépris absolu de ce que nous pensons majoritairement.
    Alors! Là où nous sommes, qui que nous soyons, je le dis comme chrétien, comme citoyen, comme père, comme entrepreneur, comme journaliste chroniqueur. :

    Je nous demande très officiellement de considérer la victoire comme nécessaire ! Pour ce que nous sommes, pour ce que nous croyons, pour nous, nos enfants, leurs enfants, nos familles et les familles de France, pour notre pays. Je nous demande de considérer la victoire comme nécessaire, de gagner absolument et maintenant cette bataille. Bravo pour tout ce qui a déjà été réalisé, l’impératif de la victoire s’impose… C’est le printemps pour tous. Go, go, go. »

    Ici : Nécessaire victoire !

     « Pasquino », perché ? Pasquino ou Pasquin (en latin : Pasquillus) est le nom utilisé par les Romains pour désigner une statue de style hellénistique datant du 3e siècle av. J.-C. mise au jour dans le quartier de Rome Parione au 15e siècle.

    La célébrité de la statue date du début du XVIe siècle  lorsque le cardinal Oliviero Carafa drape le torse de marbre de la statue dans une toge décorée d'épigrammes latins, à l'occasion de la saint Marc. De cet incident est dérivé le terme de pasquinade, qui se réfèrent à un pamphlet anonyme en vers ou en prose.

    Cette action du cardinal a conduit à une coutume de critiquer le pape ou son gouvernement par l'écriture de poèmes satiriques en dialecte romain et de les attacher à la statue de Pasquino.

    Ainsi Pasquino est devenu la première « statue parlante » de Rome. Elle « s'est prononcée » sur l'insatisfaction de la population à l’égard du gouvernement pontifical … et aujourd’hui,  par extension, vise tous les actes de mauvaise gouvernance, civile ou religieuse.

  • Une révolution des consciences par l'art et la culture

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    On note, ces derniers jours, l'émergence d'un nouveau mouvement, celui des Veilleurs présenté par le Figaro en ces termes : 

    Le mouvement des Veilleurs, en marge de la Manif pour tous, appelle à la révolution calme des consciences par l'art et la culture. Silencieux, les Veilleurs font pourtant grand bruit. Depuis que ce mouvement est né, le 16 avril dernier, en marge de la Manif pour tous, il ne cesse de grandir avec de plus en plus de participants à Paris mais aussi en province, Lyon, Toulouse, Rennes, Toulon, Nantes… À la grande surprise de ses instigateurs, Axel et Alix, ce groupe d'amis appelle à la révolution calme des consciences, par l'art et la culture, à «l'élévation de l'esprit sur la force, l'arme des faibles», pour regagner la liberté confisquée par une société «auto-normée».

    À coups de lectures de grands auteurs, de poètes, de philosophes, d'échanges et de méditations, ces Veilleurs improvisent des soirées de «résistance non violente» sur des sites déterminés au dernier instant, en marge des manifestations contre le mariage homosexuel. La dernière veillée, samedi soir avenue de Breteuil à Paris, a réuni 500 jeunes. C'était la cinquième.

    L'autre soir, aux Invalides, ils étaient quelque 1500, selon Axel, le jeune homme qui préside à «la spontanéité» de ces veillées. L'impulsion du mouvement a été donnée le soir des 67 interpellations à l'Assemblée nationale.

    Assis en silence, «dans la paix, le calme et la détermination», comme le stipulent les SMS qui fixent les rendez-vous à l'improviste, ces veillées contrastent avec les slogans des manifestants contre le gouvernement et le mariage homo. Ici, on lutte avec la culture, l'art, le patrimoine des grands auteurs, de tout bord politique. Pierre-Joseph Proudhon, théoricien de l'anarchie, est lu, dans ses passages sur l'importance du mariage, aux côtés de Charles Péguy, Bernanos ou Aragon.

    «Révéler par le beau, par l'universalité de la pensée des auteurs de tous siècles et de toutes sensibilités, avérer le mensonge et la manipulation des politiques par les contradictions, briser cette culture de mort qui hante notre société, semer un espoir de liberté», résume Axel, qui sait bien que ce dernier est impossible sans reconquête de la vérité. Dimanche soir, après la manifestation partie de Denfert-Rochereau à Paris, les Veilleurs veillaient à nouveau…

  • Inquiets et perplexes...

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    Peut-on vraiment se sentir à l’aise dans le monde tel qu’il est aujourd’hui ? Peut-on échapper à l'inquiétude et à la perplexité ?

    On peut évoquer cette crise économique dont on nous dit régulièrement que l’on devrait en voir le bout mais qui n’arrête pas de produire des effets toujours plus inquiétants affectant l’emploi et compromettant les perspectives d’avenir pour les jeunes, sans parler des questions que l’on peut se poser à propos de l’Union Européenne, de sa monnaie, du sort des partenaires les plus faibles (la Grèce, Chypre…).

    On peut aussi s’interroger sur l’actualité politique où l’on manque désespérément de personnalités à la hauteur des défis actuels, capables de faire passer le bien commun avant leurs intérêts et leurs appartenances partisanes. La classe politique souvent décrédibilisée donne l’impression de naviguer à vue, sans réel projet d’avenir susceptible de mobiliser et de rendre confiance, impuissante en particulier à défendre l’emploi menacé par la stratégie des multinationales. Les facteurs de division et de décomposition, la perte de confiance dans un monde marqué par les magouilles et la corruption, le scepticisme généralisé plombent le climat politique des pays de la vieille Europe. L’Italie en offre un exemple particulièrement désolant mais l’atmosphère morose et résignée de notre vie politique nationale n’est pas particulièrement réjouissante. En plus des impasses socio-économiques, il suffit d’évoquer l’impuissance à maîtriser les flux migratoires et les menaces que font peser sur notre société les menées de groupes extrémistes, islamistes en particulier.

    Il y a bien d’autres choses dans nos sociétés qui ne manquent pas d’inquiéter. Le n’importe quoi dans le domaine de la culture médiatique tel que la télévision nous en donne le spectacle quasi permanent en est un. Il suffit d’évoquer la pauvreté des programmations (ah, les séries !), l’hyper-érotisation de la publicité, l’esprit de dérision systématique, la pauvreté intellectuelle… pour s’en convaincre. Mais il y a aussi la misère de l’école que désertent de nombreux enseignants dégoûtés par une pédagogie foireuse et par un climat invivable, le déboussolement de nombreux jeunes tentés par la drogue, l’alcool, le suicide… largués par des adultes qui renoncent de plus en plus à assumer leurs responsabilités éducatives. Il faut bien évoquer aussi l’emprise du discours sur la sexualité qui vise à brouiller tous les repères et à nous imposer une vision relativiste où n’existe plus aucune norme ni valeur de référence. Une société peut-elle se construire et exister dans la durée lorsque tout se trouve ainsi livré au bon plaisir de l’individu ? Mais peut-être tout n’est-il pas perdu, du moins peut-on le penser et l’espérer en considérant ce qui se passe en France où tout un peuple se lève pour exiger le respect de l’enfant, du mariage et de la famille. Cela nous en bouche un coin à nous les Belges tellement habitués à nous résigner à toutes les dérives qui nous sont imposées au nom de la sacrosainte évolution des mœurs et de la société.

    Avouons que la situation actuelle de l’Eglise ne nous rend pas moins perplexes. La fin du pontificat précédent nous a laissés au milieu du gué entre, d’une part, le rejet d’un réformisme excessif né de Vatican II et qui se voulait en rupture avec la Tradition, et, d’autre part, le retour à une vision de continuité qui aurait dû se concrétiser dans une redéfinition de la foi (on attendait une encyclique à ce sujet) et dans un recadrage de la liturgie trop abandonnée au caprice de chacun. En lieu et place de cela, nous avons droit à un surprenant début de pontificat marqué par de nouvelles façons de faire mais dont on ne voit pas encore sur quoi cela débouchera concrètement. Certains évoquent déjà "un virage social" de l'Eglise... Quelles seront les orientations réelles de ce nouveau pontificat qui veut s’inscrire dans une ligne franciscaine et en finir avec le discours d’une Eglise faisant trop référence à elle-même ? Bien malin qui peut le dire et il nous semble que certains feraient bien d’être plus prudents quand ils se félicitent de l’accession sur le siège de Pierre d’un pape « ouvert et progressiste » ; il paraît tout aussi difficile de voir en François un pape dont les préoccupations rencontreraient celles des catholiques inquiets devant les dérives doctrinales et liturgiques… Bref, là aussi, on scrute et on attend.

  • Sur les écrans (19.4.2013)

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    Dernières sorties cinéma
    Les Âmes Vagabondes
    Après Bienvenue à Gatacca et le plus récent Time Out, Andrew Nicoll revient avec un récit d’anticipation, écrit par Stephenie Meyer, auteur de la célèbre saga Twilight : Les Ames Vagabondes.
    Les Gamins
    Anthony Marciano sait vraiment faire rire ; la musique est très bonne ; le rythme soutenu. Mais il ne craint pas la grossièreté et une obscénité à donner la nausée. Dommage : il y avait du talent.

    Ce film exprime bien le...
     
    Les Profs
    Après Lucky Luke, L'élève Ducobu et Boule et Bill, c'est au tour d'une autre bande dessinée française humoristique d'être adaptée au cinéma. L'ex Robin des Bois Pierre-François Martin-Laval (déjà...
     
    Tad l'explorateur : A la recherche de la Cité perdue (libre accès)
    Indiana Jones pour les petits, avec moins de violence mais, bizarrement, plus de courbes féminines !
    On sent dans cette petite production espagnole une volonté affirmée d'enrober une histoire très simple dans des graphismes séduisants. Même si les...
     

  • Quand la franc-maçonnerie se dévoile un tout petit peu

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    Sur l’édition de lalibre.be de ce jour, on découvre, sous la plume de Christian Laporte, que la première Journée belge du livre maçonnique aura lieu ce dimanche 21 avril. 

    En France, le Salon maçonnique du livre de Paris a soufflé ses 10 bougies fin 2012 et des initiatives fleurissent partout dans l’Hexagone. Rien de tel par contre en Belgique. Le seul salon jamais mis sur pied eut Liège comme cadre mais fut sans doute ouvert surtout aux initiés. La lacune sera comblée ce dimanche 21 avril avec "Masonica" à Bruxelles. Et pas n’importe où ! Cela se passera autour des temples et du Musée de la franc-maçonnerie de la rue de Laeken, un haut-lieu du Grand Orient qu’y côtoient les principales obédiences belges au Musée.

    Pourquoi cette Journée maintenant ? Les maçons belges sont de longue date plus réticents à se montrer que ceux d’autres pays européens. Moins par volonté de garder secrètes leurs cogitations comme le pensent les obsédés des théories du complot que mus par un souci de discrétion consécutif aux traumatismes subis pendant la Seconde Guerre.

    Reste à voir ce que La Libre entend par se dévoiler « un tout petit peu ». Aura-t-on accès aux comptes-rendus liés aux travaux parlementaires conduisant à des réformes de sociétés liées à l’éthique, au début et à la fin de vie ? Au « mariage » entre personnes de même sexe, le tout dans une optique internationale ?

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  • Chrétienté, réveille-toi !

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    couvchretienteweb.jpgLe Père Aidan Nichols, dominicain, est l'un des plus brillants théologiens britanniques actuels. Il est l'auteur prolifique d'une quarantaine de livres sur des sujets très variés, dont la pensée de Joseph Ratzinger. La publication deChristendom Awake a fait grand bruit dans le monde anglo-saxon, car ce livre programme invite l'Eglise à redynamiser toute la culture contemporaine, de l'architecture à la famille, de la philosophie à la spiritualité, ou de l'art à la politique. La sortie de son édition française était attendue. Les titres des chapitres sont autant d'appels à retrouver sa capacité de transformation et de renouvellement de toutes les activités humaines : réassocier foi et culture, réenchanter la liturgie, reconstituer une société de foyers, resacraliser la culture matérielle, repenser le féminisme, reconcevoir l'oecuménisme, reconquérir la Bible, recréer la vie religieuse, sauver les Saints Innocents, réimaginer l'Etat de chrétienté etc. C'est dans un dialogue permanent avec la culture contemporaine (y compris dans de ce qu'elle peut avoir de contestable) que le Père Aidan Nichols repense à frais nouveaux une nouvelle évangélisation intégrale (mais non intégriste). La « chrétienté » qu'il appelle de ses voeux n'est pas un rêve nostalgique d'un état historique disparu, mais une société qui prend au sérieux la Résurrection du Christ. (via "Chrétiens dans la Cité")

     

    Chrétienté, réveille-toi !

    Redynamiser l’Église dans la culture

    Aidan Nichols o.p.

    Ed. de L'HHomme Nouveau, 320 p., 28 €

    www.hommenouveau.fr

  • La vérité sur les Borgia

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    Herodote.net a mis en ligne une opportune mise au point concernant les Borgia auxquels Canal+ a consacré une série :

    La vérité sur les Borgia 

    Un verre de vin avec les Borgia, par John Collier (1850-1934), musée d'Ipswitch Leur nom est devenu synonyme de stupre et de luxure. 

    La série télé de Canal+ noircit à souhait la légende, en reprenant les récits les plus sanglants et les plus scabreux concernant le pape maudit et ses enfants, Lucrèce et César. 

    Les Borgia méritent-ils leur réputation ? Marc Fourny a mené l'enquête...

             Alexandre VI, l'ambition faite pape